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PIED DE CHAT ….

Posté par eurekasophie le 5 février 2010

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Pied de chat dioïque
 

(Antennaria dioica)

(Composées ou Astéracées)

 

Synonyme(s) français(s) : Antennaire dioïque, Gnaphale dioïque, Pied de chat

Antennaria est un genre d’environ 45 espèces de petites plantes vivaces herbacées et dioïque de la famille des Asteraceae. Ses espèces sont appelées antennaires. Ce nom générique fut proposé par le botaniste Joseph Gaertner, en 1791. Il est issu du latin antenna, et signifie antenne : il rappelle la forme des soies épaissie des capitules, ressemblant à des antennes de papillon. Beaucoup d’entre elles sont aussi désignées par le nom vernaculaire Pied de chat, qui se rapporte à l’aspect doux des fleurs réunies en coussinets comme ceux du chat.

C’est une plante vivace de taille modeste (40cm au plus) à rhizome ramifié qui donne naissance à des stolons et à des rejets avec des rosettes de feuilles élargies en spatule au sommet à très courte pointe, rétrécies à la base, densément velues sur les 2 faces, veloutées-soyeuses et blanches sur le dessous, vert grisâtre sur le dessus. Les tiges florifères, dressées, blanches, cotonneuses, sont munies de feuilles plus étroites. Capitules rapprochés en corymbe serré au sommet de la tige. Les fleurs toutes en tubes sont entourées de bractées blanches pour les fleurs mâles, roses pour les fleurs femelles (en général) sur des pieds distincts.
Dans les Pyrénées : caractéristique des nardaies, pelouses et landes basses sur sol siliceux, sur l’ensemble de la chaîne.

Antennaire dioïque
 Antennaria dioica
Antennaria dioica
Classification classique
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Sous-classe Asteridae
Ordre Asterales
Famille Asteraceae
Genre Antennaria
Nom binominal
Antennaria dioica

Utilisations officinales : toute la plante contient des substances expectorantes et cholagogues.

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GANT DE BERGERE

Posté par eurekasophie le 5 février 2010

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Digitale à grandes fleurs
 

(Digitalis grandiflora)

(Scrofulariacées)

Synonyme(s) français(s) : Gant de bergère, Gant de Notre-Dame, Grande digitale

Synonyme(s) latin(s) : Digitalis ambigua

Famille des scrophulariaceae

Plante pérenne à racine pivot portant une rosette de feuikkes lancéolées.

La tige dressée porte également des feuilles alternes et sessiles, de même forme que celles de la rosette.

Les feuilles supérieures axillent de grandes fleurs campanulées, ocre jaune.

Le fruit est une capsule

L’espèce croît en Europe, dans les bois, les clairières et sur les supports cailouteux en basse montagne et montagne.

Elle se cultive facilement dans les jardins et se naturalise fréquemment.

On récolte à la main les feuilles (Folium digialis grandiflorae).

Elles servent de matière première pour l’obtention de cardénolides qui sont d’importants remèdes cardiaques, aux doses médicinales, les cardénolides sont régulateurs de l’activité cardiaque.

Tous ces remèdes ne peuvent être prescrits que par un médecin.

époque de floraison juin à juillet, récolte des feuilles juin à septembre.

Plante toxique.

 

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L’abbé Noîte …comme une ch’tite rosacée ….Hi hi ! BON, EUHH , Si ON PEUT PLUS RIGOLER !!!

Posté par eurekasophie le 29 janvier 2010

 Z’AVEZ CAPTÉ LE JEU DE MOTS ?

NANNNNNNNN , REVENNEZ QUAND VOUS SEREZ RÉVEILLÉ ALORS !

Hebergement d'images < Pôvre ch’tite Sophie….si jeune et si perturbée . Enfin, je lui prépare une potion qui devrait la remettre d’aplomb. On verra à l’usage …

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Benoîte commune

(Geum urbanum)

(Rosacées)

Comment lire une taxoboxBenoîte commune
 Geum urbanum
Geum urbanum
Classification classique
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Sous-classe Rosidae
Ordre Rosales
Famille Rosaceae
Sous-famille Rosoideae
Genre Geum
Nom binominal
Geum urbanum

Synonyme(s) français(s) : Benoîte des villes, Herbe à la fièvre, Herbe de Saint Benoît, Vraie benoîte

La benoîte commune ou benoite commune (Geum urbanum) est une plante de la famille des Rosaceae.

Elle se trouve dans toute la France et en Corse, particulièrement dans les endroits frais tels que les haies et les sous-bois. On peut la rencontrer également de façon très abondante près des décharges.

La benoîte commune ou benoîte des villes a pour nom scientifique geum urbanum ; c’est une plante vivace qui pousse dans les lieux ombragés, de préférence en sol riche et humide où elle peut devenir envahissante. Elle appartient à la famille des rosacées. La partie souterraine qui seule, subsiste en hiver, est un genre de rhizome à odeur de girofle.
Les parties aériennes sont couvertes d’un duvet un peu rude. La tige érigée, étroite mais solide, porte des ramifications, elle peut atteindre jusqu’à 60 cm environ.
Les feuilles sont divisées en folioles inégales, pennées et dentées. Celles de la base en comptent davantage que les autres. Le point d’insertion du pétiole s’accompagne de larges
stipules à l’aspect de feuilles.
A partir du mois de mai et durant l’été, la plante fleurit, mais de façon peu spectaculaire.
Les fleurs peu nombreuses sont portées par des pédoncules assez longs, munis de bractées à leur base. Le calice a des sépales qui se replient vers le bas après la floraison. Les 5 pétales jaunes sont arrondis et espacés, ils encadrent les étamines à anthères jaunes et le pistil volumineux à très nombreux
styles verts. Le fruit est constitué d’un ensemble d’akènes poilus, terminés par le reste du style, muni d’une sorte de crochet à l’extrémité ; ces akènes forment une touffe globuleuse.La benoîte commune est une plante médicinale aux effets astringents, fébrifuges et toniques.
Par ailleurs, les jeunes feuilles peuvent être consommées en salade ou comme légume, le rhizome colore en brun-orangé et remplace le clou de girofle dans les préparations culinaires ou les boissons (vins, bières).
Hebergement d'imagesIl existe d’autres espèces de geum, par exemple :
- geum reptans qui est rampante à grandes fleurs jaune vif
- geum rivale, la benoîte des ruisseaux à fleurs rosées au calice pourpre.
- geum chiloense originaire du Chili qui est très cultivée comme ornementale à fleurs rouges, orangées, simples ou doubles.

                                                                                                                    Hebergement d'imagesHebergement d'images                     Hebergement d'images

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ALISIER……

Posté par eurekasophie le 28 janvier 2010

 

 

 

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Alisier torminal

(Sorbus torminalis)

(Rosacées)

Origine du nom latin :
   torminalis : Qui guérit les coliques ou de la dysenterie (du latin tormina, crampe abdominale, dysenterie).

( Sens commun

TORMINA, UM, n pl

1 siècle avant J.C.CICERO (Cicéron)

colique n. f : douleur abdominale )

L’alisier torminal ou sorbus torminalis est un arbre à développement moyen qui peut atteindre 25 m et qui pousse naturellement en lisière de bois ; il appartient à la famille des rosacées.

Son tronc, d’abord clair et lisse, devient finement fissuré, grisâtre ou brunâtre.
Ses branches sont souvent dressées mais certaines ont tendance à s’étaler. 
Les jeunes rameaux sont sombres et brillants, ils portent de gros bourgeons verts presque sphériques.

Hebergement d'images
Les feuilles caduques vert-sombre sont alternes, simples
et découpées en lobes pointus avec une bordure dentée.
A l’automne cet arbre se pare de très belles couleurs jaunes et rouges souvent très vives qui le rendent intéressant pour la décoration de parcs ou haies.

En mai-juin, la floraison blanche est également intéressante par le nombre de ses inflorescences du type cyme.

En octobre-novembre, les fruits appelés des alises mûrissent et, lorsqu’ils sont blets deviennent d’un goût agréable où le sucré l’emporte sur l’acide et l’amer ; ils contiennent plusieurs graines.
Ces fruits de la taille d’une petite cerise ont un épiderme brun couvert de nombreuses
lenticelles claires.

L’alise est astringente, elle sert à lutter contre les diarrhées.
Le bois dense et homogène est utilisé en tournerie.

Hebergement d'images Alises

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ACHILLEE …………..Aaaaaaaaatchoum !

Posté par eurekasophie le 27 janvier 2010

 

 

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Achillée sternutatoire

(Achillea ptarmica)

(Composées ou Astéracées)

Dans un précédent article, je vous ai parlé longuement de l’achillée millefeuille ( comme le gâteau ) ,

voici un article sur l’achillée sternutatoire ….Aaaaaaaatchoum ! s’cusez moi siou plaît !

L’achillée sternutatoire (Achillea ptarmica L.) (aussi appelée achillée des marais, bouton d’argent, herbe à éternuer, achillée ptarmique ou passe-pierre) est une plante vivace appartenant à la famille des Astéracées (ou Composées) et au genre Achillea, dont le représentant le plus répandu est l’achillée millefeuille (Achillea millefolium).

Achillée sternutatoire
 Achillea ptarmica
Achillea ptarmica
Classification classique
Règne Plantae
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Ordre Asterales
Famille Asteraceae
Genre Achillea
Nom binominal
Achillea ptarmica

Difficile de dire si cette plante fait vraiment éternuer comme l’indique son nom, les avis divergent sur ce point : sans doute provoque-t-elle des allergies chez certains, alors que d’autres y sont totalement insensibles. C’est une plante assez commune dans toute l’Europe occidentale, à l’exception des régions méditerranéennes.

 

Habitat : prairies humides, au bord des ruisseaux et des fossés. Aime les sols argileux à eaux souterraines.

 

 

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 DESCRIPTION:

Plante herbacée vivace, hermaphrodite (30-80 cm).

Souche ligneuse, rampante.

Tige dressée, raide, anguleuse, simple ou ramifiée dans le haut, glabre ou pubescente supérieurement.

Feuilles toutes caulinaires, alternes, sessiles, à limbe linéaire-lancéolé aigu, à marge régulièrement et finement dentée en scie, à dents rapprochées, mucronées et cartilagineuse.

Inflorescence : corymbe de capitules longuement pédicellés, larges de 12 à 18 mm ; réceptacle garni d’écailles ; involucre hémisphérique, velu, à bractées pourvues d’une marge bleuâtre ; fleurs du pourtour ligulées par 8-10 (rarement 5-13), à ligule blanche égalant au moins la longueur de l’involucre, fleurs centrales nombreuses et serrées, à corolle blanche, tubulée, terminée par 5 lobes triangulaires, réfléchis.

Fruit : akène sans pappus.

Commentaires : comme l’achillée millefeuille, la plante peut provoquer des allergies sur des épidermes sensibles.
Le goût de sa racine est âpre.

Utilisations officinales : la plante contient des substances qui font éternuer.

Aaaaatchoum , s’cusez moi siou plaît

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SABINE…..

Posté par eurekasophie le 25 janvier 2010

         Hebergement d'imagesHebergement d'images

                                                                          <   C’est bien toi Sosso ? T’es revenue ? Pis comment va ta cheville ? C’est vrai que tu tiens plus debout sans te gameller ? Hi hi ! Mais non je rigole pas ….Je souris, c’est différent . C’est vrai que t’as écrit un article ? C’est qui cette Sabine ? Bon , ben j’te laisse travailler, j’vois bien que je t’ennerve …..Aller viens Sabine, on laisse Sophie travailler…

 

juniperussabina3.jpgjuniperussabinacult1.jpg

 

Sabine
 

(Juniperus sabina)

(Cupressacées)

Synonyme(s) français(s) : Genévrier savinier

Juniperus sabina
 Juniperus sabina
Juniperus sabina
Classification classique
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Coniferophyta
Classe Pinopsida
Ordre Pinales
Famille Cupressaceae
Genre Juniperus
Nom binominal
Juniperus sabina

Le genévrier sabine (Juniperus sabina) est un arbre appartenant au genre Juniperus et à la famille des Cupressaceae. Noms vernaculaires : Genévrier sabine, Sabine de montagne (Savina de muntanya en catalan).

C’est un arbrisseau touffu, couché, peu commun, qu’on peut rencontrer dans les Alpes et les Pyrénées. Les feuilles sont réduites à de petites écailles aiguës au sommet et imbriquées sur quatre rangs, parfois six. Elles sont munies sur le dos d’une glande jaune et brillante. Les jeunes pousses possèdent des feuilles lancéolées et piquantes. Le fruit est bleuâtre à maturité.

juniperussabina25.jpg

Confusions possibles :
Avec les autres genévriers : genévrier de Phénicie (Juniperus phoenicea), genévrier thurifère (J. thurefia) et le genévrier commun (J. communis), ce dernier est comestible, ces feuilles sont des aiguilles piquantes verticillées par trois.
Toxicité :
Les rameaux de genévrier sabine provoque de violentes irritations de toutes les muqueuses. Lors d’empoisonnements, on observe une atteinte du système nerveux avec convulsions dont la responsabilité est attribué au sabinol. Le pyrogallol bloque complètement le circuit intestinal, les animaux qui en ont consommé meurent rapidement.

 

Hebergement d'images

                                           Hebergement d'images  < Radine toi Juju, c’est pas d’toi qu’on parle…Pourtant, Sabine, c’était mieux comme prénom que Juju. M’enfin bref ! 

Propriétés médicinales :
En médecine traditionnel, ses rameaux ont la réputation d’être emménagogue. Les “sorciers” d’autrefois se servaient de cette plante pour provoquer des avortements chez les femmes qui ne voulaient pas de leur enfant. C’est pourquoi pendant très longtemps en France la culture de cet arbre avait été rigoureusement interdite. D’autant que son usage est extrêmement dangereux.

juniperussabina.jpg

 

Et en bonzaï , c’est pas joli ?

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EUPATOIRE….

Posté par eurekasophie le 22 janvier 2010

papillon.gifeupatoire2.jpgpapillon.gif

 

 

Eupatoire à feuilles de chanvre
 

( Eupatorium cannabinum )

( Composées ou Astéracées )

Synonyme(s) : Eupatoire, Eupatoire chanvrine, Chanvrine, Herbe de Sainte-Cunégonde, Cannabine, Pantagruélion aquatique

Origine du nom français : cette plante est dédiée à Mithridate Eupator, roi du Pont, qui en découvrit les vertus.

L’eupatoire à feuilles de chanvre ou Eupatoire chanvrine (Eupatorium cannabinum) est une plante herbacée vivace de la famille des Astéracées Autre dénomination commune : d’après Gaston Bonnier,l’eupatoire à feuille de chanvre porte également le nom de « pantagruélion aquatique » (héritant ainsi du nom donné par Rabelais à une plante proche du chanvre, citée à la fin du Tiers Livre).Étymologie : le terme eupatoire créé au XVe siècle, vient du latin impérial eupatoria (herba) identifié comme l’« aigremoine eupatoire »; le terme latin est lui-même emprunté au grec εὐπατόριον eupatôrion, à l’étymologie incertaine.papillons09.gif                                                                                                                                       eupatoire.jpg                    papillon57.gif                                          eupatoire4.jpg

Les feuilles  sont opposées, composées à palmées et dentées. Les inférieures ont souvent 5 folioles et sont pétiolées. Les moyennes et les supérieures sont en général trifoliées, à pétiole court ou nul. Les bractées de l’involucre sont peu nombreuses.

Les tiges  sont raides dressées, poilues, souvent teintées de pourpre ou de rouge.

Ce sont de petites fleurs, pourpres, rosâtres ou roses, rarement blanches, qui mesurent 2 à 5 mm de diamètre. Elles sont toutes tubulées avec 5 dents courtes et regroupées en larges capitules attirant les abeilles et les papillons. Les capitules sont eux-mêmes regroupés en large corymbe aplati.

eupatoriumcannabinum2.jpg

medecine.gifElle renferme notamment des lactones sesquiterpéniques, qui lui confère une activité antimicrobienne et des polysaccharides qui ont la propriété de stimuler l’immunité. Elle traite et prévient les infections à répétition, tels que les rhumes ou la grippe. Elle a aussi une action anti-inflammatoire sur le tractus respiratoire, notamment en cas de pharyngites ou de bronchites.

Utilisations officinales : les racines et les feuilles contiennent des substances apéritives, stimulantes, légèrement laxatives, cholagogues, diurétiques.

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MORELLE DOUCE-AMERE

Posté par eurekasophie le 15 janvier 2010

 

solanum1.jpg

Morelle douce-amère
 

(Solanum dulcamara)

Douce-amère
 Solanum dulcamara
Solanum dulcamara
Classification classique
Règne Plantae
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Ordre Solanales
Famille Solanaceae
Genre Solanum
Nom binominal
Solanum dulcamara

                                                                (Solanacées)

Synonyme(s) français(s) : Crève-chien, Douce_amère, Herbe à la fièvre, Loque, Vigne de Judée

Cette plante de la famille de la pomme de terre se rencontre dans les bois humides et au bord des eaux. Ses fleurs violette et jaunes sont très caractéristiques.

Altitude : dépasse 1500 m.

Taille : 2 m de long.

Floraison : de juin à septembre.

Cycle de vie : vivace hivernant sous la forme d’une souche ou d’une tige ligneuse.

Toxicité : fruits toxiques.

Habitat : haies, bois humides, lisières, terrains vagues, bords des eaux douces, en sol fertile.

solanum20dulcamara.jpg 

Fleurs : fleurs de 1 à 2 cm, violettes, pendantes, en inflorescence lâche ; pétales étalés puis se recourbant vers l’arrière ; anthères formant un cône jaune pâle qui enserre le stigmate.

Feuilles : feuilles variables, alternes, souvent à 2 lobes à la base.

Tige : tiges ligneuses à la base.

Reproduction : baie ovoïde, successivement verte, jaune et rouge.

Commentaires : plante grimpante s »enroulant autour des autres plantes

solanumdulcamara.jpg

Utilisations officinales : la partie ligneuse de la tige sèche contiennent des substances dépuratives et sudorifiques, diurétiques, dépuratives et expectorantes.

potphamaciecelestamine3.jpg

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RHODODENDRON ET COMPAGNIE ….

Posté par eurekasophie le 14 janvier 2010

 

papillonetfleur.gifrhododendronferrugineum2.jpgpapillonetfleur.gif

Rhododendron ferrugineux
 

(Rhododendron ferrugineum)

(Éricacées)

Rhododendron
ferrugineux
 Rhododendron ferrugineum
Rhododendron ferrugineum
Classification classique
Règne Plantae
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Ordre Ericales
Famille Ericaceae
Genre Rhododendron
Nom binominal
Rhododendron ferrugineum

Synonyme(s) français(s) : Antenet, Bois-rouge, Laurier-rose des Alpes, Résenit, Romarin sauvage, Rosage ferrugineux

Origine du nom latin : 
Rhododendron : Dans l’Antiquité, le nom de rhododendron désignait le laurier-rose, Nerium oleander. Ce n’est qu’au XVIième siècle que le nom fut

transféré au genre qui le porte aujourd’hui (du grec rhodos, rose, et dendron, arbre).

Le rhododendron se rencontre à la limite des derniers arbres de l’étage sub-alpin. Ses fleurs rose vif se développent par grappes. Une sous espèce R. Hirsutum se reconnaît à ses feuilles ciliées. C’est au baume secrété par de curieux poils en écusson (de couleur jaune puis brun de rouille, seules la face inférieure des feuilles et la corolle en sont pourvues), bien visibles à la loupe et à l’aspect d’oxyde de fer, que cet arbuste doit par contre son nom d’espèce (cf. C Favarger).

Certains apiculteurs proposent un miel unifloral de Rhododendron dont la dénomination n’est pas usurpée tant sont nombreux ses buissons dans les bois. Le miel toutes fleurs quant à lui provient du nectar d’espèces prairiales et le miel de miellat d’espèces forestières spécifiques. Le miel de montagne proprement dit est constitué à la fois de miels de nectar et de miellat. 
                                                                           abeille03.gif                            abeille2.gif                    
rhod2.jpg     abeille2.gif             

Utilisations officinales : les feuilles et les fleurs contiennent des substances diurétiques, toniques et anti-rhumatismales.

 

 

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CAMPANULE RAIPONCE , non pas réponse …raiponce

Posté par eurekasophie le 11 janvier 2010

camprai.jpgimagepapillonescargot.jpg

 

Campanule raiponce
 

( Campanula rapunculus )

( Campanulacées )

Cette campanule possède une très grande tige raide et droite. Ses feuilles sont très petites et étroites, disposées dans le bas de la tige. Ses fleurs sont profondément divisées et bien ouvertes. Cette plante est beaucoup plus rare que sa cousine la campanule fausse-raiponce et se rencontre dans les clairières et les talus de basse et moyenne altitude.

camprai2.jpg

La racine est charnue et fusiforme.
La partie aérienne très variable est glabre ou pubescente.
La tige dressée, en général peu ou pas ramifiée, peut atteindre et dépasser les 100 cm.
Les feuilles alternes sont lancéolées et sessiles vers le haut de la tige.

camprai3.jpg
Les nombreuses fleurs en forme de cloche, dirigées vers le haut, ont une couleur bleue, lilacée ou rarement blanche. Elles sont groupées en une longue grappe étroite, généralement peu ou pas ramifiée.

Le fruit est une capsule dressée.

Utilisations culinaires : autrefois, elle était cultivée comme légume dans les potagers. Ses racines, tendres et charnues, sont consommées crues ou cuites à la façon des carottes. Les feuilles peuvent être servies en salade.

Utilisations autres : plante ornementale.

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