Posté par eurekasophie le 29 octobre 2008
Les dépuratifs en général. Particulièrement: Amandier. Arnica. Artichaut. Aunée. Bardane. Carotte cultivée. Carotte sauvage. Chicorée. Chou. Cresson. Eglantier. Genêt à balais. Lavande. Myrtille. Navet. Ortie. Pommier. Rose. Sauge. Souci. Violette.
Mon conseil: bains de mains et de pieds de la composition suivante: une poignée d’artichaut (feuilles), une poignée d’aunée( fleurs et feuilles), une poignée de chélidoine( feuilles) et une poignée de chou( feuilles), pour 2 litres d’eau.( 2 bains par jour.)
Ou encore: infusion de la composition suivante: une pincée de thym, une pincée de serpolet, une pincée de romarin, une pincée de verveine, un pincée de basilic et une pincée de sauge, pour un grand bol. (Chaque soir.)
Publié dans "E*", MON HERBIER DE SANTE | 2 Commentaires »
Posté par eurekasophie le 29 octobre 2008
Les astringents. Particulièrement: Achillée mille-feuille. Ail. Basilic. Bouillon blanc. Camomille. Céleri. Chêne. Citronnier. Guimauve. Lamier. Mauve. Noyer. Oignon. Romarin. Rose. Sapin. Sage. Souci. Thym.
Mon conseil: compresses imbibées de la décoction suivante: achillée mille-feuille (2 pincées), bouillon blanc (2 pincées), guimauve ( 2 pincées), sapin( 2 pincées de bourgeons), souci( 2 pincées) par litre d’eau.
Ou encore: compresses imbibées d’une décoction de feuilles de noyer à une poignée par litre.
Publié dans "E*", MON HERBIER DE SANTE | Pas de Commentaire »
Posté par eurekasophie le 29 octobre 2008
Les aromatiques. Particulièrement: Ail. Chêne. Citronnier. Fenugrec. Genêt à balais. Mélisse. Menthe. Romarin. Sauge. Souci .Thym.
Mon conseil: infusion de la composition suivante: ail( une tête écrasée), mélisse (2 pincées), romarin (2 pincées), et thym( 2 pincées), par litre d’eau. (A boire : 2 à 3 tasses parjour. Ou bien à appliquer en compresses, notamment sur les seins.)
Publié dans "E*", MON HERBIER DE SANTE | Pas de Commentaire »
Posté par eurekasophie le 29 octobre 2008
Les adoucissants et les émollients. Particulièrement: Alchémille. Aigremoine eupatoire. Anis vert. Bouillon blanc. Chou. Coquelicot. Eucalyptus. Guimauve. Lierre terrestre. Mauve. Sarriette. Sauge. Thym. Violette.
Mon conseil: gargarismes de la décoction suivante: feuilles de chou (une poignée), lavande( une poignée), mauve (une poignée), violette ( une poignée), par litre d’eau. Pendant le même temps, prenez chaque jour une infusion de serpolet, d’anis et d’aigremoine, à une pincée de chaque par bol d’eau.
Publié dans "E*", MON HERBIER DE SANTE | Pas de Commentaire »
Posté par eurekasophie le 29 octobre 2008
Les analgésiques, les adoucissants. Particulièrement: Arnica. Camomille. Carotte cultvée. Carotte sauvage. Chou. Lierre terrestre. Navet. Sauge.
Mon conseil: teinture d’arnica et cataplasmes de feuilles de chou chauffées.
Ou encore: compresses imbibées d’une décoction de feuilles de chélidoine (une grosse poignée pour un litre d’eau, qu’on laissera réduire d’un tiers).
Publié dans "E*", MON HERBIER DE SANTE | Pas de Commentaire »
Posté par eurekasophie le 25 octobre 2008
Définition
Infection de la peau d’origine bactérienne (streptocoque b-hémolytique), pouvant toucher également les tissus situés au-dessous de l’épiderme (derme et hypoderme).
L’érysipèle classique est constitué d’une plaque rouge brillante, accompagnée d’une fièvre importante aux environs de 40°C. Les antibiotiques ont rendu les bactéries à l’origine de cette maladie inoffensifs, mais des complications locales ou des récidives peuvent survenir.Cette maladie, qui touche essentiellement les membres inférieurs, est sans doute favorisée par l’insuffisance veineuse. Elle touchait autrefois essentiellement le visage; la diminution de cette localisation semble due à l’utilisation des antibiotiques de façon plus précoce que jadis.
L’érysipèle se situe rarement au membre supérieur ou au niveau de l’abdomen.
Malgré les progrès de l’hygiène et le développement de l’antibiothérapie, l’érysipèle est en constante augmentation en France depuis les 20 dernières années.
L’érysipèle touche l’adulte après 40 ans, avec un âge moyen de survenue vers 60 ans.
Il existe parfois une recrudescence saisonnière en été et en automne, bien que cette notion ne soit pas vérifiée dans tous les cas.
Symptômes
L’érysipèle de la jambe
Forme d’érysipèle le plus fréquemment rencontrée actuellement. Il se caractérise par une grosse jambe douloureuse et une fièvre importante. Habituellement, des frissons précèdent de quelques heures l’apparition de la plaque rouge à la surface de la peau.
L’érysipèle se développe en moins de 24 heures et provoque un œdème douloureux à la palpation, bien délimité à sa périphérie. Parfois apparaît autour de la plaque un bourrelet constitué par un petit épaississement de la peau, faisant la frontière entre la zone enflammée et le reste de la peau saine.
Il est possible également de rencontrer un décollement de l’épiderme secondaire à la constitution de bulles superficielles, dues à l’accumulation d’eau dans l’épiderme.
La palpation de quelques ganglions est probable mais pas constante.
La présence d’une petite plaie (dans 50 à 70 % des cas, il s’agit d’une simple égratignure) souvent passée inaperçue, mais qui doit faire l’objet d’une investigation minutieuse, peut expliquer l’érysipèle de la jambe.
L’état de propreté du patient et l’existence entre les doigts des pieds d’un éventuel intertrigo (inflammation de la peau au niveau des plis, favorisée par l’obésité et la transpiration) doivent être vérifiées.
Les antibiotiques. Particulièrement: Amandier. Artichaut. Aunée. Bardane. Chélidoine. Chou. Fougère. Genêt à balais. Guimauve. Laitue. Lavande. Navet. Ortie.
Mon conseil: bains de mains et de pieds de la composition suivante: feuilles d’artichaut (une poignée), feuilles de chélidoine ( une poignée), feuilles de fougère (une poignée), feuilles d’ortie ( une poignée), pour 2 litres d’eau ( 2 bains par jour.).
Publié dans "E*", MON HERBIER DE SANTE, Non classé | 7 Commentaires »