LES ACTIFS DE LA MINCEUR

Posté par eurekasophie le 8 mai 2009

 

 

Vous y pensez, c’est la saison ! L’été et ses plages en ligne de mire, un oeil sur la balance, l’autre sur la fermeture

 

éclair du jean qui ferme à peine……

 

La solution peut-elle sortir d’un tube de cosmétique vendu sous le terme tentant d’amincissant ? 

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On rêve qu’ils se révèlent vraiment efficaces ! Que par la magie d’un simple petit massage chaque matin, ils fassent fondre les bourrelets et s’envoler les kilos ! Peut-on attendre des miracles des cosmétiques amincissants ? Non, bien sûr (il faut être réaliste ……hé oui ! ) Mais une aide appréciable dans une démarche globale d’amincissement, oui, sans aucun doute ( il faut être optimiste……bien sûr ! ). Parce qu’on connaît des actifs qui marchent, et des produits qui donnent des résultats.

 

COMMENT ςA MARCHE ?

 

On mesure bien souvent l’action d’un cosmétique à la seule évaluation de son résultat.  Si le centimètre affiche une ou dfeux unités en moins autour de la taille, on en conclut que  » ça a marché » . Mais un amincissant peut agir à plusieurs niveaux. Et avant de penser à acheter le dernier produit révolutionnaire, il faut bien comprendre que son mode d’action dépend de deux facteurs, indissociables et complémentaires: en clair, s’il en manque un,  » ça ne marchera pas « !

 

Une bonne composition 

 

Pour agir, un amincissant peut contenir plusieurs types d’actifs, pour qu’ils travaillent en synergie et que chacun potentialise l’effet des autres. Il s’agit ainsi d’abord:

 

  • de limiter le stockage des graisses en contrecarrant le processus de la lipogénèse (qui permet la synthèse des lipides)
  • d’augmenter les dépenses énergétiques des cellules en favorisant la lipolyse (qui permet la dégradation des lipides)
  • de favoriser l’élimination des graisses et autres déchets en boostant le processus de la microcirculation qui aide au drainage

Et la formation d’un bon amincissant pourra être heureusement complétée d’actifs restructurants et raffermissants de la peau, pour éviter les phénomènes de relâchements et de flétrissures qui peuvent découler d’une perte de poids importante. S’il n’y a pas tout ça, on ne peut pas espérer de résultats mirobolants. S’il y a tout ça….eh bien, ce n’est pas encore forcément suffisant!

 

Un bon geste 

Les meilleurs actifs cosmétiques du monde ne pourront rien ( ou pas grand chose) si on se contente d’appliquer rapidement le produit une fois de temps en temps.

En la matière, d’abord, la persévérance paie. Une fois la démarche engagée, la crème doit s’appliquer chaque jour, sans exception, et de préférence matin et soir ( éventuellement avec une formulation du produit, ça se fait de plus en plus…..). Même si on est fatiguée, même si on est pressée….. L’insistance du geste est également primordiale. Une douce caresse furtive avec un peu de crème dans la main est agréable…..mais peu efficace. Le vrai bon massage a un effet rôle prépondérant dans l’action du produit. Il permet de dissocier les amas de collagène (il « décolle » les graisses) et active aussi le système lymphatique qui favorise les processus d’élimination.

On résume ? Pour mincir avec un cosmétique, il faut un bon produit + un bon massage, tous les jours, tous les matins, tous les soirs !

 

Les actifs qui marchent 

On peut attendre de nouvelles merveilles des laboratoires de recherche et de développement qui travaillent activement à enrichir le marché porteur de la minceur. Mais on connaît déjà pas mal de substances qui peuvent rendre bien des services dans ce but. Pour vérifier si elles sont présentes dans le produit, il suffit de connaître leurs noms !

 

Les actifs « minceurs »

La caféine fait figure de composant le plus reconnu en la matière. Elle peut provenir du café, être d’origine naturelle ou synthétique, mais aussi provenir de ombreux végétaux:

  • Caffeine
  • Coffea arabica (café)
  • Camelia sinensis (thé vert)
  • Paullinia cupana (guarana).

D’autres actifs agissent également, comme la caféine, pour augmenter les dépenses des cellules en énergie:

  • Escin
  • Fucus vesiculosus extract (extrait d’algue)
  • Garcinia cambogia fruit extrait ( fruit du guttier)
  • Ginkgo biloba extract
  • Theophylline.

Les actifs drainants

Côté drainage, ce sont les actifs végétaux qui s’avèrent les plus efficaces:

  • Aesculus hippocastanum bark extract (marron d’inde)
  • Hedera helix extract (lierre)
  • Ruscus aculeatus root extract (petit houx)
  • Spiraea ulmaria extract (reine des prés).

Les actifs restructurants et raffermissants

Le silicium et les ingrédients qui en contiennent agissent en restructurants du tissu conjonctif. Si l’on met les silicones (polluantes pour l’environnement) de côté:

  • Equisetum arvense (prêle)
  • Methylsilanol mannuronate.

À vérifier pour bien choisir

 

La composition ( et la liste des ingrédients qui permet d’en prendre connaissance ) est une chose. Mais la présence d’une substance ne suffit pas toujours à garantir son efficacité. Et parfois, l’étiquette du produit donne encore d’autres indications qui permettent dene pas investir pour, à terme, garder tous ses bourrelets !

Bien dosés, les actifs ! 

Il y a de la caféine, donc je vais mincir ? Pas si sûr. Parce qu’il faut qu’il y en ait suffisamment pour qu’elle soit réellement active. Mais ( on vous entend déjà protester), c’est vrai, le dosage est rarement précisé sur l’étiquette ! Comment savoir alors s’il y en a assez ou pas ? En se basant sur un repère réglementaire. La législation qui régit les cosmétiques impose en effet que, dans la liste des ingrédients, les différentes substances qui composent le produit soient énumérées par ordre décroissant d’importance. Celle qui est présente dans le plus fort pourcentage est citée en premier, les autres suivent jusqu’aux derniers de la liste, qui ne sont dosés en général qu’à hauteur de 0,0-et-quelques-pour-cent.  C’est simple: pour que le produit soit efficace, la caféine, par exemple, doit apparaître en 2 ème ou 3 ème position dans la liste, et en tout cas, pas après la 4 ème.

Les tests le prouvent ? 

Certaines étiquettes mettent en avant les résultats des tests, effectués par le fabricant pour prouver l’efficacité de son produit. Attention !!!!! Il y a test et test. Et avant de faire confiance à un chiffre proche de 100% , mieux vaut savoir lire entre les lignes.

En particulier, les tests d’efficacité et les tests de satisfaction représentent deux notions fort différentes. Un test d’efficacité mesure l’effet observé, à l’aide de méthodes objectives et d’instruments précis. Dans ce cas, les chiffres annoncés représentent des valeurs quasi scientifiques et peuvent être considérés comme suffisamment pertinents. Les tests de satisfaction recouvrent une toute autre réalité. Il s’agit alors de demander à des volontaires, à qui on offre le cosmétique et qui sont éventuellement rémunérés, d’utiliser le produit et de donner ensuite leur avis ou leur sentiment sur son action en répondant à un questionnaire. On atteint sans peine, et on affiche volontiers alors, des pourcentages atteignant des taux record (jamais moins de 95 %) ! Convaincants, non ? A première vue, peut-être. Mieux vaut tout de même les prendre pour ce qu’ils sont…

Il n’est jamais inutile non plus de vérifier, dans ce cas, sur quelle durée les tests ont été effectués et sur combien de personnes: estimerait-on que les résultats d’un sondage ont de la valeur s’il est réalisé en interrogeant 10 ou 20 personnes ? C’est pourtant ce genre de panel que représentent généralement les tests cosmétiques…..

 

A-B-C…..ou Z , 

 la base à ne jamais oublier 

On le redit, tout de même, même si tout le monde le sait ( et parfois voudrait l’oublier !). Il est illusoire de tout attendre d’une crème. L’amincissement est une démarche globale. Et son B-A BA…….d’ A-B-C.

A comme : Assiette . Elle doit être légère et équilibrée. On n’a pas dit petit régime, mais tout le monde aura compris.

B comme : Bouger. Inutile de commencer une démarche d’amincissement sans dépenser plus de calories qu’on en absorbe. Parce qu’alors, c’est l’échec assuré. Ce qui veut dire, eh oui, un peu de sport régulièrement.

C comme : Crème. Tout de même, oui, en apport complémentaire…… et régulier. Elle aide, et l’investissement qu’elle représente motive à poursuivre les efforts pour rentrer dans son maillot ! 

Et le Z ? Il est pour celles ( et ceux ! ) qui préfèreraient un peu de philosophie à de gros efforts.

Z comme : et puis Zut ! Z’ai quelques rondeurs, et alors ? Ze trouve ça très zoli, et puis….Ze suis comme ça ! Et qu’est ce qu’on dit aux détracteurs et autres messages publicitaires qui nous affirment le contraire ? Zou ! Du balai ! Ze m’assume et ze m’aime comme ze suis ! Na, d’abord.

 

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LA GASTROPARESIE

Posté par eurekasophie le 31 mars 2009

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  LA GASTROPARESIE

On l’appelle aussi syndrome de  » l’estomac paresseux « .

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estomac-sur-patte

« L\’estomac sur pattes\ » 50 x 50 x 24 cm (Novembre 2004). Sculpture qui à l\’air abstraite.

Et pourtant non, lorsque l\’on connait son nom. Plus que de l\’abstraction, c\’est de la \ »figuration d\’expression\ ».

 

Les difficultés à digérer sont normales après un repas copieux. Dans la gastroparésie, en revanche, un repas normal devient une épreuve. La gastroparésie fait partie de la famille des dyspepsies fonctionnelles, un ensemble de pathologies de l’appareil digestif caractérisées par des troubles de la motricité gastro-duodénale et de la sensibilité de l’estomac et qui concernent la partie haute de l’abdomen (estomac, pylore, duodénum). Elles se manifestent par de nombreux symptômes dominés par des douleurs lors de la digestion, un retard de la vidange de l’estomac — l’estomac se vide mal ou trop lentement— et une sensation d’inconfort due à la distension gastrique. Cette maladie est encore assez mal connue (encore une !!) Dans les dyspepsies fonctionnelles comme la gastroparésie, il n’y a pas de lésion anatomique, d’ulcère de l’estomac ni de reflux gastro-œsophagien ( pas de brûlures ascendantes derrière le sternum ou de goût acide dans la bouche). Du fait de la stagnation des aliments dans l’estomac, une gastroparésie peut donner lieu à une fermentation alimentaire, désagréable, et à un déséquilibre responsable de diabète. Un cercle vicieux s’engage, car le diabète entraîne parfois une gastroparésie !

DES CAUSES DIVERSES

La gastroparésie peut avoir plusieurs origines, comme l’atteinte du nerf 10 ( nerf vague ou pneumogastrique) qui innerve l’estomac et qui peut avoir été sectionné malencontreusement lors d’une opération chirurgicale. Elle peut être liée également à un déficit musculaire de la paroi de l’estomac, à un diabète (le diabète atteint tous les nerfs), à une maladie rare (sclérodermie, amylose) ou à un trouble hormonal (hypothyroïdie). Dans certains cas, ce sont des traitements qui causent le ralentissement de la motricité de l’estomac, comme la digitaline, les anti-inflammatoires ou les antibiotiques.

L’INCONFORT GASTRIQUE AU PREMIER PLAN

La gastroparésie se manifeste par un cortège de signes dominés par l’inconfort pendant la digestion. DE nombreux autres symptômes doivent attirer l’attention:

♦ des éructations

des difficultés à terminer les repas (satiété précoce)

une impression de digestion difficile

des douleurs à types de crampes ou de brûlures

une sensation de distension ou de plénitude gastrique (pesanteur ou ballonnement)

une somnolence

des nausées

des vomissements parfois.

FIBROSCOPIE GASTRIQUE DANS UN PREMIER TEMPS….

Il n’y a pas d’examen spécifique qui permette de diagnostiquer avec certitude l’existence d’une gastroparésie. Certains examens vont éliminer les pathologies qui s’accompagnent de symptômes identiques à la dyspepsie ou à la gastroparésie. L’examen le plus utile étant la fibroscopie gastrique. Pour autant, elle n’est pas systématiquement pratiquée. Tout dépend de l’âge du patient. Schématiquement, une fibroscopie s’avère nécessaire au-delà de 40 ans, s’il existe une altération de l’état général, une anémie ou un amaigrissement. Elle permet essentiellement d’éliminer la présence d’une œsophagite, d’une gastrite, d’un ulcère ou d’un cancer de l’estomac. D’autres examens peuvent être pratiqués dans le même esprit, comme l’échographie abdominale (visualisation du fonctionnement pancréatique ou biliaire) ou le scanner.

…..PUIS EXAMEN DE CONTRASTE OU SCINTIGRAPHIE

Des examens peuvent mettre en évidence le ralentissement de la motricité gastrique. Il est possible en effet de visualiser le retard de vidange gastrique à l’aide d’un examen de contraste qui consiste à ingérer un produit de contraste opaque baryté. Des radiographies de l’estomac pratiquées à des intervalles réguliers permettent alors de montrer le ralentissement. La scintigraphie peut le confirmer après une absorption d’aliments marqués par des isotopes radioactifs (sans danger !). Reste également la manométrie gastrique, qui consiste à enregistrer les pressions dans l’estomac au cours de la digestion.

MODIFIER SON ALIMENTATION

À défaut d’un traitement curatif, la prise en charge d’une gastroparésie comporte essentiellement la modification des habitudes alimentaires afin de diminuer les symptômes de cette dyspepsie fonctionnelle. Il va falloir éviter les gros repas, les boissons gazeuses et les chewing-gums ( en mâcher s’accompagne d’une ingestion d’air). Attention également aux aliments trop gras et à l’alcool qui vont ralentir la vidange gastrique. Il faut réduire la consommation des aliments riches en fibres ( fruits, légumes, pain complet…) du fait des ballonnements qu’ils induisent. Fractionnez les prises alimentaires et mâchez bien les aliments afin d’éviter l’intrusion des aliments « bruts » dans l’estomac qui ont tendance à ralentir le transit. Attention aux vêtements trop serrés (ceinture de pantalon) et à perdre du poids en cas de surcharge pondérale abdominale. Dans le même ordre d’idée, faites du sport ou pratiquez une activité sportive régulière. Reste les traitements qui favorisent la motricité intestinale et la vidange de l’estomac (métoclopramide, dompéridone, trimébutine…). Les médicaments antisécrétoires et anti-acides peuvent être prescrits également selon les cas.

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COLOPATHIE FONCTIONNELLE

Posté par eurekasophie le 30 mars 2009

 

 

Massages aux huiles essentielles

en cas de

colopathie fonctionnelle

Syndrome du côlon ou de l’intestin irritable, colite spasmodique, côlon douloureux, colopathie fonctionnelle..

Que d’expressions pour désigner un seul et même mal: celui de l’intestin qui souffre !

Les huiles essentielles (HE) antidouleurs et antispasmodiques vous seront d’une grande aide.

ATTENTION !

Colopathie fonctionnelle signifie que la douleur au côlon n’a pas d’origine organique: l’intestin n’est pas malade à proprement parler, il est plutôt hypersensible, hyperréactif.

Les colopathies organiques et / ou infectieuses doivent être traitées différemment, avec d’autres huiles essentielles.

VOS HUILES ESSENTIELLES

L’estragon est l’huile essentielle antispasmodique par excellence. Il  » dénoue » les nerfs et les muscles, tout particulièrement ceux relatifs à la sphère intestinale. Du hoquet à la colite, pensez à lui pour lever les spasmes digestifs!!!

La menthe poivrée, grâce à sa double casquette « anti-douleur » et « spécialiste de la sphère digestive » , trouve naturellement sa place dans la formule de votre massage aromatique.

La marjolaine des prés (= à coquilles) est l’une des huiles essentielles les plus antistress, sinon la plus efficace de toutes. Surtout lorsque le stress se traduit par des douleurs physiques, comme dans la colopathie fonctionnelle. Vous pouvez éventuellement la remplacer par la camomille romaine.

Versez 2 gouttes de chaque huile essentielle (soit 6 gouttes en tout) dans une cuillère à café d’huile végétale, par exemple le macadamia, de calophylle ou de noisette.

VOTRE APPLICATION

Versez le mélange aromatique contenu dans la cuillère sur votre peau, au niveau de l’abdomen.

Puis massez doucement, lentement, tout le ventre dans le sens des aiguilles d’une montre.

Ne pensez à rien d’autre qu’à votre geste, apaisant. N’hésitez pas à effectuer plusieurs fois le même massage dans la journée, même sans huile essentielle. Le simple contact de la main chaude et le fait de prendre une pause d’une minute pour vous occuper de vous est, en soit, calmant.

CONSEILS

S Vous souffrez probablement d’alternance de diarrhées et de constipation. N’hésitez pas à adapter ou à alterner les massages aromatiques à chaque situation. Pensez notamment à l’HE de gingembre en cas de constipation. Pour la diarrhée, c’est plus compliqué car, en l’absence d’infection, aucune huile essentielle ne va ralentir votre transit « trop rapide ». En revanche, en traitant la colopathie elle-même, avec l’estragon, la menthe et la marjolaine, ce désagrément devrait être résolu.

u Etant donné qu’une colopathie fonctionnelle correspond d’avantage à un « état » qu’à un trouble temporaire, il est probable que vous gardiez cette sensibilité pendant de longues années, voire toute votre vie. Avec des périodes sans crises, parfois durant des mois, d’autres plus difficiles. En pratiquant régulièrement votre massage aromatique, surtout dans les moments tendus, vous espacerez notablement la fréquence des crises ainsi que leur violence. N’hésitez donc pas à investir dans les 3 petits flacons mentionnés: ils vous serviront toute l’année.

l Vous avez particulièrement besoin de calme, de sérénité, d’hygiène de vie rigoureuse . Et non aux repas pris n’importe comment à toute vitesse !

m Faites des cures de probiotiques adaptées: ces bactéries « amies » sont très efficaces contre la colopathie fonctionnelle, pour ne pas dire indispensables. En pharmacie (demandez la bonne « souche » : à chaque souche ses propriétés !).

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TABAC……

Posté par eurekasophie le 24 mars 2009

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tabac1.gifTABAC, les méthodes

Pour arrêter tabac001.gif

Responsable de plus de 66 0000 décès par an en France, le tabac pourrait tuer 8 millions

de personnes par an dans le monde d’ici 2030.

Malgré ces chiffres, le combat contre la cigarette n’est toujours pas gagné.

Il n’existe pas de méthode miracle, mais des solutions pour vous accompagner.

Pour choisir le traitement le mieux adapté, il faut avoir fait le point sur votre rapport au tabac. Remplissez pendant quelques jours votre tableau de consommation de cigarettes (sur le site www.tabac-info-service.fr) pour comprendre quelles situations vous amènent à fumer. Vous choisirez ensuite votre traitement en fonction de vos attentes et d’éventuelles contre-indications.

Les substituts nicotiniques

Ces médicaments, sous forme de patchs ou de forme orale (gommes, pastilles, inhaleur), se substituent, comme leur nom l’indique, à la nicotine. La nicotine des substituts, à la différence de celle de la cigarette, est distribuée de façon continue dans le corps et atteint le cerveau lentement, sans le shoot de la cigarette qui crée la dépendance et sans les fumées cancérigènes associées. Ce sont elles et les goudrons qui sont dangereux pour la santé.

La nicotine en substitut aide à fermer les récepteurs spécifiques qui entretiennent la dépendance, récepteurs ouverts et alimentés pendant des années de tabagisme.

Pour mieux évaluer la force de la substitution, on mesure sa dépendance grâce au test de Fagerström. L’heure de la première cigarette et le nombre de cigarettes fumées dans la journée sont des indicateurs précieux pour vous permettre de décrocher.

  • Vous désirez arrêter rapidement

Le patch est le plus pratique. Il est souvent associé aux formes orales de nicotine. Les gros fumeurs en mettent deux, voire trois, au plus fort dosage. On peut le garder 16 heures sur 24 ou bien 24 heures si l’envie de fumer débute dès le lever. Il délivre à doses continues la nicotine nécessaire pour éviter de souffrir du manque. On peut y ajouter une forme orale afin de ne pas succomber à une envie ponctuelle comme la cigarette après le repas ou au téléphone.

  • Vous désirez arrêter progressivement

Fixez-vous une date d’arrêt, dans les 6 semaines qui suivent, et supprimez, pendant les 3 premières semaines, les cigarettes les plus faciles. Quand le manque se fait sentir, mâchez des gommes, sucez un comprimé. Tout est bon à condition de choisir le dosage, le goût et la forme qui vous conviennent. Même programme les 3 semaines suivantes, mais vous éliminerez des cigarettes de plus en plus difficiles. Au bout de 6 semaines, la date fixée est arrivée. Si vous éprouvez toujours la sensation de manque, continuez à utiliser les substituts. Il n’existe pas de risque grave de surdosage. Si vous en prenez trop les signes sont les mêmes que lorsque vous avez beaucoup fumé: bouche pâteuse, nausées, maux de tête. Il n’existe pas de contre-indications à ce type de produits, même pour les femmes enceintes. Les semaines suivantes, vous devriez pouvoir diminuer les doses. Une diminution qui doit se faire en douceur, sans que vous ressentiez le manque de manière désagréable. Si c’est le cas, vous avez été trop vite, revenez à un dosage plus fort.

Arrêt sur ordonnance

Il existe deux médicaments sur prescription médicale. La dernière molécule mise sur le marché est la varénicline ( Champix). Ce n’est pas un produit de substitution puisqu’il ne délivre pas de nicotine. Il agit cependant sur les récepteurs nicotiniques du cerveau et réduit le besoin impérieux de fumer ainsi que le plaisir qui y est associé.

Les petits et gros  » coups de pouce « 

Pour venir à bout de la dépendance psychologique, il existe d’autres méthodes, même si elles n’ont pas prouvé individuellement leur efficacité sur la durée. Elles peuvent permettre d’améliorer les chances de succès.

Yoga, sophrologie, hypnose, thalassothérapie, tous les essais sont permis et les idées bienvenues sur le chemin semé d’embûches qui mènent à l’abstinence…..et à la liberté !

Les thérapies cognitives et comportementales pour modifier un système de pensée et une gestuelle (ne plus dégainer sa cigarette au premier stress) sont efficaces, à condition de se rapprocher d’un médecin formé à la technique. L’acupuncture est semble -t-il plus adaptée dans les cas de faible dépendance . L’homéopathie aide indirectement au sevrage en régulant l’irritabilité, les troubles du sommeil et l’anxiété. L’hypnose par suggestion ( la fumée est un poison, dont le corps doit se protéger) réduit l’envie de fumer, augmente le désir d’arrêter et mobilise les ressources inconscientes pour atteindre cet objectif.

Carnet d’adresses

  • www.tabac-info-service.fr      0 825 309 310 propose un catching pour vous accompagner au jour le jour, ainsi que des tests et des simulations.
  • tabac-net.aphp.fr       pour le test de Fagerström
  • www.quitterlacigarette.com        sur les idées reçues.
  • Le tabac en 200 questions, Dr Béatrice Le Maître, éditions DeVecchi

Mes chers lecteurs,

J’ai écrit cet article avec deux mots qui me venaient en tête: motivation et volonté.

Vous pouvez bien sûr vous arrêter de fumer avec des patchs et autres substituts dont je vous ai parlés, faire appel à des médecines douces comme l’acupuncture qui soit dit en passant à donner de très bons résultats sur un ami à moi.

Mais rien ne se fait, rien ne s’obtient sans une grande volonté.

SI VOUS VOULEZ VRAIMENT VOUS ARRETER DE FUMER , ALORS VOUS Y ARRIVEREZ.

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Le staphylocoque doré dans le nez

Posté par eurekasophie le 20 mars 2009

J’ai trouvé, en feuilletant une revue médicale le témoignage d’une personne atteinte du staphylocoque doré dans le nez. Je vous relate son récit ainsi que les conseils qui lui ont été donnés.

 » Il y a quelques années, j’avais dans la narine gauche une petite croûte qui ne cicatrisait jamais. Eventuellement, elle saignait si j’essayais de l’arracher. Après analyse, il s’est avéré qu’il s’agissait d’un staphylocoque doré. Il a disparu après une prise d’antibiotique de 8 jours. L’analyse suivante était négative. Un ou deux ans plus tard, une petite croûte est réapparue dans la même narine et au même endroit. Mon docteur a pensé que cela provenait sans doute d’une récente hospitalisation. J’aurais à nouveau contracté cette bactérie à l’hôpital. L’analyse bactérienne de juillet 2006 a confirmé la présence du staphylocoque doré, à nouveau. Devant ma réticence à prendre des antibiotiques oraux, mon médecin m’a prescrit de l’acide fusidique « Fusidine 2% de pommade « , mais celle-ci s’écoulait dans l’arrière gorge, ce qui n’était pas agréable. Donc, depuis presque deux ans, je garde cette bactérie dans ma narine puisque j’ai arrêté le traitement par pommade. Pourriez-vous m’indiquer un traitement autre que les antibiotiques ou est-il préférable de prendre ces derniers ?  »

Mme S. de l’Aveyron

Je vous conseille:

  • par voie nasale:

- 3 à 4 vaporisations quotidiennes de Quinton Original isotonique (en pharmacie ou magasin bio).

-Faire préparer en pharmacie la formule suivante, qui comprend 4 huiles essentielles (Bois de rose, Niaouli, Arbre à thé, Romarin à cinéole) diluées dans de l’huile d’amande douce:

HE Aniba rosaedora (0,3 ml ) + HE Melaleuca quiquenervia (0,3 ml ) + HE Melaleuca alternifolia (1 ml ) + HE Rosmarinus officinalis cineoliferum ( 0,3 ml) + HV Prunus amygdalis (ad 30 ml), dans un flacon compte-gouttes. 3 gouttes dans la narine 3 fois par jour.

Exiger l’emploi d’huiles essentielles de qualité, 100 % pures et naturelles, donc non modifiées, non « coupées », non « rectifiées » (dans le doute, demander le bulletin de contrôle du laboratoire fournisseur, qui attestera de la qualité des HE).

  • par voie orale:

- Prise d’oléocapsules HE Origan compact Pranarôm ( dans certains magasins bio ou sur internet). En traitement d’attaque: 2 capsules 3 fois par jour au cours des repas pendant 5 jours, pause de 2 jours, puis 1 capsule 2 fois par jour pendant 5 jours, soit 1 boîte complète. Produit à utiliser plus tard en entretien, 2 fois par an, afin de stimuler l’immunité, à raison d’1 capsule 2 fois par jour du lundi au vendredi pendant 3 à 4 semaines.

Pour garantir l’efficacité du traitement aromathérapique, impérativement associer voie nasale ET voie orale.

Et pour finir, une petite information sur l’infection au staphylocoque doré:

Les résultats d’un essai effectué auprès de 20 patients hospitalisés indiquent qu’un onguent nasal renfermant 4 % d’huile essentielle de melaleuca et un savon corporel en contenant 5 %  se sont révélés légèrement plus efficaces qu’un traitement classique ( mupirocine et triclosan) pour contrer une infection causée par une souche de staphycoloque doré résistante à la méticilline.

Didier Le Bail

 

MALADIES NOSOCOMIALES

 

Depuis une dizaine d’années, les établissements hospitaliers publics et privés français ont fait de gros efforts pour lutter contre les infections nosocomiales.Si le nombre de cas est pratiquement stable depuis 2001, le degré de gravité , lui, a sensiblement diminué. Ainsi, les statistiques montrent une baisse de 40 % de la prévalence des patients infectés par le redoutable staphylocoque doré. La France se situe dans la bonne moyenne des pays européens avec environ 5 % des personnes infectées (Suisse 7 % et Finlande 9 % ). Les infections des sites opératoires sont souvent les plus graves et c’est la raison pour laquelle les autorités sanitaires demandent aux établissements hospitaliers d’y apporter une attention particulière et les obligent désormais à mettre en place les procédures de sécurité de l’OMS . Cette liste de bonnes pratiques, testées en 2008 dans 8 pays, permet de réduire de 40 % la mortalité post-opératoire.

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QUAND LA NATURE DEVIENT REMEDE

Posté par eurekasophie le 17 mars 2009

 

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qfleurs.gifuand la nature devient remède

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sfleur.gifource de préoccupation majeure, la santé fait parler d’elle sur tous les fronts et de toutes les manières.

L’automédication est devenue courante, mais quel traitement employer sans se tromper ? A qui, a quoi peut-on se fier ?

Gage d’authenticité, la nature ne ment jamais.

Sur elle, nous pouvons compter.

pfleur.gifas de temps à perdre

Le monde a pris des habitudes de vitesse auprès desquelles la réflexion et la patience ne savent résister. Le stress gagne du terrain et les laboratoires pharmaceutiques s’enrichissent. Vite fait, bien fait (disent-ils), une pilule, une infiltration, et hop, le tour est joué. Les symptômes s’apaisent, mais la cause reste entière qui, sans être soignée jusqu’à l’éradiquer, reproduit ses méfaits. Nulle question de sous-estimer les évidents progrès des techniques médicales modernes, mais plutôt de mettre en évidence les comportements erronés qui confondent rapidité avec efficacité. Vouloir une bonne santé, constante et équilibrée, alors que l’on s’emploie à la détruire, est-ce bien se comporter ?

Si la fatigue devient récurrente, se gorger de café et de produits de synthèse pour soutenir l’énergie défaillante sans prendre la peine de se poser, comment faut-il nommer cela: ignorance, inconscience ou fatalité, lorsque les nerfs et le corps craquent pour de bon ?  Pas de temps à perdre, proclame la masse humaine dans un mouvement d’impatience. Les paroles de sagesse sont mises à mal par l’ensemble du monde d’aujourd’hui. Devant les revendications de bien-être s’éloignent les possibilités qui pourraient le réaliser, au bénéfice de l’illusion et de l’erreur. Plus facile d’utiliser un cachet que de chercher en soi la cause de ses problèmes, la reconnaître et l’accepter tout en lui donnant le remède approprié. Mais pour cela, il faut prendre un peu plus de temps et savoir qu’en agissant de cette manière, c’est du temps de gagné.

lfleur1.gif âme de la nature

Une nouvelle ère thérapeutique est cependant apparue au centre des armes chimiques que sont les vaccins et autres traitements de guerre de la santé. Porteuse de révélations, elle enseigne le retour au vrai, au pur, c’est-à-dire à l’origine. On peut dire qu’il n’existe pas de différence entre une fleur, un oiseau ou même, dans une certaine mesure, un être humain, si ce n’est la forme et son appellation: fleur–oiseau–homme. L’énergie qui les anime vibre à la fréquence qui les compose, mais leur corps contient les cinq éléments semblables. La terre pour la matière solide, l’eau pour les liquides, sang y compris, le feu pour la croissance, l’air pour les souffles physiques et énergétiques et l’espace pour les orifices externes et internes. Alors que les produits chimiques ont un impact sur l’aspect ordinaire des phénomènes, comme, par exemple, sur l’apparition des symptômes, les produits naturels agissent sur l’aspect subtil des corps par concordance vibratoire. Les principes homéopathiques en ont déjà révélé les secrets. L’intérêt porté à la santé se limite trop souvent à l’aspect primaire qu’est la manifestation physique. Pousser un peu plus loin l’investigation permet de remonter à l’origine, au départ du problème. La maladie est la conséquence d’une rupture avec l’harmonie de l’ensemble, dont l’essence est purement vibratoire. Pour éviter de se tromper sur les qualités de l’énergie ainsi variables, il est conseillé de s’en remettre à une étude dont les effets bénéfiques et réels ont pu être constatés. Si la nature est loin d’avoir livré tous ces secrets, lorsqu’elle devient thérapeute, elle offre au corps et à l’esprit souffrant le plus poétique et le plus subtil des remèdes: l’âme de ses fleurs. Leurs essences contenant d’infimes particules de substances physiques agissent sur le corps vibratoire lié aux désordres émotionnels tout autant que sur le corps physique.

lfleur1.gifes fleurs qui guérissent

La nature se soucie de son environnement, c’est pourquoi elle est si mal à l’aise dans le béton et les fumées industrielles. Sa vocation est en quelque sorte d’entourer et de protéger l’humanité. Peut-être est-ce pour cela qu’elle choisit d’influencer l’âme d’un certain docteur Bach, chirurgien et immunologiste. Passionné par l’homéopathie dont les remèdes à cette époque (1920) étaient réalisés sous forme d’élixirs alcooliques, Edward Bach abandonne un jour la médecine classique et ses recherches homéopathiques pour se consacrer à sa découverte sur les fleurs guérisseuses du mal-être. Fort de son expérience, il choisit les plantes en correspondance avec un état émotionnel particulier, employant la méthode la plus naturelle pour ses préparations, comme le séchage et l’exposition des produits au soleil. Son ambition est de s’adresser à la cause plutôt qu’aux symptômes. Dans le cadre de la psychologie des émotions, l’idée n’est pas de faire disparaître l’agressivité ou le découragement, mais de solliciter la part de l’esprit qui, face à la tempête, possède des ressources de calme et de forces stables. De ce fait, le terrain corps-esprit redevient paisible.

ifleur.gifl vous le dit avec des fleurs

 fleurs0.jpg

Il est un homme qui fait son chemin en totale complicité avec la nature. Il sait les secrets du ciel et de la terre, jardine avec la lune et compose des crèmes et des remèdes avec l’accord des plantes. Dans son dernier ouvrage, Paul Ferris, toujours un peu magicien, s’emploie à parler des fleurs. Celles-ci, conquises par la plume de son stylo enchanté, racontent avec amour, avec respect, l’existence de leur maître le docteur Bach, mais surtout livrent tout d’elles-mêmes sans hésiter. Et ce  » tout  » est, pour nous, une source de bien-être et de santé. Nous voici donc en possession d’explications claires et faciles à comprendre et à suivre. En bon génie, Paul Ferris décrit, page après page, les potions qui feront de vous, de nous, une personne bien dans sa peau. Trente-neuf fleurs du docteur Bach déclinées en remèdes purs, en composés floraux et autres élixirs, et même en cosmétiques. Il y en a pour tous les besoins, tous les goûts, et même pour les animaux.

Quand on parle des fleurs, on évoque la grâce: ce livre en est empli. Quelle merveille de découvrir les illustrations et comme les fleurs doivent être heureuses de voir éclater leur beauté par le talent tout en finesse de l’illustratrice Amélie Vuillon. Quelle que soit la saison, ce bel ouvrage saura accompagner la douceur ou la fièvre du temps qui passe.

livredepaulferris.jpg  

Pour plus de renseignements cliquez làflche1.gifhttp://www.aufeminin.com/bienetre/fleurs-de-bach-bien-etre-n27079.html

lfleur1.gife jardin d’Hélène

Cest un jardin extraordinaire, c’est-à-dire qu’il sort du contexte ordinaire de notre manière habituelle de le percevoir. Là, nulle question de favoriser la beauté mais, sans pour autant la négliger, la priorité est donnée au flux des énergies et à leurs interactions. Il s’agit d’un jardin feng shui.

Petit rappel:  » feng » veut dire vent et  » shui », eau. Entre ces courants d’air et de terre, c’est l’univers qui communique dans le micro-espace d’un jardin. Selon la sagesse ancestrale asiatique, l’homme, c’est-à-dire nous, est situé entre le ciel et le sol, tout comme les maisons et les lieux. A notre époque, le besoin de nature est devenu primordial. Puisque la connaissance d’un savoir ancestral peut nous être révélé par l’intermédiaire d’un authentique maître feng shui, pourquoi nous en priver. Hélène Weber est ce maître. En écoutant ses conseils éclairés, nous pouvons non seulement améliorer nos conditions de vie, mais aussi retrouver notre santé:  » Observez les quatre animaux célestes de votre jardin en vous plaçant sur le pas de votre porte. La tortue noire protège l’arrière de votre maison. Situés de part et d’autre, le dragon vert (à gauche) représente la prospérité et le tigre blanc ( à droite) la santé des habitants de la maison et leur bien-être. Le phénix rouge, quant à lui se place en face de vous. »

Dans un livre tout récemment paru, Hélène Weber explique les correspondances et expose comment aménager les animaux célestes dans votre maison. Par exemple, un mur bordé d’arbres situé à l’arrière de la maison forme une solide protection de la tortue.

« Tout ce qui a été construit par l’homme ne fait que transporter la qi, soit l’énergie de la terre. Par exemple, les routes, qui sont des rivières virtuelles, transportent les énergies, mais n’en émettent pas. Les cols des montagnes ont été percés pour laisser passer les trains,et les routes sont allées d’un point à un autre, le plus droit possible, véhiculant ainsi l’énergie de façon trop rapide et trop agressive. »

Mais revenons à nos jardins:  » Le travail du maître feng shui consiste à repenser le travail de l’homme pour qu’il s’harmonise le mieux possible à son environnement. » Entre dispositions, constructions et aménagements, l’eau et l’air circulent plus ou moins favorablement dans une action très puissante sur tout ce qui concerne les habitants des lieux. Acquérir un savoir et recueillir des conseils des avisés, tel est le but que ce sont fixé Hélène Weber et Marie-Anne Garcia Bour pour préserver la santé, la joie de vivre et la prospérité de leurs lecteurs .

http://www.fengshui-village.com/

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http://www.laprocure.com/livres/helene-weber/feng-shui-dans-votre-jardin-questions-reponses_9782844459381.html

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LA BEAUTE, BONNE POUR LA SANTE ?

Posté par eurekasophie le 15 mars 2009

beaute.gif

 

Prendre soin de sa peau, se maquiller, se coiffer…des gestes peut-être pas aussi futiles qu’on pourrait l’imaginer. En effet, on connaît de mieux en mieux les relations très étroites entre la peau et le système nerveux, entre la santé de l’épiderme et l’équilibre psychique.

Avec une conséquence logique: les cosmétiques contribuent à améliorer l’état de santé s’un malade, comme à préserver celui d’un bien portant.

lfleur.gif ’ Organisation Mondiale de la Santé ne définit plus la santé comme l’absence de maladie, mais comme « un état complet de bien-être physique, psychologique et social ». Une évolution qui souligne bien à quel point ces différents facteurs (qu’on peut regrouper sous les termes de « qualité de vie » ) sont complémentaires et interdépendants.

 

afleur21.gif peau malade, esprit souffrant…..et réciproquement !

Dans cette prise en compte globale de l’état de santé, la peau joue un rôle primordial. C’est d’abord l’organe le plus lourd (4 kg en moyenne) et le plus étendu de notre organisme, constituant une barrière naturelle qui le protège des agessions extérieures, tout en assurant les fonctions d’échange avec le monde qui nous entoure (perception sensorielle, thermorégulation, échanges métaboliques, image de soi renvoyée aux autres…).

La maladie cutanée aggrave la détresse psychologique

On se doutait déjà que le fait de ne pas avoir une jolie peau ne fait rien pour renforcer l’appréciation de soi, ni l’assurance dans ses relations avec les autres, surtout dans une société très axée sur l’image et l’apparence. On sait aujourd’hui que l’impact psychologique d’un défaut cutané est encore bien plus important que cela, et serait même, dans la grande majorité des cas, plus mal vécu que des maladies graves.

Selon une étude menée en Espagne, le stress touche plus fortement 88 %  des personnes atteintes de psoriasis, 39 % de celles atteintes de dermatite atopique. Les jeunes gens souffrant d’acné se révèlent également plus anxieux, voire dépressifs….un état qui s’estompe généralement après un traitement.

Les troubles psychologiques se voient sur la peau

A l’inverse, des facteurs émotionnels ou psychiques peuvent aussi se traduire par le déclenchement ou l’aggravation d’affections cutanées, favorisant leur fréquence ou leur importance.

Les effets du stress sont ainsi clairement impliqués dans le déclenchement des poussées d’acnée, ils se retrouvent dans 70 % des cas de dermite atopique, aggravent le psoriasis de 60 %  des personnes touchées. En clair, les uns entretiennent les autres. Par exemple, le stress aggrave la chute des cheveux, mais la chute des cheveux alimente le stress: un vrai cercle vicieux.

Les cosmétiques, médicaments de la peau et de l’âme

Face à ces imbrications des affections psychologiques et cutanées, les dermatologues savent depuis longtemps combien une prise en charge cosmétique constitue une démarche fondamentale dans le suivi et l’amélioration de l’état de leur patient. Les cosmétiques peuvent agir ainsi à plusieurs niveaux.

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Les traitements cosmétiques ciblés

Des crèmes efficaces peuvent évidemment contribuer à diminuer une acné, réduire les démangeaisons d’une dermite atopique, atténuer des rougeurs disgracieuses……soulageant ainsi la souffrance due aux troubles cutanés.

Le maquillage peut aussi intervenir en camouflage, avec le même effet observé sur l’appréciation de soi par les patients. Une équipe de chercheurs japonais a illustré l’impact de ce « traitement » sur des personnes présentant des taches pigmentaires. Un maquillage approprié a permis à leur groupe témoin de ressentir, en se voyantdans le miroir, un plaisir qui a provoqué une activation immunitaire mesurable, permettant la stimulation de leurs défenses naturelles….ce qui a favorisé le processus de réduction des taches !

Des crèmes peuvent évidemment contribuer à diminuer une acné, réduire les démangeaisons d’une dermite atopique, atténuer des rougeurs disgracieuses….soulageant ainsi la souffrance morale due aux troubles cutanés.

Le maquillage peut aussi intervenir en camouflage, avec le même effet observé sur l’appréciation de soi par les patients. Une équipe de chercheurs japonais a illustré l’impact de ce « traitement » sur des personnes des taches pigmentaires. Un maquillage approprié a permis à leur groupe de témoin de ressentir, en se voyant dans un miroir, un plaisir qui a provoqué une activation immunitaire mesurable, permettant la stimulation de leurs défenses naturelles…ce qui a favorisé le processus de réduction des taches !

Les accompagnements cosmétiques

Le plaisir ressenti à l’application d’un produit d’hygiène et de beauté, comme à la vue de son efficacité, est ainsi une donnée clé dans l’effet que peut produire un cosmétique sur la santé.

Une étude menée auprès d’un groupe de jeunes hommes en pleine santé a montré que l’utilisation quotidienne de trois produits parfumés ( une mousse à raser, un gel nettoyant et une crème hydratante) diminuait le sentiment d’ennui tout en augmentant la sensation de bien-être, de bonheur et de plaisir.

D’autres ont confirmé cet impact positif, comme celle réalisée sur 73 femmes atteintes d’affections cutanées sévères et qui a mis en évidence une amélioration de l’état général des patientes, évalué après deux, quatre et douze semaines. On ne parle plus là de bénéfices pour le trouble spécifique, mais bien d’effet sur la santé envisagée dans sa globalité.

Les cosmétiques à l’hôpital

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Les cosmétiques peuvent ainsi accompagner un traitement médical pour en potentialiser l’action grâce à l’amélioration de l’état psychologique du malade. C’est ainsi qu’ils sont entrés à l’hôpital grâce à l’association CEW (Cosmetic Executive Woman). Cette association regroupe des femmes exerçant dans les métiers de la beauté, elle crée et anime des centres de soins esthétiques en milieu hospitalier. Il en existe treize en France aujourd’hui, installés dans des centres de cancérologie, de traumatologie, de gérontologie, de dermatologie, de soins destinés aux adolescents….Ces centres rencontrent un accueil de plus en plus favorable, tant de la part des patients qui en bénéficient que des médecins des services où ils sont présents. Tous s’accordent à reconnaître leurs effets positifs sur létat des patients.

ffleur.gifaites-vous belle !

Conclusion ? Non, la beauté n’est pas si futile qu’on le dit, et passer du temps dans sa salle de bain, chaque matin, pour se plaire dans le miroir n’est pas vain, mais constitue plutôt un bon réflexe pour entretenir et préserver sa santé.

Alors, soignez votre peau, entretenez vos cheveux, maquillez-vous si vous en avez envie, faites-vous plaisir en utilisant quotidiennement vos produits préférés et ….aimez-vous : vous aurez plus de chance de vivre gai et en bonne santé !

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DANS VOTRE TASSE …..

Posté par eurekasophie le 7 mars 2009

phytotherapieplantesmedicinales.jpgEN CAS D’ACNEnourriture8.gif

Eh oui, le printemps arrive, les bourgeons font leur apparition, les premières pousses pointent leur nez, la végétation sort de sa torpeur.

Et vous aussi, vous voyez apparaître sur votre visage ou votre dos une recrudescence de boutons et points noirs.

Le printemps touche tous les organismes.

Il est temps de faire une petite cure dépurative afin de chasser cet afflux de toxines. Vous pouvez également traiter par action locale si les méfaits sont déjà visibles.

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LA PENSEE SAUVAGE

Viola tricolor

Plus besoin de présenter la violette, une de nos meilleures plantes dépuratives. Utile pour toutes les maladies de la peau, elle peut être employée aussi bien en usage interne qu’en usage externe.

bouton0051.gifINFUSION: versez dans 1 litre d’eau frémissante 50 g d’achillée mille-feuilles, 50 g de feuilles de romarin, 50 g de fleurs de pensée sauvage, 50 g d’écorce de réglisse et 30 g de fleurs de pissenlit. Portez à ébullition, retirez du feu, couvrez et laissez reposer 15 à 20 minutes. Filtrez et buvez le liquide obtenu dans la journée, en l’agrémentant de miel parfumé.

bouton0051.gifINFUSION , en cas de furoncles: préparez un mélange à parts égales de pensée sauvage, de pissenlit, de pâquerette, d’écorce de bouleau, de fumeterre, de centaurée et de douce-amère. Dans un quart de litre d’eau bouillante, incorporez une cuillerée à soupe du mélange et laissez infuser 15 à 30 minutes en n’oubliant pas de couvrir. Filtrez et buvez une tasse le matin à jeun et une autre le soir avant de vous coucher.

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LA FUMETERRE

Fumaria officinalis

Petite plante des terrains cultivés, elle se caractérise par ses feuilles glauques très découpées, et ses minuscules fleurs rosées. Olivier de Serres, en 1600 , en parle en ces termes : » Elle désopile le foye et nettoie les humeurs adustes« . Idéale donc pour désintoxiquer. A faire en cure d’une semaine.

bouton0051.gifINFUSION: sur 30 g de plante entière, versez 1 litre d’eau bouillante. Couvrez et laissez infuser une quinzaine de minutes. Filtrez et buvez une tasse avant chaque repas, en la parfumant avec du miel, afin de lui ôter son goût amer.

bouton0051.gifINFUSION plus complexe: prenez 5 g d’écorce de réglisseainsi que 5 g de semences de fenouil, 10 g de fumeterre, 10 g de pensée sauvage, 10 g de centaurée, 10 g d’écorce de noyer et 20 g d’hépatique des fontaines. Versez dessus un litre d’eau bouillante, couvrez et laissez infuser 15 minutes. Filtrez, sucrez et buvez la quantité obtenue au cours de la journée, de préférence en dehors des repas.

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LA BARDANE

Arctium lappa

Commune des lieux incultes, la bardane fait la joie des enfants qui utilisent ses capitules de fleurs pourpres, entièrement crochus, pour les jeter sur les vêtements et dans les cheveux de leurs camarades qui auront le plus grand mal à s’en débarrasser. Au XV ème siècle, elle est réputée car elle avait soigner le roi Henri III d’une maladie de la peau. Elle contient des polyacétylènes agissant comme un antibiotique, efficace contre le staphylocoque, les furoncles, l’acné…..

bouton0051.gifDECOCTION: faites bouillir dans un litre d’eau, pendant 10 minutes, 50 g de racines préalablement découpées. Couvrez, filtrez et buvez trois tasses par jour. Cure d’une dizaine de jours.

bouton0051.gifINFUSION dépurative: dans un litre d’eau frémissante, incorporez une cuillerée à soupe d’écorce séchée de citron, une cuillerée à soupe de fleurs de lavande, une cuillerée à soupe d’orties et deux cuillerées à café de racine séchée de bardane. Portez le tout à ébullition et arrêtez au premier bouillon. Couvrez, laissez infuser 10 minutes puis filtrez. Buvez trois tasses par jour pendant une semaine.

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SUR VOTRE VISAGE

Posté par eurekasophie le 7 mars 2009

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bouton0052.gifINFUSION à usage externe: mélangez en quantité égale de la bardane, de la scabieuse et de la pensée sauvage. Dans un litre d’eau, versez 30 g du mélange et portez à ébullition. Dès les premiers bouillons, arrêtez votre feu et laissez infuser 10 minutes. Filtrez en exprimant bien et appliquez plusieurs fois par jour sur les parties atteintes.

bouton0052.gifDECOCTION à usage externe: incorporez 200 g de racines dans un litre d’eau froide. Portez à ébullition et laissez mijoter 15 minutes. Filtrez et appliquez matin et soir sur la peau.

phytotherapieplantesmedicinales.jpgET ENCORE : phytotherapieplantesmedicinales.jpg

bouton0052.gifEAU ASTRINGENTE : dans 1/2 litre d’eau froide, versez 2 cuillerées à soupe de pétales de rose rouge et 1 cuillerée à soupe de prêle. Portez à ébullition et laissez mijoter une dizaine de minutes. Filtrez et utilisez cette lotion deux fois par jour sur une peau propre.

bouton0052.gifLOTION ASTRINGENTE: laissez infuser pendant 10 minutes une poignée de thym et une poignée de romarin dans un litre d’eau bouillante. Couvrez, filtrez et appliquez sur les zones infectées.

bouton0052.gifVINAIGRE DES QUATRE VOLEURS : ce vinaigre antiseptique apparut à Toulouse lors de l’épidémie de peste qui ravagea le pays de 1628 à 1631. En 1748, le Codex officialisa la préparation en l’améliorant. Il est surtout utile pour tous les boutons et points noirs apparaissant sur le torse et le dos, son odeur un peu « forte » pouvant déranger certaines personnes lors d’une application sur le visage.

Dans un pot en terre, incorporez 500 g de vinaigre de vin à 10 g d’absinthe, 10 g de romarin, 10 g de sauge, 10 g de menthe, 10 g de lavande et 10 g de thym. Toutes les plantes doivent être sèches et réduites en poudre. Ajoutez 3 clous de girofle, 3 gousses d’ail préalablement écrasées, 1 bâton de cannelle, une cuillerée à café de noix de muscade et une cuillerée à soupe d’iris en poudre. Fermez votre récipient et laissez reposer 15 jours, si possible au soleil, derrière une vitre par exemple. Filtrez, ajoutez 2 g de camphre dissous dans 16 g d’acide acétique, mélangez et conservez la mixture dans de petites bouteilles en verre opaque. Appliquez matin et soir, vous devriez voir les effets positifs rapidement.

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Recommandations

bouton0052.gifLes dosages sont prévus pour des adultes ou des enfants de plus de 12 ans. De 7 à 12 ans, divisez les doses par deux.

bouton0052.gifLes femmes enceintes doivent faire preuve de prudence, surtout dans les trois premiers mois. Il vaut mieux consulter son médecin.

bouton0052.gifNe jamais dépasser les doses prescrites, ni la durée d’une cure de 21 jours( certaines plantes doivent être prises sur un temps très court).

bouton0052.gifSi vous prenez un traitement médicamenteux, demandez conseil à votre médecin (risque d’interaction).

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EN SURFANT SUR LE NET…..

Posté par eurekasophie le 6 mars 2009

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  J’ai trouvé cet article ….

Calcaire de poule : efficace aussi contre les angoisses

Truc envoyé par Marie-Claire L. de Livry-Gargan «Je connaissais le calcaire de poule pour lutter contre l’ostéoporose, mais, dernièrement, alors que j’ai vécu une période difficile, avec des angoisses, une amie m’a conseillé de prendre ce remède : vous lavez bien un œuf (bio de préférence et en effaçant la date de ponte au tampon jex), vous le mettez dans un petit verre et vous couvrez de jus de citron. Vous laissez ainsi toute la nuit. Le matin, vous retirez l’œuf délicatement (car sa coquille est devenue fragile) et vous buvez le jus blanchâtre, en remuant bien avant. J’ai fait ça pendant une semaine et mes angoisses se sont envolées. Ça vaut la peine d’essayer.»

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