J’APPRENDS A RESPIRER……..

Posté par eurekasophie le 15 juillet 2010

 

 

Coup de stress, émotivité, fatigue et surmenage autant de petit tracas que nous pouvons maîtriser en apprenant à respirer correctement. Démonstration !!

 

 

Le saviez-vous ? Nous effectuons en moyenne 15 000 respirations par jour……

 

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Saviez-vous que nous ne respirons pas, dans la plupart des cas, correctement ? En effet, nous n’utilisons en général que la partie haute de notre poitrine sans gonfler totalement l’abdomen. Pourtant nous aurions tout à gagner à respirer pleinement ! La respiration est directement liée à nos émotions. Une bonne respiration permet tout d’abord de connecter son corps et son esprit. L’inspiration et l’expiration nous relient au monde qui nous entoure et nous apprennent à donner et à recevoir. Rien de tel pour lâcher prise sur des sentiments négatifs que nous pouvons ressentir ( jalousie, colère, peur……) Bien respirer permet également une meilleure élimination des toxines. A la clé : plus d’énergie et un tonus resistant à toute épreuve. Sans oublier les autres bienfaits sur l’organisme : défenses immunitaires renforcées, rythme cardiaque régulé….Préparé pour vous une série  d’exercices à pratiquer selon la contrariété rencontré. A vous de l’appliquer au bon moment…..quelques minutes par jour suffisent.

 

APNÉE INCONSCIENTE 

Saviez-vous que dans une journée, il nous arrive de réaliser des pauses respiratoires sans même nous en rendre compte.

Bien souvent l’apnée se produit lors d’activité intense. Observez-vous !

 

EXERCICE 1 : LA RESPIRATION COMPLÈTE 

Votre corps et votre esprit retrouvent calme et détente en quelques minutes. Nous avons tendance en respirant à négliger l’expiration. Pour y remédier placez-vous en position assise, le dos bien droit puis inspirez et expirez par le nez en prolongeant le plus possible l’expiration. Puis allongez-vous à même le sol, fermez les yeux et concentrez-vous uniquement sur votre respiration lente et régulière. Amusez-vous à suivre le trajet de l’air entrant par votre nez jusqu’aux poumons puis en sens inverse quand il ressort. Profitez-en pour observer votre ventre qui se gonfle mais aussi vos côtes, votre cage thoracique….

EXERCICE 2 : CHASSER LA DOULEUR

Un exercice très simple à réaliser juste après avoir pratiqué la respiration complète. Toujours allongée sur le dos, respirez lentement. S’il s’agit d’une douleur physique, après une expiration, inspirez en envoyant votre respiration chaude dans la zone douloureuse. Puis chassez la douleur par l’expiration. Recommencez plusieurs fois l’opération. N’hésitez pas à bien visualiser votre douleur lorsque vous l’explusez de votre organisme. Et pour la douleur morale ? C’est le même principe: visualisez à l’inspiration le monde positif qui entre en vous puis expirez votre sentiment négatif qui vous tracasse et renvoyez-le dans le reste de l’univers.

 

EXERCICE 3 : RÉVEIL EN PLEINE FORME 

Idéal au saut du lit pour bien attaquer la journée. Placez-vous à quatre pattes, puis inspirez par le nez en gonflant le ventre tout en creusant le dos et en levant le menton. Expirez ensuite en courbant le dos et en levant le menton. Hyper oxygénés votre corps et votre esprit sont prêts pour affronter la journée. Vous pouvez également réaliser cet exercice le soir avant de vous mettre au lit mais cette fois-ci dans des mouvements plus lents.

 EXERCICE 4 : UN ESPRIT CLAIR

La cadence au travail va trop vite ? Pour retrouver tous ses esprits il suffit de réaliser une pause respiratoire. Assise à votre bureau ou bien plus discrètement aux toilettes inspirez sur 4 secondes, bloquez votre respiration durant 4 secondes puis expirez longuement. A faire au moins cinq fois et le plus souvent possible dans la journée.

EXERCICE 5 : DÉTENTE ABSOLUE !

 Asseyez-vous sur une chaise, le dos bien droit, les pieds bien à plat au sol, les mains posées sur les cuisses et les doigts légèrement écartés. Fixez un point devant vous. Inspirez et expirez rapidement plus complètez par une expiration plus lente et complète. Profitez-en pour visualiser ( comme un scanner ) tout votre corps des pieds à la tête, le plus lentement possible.

EXERCICE 6 : LE PLEIN D’ÉNERGIE

Puisez dans les énergies du ciel et de la terre. Pour y arriver, allongez-vous sur le dos, les bras et les jambes largement écartés. Paumes des mains vers le ciel, les pieds détendus et légèrement positionnés vers l’extérieur. Fermez les yeux et visualisez tout votre corps , de la pointe des orteils jusqu’au sommet du crâne tout en conservant une respiration lente, régulière, profonde par le nez. Sentez votre ventre se gonfler puis se dégonfler, l’air froid rentrer dans vos narines puis ressortir tout chaud toujours par le nez. Imaginez une boule rouge sous votre corps remonter du centre de la terre. Tout en continuant votre respiration voyez cette boule s’approcher de vous. Puis imaginez une autre boule lumineuse mais cette fois ci venant du ciel, juste au-dessus de vous. Elle s’approche également de vous pour vous remplir de toute son énergie.

EXERCICE 7 : AU TOP AU TRAVAIL

Grâce à un exercice qui vous aide à mieux gérer votre stress et à gagner en efficacité. Assise face à votre bureau, expirez sur 5 secondes par le nez. Les pieds sont bien à plat au sol, les mains contre le rebord de la table, poussez bien le dos contre le dossier en vous aidant des mains appuyées contre le bureau, puis faites basculer le bassin vers l’avant tout en essayant d’amener votre nombril vers votre colonne vertébrale. Inspirez ensuite 3 secondes par le nez profondément, détendez les abdominaux et videz les poumons. Abaissez la cage thoracique et posez vos mains sur les cuisses, relâchez tout et respirez calmement plusieurs fois.

EXERCICE 8 : LA MARCHE RAPIDE 

Elle demande un effort modéré mais constant. Idéal pour se relaxer et apporter un bol d’air frais à ses poumons. La cadence est soutenue et régulière environ deux pas par seconde. Soyez le plus souple et détendue possible durant la marche. Calez votre respiration sur vos pas, soit 6 pas pour inspirer et six pour expirer. Arrêtez-vous quand vous le voulez, étirez-vous, détendez-vous et baillez !

EXERCICE 9 :   UN COUP DE VITALITÉ

Debout les jambes légèrement écartées, placez les bras le long du corps. Commencez par expirer profondément tout en tendant les bras en avant sans les crisper. Fermez les poings en fléchissant les coudes et en ramenant les poings vers les épaules. Expirez pour relâcher les muscles. A faire 10 fois de suite.

 

ATTENTION À L’HYPERVENTILATION ! 

 

Vous risquez lors de la pratique de ces exercices d’éprouver des étourdissements. Rien de grave.

Ils traduisent simplement un apport d’oxygène important. 

Asseyez-vous et détendez-vous. Le phénomène s’estompe tout seul en quelques minutes.

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IL SAIT TOUT FAIRE……………..

Posté par eurekasophie le 29 juin 2010

 

 

LE BICARBONATE DE SOUDE !!!

 

 

Vieux comme le monde ou presque, très bon marché et non polluant,

 

le bicarbonate de soude n’a l’air de rien et, pourtant, il nous rend tellement

 

de services qu’il mérite une place de choix, tant dans notre cuisine que dans notre pharmacie.

 

 

Redécouvrons-le.

 

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Ancêtre du bicarbonate de soude, le bicarbonate de calcium était déjà utilisé dans l’Egypte ancienne, mais sa forme actuelle est née il y a 150 ans.

Deux boulangers new-yorkais avaient en effet découvert que le bicarbonate de calcium agissait comme de la levure. Ils le raffinèrent et obtinrent alors le bicarbonate de soude comme nous le connaissons aujourd’hui. Quelques années plus tard, Ernest Solvay créa la première usine de production de bicarbonate de soude.

Aujourd’hui, cette poudre blanche n’a pas pris une ride et on lui découvre même de plus en plus de vertus. Celles-ci sont si nombreuses, que ce soit pour l’hygiène, la cuisine, le jardin ou la santé, qu’une encyclopédie pourrait lui être dédiée.

 

Alors, qu’est-ce que le bicarbonate de soude peut faire pour nous ? 

 

 

Pour une digestion aisée 

 

Le bicarbonate est un sel alcalin. Il est donc un excellent anti-acide. En cas de brûlures d’estomac, de remontées acides ou encore de digestion difficile, buvez lentement un verre d’eau froide dans lequel vous aurez dilué une cuillère à café de bicarbonate de soude. Ce dernier, additionné à l’eau de cuisson, peut également faciliter la digestion d’aliments comme les lentilles, le chou ou le cassoulet du dimanche. L’eau additionnée de bicarbonate de soude facilite également le transit intestinal et calme les nausées.

 

Pour une bouche saine

 

Pour protéger vos gencives, faites des bains de bouche avec une solution composée d’un peu d’eau, d’eau oxygénée et une cuillerée à café de bicarbonate de soude.

 

Vous souffrez d’aphtes ? Le bicarbonate de soude peut vous soulager. Il vous suffit de préparer une pâte avec du bicarbonate de soude et un peu d’eau, et de l’appliquer sur l’aphte. La même formule peut être utilisée contre les boutons de fièvre si vous l’utilisez dès que vous sentez apparaître le bouton.

Si votre bébé à la bouche irritée, avant chaque tétée, diluez une cuillerée de bicarbonate de soude dans un verre d’eau tiède et badigeonnez-en vos seins. Cela suffira à calmer les inflammations.

Le bicarbonate de soude neutralise les acides, notamment dans la bouche où ceux-ci attaquent l’émail dentaire.

Pour assainir la bouche, vous pouvez donc effectuer des bains de bouche au bicarbonate de soude à raison d’une cuillerée à café dans un verre d’eau tiède.

Utilisé quotidiennement après le brossage, ce bain de bouche est un moyen simple de prévenir l’apparition de caries et de combattre la plaque dentaire.

La même formule, cette fois en gargarisme, peut également vous aider à combattre la mauvaise haleine.

A la place du dentifrice, une fois par semaine par exemple, le bicarbonate de soude extra-fin gardera vos dents propres et blanches.

 

 

 

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Petits bobos

 

Vous vous êtes entaillé le doigt ? désinfectez-le en le trempant dans un verre d’eau très chaude à laquelle vous aurez ajouté une cuillerée à soupe de bicarbonate de soude. Prolongez ce bain jusqu’à ce que l’eau ait refroidi.

Si vous avez les yeux irrités, faites des compresses oculaires avec une solution composée d’une cuillerée à café de bicarbonate de soude diluée dans une tasse d’eau chaude.

Vous avez pris froid ?  Faites une inhalation au bicarbonate de soude. Dans un litre d’eau bouillante, diluez 2 cuillerées à soupe de bicarbonate de soude.Placez une serviette sur la tête et procédez comme pour une inhalation classique. Vous pouvez aussi y ajouter quelques gouttes d’huile essentielle d’Eucalyptus radiata ou du niaouli.

Des gargarismes avec 1 cuillerée à café de bicarbonate de soude dilué dans l’eau froide apaiseront, quant à eux, votre mal de gorge.

En cas de cystites récidivantes, buvez régulièrement un verre d’eau froide additionné d’une cuillerée à café de bicarbonate de soude. Cela vous aidera à lutter contre l’acidification de l’organisme, terrain favorable aux cystites.

 

Dans notre intimité  

Si  vous avez des mycoses anales, prenez un bain de siège dans un litre d’eau additionnée d’une à deux cuilleréesà soupe de bicarbonate de soude.

Ce bain de siège est également recommandé pour des irritations ou brûlures des parties intimes.

Pour éviter les candidoses et mycoses vaginales, faites votre toilette intime et / ou des lavages vaginaux avec la même recette que pour le bain de siège ci-dessus.

Pour éviter les odeurs intimes, une pincée de bicarbonate de soude dans le slip fait merveille.

 

 

Le pied léger

 

Quand vos pieds ont été malmenés, redonnez-leur vie dans un bain de pieds au bicarbonate de soude.

 Ce traitement lutte également contre les odeurs désagréables, les démangeaisons, les mycoses et les callosités. Vous pouvez aussi assouplir ces dernières en y appliquant une pâte faite de bicarbonate de soude et d’eau. En cas d’odeur dans les chaussures, vous pouvez également y saupoudrer un peu de bicarbonate.

Pour avoir des pieds de bébé, pensez aussi au gommage. Mais pas besoin d’investir dans un gommage du commerce. Une pâte faite de bicarbonate de soude et d’eau est tout aussi efficace. Ce peeling est, par ailleurs, très efficace aussi pour le visage. Mélangez 3 cuillerées à soupe de bicarbonate de soude avec 1 cuillerée à soupe de lait et massez doucement en mouvements circulaires.

 

Pour une peau de pêche 

 

Si vous avez abusé du soleil, trempez-vous dans un bain auquel vous aurez ajouté 4 à 5 cuillerées à soupe de bicarbonate de soude ou faites-vous des compresses que vous renouvellerez régulièrement. Ce traitement convient également pour soulager les piqûres d’insectes.

Un peu de bicarbonate de soude dans l’eau du bain calme les irritations de la peau des bébés.

Une pâte faite avec 3 cuillerées à soupe de bicarbonate de soude et une cuillerée à soupe d’eau, et que vous laissez agir 20 minutes, fait merveille pour calmer les brûlures légères et les démangeaisons, mais aussi pour calmer l‘eczéma. Une pâte de ce type, collée avec un pansement, fait également disparaître les verrues superficielles.

Un peu de bicarbonate, dissous dans l’eau, calme efficacement le feu du rasoir.

Vous êtes à court de savon, humidifiez vos mains et frottez-les avec du bicarbonate de soude. Rincez et le tour est joué.

 Quelques cuillerées à soupe de bicarbonate de soude dans de l’eau à laquelle vous aurez ajout quelques rondelles de citron, nettoient et assouplissent vos ongles et les préparent à la manucure. Pour les nettoyer et les blanchir, vous pouvez aussi les brosser avec du bicarbonate de soude. Ongles bien blancs garantis !

A la place du déodorant, mettez une pincée de bicarbonate de soude sous les aisselles. C’est très efficace, sans avoir la toxicité des déodorants du commerce qui, bien souvent, contiennent de l’aluminium.

Si vous avez la peau sèche, adoucissez-la en ajoutant 5 à 6 cuillerées à soupe de bicarbonate de soude à l’eau du bain. Ce bain vous évitera également les courbatures après le sport.

 

 

 

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 Le bicarbonate de soude n’a pas fini de vous étonner. Alors, si ce n’est pas encore fait, filez chez votre pharmacien ou à la droguerie la plus proche pour vous procurer cette poudre blanche qui vous épargnera bien des soucis et  beaucoup d’argent. 

 

 

 

 

 

 



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AMATEURS DE FOOT, VOICI ……

Posté par eurekasophie le 21 juin 2010

 

 

DES IDÉES DE PLATEAUX TÉLÉ BONS POUR LA SANTÉ

 

 

 

Des soirées foot en perspective? Un plateau télé, c’est sûr, c’est sympa !

 

 

Sauf que, le plus souvent, cela tourne vite au n’importe quoi diététique.

 

 Quelques idées pour se faire plaisir quand même en mangeant équilibré.

 

 

 

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Manger devant la télé? La hantise des nutritionnistes et des disciples du  » bien manger  » !!

Captivé par le petit écran, le cerveau ne fait plus attention à la quantité de nourriture avalée et en oublie même les signaux de satiété. En plus, on a tendance à manger avec les doigt, et à  » engloutir « . Se concentrer sur une fourchette et un couteau, ce serait le risque de rater un but au foot ou une scène cruciale de sa série préférée !

 

De quoi picorer mais aussi être rassasié !

 

 » Si vous y tenez vraiment, souligne Virginie Balès -diététicienne et micronutritionniste à Paris- , une solution consiste à associer des petites brochettes verrines ou sandwichs à manger avec les doigts, et un plat dans un assiette, pour envoyer au cerveau un signal de rassasiement.  »

Vous avez vraiment envie de rajouter des amuse-gueules ? Pas de sentiments, proscrivez cacahuètes et biscuits salés et adoptezles tomates cerises et les mini-bretzels (4 g de lipides contre 30 à 40 g pour des biscuits salés ).

Enfin, déjouer le piège de la coupure pub, qui arrive traîtreusement pile au moment où on vient de terminer son plateau. Au lieu d’aller faire un plein dans le réfrigérateur, lavez-vous les dents : le goût mentholé coupe illico toute envie de se resservir. Beaucoup mieux pour les fesses qu’un esquimau chocolat-amandes, non ? 

 

Le plateau cocooning

- Potage à la courgette 

-Oeuf cocotte à la ciboulette + mouillettes de pain aux céréales

- Salade de haricots verts au magret fumé et cerneaux de noix

- Des fraises

- 2 carrés de chocolat noir

Le plateau grec 

-Soupe glacée de tomates

-Salade grecque ( concombre, tomates, poivrons, oignons, olives noires, feta, huile d’olive ).

- Pain pita 

-Ramequin tzatziki ( concombre au yaourt ) ou de ( poivrons rouges au fromage blanc ).

- Une pêche.

Le plateau nordique 

- Salade de mâche, pommes vapeur, saumon fumé

- Fromage frais à l’aneth ( type St-Môret )

- blinis ou pain noir ( pumpernickel )

- Cornichons mollossol ( à la russe )

- Compote de pommes à la cannelle.

Le plateau sucré-salé 

-Mini brochettes de cubes de melon et billes de mozzarella

- Salade verte, tomates cerises, sauce balsamique

-Wraps au poulet ( salade verte, carottes rapées, blanc de poulet, sauce curry, raisins secs )

-Compotée de mangues ( surgelées coupées en dés et cuites avec du sucre vanillé.

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INFECTIONS URINAIRES : VOS HUILES ESSENTIELLES

Posté par eurekasophie le 11 juin 2010

 

 

LA CYSTITE EST LA PLUS CONNUE, MAIS D’AUTRES INFECTIONS PEUVENT S’EN PRENDRE

 

À NOTRE SYSTÈME URINAIRE.

 

CERTAINES HUILES ESSENTIELLES, AUX PROPRIÉTÉS ANTIBACTÉRIENNES SPÉCIFIQUES,

 

SONT REMARQUABLEMENT EFFICACES POUR LES SOIGNER .

 

 

 

VOS HUILES ESSENTIELLES………………

 

LE SANTAL 

 

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C’est l’huile essentielle anti-infection urinaire parfaite à appliquer sur la peau. Elle décongestionne rapidement le petit bassin. Quel soulagement !  On peut l’utiliser pure sans risque, à raison de 2 gouttes par application. Cependant, si vous avez la peau sensible, mélangez 3 gouttes de santal à 3 gouttes d’huile végétal pour votre massage.

 

LA SARRIETTE

 

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Extrêmement anti-infectieuse, notamment contre les affections urinaires ( cystite pour les femmes, urétrite ou inflammation de la prostate pour les hommes) , elle est également anti-candidose. Or la candidose est souvent impliquée dans les infections urinaires à répétition. Une fois n’est pas coutume, nous ajoutons donc une huile essentielle à prendre par voie orale. En effet, le santal est efficace en massages, mais pour venir à bout des bactéries urinaires, l’usage de la sarriette par voie interne est indispensable.

Versez 1 goutte de sarriette dans une c. à c. d’huile d’olive et avalez 4 fois par jour, pendant 5 jours. Si les douleurs ne cèdent pas très rapidement, vous devrez rajouter des capsules d’origan, huile essentielle puissamment antibiotique ( en pharmacie ).

 

VOTRE MASSAGE

 

Massez 5 fois par jour le bas ventre avec 2 gouttes pures de santal ( ou avec votre mélange santal + huile végétale ) , pendant 5 jours.

 

CONSEILS 

  Buvez de grande quantités d’eau, en alternant avec des infusions de busserole et de queues de cerise, au moins 2 litres par jour : il faut laver, éliminer les germes dutractus urinaire. Plus vous urinez, plus vous évacuez de germes.

 

Si vous êtes sujette aux cystites à répétition, vous pouvez boire chaque jour un grand verre de jus de cranberry. Attention : achetez-le en boutique diététique, le moins sucré possible.

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LES GANGLIONS…..

Posté par eurekasophie le 10 juin 2010

 

 

……UN SIGNAL D’ALERTE

 

Une petite boule devant le cou, une douleur dans l’aine

ou encore un gonflement dans le creux de l’aisselle ……..

 

Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit     A la palpation, le médecin peut suspecter l’existence d’une adénopathie, autrement dit d’un ganglion hypertrophié. EST-CE GRAVE? FAUT-IL FAIRE DES EXAMENS ? Et comment le faire disparaître ?

On a tous vu au moins une fois un médecin palper notre cou, nos aisselles ou encore les aines à la recherche de ganglions hypertrophiés, qui deviennent alors palpables ( ils ne le sont pas à l’état  » normal  » ) , traduisent l’existence d’une infection de voisinage et donc la capacité de l’organisme à se défendre.

Mais parfois, le ganglion, prend une valeur plus inquiétante et vient signaler l’existence d’une pathologie plus grave. D’où l’intérêt de ne pas le négliger.

L’apparition de ganglions, à plus forte raison en nombre, doit être considérée comme un signal d’alerte.

PETIT RAPPEL

 

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Impossible d’évoquer les ganglions sans évoquer la lymphe, ce liquide blanc épais issu de la filtration du plasma sanguin à travers les vaisseaux capillaires

et constitué de protéines, de lymphocytes T et de graisses alimentaires.

La lymphe emprunte un réseau de vaisseaux qui lui sont dédiés, les vaisseaux lymphatiques superficiels et profonds situés à côté des veines, et parcourt l’ensemble du corps.

Les ganglions sont des sortes de capsules traversées par la lymphe, qui va récupérer au passage des lymphocytes T . On en compte une centaine. Lors de son passage dans l’organisme, la lymphe est susceptible de transporter de nombreux éléments: germes, bactéries surtout, mais aussi cellules cancéreuses, autant d’éléments qui peuvent « contaminer » les ganglions.

 

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INFECTION SURTOUT……

 

La lymphe peut transporter des bactéries et s’infecter à son tour. C’est la lymphangite qui se manifeste par un lacet rouge, chaud et douloureux juste sous la peau. Mais la nature a bien fait les choses: du fait de son rôle de filtre/barrière, le ganglion, riche en lymphocytes T , les cellules de l’immunité, est traversé par la lymphe. Les lymphocytes T traitent alors le problème en fabriquant les anticorps adéquats et jugulent l’infection. Mais il arrive parfois que l’infection dépasse les capacités de défense du ganglion. Résultat, le ganglion s’enflamme et gonfle, devient douloureux et parfois purulent. Tout rentre dans l’ordre quand l’infection est maîtrisée. Selon la localisation de l’adénopathie, on peut aisément retrouver l’infection responsable.

♣  Adénopathie sous la mâchoire ( sous maxillaire), habituelle chez l’enfant ( stimulations immunitaires répétées), ou derrière l’oreille ( rétro-auriculaire) : infection ORL ( angine, amygdalite, otite…) , buccale ( gingivite, aphtes….) ou dentaire ( abcès ) .

  Adénopathie derrière le cou ( cervicale ) : infection du cuir chevelu .

♣  Adénopathie de l’aisselle (axillaire ) : plaie du membre supérieur ( main, bras, avant-bras..) , morsure ou griffure ( maladie des griffes du chat)

♣   Adénopathie du coude à la face interne du bras ( épitrochléenne ) : plaie.

   Adénopathie de l’aine ( inguinale ) : plaie du membre inférieur ( pied et jambe surtout ).

   Adénopathie diffuse : infection généralisée ( toxoplasmose, rubéole, mononucléose infectieuse, sida ) , lupus, hypersensibilité médicamenteuse.

  Adénopathie dans le creux derrière la clavicule ( sous-claviculaire ) : tuberculose, cancer.

 

…..ET DISSÉMINATION CANCÉREUSE PARFOIS

Lors de son passage au voisinage d’une tumeur cancéreuse, la lymphe peut emporter avec elle des cellules cancéreuses qui vont essaimer dans l’organisme. Les ganglions peuvent être atteints et les cellules cancéreuses vont s’y multiplier, pour provoquer un gonflement ganglionnaire. Plusieurs pathologies graves peuvent se manifester par des adénopathies dont les cancers et les métastases, les leucémies et les lymphomes, mais aussi le sida.

 

EXAMENS COMPLÉMENTAIRES 

Lorsque l’examen clinique n’est pas suffisant pour faire un diagnostic de certitude, des examens complémentaires deviennent nécessaires selon la localisation de l’adénopathie :

♦   Bilan sanguin à la recherche d’une infection ou d’une inflammation ( taux de globules blancs, VS, protéines de l’inflammation…)

♦   Radiographie du poumon

   Echographie de l’abdomen

♦   Scanner ou IRM dans certains cas.

 

PONCTION-BIOPSIE

Lorsque l’origine de l’adénopathie ne fait pas ses preuves par l’examen clinique ou qu’aucune cause ne peut être retrouvée, la ponction ou la biopsie du ganglion permet alors de faire le diagnostic. Et dans certains cas, la  » boule  » prélevée n’est pas un ganglion, mais un kyste ou un abcès.

 

ALORS QUAND S’INQUIÉTER ? 

Si l’hypertrophie des ganglions est le plus souvent bénigne, certains cas de figure sont plus inquiétants :

* Apparition d’un ganglion unique, axillaire, sus-claviculaire ou cervical, en l’absence d’une infection ( pas de  » porte d’entrée  » infectieuse, pas de fièvre ).

* Existence d’une altération de l’état général ( fatigue, amaigrissement, perte d’appétit) et de vomissements.

* Ganglion qui augmente progressivement de volume.

 

 

 

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LE SYNDROME DE LYELL

Posté par eurekasophie le 29 avril 2010

 

 


UNE MALADIE IATROGÈNE

 

 

 

A mi-chemin entre la maladie rare et l’urgence, le syndrome le Lyell se distingue par sa particularité:

 

on en connaît souvent la cause, à savoir une intolérance gravissime à une substance médicamenteuse.

 

 

 

 


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On estime le syndrome de Lyell ( SL) * à un cas pour un million d’habitants. Les femmes sont deux fois plus touchées que les hommes. Il n’y a pas de limite d’âge. Le SL entre dans le cadre des maladies rares, à ceci près qu’il n’est pas certain qu’il soit lié à une susceptibilité génétique, comme le sont la grande majorité des maladies rares. En effet, un SL peut se déclarer après une prise d’un médicament le plus souvent anodin, ou dans les suites d’une greffe ( de moelle surtout ), d’un déficit immunitaire grave ( sida…..), d’un lupus et, chez l’enfant, après une infection à staphylocoques. Dans 25 à 30 % des cas, aucune cause n’est retrouvée. Le SL demeure mortel dans 30 % des cas. D’où l’intérêt de l’indentifier dans les premières heures et d’arrêter le médicament ou l’ensemble du traitement si plusieurs médicaments sont utilisés simultanément.

* Le SL est parfois appelé nécro-épidermolyse toxique ou aiguë

 

MÉDICAMENTS À RISQUE 

Tous les médicaments ou presque peuvent induire un SL ! 

Pour autant, le SL reste plus fréquent avec certaines classes de médicaments, comme certains anti-inflammatoires non stéroïdiens, des antiépileptiques ( Di-Hydan, Tégrétol, Dépakine ), les antibiotiques de la famille des sulfamides surtout, mais aussi des pénicillines et des quinolones, l’allopurinol ( Ziloric ) ou encore les barbituriques. Ce syndrome fait partie de la grande famille des toxidermies d’origine allergique, autrement dit des atteintes cutanées consécutives à une prise médicamenteuse.

 

gailuronsouris.gifgailuronanim3.gif<Décidemment Sosso, tu nous en écris de belles pour ta semaine de vacances 

T’as vu dans quel état t’as mis ma copine qui se choutte au paracétamol ? T’as pas d’quoi nous rassurer un ch’tit peu ? 

 

picture08.jpg <Elle a de la température ta Lolotte, un bon 40 °C, des manifestations cutanées genre nécrose de la peau ? Non….Bon alors tant mieux ! mais dis lui d’arrêter de s’agiter comme ça dans tous les sens, elle me déconcentre. Et puis qu’elle arrête de sucer du paracétamol comme si c’était des cachous……..Bon, j’ai du pain sur la planche alors vous m’excuserez si j’arrête là la p’tite conversation….

 

UNE NÉCROSE GÉNÉRALISÉE……..

 

Le SL est une urgence allergique qui se manifeste par une nécrose de la peau et des muqueuses, qui s’apparente à un  » ébouillantage  » massif, comme chez le grand brûlé. Toute la peau se décolle rapidement, prenant l’aspect de linges mouillés plaqués sur la peau. L’attaque est brutale, touchant l’ensemble du corps, exception faite du cuir chevelu, de 7 à 20 jours après la prise médicamenteuse ou la cause déclenchante lorsqu’elle existe.

 

…………..PRÉCÉDÉE PAR UN SYNDROME D’ALLURE GRIPPALE

 

Tout commence par une manifestation d’allure grippale, avec une fièvre à 40 °C et un malaise, suivis 2 ou 3 jours après par les manifestations cutanées. Plus précisément, la peau devient rouge, douloureuse, comme après un fort coup de soleil. ( Voir photo ci-dessous ). Apparaissent ensuite des cloques emplies de sérum (phlyctènes ) qui ne tardent pas à se rompre. Le SL touche également les muqueuses oculaire, les lèvres, la bouche et l’intérieur des joues, le fond de la gorge, les organes génitaux externes, provoquant des douleurs intenses, identiques à des brûlures. Une déshydratation, une prostration et des petites hémorragies viennent » compléter le tableau « .Et pour couronner le tout, le SL peut s’accompagner de graves complications, comme des hémorragies digestives, une pancréatite, une atteinte hépatique, une insuffisance rénale, une septicémie ou une surinfection pulmonaire.

 

 

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ÉVITER LES SURINFECTIONS 

 

Le traitement s’apparente à celui des grands brûlés. Tout commence d’abord par un transfert rapide et médicalisé vers l’hôpital. Il faut donc appelé le SAMU (15 ). L’hospitalisation en réanimation, en milieu stérile, est essentielle. Comme chez le grand brûlé, il faut lutter contre la surinfection des lésions par des soins locaux d’antisepsie et la mise sous antibiotiques en cas d’infection initiale à staphylocoques. Car les surinfections font toute la gravité du Lyell. Du fait de la déshydratation, une réhydratation intense par voie intraveineuse est mise en route tout de suite par les médecins. De la même façon, l’alimentation artificielle va permettre de recharger l’organisme en ses nutriments perdus.

 

 70 % DE GUÉRISON !

 

Encore fatal dans 30 % des cas, le SL guérit donc dans 70 % des cas ! En l’absence de complications, l’hospitalisation dure une quinzaine de jours. Complète chez certains, la guérison s’accompagne de séquelles plus ou moins invalidantes chez d’autres ( cécité, perte des ongles, taches cutanées…). Enfin, si la survenue d’un SL est difficilement prévisible lors de la prise initiale d’un médicament, il faut bien entendu s’abstenir ensuite de toute nouvelle prise du médicament suspecté et éviter les médicaments de la même classe ou proche pharmacologiquement ( attention à l’automédication !). Dans le doute, on peut recourir à des tests cutanés qui permettent de faire un diagnostic de responsabilité.

 

 

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SANTE GROS PLAN

Posté par eurekasophie le 4 février 2010

 

 

SURVEILLEZ VOTRE THYROÏDE !

La thyroïde: voici un organe dont on ne savait quasiment rien il y a quelques dizaines d’années

- sauf qu’il provoquait parfois le goitre de certaines vieilles dames-

mais qui est de plus en plus souvent mis en avant dans la vie de tous les jours.

En effet, il semble que cette glande ait une fâcheuse tendance à se déséquilibrer, ce qui provoque quelques soucis de santé.

Mieux vaut donc la surveiller de près, afin qu’elle ne fasse pas trop parler d’elle…..

thyroide1t800.jpg

La thyroïde fait partie d’un système endocrinien qui comprend d’autres éléments comme l’hypophyse, la parathyroïde, le pancréas, les surrénales,

l’épiphyse, les ovaires et les testicules. La thyroïde, tout comme les ovaires et testicules, dépend de l’hypophyse.

endocrines.gif

Le système endocrinien

C’est un mot grec, signifiant bouclier, qui a donné son nom à cette glande qui a en effet la forme de boucliers anciens.

Comme nous ne connaissons plus vraiment la forme de ces armes anciennes, mieux vaut la comparer à la forme d’un papillon ( ou d’une chauve souris sur certains croquis !) , c’est-à-dire deux ailes et un rétrécissement au centre.

Il s’agit d’un beau coléopère, puisqu’elle mesure approximativement 3 à 4 cm de haut sur 4 à 6 de large. On peut aussi la comparer à deux petits poumons reliés par un mini-strernum. Son poids normal se situe aux alentours de 25 à 30 grammes.

Le spécialiste peut la palper directement et manuellement ( via des déglutitions répétées ) puisqu’ele se trouve entre la trachée et l’oesophage à la base du cou. Il peut déjà ainsi vérifier si son volume est normal, s’il n’y a aucune boule qui traîne lors d’un examen préliminaire.

LES FONCTIONS DE LA GLANDE THYROïDE

La glande thyroïde dispose de ses propres hormones. Et elles sont indispensables à notre survie, puisqu’elles nous servent de système de  » climatisation réservible  » . Il s’agit à peine d’une plaisanterie.

Elles aident également à la transformation des graisses et des sucres, au développement mental, et à celui du squelette. Elles assistent également la digestion, la fréquence cardiaque et le sysème génital. Autant dire qu’il d’une glande essentielle pour le bon équilibre de notre corps et de notre mental dans son ensemble.

C’est l’iode qui permet de les fabriquer et dans ce sens, il s’agit d’une glande unique, car c’est la seule qui ait besoin de cet élément.

Un vieux souvenir de l’âge où nous avions des nageoires ? En bonne santé, inutile de rechercher l’iode, elle se trouve naturellement dans notre alimentation et la thyroïde capte ce dont elle a besoin.

Evidemment, vivre près de la mer aide à avoir une ration suffisante. Ce qui n’est pas le cas des montagnards. Ce doit être la raison pour laquelle il y a bien longtemps que l’on rajoute de l’iode dans le sel de cuisine.

Le grand chef de la glande thyroïde se nomme l’hypophyse.

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Il s’agit en quelque sorte de son cerveau . Il s’agit également d’une petite glande essentielle à notre système endocrinien.

Son homme de main est la TSH, ou Hormone Stimulant la thyroïde.

C’est un indice important lors des analyses, car une TSH élevée indique une hypothyroïdie et vice versa. C’est ce dosage qui est demandé systématiquement avant toute autre intervention, le résultat est en normal, lorsque le résulatat est situé entre 0,3 à 5 m UL / ml .

QUELLES HORMONES SONT FABRIQUÉES ?

Les médecins les appellent la T3 et la T4 .

Tout comme pour les appartements, il s’agit en quelque sorte de la taille de l’hormone, la T3 étant constituée de 3 atomes d’iode et la T4 de 4 atomes d’iode. La première est rare et active , la deuxième est pléthorique et se transforme ensuite en T3. Son taux est anormalement bas en cas d’hypothyroïdie . C’est quasiment toujours cette hormone qui permet d’obtenir les renseignements adéquats sur l’importance du déséquiibre.

Il est quasi « normal » d’avoir des soucis à propos de la  thyroïde si vous prenez certains médicaments habituellement ordonnés par des cardiologues ( et dans ce cas, il est probable que votre spécialiste vous demandera de faire des dosages réguliers ).

Le deuxième cas est évidemment la conséquence de traitements portant justement sur la thyroïde et là encore les suivis doivent être faits, donc toute irrégularité est signalée rapidement.

L’HYPOTHYROÏDIE

Il s’agit d’une maladie en grande partie féminine, et souvent après cinquante ans. Pas trop de souci à sefaire, elle est en général facile à soigner.

Contrairement à une réputation bien établie, l’hypothiroïdie ne fait pas maigrir. Les causes en sont connues. Par contre les symptômes ne sont pas particulièrement évidents puisqu’il s’agit en général de fatigue, frilosité, maux de ventre, fourmis dans les extrémités, désintérêt….en bref, difficile de dire si cela est dû à une grippe qui couve, à un début de dépression ou à un mauvais fonctionnement de notre fameuse glande.

Ce sont les analyses qui pourront dire ce qui se passe véritablement et si la thyroïde est en cause ou non. Le problème est justement que les personnes ne consultent pas, car il n’y a pas de quoi fouetter un chat, pourrait-on dire . Lorsquele dosage est fait, c’est une TSH élevée qui dévoile ce problème. Cela signifie que votre thyroïde fonctionne au ralenti. Si votre taux est légèrement élevé ( jusqu’à 10 environ ) , pas d’affolement, il n’est même pas évident que vous suiviez un traitement. Peut-être qu’un changement forcé d’alimentation suffira. Si elle est au-delà, et parfois bien au-delà, un traitement sera recommandé par votre médecin ou endocrinologue.

Il peut arriver que l’on vous parle japonnais à l’occasion d’une hypothyroïdie: ‘ HASHIMOTO  »

Ce nom est en fait celui du médecin qui a dévoilé cette maladie.

Rien de grave, il s’agit justement d’une hypothyroïdie facile à soigner. Rien de grave donc, dans le Hashimoto !

LE TRAITEMENT

Il existe une substitution allopathique par hormones de synthèses. Puisque votre thyroïde ne fabrique plus suffisamment d’hormones, il est possible de prendre des médicaments qui remplacent ce rôle.

Le seul point critique est encore une fois le dosage. Il faut parvenir à prendre la quantité exacte qui correspond à votre manque.

Différents produits existent, et une fois le bon  » mg  » trouvé, vous pourrez retrouver la forme comme si de rien n’était. Il faut souvent opérer plusieurs dosages avant d’obtenir un bon résulat et de toute façon, le TSH sera toujours à contrôler. Habituellement, les contrôles se font à peu près tous les deux mois et ensuite une à deux fois par an.

L’HYPERTHYROÏDIE

Très souvent, c’est par le coeur que l’on s’aperçoit que quelque chose ne va pas, car l’hypertyroïdie provoque très souvent de la tachycardie ou des battements irréguliers. Bien entendu, cela n’arrive pas que dans le cas d’une hyperthyroïdie, mais ce peut être un signe. D’autres signes peuvent aussi être la sudation, la fatigue, l’amaigrissement….. Votre entourage proche peut en général témoigner que vous êtes souvent nerveux et excité, parfois agressif. En bref, pas facile à vivre.

LE TRAITEMENT DE L’YPERTHYROÏDIE

Le traitement habituel est celui par iode radioactif.

L’adjectif peut faire peur, mais il s’agit en fait d’iode qui émet des radiations agissant sur les cellules. Il s’agit en fait d’un trompe l’oeil, car la glande thyroïdienne ne fait pas la distinction entre iode normal et iode radioactif. Or, ce dernier ralentit la production d’hormones et est ensuite éliminé rapidement dans les urines. Cet iode se prend en cachet ou solution dilué dans de l’eau.

Le traitement est forcément long, car il faut compter un minimum de trois mois pour en voir les effets véritablement bénéfiques.

L’hypertyroïdie disparaît alors. Il peut arriver qu’elle réapparaisse, assez rarement, et dans ce cas un traitement identique peut être administré. Il n’y a pas d’effet secondaire notable. En fait, la complication classique après ce genre de traitement est plutôt de passer en hypothyroïdie. Il faut donc suivre de près l’évolution de la glande pendant toute une phase.

C’est le traitement le plus sûr, puisque les médecins disposent de suffisamment de recul pour avoir constaté que les effets secondaires étaient quasi nuls sur les patients comme sur leurs enfants, et il n’est pas très coûteux. Par contre, il ne peut être utilisé chez une femme enceinte. De toute façon, votre médecin ou endocrinologue vous posera la question, car le foetus peut également capter cet iode radioactif. De même, pendant la période d’allaitement, car l’iode peut passer dans le lait maternel.

Si ce traitement à l’iode radioactif n’est pas possible, restent deux solutions :

Un traitement par médicaments antithyroïdiens. Ceux ci sont efficaces assez rapidement bien que la guérison permanente par ce biais ne concerne qu’un quart des patients. Il faut également s’assurer que le patient supporte le médicament sans effet secondaire.

Reste ensuite la chirurgie : on enlève en fait 80 % de la glande thyroïde ou plus. Il s’agit d’une solution qui est couramment pratiquée à présent mais qui présente certains risques dont vous devez être avertis, car la zone est très sensible avec de nombreux nerfs et la présence des cordes vocales. Mieux vaut prendre un chirurgien spécialisé dans ce type d’opérations. Cela nécessite bien entendu une anesthésie générale et une hospitalisation de quelques jours.

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LE LAVAGE BRONCHIOLO-ALVEOLAIRE

Posté par eurekasophie le 2 février 2010

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POUR CERTAINES MALADIES DE L’APPAREIL RESPIRATOIRE

Infection pulmonaire atypique, suspicion de cancer bronchique, recherche de fibres d’amiante, de traces de silice……

Les indications du lavage bronchiolo-alvéolaire sont nombreuses. Pratiqué à l’aide d’une fibroscopie bronchique, le lavage bronchiolo-alvéolaire s’avère utile lorsque le diagnostic est incertain.  Il a surtout eu son heure de gloire lors de diagnostic de turbéculose pulmonaire. Il garde encore encore un intérêt lorsque le diagnostic reste hésitant du fait d’une imagerie douteuse ou d’analyses sanguines discordantes ou incertaines.

Le LBA ( lavage bronchiolo-alvéolaire )  est un bon moyen pour ispecter le poumon  » profond  » et pour détecter certaines pathologies comme les pneumonies, certains cancers ou des infections ( la tuberculose justement ).

LBA : Le lavage broncho-alvéolaire est une méthode d’aide au diagnostic médical, développée par Finley et Reynoids, consistant à injecter dans les bronches et les alvéoles pulmonaires une solution (50 à 250 ml) de liquide physiologique stérile à 37°C, ou un agent mucolytique. On récupère ensuite ce liquide ce qui permet d’effectuer certains examens à la recherche d’infections ou d’autres pathologies.
Ce mode exploratoire des poumons a été recommandé fin août 2006 par les
CDC des États-Unis pour le diagnostic du virus H5N1 dit de la grippe aviaire.

PAR FIBROSCOPIE BRONCHIQUE

 

 

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Le LBA se pratique à l’hôpital ou en clinique, en consultation ambulatoire ou dans le cadre d’une hospitalisation.

Mais rassurez-vous, malgré son appellation trompeuse, le LBA ne repose pas sur l’inondation des bronches à grande eau !!!

Pratiqué par un pneumologue aguerri, l’examen consiste à introduire une fibre optique stérile dans les bronches du patient, par le nez ou par la bouche – c’est donc une fibroscopie bronchique – après une anesthésie locale, et à installer du sérum physiologique tiède et stérile dans la bronche concernée.

Cette instillation se fait par petites quantités, 200 ml en 5 fois, sur une douzaine de minutes. Le liquide va  » décoller  » les éléments contenus dans les alvéoles et les bronchioles pulmonaires. Il ne reste plus qu’à aspirer le liquide, en douceur, et à l’examiner afin d’y retrouver, en fonction du contexte, des cellules, des germes, des substances et autres protéines contenus dans les bronches.

Tout compris, l’examen dure environ 30 minutes. Il est souvent bien toléré lorsque l’anesthésie a été correctement menée.

CONTRE-INDICATIONS

Du fait de la modification de la respiration lors de l’examen, le LBA est contre-indiqué chez les personnes insuffisante cardiaque et chez l’insuffisant respiratoire. En revanche, une bronchite aiguë n’est pas contre-indiquée, mais les résultats obtenus ne peuvent être interprétés à leur juste valeur.

Dans tous les cas, la surveillance des paramètres respiratoires permet de s’assurer que le LBA  est bien toléré.

Après l’examen, il faut éviter de boire ou de manger car la déglutition peut rester perturbée du fait de l’anesthésie locale. Tout rentrera dans l’ordre rapidement.

RÉSULTATS NORMAUX

Normalement, le liquide recueilli après aspiration doit être clair. Chez un fumeur, en revanche, goudrons obligent, le sérum revient avec une couleur brunâtre. Fumeur ou non fumeur, le liquide recueilli comporte des cellules, mais aussi de l’albumine ( protéine ) , des immunoglobulines ( anticorps ) et des globules blancs avec une majorité de macrophages ( autour de 80 % ).

RÉSULTATS PATHOLOGIQUES

S’il est logique de retrouver des cellules provenant du tissu pulmonaire dans le liquide, d’autres éléments s’avèrent inquiétants et peuvent traduire l’existence d’une pathologie pulmonaire sous-jacente :

Hebergement d'images aspect hémorragique du liquide: existence d’une pneumonie.

Hebergement d'images présence de l’antigène carcino-embryonnaire ( ACE ), un marqueur tumoral ( cancer ), supérieur à 5 ng / l . Attention, un taux de 0,8 ng /l est considéré comme normal.

Hebergement d'images excès de protéines ( supérieures à 100 mg / l ou d’albumine ( supérieure à 50 mg / l )

Hebergement d'images excès de lymphocytes ( globules blancs ) : présence selon les cas d’une tuberculose, d’une sarcoïdose, d’un lymphome ou d’une maladie du   » poumon du fermier  » ( maladie professionnelle des éleveurs )

Hebergement d'imagesexcès d’éosinophiles ( autre type de globules blancs ) : asthme

Hebergement d'images excès de polynucléaires ( globules blancs ) : fibrose pulmonaire

Hebergement d'images présence de particules minérales : silice, amiante, fer, talc….

Hebergement d'images présence de germes divers et variés : mycobactéries ( tuberculose ), cytomégalovirus ( CMV) , virus de la grippe aviaire, herpès…

Hebergement d'images présence de parasites : toxoplasmose

Hebergement d'images présence de champignons

PRÉCAUTIONS

Le LBA  nécessite quelques précautions :

- retirer une prothèse dentaire amovible

- être à jeun depuis 6 heures

- ne pas fumer dans les 2 jours qui précèdent et dans les heures qui suivent le LBA

- consulter en cas de saignement, de fièvre ou de toux persistants après le LBA

- prévenir le praticien en cas d’allergie, de grossesse en cours, de prise d’anticoagulant, de tabagisme, de maladie cardiaque ou respiratoire .

 

 

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GROG AROMATIQUE PREVENTIF

Posté par eurekasophie le 29 décembre 2009

tasse1.gif

 

tasse2.gifPourquoi pas un bon grog …..tasse2.gif

Au cours de la période froide, on peut tout à fait se faire de bons petits grogs en préventif, surtout quand on est

du genre frileux !

De temps en temps, on peut se faire un grog à l’hibiscus avec du miel de sapin bio + 1 goutte HE Citron zeste à ajouter

juste avant de consommer, sachant que les essences d’agrumes sont très sensibles à la chaleur.

En cas de refroidissement, on peut ajouter 1 goutte d’Eucalyptus radié.

Question durée du traitement  » grog  » , il faut simplement être à l’écoute de son corps : tant que l’on  » sent  » que cela nous

fait du bien, on continue à se faire plaisir !

 

 

 

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GRIPPE A ….

Posté par eurekasophie le 4 décembre 2009

vaccinhumour.jpg 

 

…..ET VACCINATION

LA MÉFIANCE NE FAIBLIT PAS

Au moment où ces lignes sont écrites, et sans préjuger de la suite que prendra la pandémie, il apparaît déjà

que la grippe A aura au moins eu le mérite d’attirer l’attention du grand public sur un sujet

largement occulté jusqu’à présent : la composition des vaccins …..

Le bon peuple pouvait difficilement concevoir qu’un produit censé faire du  » bien  » à la santé puisse abriter en son sein des

 » poisons «  susceptibles de provoquer des effets indésirables possiblement grave.

Parmi ces ingrédients sulfureux figurent des additifs, en particulier les conservateurs ( formaldéhyde, mercure.…), et les adjuvants ( hydroxyde d’aluminium, squalène, polysorbate 80……)

Je vous invite à cliquer sur les noms écrits en bleus dans cet article. Merci.

dictionnaire.jpg

Les adjuvants offrent l’avantage de stimuler la réaction immunitaire, tout en permettant l’emploi de doses d’antigène plus faibles. Dans une situation d’urgence sanitaire, les fabricants n’hésitent donc pas à recourir abondamment aux adjuvants pour produire davantage de vaccins.

Mais dès fin août, le Pr Floret, Président du Comité technique de vaccination, admettait tout de même du bout des lèvres que

 » les adjuvants posent un problème théorique. Leur injection à des millions de personnes présente le risque théorique de provoquer des maladies

auto-immunes chez des personnes dont l’immunité est immature comme les nourrissons, modifiée comme des femmes enceintes ou encore chez les

immunodéprimés. »

MALADIES AUTO-IMMUNES

IMMUNODÉPRIMÉS                                                dictionnaire.jpg

 

note031.gifN’allons pas plus vite que la musique ! note031.gif

La méfiance n’a fait qu’augmenter face à l’empressement des autorités sanitaires à mettre sur le marché des vaccins anti-H1N1 insuffisamment testés.

Dès la mi-septembre, la FDA approuvait quatre vaccins aux effets secondaires….inconnus !!!! Plus exactement, les notices de ces vaccins ne mentionnaient que des effets indésirables basés sur des études conduites antérieurement sur les vaccins contre la grippe saisonnière !

En France, la campagne de vaccination a commencé à la mi-octobre avec le vaccin GSK, avec adjuvant AS03 , soit un mélange de squalène et de

polysorbate. Le squalène est suspecté de déclencher ou d’aggraver des maladies auto-immunes. Certains le mettent directement en cause dans le fameux syndrome de la guerre du Golfe, qui a concerné pas moins de 25 % des militaires américains engagés dans le conflit ( le squalène figurait dans la composition du vaccin contre l’anthrax ).

Les femmes ( enceintes ) et les enfants d’abord !

titanic.gif

Il apparaît pour le moins légitime de s’interroger sur les risques d’effets secondaires des nouveaux vaccins anti-H1N1appelés à être utilisés à grande échelle. L’inquiétude est même de mise pour des populations fragiles telles que les femmes enceintes ou les bébés.

L’OMS a ainsi recommandé de fournir un vaccin sans adjuvant aux femmes enceintes. Certains labos se sont donc attelés à la production de ce type de vaccin. Parmi les 94 millions de doses commandées par la France, moins de 15 millions seront sans adjuvants.

Il est également conseillé aux femmes enceintes de réclamer un vaccin unidose, qui, à l’inverse des préparations multidoses, ne contient pas de thiomersal, un dérivé de mercure.

Une fois définitivement approuvé, le vaccin européen sans adjuvant du labo Baxter sera injecté en deux à trois semaines d’intervalle chez la femme enceinte et l’enfant de plus de six mois.

Tromperie sur la marchandise !

Dans l’imaginaire populaire, que les fabricants de vaccin ont pris le temps de façonner patiemment, la vaccination, c’est l’assurance d’une protection efficace et totale vis-à-vis d’une maladie.

Concernant le vaccin contre la grippe, la réalité est beaucoup plus nuancée. Il y a quelques années, une synthèse de 64 études internationales représentant 96 saisons de grippes et un panel de 2,5 millions de sujets, a revélé que, toutes études confondues, l’efficacité globale des vaccins sur les maladies grippales n’était que de 23 % , à condition que le vaccin corresponde bien au virus en circulation !

De plus, la vaccination des personnes âgées ne diminuait en rien le nombre d’hospitalisations, ni la mortalité. Dans ces conditions, il devient pertinent de s’interroger sur la balance bénéfice-risque, de chercher à en savoir plus, voire de montrer aux politiques et aux autorités sanitaires qu’il n’est pas question de demeurer passif face à cette entreprise de vaccination hâtive et massive .

Des voix discordantes !

lavoix.jpg

 

En France, des collectifs de citoyens opposés à la stratégie vaccinaliste du gouvernement se mettent en place et trouvent un écho de plus en plus large grâce à l’outil Internet. En Belgique, 5 membres du Collectif Initiative citoyenne ont porté plainte contre l’Etat belge, soulignant la difficulté de juger des avantages et des inconvénients de la vaccination par manque d’informations suffisantes.

En Allemagne, une polémique est née du fait que l’un des vaccins anti-H1N1 aux effets secondaires a priori moindres serait réservé aux militaires, hauts fonctionnaires et responsables de la santé. Pour calmer le jeu, la chancelière Angela Merkel a déclaré qu’elle s’engageait à recourir au vaccin destiné au commun des mortels plutôt qu’à celui réservé aux  » personnels essentiels  » !

Aux USA , une action en justice a été intentée auprès d’une cour fédéral de Washington par des professionels de santé qui refusent la vaccination obligatoire, en particulier au motif que l’innocuité des vaccins  » expérimentaux  » déjà autorisés n’a pas été clairement démontrée. A ce propos, toujours aux USA, fabriquants de vaccins et institutions d’Etat se sont déjà protégés de tout risque de poursuite grâce à un amendement de juin 2009 qui supprime carrément le droit à tout recours pour les citoyens victimes d’effets secondaires graves liés à la vaccination, cette mesure s’étendant aux adjuvants associés aux vaccins. L’amendement demeurera valable jusqu’au 31 mars 2013 !

Des cobayes devenus récalcitrants…..

photocobaye.jpgcobayeavenurelogo.jpg

 

 Pôves ch’tites bêêtes va !

A la mi-septembre, 55 % des Français interrogés par l’Ifop se déclaraient prêts à se faire vacciner contre la grippe A ; fin octobre, toujours selon

le même institut de sondage, la tendance était fortement à la baisse puisque seuls 17 % de nos concitoyens envisageaient de se faire vacciner.

Il est clair que les incertitudes pesant sur la fiabilité de ces vaccins anti-H1N1 mis à la va-vite sur le marché expliquent pour partie la désaffection du public, de moins en moins enchanté à l’idée de devoir aller se faire vacciner dans des centres de vaccination aménagés dans des gymnases ou des salles polyvalentes où la principale préoccupation sera de respecter les impératifs de vaccination à la chaîne, soit 30 injections par heure et par agent vaccinateur !

C’est d’ailleurs pourquoi, dès début septembre, le syndicat des infirmières SNPI SFE-CGC indiquait que  » compte-tenu du bénéfice-risque de cette vaccination particulière, nous exigeons que les personnes qui souhaitent se faire vacciner aient un entretien avec un professionnel de santé, et signent un document de  » consentement éclair « , comme pour les médicaments expérimentaux  » .

Pourquoi a-t-on refusé aux médecins traitants le droit de vacciner contre la grippe A ? C’est une bonne question.

 

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