TROLL…..E

Posté par eurekasophie le 19 août 2009

troll1.jpg            Meuuuuuu non ! N’ayez pas peur ! Cliquez dé…li…ca…te….ment sur l’image . Voiiilà !

 

À un  » E » près , je partais pour vous écrire un article sur cette redoutable créature qui présentement est très occupée à s’éclater sur le Net

Et puis, d’ailleurs, pourquoi devrais-je écrire un article sur le troll auquel je ne connais qu’un seul pouvoir, nous terroriser …..

DONC, hachement plus sympa quand même voilà la trolle qui pourrait être la femme du troll …Mais non !!!

Quand on y réfléchit, c’est logique, « Troll » n’étant pas un adjectif, il ne s’accorde pas au féminin en prenant un  » E » , comme par exemple:

« nul » qui au féminin nous donne  » nulle » ….Ha là y’a une aile et un noeud en plus !

Bon aller c’est pas tout ça, j’en vois un qui s’énerve…….

gailuronanim.gifDès qu’on tourne le dos 5 minutes, cette Sophie en profite pour bavasser comme si elle n’avait que ça à faire …..

                                Et pour dire quoi, je vous le demande……des fadaises, des  broutilles, des calembredaines……des niaiseries. Pfffff !

Trolle
 

( Trollius europaeus )

( Renonculacées )

Trolle d’Europe
 Illustration
Illustration
Classification classique
Règne Plantae
Embranchement Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Ordre Ranunculales
Famille Ranunculaceae
Genre Trollius
Nom binominal
Trollius europaeus

Synonyme(s) : Trolle d’europe, Boule d’or, Trolle de montagne, Trolle globuleux, Renoncule de montagne

« Le trolle d’Europe ressemble à un gros boutons d’or aux fleurs fermées, ce qui empêche les abeilles et gros insectes d’assurer la pollinisation. Celle ci est donc réalisée par une petite espèce de mouche, c’est le principe de mutualisme. »

Le genre Trollius (les trolles), de la famille des renonculacées, comporte dans le monde une douzaine d’espèces. Il doit son nom à l’allemand Trollblume, mot dans lequel troll correspond au vieil allemand trol (= globe) ou au latin trulleus (= bassin, cuvette). Dans les deux cas, il s’agit d’évoquer la forme globuleuse de la fleur des trolles, qui ne s’ouvre jamais entièrement. Cette fleur présente à la fois des sépales pétaloïdes (7 à 17) et des pétales très nombreux et étroits, masqués par les sépales. Le fruit est formé d’un grand nombre de follicules.

Trollius europaeus L. (trolle d’Europe, boule-d’or) : plante vivace glabre poussant en altitude, dans les prairies, les pâturages ou au bord des cours d’eau, jusqu’à 2800 m. Feuilles palmées semblables à un éventail, les inférieures à long pétiole. Fleurs jaune citron ou doré en forme de boules, les sépales étant recourbés vers le centre. Pollinisation par de petits insectes (mouches notamment).

Floraison de mai à août.

Nom catalan : flor de rovell d’ou.

Utilisations officinales : son rhizome contient des substances révulsives.

Utilisations autres : cultivé dans les jardins d’ornement.

trolle.jpg             C’est beau la nature tout d’même !

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LE TROENE

Posté par eurekasophie le 4 juin 2009

Ligustrum lucidum et vulgare 

 

arbre et arbuste de la famille des Oléacées

(Frêne, Lilas, Olivier,Osmanthe, Troène)

LE TROENE dans Origine : le Troène, Ligustrum lucidum, est un arbre de Chine, Corée, Japon, tandis que le Troène commun, Ligustrum vulgare, est un arbuste, originaire d’Europe, d’Afrique du nord.
Étymologie : le nom latin, ligustrum, vient de ligare, « lier », allusion à la souplesse des rameaux qui servaient en vannerie.
Habitat : Forêts claires et fraîches, haies, bocages humides, lieux incultes. Le troène préfère le calcaire. Il s’adapte à l’altitude jusqu’à 800 m.
Rusticité :  (il supporte le froid jusqu’à -17°).
Taille maximale : 20 m. Les autres troènes sont des arbrisseaux (3 m).
Croissance : lente.
Écorce portant lenticelles blanches.
Port : cime arrondie.
Feuillage persistant. Feuilles opposées, coriaces, vert luisant, à bord lisse, et de forme elliptique et pointue. Longueur : 5-8 cm. On pourrait le confondre avec certains houx hybrides, mais la feuille est plus effilée, lancéolée, et souvent repliée sur la nervure médiane qui est très marquée. Elle porte un court pétiole rougeâtre.
Fleurs réunies en panicules terminales longues jusqu’à 18 cm, apparaissant en été ; les fleurs sont petites, voire insignifiantes, blanc-crème, à pétales soudés. Elles dégagent un parfum, entêtant, à base de triméthylamine.
Fruits : baies ovales pruineuses et d’un noir bleuté, en octobre. Taille : 0,8 cm. dans Mon repertoire des plantes les moins usitees
Utilisation : arbre ornemental en raison de son feuillage persistant.
De l’écorce du Troène, on extrait une teinture jaune.
Les rameaux sont utilisés en vannerie.
Les fleurs et les feuilles séchées du Troène sont astringentes et cicatrisantes. Macérées dans l’huile les fleurs donnent un baume qui soulage les douleurs rhumatismales et celles de le cellulite.
Les fruits donnent une encre violette et un colorant pour le vin.

toxique Le fruit produit des irritations gastriques.

Où en voir à Paris : à l’angle de l’Ambassade des États-Unis, près de la Place de la Concorde (taille respectable).

pxvert

Troène commun, Ligustrum vulgare

Origine : Europe.
Taille maximale : 5 m.
Croissance : lente.
Habitat : peu exigeant en matière de sol et d’exposition, mais n’apprécie pas trop la sécheresse. Ses racines sont nuisibles pour les plantes voisines.
Feuillage persistant. Feuilles opposées, coriaces, vert luisant, à bord lisse. La variété L. latifolium a des feuilles plus larges, L. tricolor est à feuilles bordées de rose chez les jeunes pousses, tandis que L. excelsum superbum présente des feuilles bordées et tachetées de jaune crème (autre point commun avec le Houx qui possède une variété aurea).
Utilisation : le Troène commun, Ligustrum vulgare, sert en haie. Il supporte la taille. Ses rameaux étaient utilisés en vannerie.
Entretien : 2 ou 3 tailles par an, pour lui donner une forme harmonieuse. Il supporte une taille agressive de régénération, à condition de l’aider à repartir avec un apport d’engrais.
Reproduction : par bouturage en été avec des branches, ou en novembre, avec du bois.

 

troene.jpg Ligustrum vulgare

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TAMIER

Posté par eurekasophie le 8 mai 2009

Le tamier commun (tamus communis) est encore appelé herbe aux femmes battues ; il s’agit d’une plante vivace qui pousse dans les haies et les bois clairs, il appartient à la famille des dioscoréacées.

La partie souterraine est une rhizome tubéreux.
Les tiges produites poussent au printemps et meurent après la fructification.
Ces tiges sont volubiles, elles peuvent atteindre 4 m environ ; à leur sortie, elles sont vertes, teintées de pourpre ou parfois presque noires suivant les sujets. A la cassure, elles laissent échapper beaucoup de sève et une odeur pas très agréable.
Les feuilles alternes sont, au début, d’un vert très brillant ; leur forme rappelle celle d’un cœur à pointe allongée.

En avril-mai, les fleurs apparaissent, elles sont minuscules, jaune-verdâtre et groupées en grappes de petite dimension pour les fleurs femelles (à pistil) et en longues grappes étroites pour les fleurs mâles (à étamines).Cette plante étant dioïque, ces deux types de fleurs sont portés par des individus différents.

Les fruits sont des baies rouges qui persistent longtemps sur la tige qui a fané.

Les jeunes tiges qui ressemblent à des pousses d’asperges font l’objet, dans notre région, d’une recherche acharnée, on les appelle les reponchons (prononcer pépounchouns, on doit entendre le « s » final). Ce mot doit provenir de poncho (pouncho) qui désigne une pointe ; pardon pour les puristes, je ne maîtrise pas l’orthographe occitane.
Ces pousses sont consommées après cuisson à l’eau qui répand une odeur pas très engageante, soit en vinaigrette, assortie si l’on veut, d’un assaisonnement plus conséquent, soit en omelette avec des lardons. En elles-mêmes, il faut avouer, leur goût est assez déroutant pour les non-habitués.

Par contre, les fruits sont toxiques ainsi que le rhizome cru.

Ce rhizome possède des vertus médicinales diurétiques, purgatives, vomitives et résolutives.

La plante était autrefois appliquée sur les plaies des femmes victimes de violences d’où le nom herbe aux femmes battues.

feuilles
A droite, des grappes fe fruits fournies

fruits

oiseaux.gif
Tamier
Dioscorea communis
Dioscorea communis
Classification classique
Règne Plantae
Division Magnoliophyta
Classe Liliopsida
Sous-classe Liliidae
Ordre Liliales
Famille Dioscoreaceae
Genre Dioscorea
Nom binominal
Dioscorea communis
(L.) Caddick & Wilkin, 2002
Classification phylogénétique
Ordre Dioscoreales
Famille Dioscoreaceae
Fleurs et feuillesFleurs et feuilles

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LA TEREBENTHINE

Posté par eurekasophie le 30 avril 2009

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LA TEREBENTHINE dans


Pistacia+terebinthus+2 dans Mon repertoire des plantes les moins usiteesC’est un petit arbre présent dans tout le bassin méditerranéen ** : térébinthe, pistachier térébinthe, turpentine tree ou terebinth anglais, tremithia de Chypre. Il dépasse rarement 5 mètres de hauteur. Naturellement il aime les sols secs et le soleil de ses terres d’origine. Sa croissance est lente. Son écorce est gris pâle. Sa floraison: des dégradés de beige rosé avant les grappes pourpres qui se transformeront en fruits.


Pistacia+terebinthus+3En incisant son écorce on recueille une résine transparente couleur d’eau. Celle de Chypre est renommée, et citée depuis des temps anciens. Dioscoride en parlerait… non, je n’ai pas vérifié. Une information à prendre avec des pincettes.
La térébenthine peut être obtenue à partir d’autres essences. C’est son nom qui précise leur origine géographique ou végétale :
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Pistachier2« Térébenthine de Hongrie; fournie par le pinus sylicstris. Térébenthine de Judée; liquide blanchâtre, un peu opaque, d’une couleur verte ou jaune , d’une saveur amère et acre, d’une odeur forte et aromatique. Elle découle de l’amyris opobalsamum.
Térébenthine du mélèze. Térébenthine du sapin.
Térébenthine de Strasbourg. (…)»
.
Extrait du ‘ Dictionnaire des termes de médecine, chirurgie, art vétérinaire’ de Louis Jacques Bégin. Publié en 1823.

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Pistacia+terebinthus+4Ouvrages botaniques, traités de médecine ou de commerce, les références sont nombreuses :
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« Il y a une autre huile tirée de la réfine du mélefe , du fapin, ou du térébinthe qui croît dans l’ifle de Chypre ; on l’appelle huile de térébenthine. Elle eft encore fore bonne à retoucher les tableaux , Se principalement pour mêler avec l’outremer Se les émaux, parce qu’elle fert à les étendre & qu’elle s’évapore auffi-tôt. Lorfqu’on, ufe de cette derniere, il n’eft pas nécef- faire de mêler beaucoup d’autre huile dans les couleurs avec celle- ci , parce qu’elles ne ferviroient qu’à la faire jaunir. »

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Roger de Piles. Publié en 1767.
.

Pistacia+terebinthus+r%C3%A9sineLe soin porté à la récolte est déterminant :
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«La maniere de recueillir la térébenthine fait qu’il y en a à Chypre de deux especes : la premiere & la meilleure est celle que l’on a par le moyen d’une incision faite dans le térébinthe : elle en fort en larmes limpides & brillantes que l’on recueille dans les matinées d’été. La feconde efpece eft celle qui en coulant jusqu’à terre , n’a pas la même pureté & eft par conféquent inférieure à -la première. On renferme la térébenthine dans des vafes de terre d’environ vingt livres chacun. !!• faut prendre garde ici de fe laifler tromper ; à la premiere ouverture de ces vafes on croit voir la térébenthine de la premiere efpece , mais il arrive que [...] »

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Voyages dans l’isle de Chypre, la Syrie et la Palestine, Giovanni Mariti, François Belin. Publié en 1791.
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.Le térébinthe, arbre odorant, dont on trouve trace dans les textes les plus anciens. Lui qui abattu possède, comme le chêne, une souche dont peut sortir une nouvelle vie. .

Propriétés
Expectorant
Balsamique (qui agit comme un baume)
Antiseptique

Indications
Bronchite
Catarrhe
Infection des voies urinaires
Pyélite
Cystite
Urétrite

Accessoirement
Solvant des calculs biliaires
Diurétique
Antirhumatismal
Vermifuge
Parasiticide
Révulsif

Commentaires
En association avec l’eucalyptus, le benjoin, l’huile essentielle de térébenthine est utilisée, avant tout, comme anti-infectieux pulmonaire. En association avec l’huile essentielle de romarin, l’huile essentielle de thym, la térébenthine est utilisée pour lutter contre les douleurs rhumatismales en application externe. 

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LA TORMENTILLE

Posté par eurekasophie le 30 avril 2009

 

 

tormentille1.jpg

 

 

Origine du nom —————————————————————————————–
Nom formé au Moyen Age de tormentum : douleur au ventre, dans le sens de bon pour la colique.

Description ———————————————————————————————-
Plante élevée de 20 à 30 cm, grêle à souche épaisse et rouge intérieurement.
Feuille radicales à 3 folioles.
Petites fleurs (1 cm) à 4 pétales séparés, isolées à l’aisselle des feuilles de la tige dont les stipules sont grands et soudés au pétiole.

Cycle —————————————————————————————————–
Plante vivace.
Floraison de mai à août.

Habitat —————————————————————————————————
Espèce commune jusqu’à 2000 m, abonde surtout dans les landes, les fossés et les prairies acides ainsi que dans les tourbières. Rare dans le midi.

Médecine ———————————————————————————————–
*En gargarisme, grâce à ses tanins raffermit les gencives, soigne les aphtes et ulcérations.
*Vin de tormentille :
Faire macérer 10 j, 60 g de rhizome dans un litre de vin doux, filtrer. Prendre un verre à bordeaux après les repas.

 homme.gif

Tormentille
Potentilla erecta
Potentilla erecta
Classification classique
Règne Plantae
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Ordre Rosales
Famille Rosaceae
Genre Potentilla
Nom binominal
Potentilla erecta
(L.) Räusch., 1797
Classification phylogénétique
Ordre Rosales
Famille Rosaceae

 Ne me demandez pas ce qu’il fait là, celui-ci, je n’en sais rien du tout. Faisons comme si de rien n’était …

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TUSSILAGE

Posté par eurekasophie le 30 avril 2009

 

 

 

TUSSILAGE

Tussilago farfara (Composées)

TUSSILAGE dans NOMS COMMUNS :
Pas d’âne, pas de cheval, pied de baudet, pied de poulain, chasse-toux, taconnet, herbe de Saint- Quirin ou de Saint-Guérin, procheton, plisson, béchion, racine de peste, chou de vigne.
 

CONSTITUANTS CHIMIQUES PRINCIPAUX :
flavonoïdes, triterpènes, caroténoïdes.

PARTIES UTILISEES :
Feuille et capitule floral.

DESCRIPTION : 

Le Tussilage est une plante vivace à rhizome rampant, charnu, rameux. Les feuilles, longuement pétiolées, arrondies, en forme de cœur, dentées, blanchâtres dessous, vert clair dessus, groupées en partant du rhizome, n’apparaissent qu’après la floraison. Les fleurs, visibles de février à avril, groupées en capitules solitaires à l’extrémité des tiges florifères, sont recouvertes d’écailles rougeâtres et cotonneuses. Les fruits sont des akènes oblongs surmontés d’une aigrette blanche comme chez le Séneçon.

tussila2 dans Mon repertoire des plantes les moins usitees
CULTURE ET RÉCOLTE : 

Commun en Europe, le Tussilage aime les terrains argileux, frais, humides, il peut pousser jusqu’à 2400 mètres d’altitude. Sa multiplication s’opère par division des touffes ou séparation des rhizomes à l’automne. La récolte des fleurs s’effectue à leur épanouissement, les feuilles à leur complète formation. Elles sont séchées à plat dans des endroits secs et aérés.

tussila3 USAGES : 

Expectorantes, les feuilles et les fleurs de préférence calment la toux, soulagent les bronches, facilitent la respiration des asthmatiques, éclaircissent la voix. Toniques, elles redonnent de l’énergie. En compresses ou en lotions, elles adoucissent la peau, on fait des cigarettes avec les feuilles pour soulager l’asthme. De qualité exceptionnelle pour les bronches, elles entrent dans la composition des fleurs pectorales et des espèces vulnéraires.


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LE TREFLE ROUGE

Posté par eurekasophie le 29 avril 2009

PLANTE: le trèfle

papillon butinant un trèfle rose en montagneabeillelogo2.gif                                                                      abeillelogo2.gif

Une plante de la famille des légumineuses.
Elle est originaire des zones tempérées.
Nom botanique: trifolium repens.
C’est une plante vivace à feuillage persistant.
Elle mesurera 20/30 centimètres .
Elle est extrêmement rustique au gel.
Elle peut pousser en montagne jusqu’à 2000 mètres d’altitude.

Le trèfle est utilisé pour ensemmenser les prairies afin d’enrichir le sol en fixant l’azote de l’air !.

trèfle jauneabeillelogo2.gif

La fleur

Elle se développe de Mai jusqu’aux gelées.
La fleur est blanc ou rose et très mélifère. Les insectes butineurs en rafollent.

Plantation et multiplication

Le trèfle se plaît dans une terre ordinaire un peu humide.
Il se plaît en prairies ensoleillées.

Il se multiplie tout seul en rampant et se resème par graines grâce aux oiseaux.

Culture et entretien

Si le terrain n’est pas trop sec, il prospèrera abondamment.
Beaucoup utilisent un désherbant sélectif pour s’en débarasser. 

Il a été démontré que lorsque les feuilles se redressent, le mauvais temps arrive, et que si la plante se replie sur elle-même, il y a menace de tempête (il peut donc remplacer la grenouille pour les prévisions météo !).

Sur les 12 000 variétés répertoriées, seul le trèfle rouge est non seulement cultivé pour l’alimentation du bétail mais aussi exploité pour ses vertus médicinales. Grâce à ses propriétés, cette plante agit à la fois sur la circulation du sang, la sécrétion de la bile, calme les bronchites, intervient dans les traitements de l’eczéma et du psoriasis.

Des études scientifiques récentes tendraient même à prouver que le trèfle rouge, qui a une activité de type oestrogénique, serait susceptible d’être utilisé afin de palier certains inconvénients de la ménopause. Il pourrait notamment faire augmenter le taux du bon cholestérol et ralentirait sensiblement la perte de la masse osseuse chez la femme.

Saint Patrick, un des saints patrons de l’Irlande, se serait servi du trèfle, qui poussait en abondance sur cette île, pour présenter le mystère de la Trinité à ceux qu’il entendait évangéliser. C’est ainsi qu’il en devint tout naturellement le symbole et que le 17 mars, il est, entre autre, de tradition d’offrir du trèfle.

Le trèfle à quatre feuilles porte chance, dit-on, parce qu’il est relativement rare, c’est un mutation du tréfle blanc (qui est l’éspece la plus commune de tréfle) qui est exceptionnellement composé de quatre folioles au lieu des trois habituelles.

On estime qu’il y a environ 10 000 trèfles à trois feuilles pour chaque trèfle à quatre feuilles (?)… Je n’ai pas vérifié ! Si vous effeuillez un trèfle, sachez que la première feuille est pour l’espoir, la seconde pour la foi, la troisième pour l’amour et la quatrième, bien sûr, pour la chance

 

Par voie interne

Ménopause et prévention des troubles cardiovasculaires

Les produits du commerce conçus pour ce type d’usage sont des extraits de trèfle rouge riches en isoflavones. Les données actuelles sur ce type de supplément ne sont pas assez concluantes pour suggérer un dosage.

Usages traditionnels

Par voie interne

Toux, eczéma, psoriasis et démangeaisons cutanées

  • Infusion. Infuser 4 g de sommités fleuries séchées dans 250 ml d’eau bouillante durant 15 minutes; boire de deux à trois tasses par jour.
  • Capsules (contenant des sommités fleuries). Prendre de quatre à huit capsules de 500 mg par jour.
  • Teinture (1:10, 45 % alcool). Prendre de 1 ml à 2 ml, trois fois par jour (on peut la mélanger à un jus ou à une infusion).
  • Extrait fluide (1:1, 25 % alcool). Prendre 1 ml, trois fois par jour.

Par voie externeabeillelogo2.gif

Psoriasis, eczéma et démangeaisons cutanées

  • Il existe des crèmes et des onguents renfermant de 10 % à 15 % de sommités fleuries séchées. On peut également utiliser l’infusion (refroidie) en lavage ou en compresse.

 

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LE THE …..plus qu’une boisson ….

Posté par eurekasophie le 9 février 2009

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~ D’OU VIENT LE MOT THÉ ? ~

 

Avant que le mot thé nous arrive dans la langue française, les feuilles de thé étaient nommées tcha, cha, tay et tee. Le mot thé vient du mot amoy (dialecte chinois) t’e. Cela date de l’époque où les navires hollandais rencontraient les jonques chinoises près du port d’Amoy, dans la province chinoise du Fuxian. Il devint thee en hollandais; comme les Hollandais furent les premiers à commercialiser le thé en Europe, l’infusion s’appela tee en allemand, te en italien, en espagnol, en danois, en norvégien, en suédois, en hongrois et en malais, tea en anglais, thé en français, teja en letton, tee en finlandais,tey en tamoul,ta en coréen, thay en cingalais, et Thea pour les scientifiques. Le mot mandarin cha s’adapte ch’a en cantonais et cha en portugais (lors du commerce avec Macao, qui parlait le cantonais), idem en persan, en japonais et en hindi; il se transforme thay en arabe, ja en tibétain, chay en turc et chai en russe.
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 Depuis sa découverte, on a prêté au thé d’innombrables vertus médicinales. Les recherches actuelles témoignent d’ailleurs de la véracité d’affirmations énoncées depuis des siècles. Son atout majeur est d’être un produit complètement naturel, ne contenant aucun colorant, conservateur ou arôme artificiels. C’est aussi une boisson sans calories si on la prend sans lait ni sucre, qui peut jouer un rôle de régulateur physiologique.

Le thé est naturellement riche en fluor, qui renforce l’émail des dents et retarde la formation de plaques dentaires en éliminant les bactéries. Il prévient aussi les maladies de la gencive et les caries.

Des recherches menées sur les animaux suggèrent que la consommation de thé vert ou noir peut réduire les risques de cancer – en particulier cancer de la peau, du poumon et du côlon. On pense que les composants du thé noir peuvent avoir un effet antioxydant et empêcher ainsi la formation de substances cancéreuses dans les cellules du corps humain.

Plusieurs programmes de recherche menés ces dernières années attestent les actions bénéfiques du thé sur les affections cardiaques, infarctus et thromboses. La théine du thé agirait sur le cœur et le système cardio vasculaire comme un léger stimulant, et contribuerait ainsi à assouplir la paroi des vaisseaux sanguins, à éviter l’artériosclérose (le durcissement des artères). On pense également que les polyphénols du thé peuvent empêcher l’absorption de cholestérol par le sang et la formation de caillots.

La théine du thé strimule l’esprit en augmentant sa capacité de concentration et sa vivacité, et en permettant une perception plus fine des sensations, celle du goût et de l’odorat en particulier. Elle a aussi une action reconnue sur les sécrétions digestives et sur le métabolisme en général, y compris les reins et le foie, en contribuant à l’élimination des toxines et d’autres substances indésirables.

Le thé vert gage de santé

Des études épidémiologiques antérieures avaient fait pressentir les vertus anticancéreuses du thé vert. Le pourquoi n’était toutefois pas élucidé. Or, les chercheurs viennent de découvrir dans le thé vert une substance indibant une enzyme essentielle pour la progression du cancer .Pour leur croissance, les tumeurs nécessitent certaines enzymes capables de dégrader les tissus. Un représentant éminent de cette classe d’enzymes est l’urokinase, qui est produite en quantités importantes par la cellule cancéreuse. En l’inhibant, on parvient – du moins dans l’expérimentation animale – à réduire les tumeurs. Malheureusement tous les inhibiteurs de l’urokinase disponibles à ce jour entraînent de graves effets indésirables et n’entrent donc pas en ligne de compte comme substances thérapeutiques. Dans une nouvelle étude, les chercheurs ont donc porté leur attention sur un constituant du thé vert, le gallate d’éplgal/ocatéchol-3 (EGCG), qui ne se trouve pas dans le thé noir. Une comparaison avec un inhibiteur d’enzyme connu a montré que l’EGCG a une efficacité cytostatique moindre que ce produit, mais qu’il peut être consommé en quantités bien plus importantes sans avoir d’effets toxiques

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LA TANAISIE

Posté par eurekasophie le 26 décembre 2008

La Tanaisie [Tanacetum vulgare / Chrysanthum tanacetum / Chrysanthum vulgare] Exclamation [Astéracées]

Synonymes : Herbe de Saint-Marc, Herbe aux vers, Herbe aux lombrics, Herbe sainte, Sent-bon, Baume, Barbotine, Athanase.
Un bon nombre de ses synonymes fait appel à ses vertus : vermifuge [herbe aux vers, etc.], aromatique [sent-bon, baume.]
La tanaisie apparaît dans le Capitulaire de Villis au temps des carolingiens en tant que plante recommandée, tant pour un usage culinaire que médicinal auprès de l’homme mais aussi des animaux.

LA TANAISIE dans
La tanaisie est une plante vivace buissonnante solidement implantée terre par une souche envahissante, rameuse, rampante ; un rhizome, en fait.
Des tiges dressées et cannelées en touffe dont la hauteur peut atteindre 1,50 m, portant des feuilles très découpées à la forte odeur camphrée, et, enfin, des capitules de fleurs jaune d’or en boutons qui fleurissent de juin en octobre.

tanacetum-vulgare-3 dans Mon repertoire des plantes les moins usitees

La tanaisie est une plante relativement courante en plaine et en moyenne montagne [maximum 1 500m.] Cependant, on la trouvera rarement dans l’Ouest et le Sud de la France.
On la trouve sur les talus et décombres, dans les haies, les bords de chemin et d’eaux douces. Dans tous les cas, sur sol sec, au soleil ou à mi-ombre.

La tanaisie en phytothérapie :
1/Parties utilisées :

*Sommités fleuries
*Semences

2/Principes actifs :*Thuyone
*Tanacétone
*Tanacétine
*Bornéol
*Cinéol
*Camphre
3/Propriétés médicinales :

*Vermifuge
*Insectifuge
*Antispasmodique
*Antiseptique
*Fébrifuge
*Tonique
*Emménagogue

4/Usages :

*Colites spasmodiques, douleurs gastriques
*Fièvre
*Nervosité
*Vertige
*Règles insuffisantes
*Goutte, rhumatismes
*Entorses, foulures, contusions
*Varices
*Hydropisie [œdème généralisé]
*Ascaris et oxyures [vers intestinaux]

5/Contre-indications, remarques et autres usages :

*Cette plante est une espèce végétale toxique Exclamation*La tanaisie est déconseillée à la femme enceinte : elle est abortive ! Elle est également tétanisante et convulsive.*La tanaisie est un anti-puce/anti-punaise efficace [à placer entre le sommier et le matelas, à la campagne, par exemple.]
Quelques feuilles de tanaisie dans la niche d’un chien feront disparaître les puces. Les mites et les fourmis ne résistent pas à son parfum.
On a utilisé les feuilles dont on enveloppait les viandes afin d’en éloigner les mouches.

*Il existe un élixir floral à base de fleurs de tanaisie : il est destiné pour des tempéraments indécis, lents et apathiques qui remettent à plus tard par peur des contraintes.*Dans le Mésnagier de Paris [le plus important document culinaire du Moyen-Âge – XIV ème siècle], la tanaisie entre dans un certain nombre de recettes, les œufs à la tanaisie, par exemple.
Elle entre dans la composition de la Chartreuse ainsi que dans des sirops et liqueurs artisanaux
*Avec les fleurs de tanaisie, on obtient une teinture dorée.

*Tanacetum vulgare Var. Crispum : une espèce dont les feuilles sont utilisées dans les bouquets.

tanacrisp02 


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LE THYM ET LE SERPOLET

Posté par eurekasophie le 20 novembre 2008

thym4.jpg       Le thym

Merveilleuse famille , généreuse amille que celle des labiées! Après nous avoir superbement donné la sauge, la mélisse, le romarin, la menthe, la sarriette, le lamier et dix autres herbes de joie et de sant, il fallait encore qu’elle nous offre le thym et le serpolet.

Les Anciens connaissaient fort bien ces deux herbes, au reste très proches l’une de l’autre, et très variables quant à la forme ( le serpolet rampe davantage que le thym, qui pousse n petits bouquets; ses fleurs sont aussi un peu mauves). Théophraste et Dioscoride, en Grèce, les disaient propres à calmer les convulsions, à réduire les inflammations de l’intestin et du foie, à provoquer les règles lorsqu’elles sont défectueuses, et à calmer les spasmes de toute nature.

Charlemagne, quant à lui, en avait ordonné la culture dans ses capitulaires, de nos jours, les gouvernements ne passent plus de décrets concernant les bonnes herbes et c’est bien regrettable….C’est regrettable d’autant plus qu’il se prive ainsi des moyens de lutte fort efficaces contre les épidémies— lesquelles , on nous serine à longueur de temps, coûtent beaucoup d’argent. Aujourd’hui, lorsque la grippe arrive, on a que ……les antibiotiques . Je prétends, quant à moi, qu’on peut parfaitement préparer son organisme à résister à de telles épidémies par une consommation régulière d’herbes antiseptiques—et notamment le thym et le serpolet. Pourquoi ne pas essayer ? Des générations de nos ancêtres s’en sont fort bien trouvées. Je ne dis pas qu’il faille s’en tenir à ce qu’ils savaient: mais qui peut le plus peut le moins; les prescriptions que je vous donne présentent le double avantage d’être bon marché et d’être fort simples à suivre…..

Le thym et le serpolet ont les mêmes vertus, mais plus marquées chez le premier des deux. Ils sont stimulants et toniques, ce qui les fait recommander contre toutes les faiblesses organiques, notamment celles du système nerveux (neurasthénie, dépression, « manque de ressort », apathie) et du système circulatoire ( qui se traduisent par des vertiges, des migraines, des bourdonnements d’oreilles, etc.).

Ils constituent en outre les meilleurs amis de l’estomac et de l’appareil digestif— ce qui justifie leur emploi en cuisine (sur les viandes, dans les sauces, dans les soupes). Ils sont antispasmodiques, c’est-à-dire qu’ils luttent efficacement contre tous les spasmes, depuis la coqueluche et la toux jusqu’aux palpitations, en passant par les crampes d’estomac, l’asthme et l’insomnie.

Ils sont diurétiques, ce qui les fait indiquer contre les faiblesses des reins et de la vessie, contre la rétention d’urine, contre les rhumatismes et contre la goutte. Ils sont vermifuges ( conseillés tout particulièrement aux enfants, parce qu’ils les tonifient en même temps qu’ils les débarrassent de leurs parasites). Ils régularisent le cycle des femmes. Ils exercent la meilleure action dans tous les troubles de l’appareil respiratoire (rhume, angines, bronchites, pneumonies, pleurésies). Par-dessus tout, ils sont antiseptiques: ils éliminent les virus et les bactéries dans l’atmosphère par leur arôme (dû au thymol, ou « camphre de thym », qu’ils contiennent), ils détruisent ces germes infectieux dans l’organisme. Ainsi du furoncle à la fièvre typhoïde et du panaris à la tuberculose, il n’est pas une maladie à microbes qui ne puisse être soulagée par ces chères petites plantes. Bien évidemment, dans les cas bénins, le thym et le serpolet suffisent, alors qu’ils doivent être de simples alliés du médecin dans les cas graves.

A l’extérieur, outre les affections où il importe de désinfecter ( plaies, abcès, ulcères, brûlures, etc.), le thym et le serpolet peuvent rendre les meilleurs services contre les contusions, les foulures, les bleus, la goutte, les rhumatismes et les maux de dents; il vous faudra administrer ces remèdes, selon les cas, en compresses, en pansements, en lotions, etc.

Les bains complets de thym et de serpolet sont fort efficaces contre le rachitisme. Les bains locaux de ces plantes soulagent les douleurs des seins chez les femmes, et soignent les inflammations des yeux chez les petits enfants.

RECOLTE

Le serpolet (que l’on nomme encore thym sauvage, thym rouge, thym bâtard, poulliot, pouilleux, poujeu, poleur, serpoule, bouquet, sent-bon, etc.), fleurit de la fin du printemps à l’automne, dans la majeure partie de l’Europe; récoltez-le dans la nature lorsqu’il a le plus de parfum, et faites-le sécher en petits bouquets dans un endroit bien aéré.

Le thym vrai (que l’on nomme aussi thym commun, farigoule, barigoule, frigoule ou pote), a des « moeurs » plus méridionales: il lui faut du soleil pour épanouir ses jolies fleurettes en été. Récoltez-le au hasard de vos promenades dans le Midi, et faites-le également sécher en petits bouquets.

Si vous le cultivez au jardin (ce qui vaut évidemment mieux que de l’acheter dans n’importe quel magasin, sans aucune garantie de pureté), alors choisissez pour lui un sol léger, calcaire et pierreux: l’humidité lui est fatale. Achetez-en quelques pieds chez votre horticulteur, et mettez-les en terre plein Sud, si possible sous un mur qui les protège des vents froids et leur renvoie la lumière. Récoltez en été, en laissant quelques pousses faire des graies pour l’année suivante.

PREPARATION ET EMPLOI

Usez du thym et du serpolet de toutes les façons possibles en cuisine. Pour le reste, voici quelques recettes éprouvées:

1°) SERPOLET

serpolet3.jpg

Infusion :

jetez une dizaine de brins de serpolet dans un litre d’eau (3 à 4 tasses par jour.)

Infusion concentrée:

pour l’usage externe : jetez une poignée de serpolet dans un litre d’eau. (En lotions, compresses, massages….).

Bains de mains et de pieds, douches vaginales:

mêmes proportions que pour l’infusion concentrée.

Poudre:

de serpolet: écrasez longuement une branche de serpolet dans un mortier ou sous une bouteille; recueillez la poudre, et mélangez-la à du miel.( Dose pour la journée.)

Liqueur:

de serpolet: faites macérer 3 ou 4 branches de plante sèche ou fraîche dans 1/4 de litre d’eau-de-vie. (Une cuillerée à café, de temps à autre.)

Tisane composée:

( pour ceux qui souffrent du foie): jetez une pincée de serpolet et une pincée d’anis vert par tasse d’eau. ( Une tasse chaque soir.)

2°)  THYM

Infusion:

comptez une petite branche de thym partasse de breuvage, et ajoutez-y éventuellement quelques feuilles de menthe, de mélisse ou de sarriette. (2 tasses par jour.)

Infusion ou décoction:

pour l’usage externe (compresses, lotions etc.): jetez 2 à 3 poignées de thym dans un litre d’eau.

Bains de mains et de pieds:

mêmes proportions que pour la recette précédente.

Poudre:

de thym: procédez comme pour la poudre de serpolet. (Une petite branche écrasée par jour, dans du miel.)

Gargarismes:

au thym: faites bouillir pendant 1/4 d’heure une poignée de thym dans 2 litres d’eau; sucrez au miel.

Dentifrice:

au thym: faites macérer 3 poignées de plante dans 1/2 litre d’eau-de-vie, et frottez-vous les dents chaque jour en trempant votre brosse dans cette préparation.

Cataplasmes:

de thym: chauffez quelques poignées de thym frais, et appliquez la plante directement sur l’endroit douloureux (rhumatismes, bronchites, etc.)

POUR FINIR,

un bon conseil: si vous voulez passer un hiver sans rhume, faites une petite cure préventive de thym et de serpolet, en prenant tous les soirs une infusion bien chaude à 2 pincées de chaque plante par bol.

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