Bonne fête Mammie

Posté par eurekasophie le 28 février 2009

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Trouvez un cadeau pour votre Grand-Mère

Pour cette occasion pensez à lui offrir des cadeaux personnalisés ! Un petit message gravé sur une parure de stylos, un dessin d’enfant imprimé sur une toile, une plaque de rue à son nom, un mug avec la photo de ses petits enfants…

Vous trouverez ici de nombreuses idées cadeaux pour la fête des grand-mères !
 

Bricolages pour les enfants

Vous trouverez ici des idées de cadeaux à fabriquer soi meme pour offrir à sa mamie : le site teteamodeler

 

 

 

 

 

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BEN OUI, C’EST CARNAVAL …

Posté par eurekasophie le 24 février 2009

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Origines de Mardi Gras et de Carnaval

Tout au long de l’année, se succèdent des fêtes qui rythment la vie des chrétiens.
La fête de Mardi Gras a tous les ans une date différente, fixée par rapport à la date de Pâques, qui elle même varie en fonction du cycle de la Lune.
Mardi gras et le jour qui précède le Mercredi des Cendres.
Il y a 40 jours de carême, entre le mercredi des cendres et le jour de Pâques.

Carnaval

  Origines du mot :

Dans Carnaval il y a Carne, la chair, la viande. En Italien « carnelevare » signifie « sans viande ».
Avant l’apparition de ce mot, la veille du Carême était appelée « Carême Prenant ».
C’est le dernier jour pour profiter une dernière fois avant Carême et faire bombance, car ensuite, pas d’alimentation carnée ni graisseuse durant 40 jours. On marque le coup par un festin, une fête colorée et bruyante.

La fête de Carnaval se déroule à différentes dates selon l’endroit du globe et revêt des rituels différents !

Carnaval, fête non reconnue par l’Eglise connaît des dates variables de début mais une date de fin fixe qui correspond à la tombée de la nuit de mardi gras.

Il faut savoir que sous l’empire Romain, il existait déjà une grande fête de Carnaval nommée  » les Saturnales  » à une toute autre période de l’année.

Cette période de fête populaire se déroulait entre le 17 et le 25 décembre.

Le peuple marquait par des réjouissances le solstice d’hiver. Ces fêtes avaient pour but de redonner courage et espoir au peuple
effrayé par les sols gelés, l’absence de vie et l’obscurité.

On offrait des cadeaux : des porte-bonheur, du miel, des gâteaux, de l’or étaient des cadeaux courants.
On décoraient les maisons avec du lierre, des branches de houx et de gui et tout travail, à part celui de la cuisinière et du banquier, était interdit.

Les symboles de Carnaval :
 

  • Le déguisement
  • La musique, orchestre ou fanfare
  • La parade qui consiste en un défilé des personnes déguisées accompagnées avec de la musique.
  • Les chars en général fleuris et très fantasques.
     
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    Carnaval laisse une grande place à l’imagination de chacun.
  •  

    Lors de ces fêtes de Carnaval on retrouve toujours le principe d’inversion au travers des costumes et des jeux (maître/esclave, homme/femme), on se déguise, on fait ripailles, on offre des cadeaux, chants et danses sont de la fête.
    Par opposition au Carême, le Carnaval est une période d’excès joyeux, de gras contre maigre. Dans tous les carnavals, les gens dansent, mangent et se déguisent, les règles et interdits habituels sont suspendus.
    Chars géants, parades, bals masqués, confettis et serpentins, fanfares, c’est la période des excès démonstratifs !
    Chaque pays à sa propre interprétation des réjouissances avec toujours un même objectif : faire la fête !
    Parmi les plus connus de nos jours, on peut citer les carnavals de Rio de Janeiro, Venise, Nouvelle-Orléans, Nice, également ceux du nord de la France comme Dunkerque, moins connu mais tout aussi festif, le carnaval de Québec. La plupart des carnavals ont des thèmes très variés, comme les géants, à Dunkerque dans le Nord de la France.
    A Rio de Janeiro, on envahit les rues en dansant des samba endiablées, habillé de paillettes et de plumes, pendant des jours et des nuits.

    La période du Carnaval
    change le monde.
    Celui qui va bien, celui qui va mal,
    le Carnaval nous fait tous nous réjouir.
    Celui qui a de l’argent,
    doit le dépenser,
    Celui qui n’en a pas,
    espère en trouver;

    il fait le marchand pour aller s’amuser.

    Ici la femme et là-bas le mari,
    chacun, a son goût,
    va où il est invité,
    à jouer et à danser.
    Carlo Goldoni

    carnaval4.gifMon carnaval à  moi   carnaval20.gif

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    Et  pour vous ?

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    LA SAINT VALENTIN …..

    Posté par eurekasophie le 14 février 2009

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    Histoire et Tradition de la Saint-Valentin

    Pourquoi ce martyr chrétien du IIIe siècle s’est-il vu transformé en patron des amoureux? Peut-être parce-qu’ une croyance médiavale européenne dit qu’au 14 février les oiseaux commencent à s’accoupler. La coutume de s’écrire à cette occasion est très ancienne. Depuis quelques décennies, on s’envoie des cartes. Elles sont illustrées de coeurs rouges symboliques, d’amoureux, de Cupidon avec son arc et ses flèches. Certaines sont très sophistiquées, décorées avec des rubans de papier, de plumes, de dentelles, de galons et des noeuds, elles peuvent être parfumées. Les messages écrits se surpassent en lyrisme plus ou moins poétique et en voeux d’amour éternel.

    Aux États-Unis, la Saint-Valentin est autant la fête de l’amitié que celle des amoureux (et ça, ça me plaît) . À l’école, les enfants se donnent les uns les autres des cartes sur lesquelles ils écrivent quelques mots gentils. Par courrier, ils s’envoient très souvent des graines à planter. Voilà qui constitue une tradition fort sympatique. En France, l’amour prévaut. Les couples futurs ou confirmés, s’ils sont séparés, marquent ce jour en expédiant une traditionnelle carte, mais ils peuvent aussi se faire un petit cadeau pour la circonstance, les fleurs constituent le geste le plus classique et toujours apprécié.

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    MAIS DITES-MOI, C’EST BIENTOT LA CHANDELEUR …….

    Posté par eurekasophie le 28 janvier 2009

    chandelle.jpgLa Chandeleur, autrefois « Chandeleuse », se fête le 2 février, soit 40 jours après Noël. Son nom vient du mot « chandelle ». A l’origine, à l’époque des Romains, il s’agissait d’une fête en l’honneur du dieu Pan. Toute la nuit, les croyants parcouraient les rues de Rome en agitant des flambeaux. En 472, le pape Gélase 1er décide de christianiser cette fête qui deviendra la célébration de la présentation de Jésus au temple. On organise alors des processions aux chandelles le jour de la Chandeleur, selon une technique précise. Chaque croyant doit récupérer un cierge à l’église et le ramener chez lui en faisant bien attention à le garder allumé. Un dicton de Franche-Comté dit d’ailleurs :

    Celui qui la rapporte chez lui allumée
    Pour sûr ne mourra pas dans l’année

    Ce cierge béni est censé avoir d’autres pouvoirs. On dit que quelques gouttes de sa cire versée sur des œufs à couver en assurent une bonne éclosion. Et aussi que sa flamme protège de la foudre si on l’allume pendant l’orage.

    piecesor.jpgEntre temps, une autre tradition a vu le jour : celle des crêpes. Cette tradition se rapporte à un mythe lointain selon lequel si on ne faisait pas de crêpes le jour de la chandeleur, le blé serait carié pour l’année. On dit d’ailleurs :

    Si point ne veut de blé charbonneux
    Mange des crêpes à la Chandeleur

    D’ailleurs, en faisant les crêpes, il faut respecter une autre coutume, celle de la pièce d’or. En effet, les paysans faisaient sauter la première crêpe avec la main droite tout en tenant une pièce d’or dans la main gauche. Ensuite, la pièce d’or était enroulée dans la crêpe avant d’être portée en procession par toute la famille jusque dans la chambre où on la déposait en haut de l’armoire jusqu’à l’année suivante. On récupérait alors les débris de la crêpe de l’an passé pour donner la pièce d’or au premier pauvre venu.
    Si tous ces rites étaient respectés, la famille était assurée d’avoir de l’argent toute l’année.

    crepes.jpgCelui qui retourne sa crêpe avec adresse, qui ne la laisse pas tomber à terre
    ou qui ne la rattrape pas sous la forme navrante de quelque linge fripé,
    celui-là aura du bonheur jusqu’à la Chandeleur prochaine

    Aujourd’hui, les processions aux chandelles et autres rites n’existent plus mais on a conservé la tradition des crêpes et les commerçants participent en offrant, dès la fin du mois de janvier, qui un pot de confiture pour l’achat d’une crêpière, qui une crêpière pour l’achat d’un paquet de farine ‘spécial crêpes’.

    Enfin, n’oublions pas les croyances liées à la météo. En de nombreux pays, on croit que le jour de la Chandeleur, un ours sort de sa tanière. Si la température est douce et qu’il voit le soleil, il retourne vite reprendre son hibernage, car il sait que le beau temps ne durera pas. Un proverbe dans le Calendrier des bons laboureurs en 1628 disait :

    Si fait beau et luit Chandeleur
    Six semaines se cache l’ours

    Un autre proverbe français dit :

    Si le deuxième de février
    Le soleil apparaît entier
    L’ours étonné de sa lumière
    Se va mettre en sa tanière
    Et l’homme ménager prend soin
    De faire resserrer son foin
    Car l’hiver tout ainsi que l’ours
    Séjourne encore quarante jours

    marmotte.jpgDans d’autres pays c’est la marmotte qui sort. Si elle voit son ombre, cela signifie qu’il y a du soleil, alors elle retourne vite continuer à hiberner car elle sait que l’hiver va encore durer. En effet :

    Soleil de la Chandeleur
    Annonce hiver et malheur

    Mais quoi qu’il arrive : qu’en ce 2 février il fasse beau, froid, pluvieux ou neigeux, n’hésitez surtout pas à confectionner quelques crêpes.
    En dépit des proverbes et dictons, vous passerez un agréable moment autant à les faire qu’à les déguster !!

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    EPIPHANIE

    Posté par eurekasophie le 27 décembre 2008

    ΕΠΙΦΑΝΙΑ

    L’Épiphanie

    Avant le concile Vatican II, cette fête se célébrait à date fixe, le 6 janvier.Le 6 janvier, on fête l’Épiphanie, c’est à dire la présentation de Jésus aux Rois Mages. On l’appelle aussi le jour des Rois.L’Épiphanie vient du grec Ἐπιφάνια ; le terme a été traduit en latin par apparitio,-onis (apparition).

    En grec moderne, επιφάνια signifie avant tout la surface (de la Terre, par exemple) ; ce sens existait aussi en grec ancien (tout ce qui apparaît à la surface).
    En Grèce, la fête porte le nom de Θεοφάνια. La théophanie, c’est la manifestation de Dieu (Théos) qui s’est fait homme en Jésus.

    Cependant, dans l’église orthodoxe, on célèbre ce jour-là le baptème de Jésus dans le Jourdain. Cet évènement s’est déroulé une trentaine d’années plus tard. Ce n’est pas une fève que l’on tire, mais une croix que l’on repêche dans l’eau. Le prêtre lance une croix et c’est au premier baigneur qui la retrouve…

    L’Épiphanie a lieu 12 jours après Noël. Ces 12 jours représentent aussi le décalage entre le calendrier lunaire et le calendrier solaire. Une année fait 12 mois lunaires (à l’origine le mois représentait la période entre deux nouvelles lunes, soit 29,5 jours). Cela fait un total de 354 jours. Il faut ajouter presque 12 jours (comme les 12 mois de l’année) pour atteindre l’année solaire.6 jours après Noël et 6 jours avant l’Épiphanie, se déroule le passage à la nouvelle année. Autrefois on fêtait, le jour de l’An, la circoncision de Jésus. Comme tout enfant juif, elle se déroulait 7 jours après la naissance.

    Aujourd’hui, la tradition veut que pour le ‘Jour des rois’, on partage un gâteau appelé galette. Selon la région, il s’agit soit d’un gâteau feuilleté soit d’un gâteau brioché.

    On a le choix entre :

    • la brioche nature, toute simple, en forme de grosse roue avec dessus des pépites de sucre
    • En Provence, la brioche, toujours ronde mais fourrée aux fruits confits
    • La galette, assez rare aujourd’hui, dite « sèche », simple pâte feuilletée sucrée
    • La galette feuilletée fourrée de frangipane, sorte de crème d’amande inventée par Frangipani, beau saucier florentin.

    Dans cette galette est dissimulée une fève. Celui qui mange la part contenant la fève est déclaré roi. La coutume veut que le plus jeune de la famille se glisse sous la table pour désigner qui aura quelle part. Ainsi, personne ne peut tricher. On pose une couronne sur la tête du roi qui doit alors choisir sa reine (ou le contraire).

    Dans certaines familles, on laisse de côté la « part du pauvre » ou celle du Bon Dieu, offerte le plus souvent au visiteur imprévu.

    Une légende raconte que la fève serait née le jour ou Peau d’Ane avait oublié sa bague dans un gâteau destiné au prince. En fait, son utilisation remonte certainement au XIIIe siècle. La fève existe sous de nombreuses formes et dans différentes matières, il y en a pour tous les goûts. Du haricot sec à la fève dorée à l’or fin 24 carats, on peut en trouver en plastique blanc ou, la plupart du temps, en porcelaine. La fève est devenue un véritable objet de collection . Ainsi le Musée de Blain en conserve plus de 10 000. Les collectionneurs sont appelés les fabophiles .

    fves04.jpg    Un joli présentoir pour de très belles fèves.

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    Quelques fèves de collection

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    L’origine de la bûche de Noël

    Posté par eurekasophie le 9 décembre 2008

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     L’origine de la bûche de Noël

     

     La coutume d’allumer une bûche à Noël, dans l’âtre, remonte à très longtemps et existait dans toute l’Europe. On dit que le feu produit par la bûche est un hommage au soleil. Ce geste cérémoniel serait dérivé de diverses célébrations païennes associées au solstice d’hiver.

    À l’origine, il s’agissait d’une bûche qui devait brûler du 24 décembre jusqu’au Nouvel An. Allumée dans la pièce à vivre, elle apporte chaleur et lumière à la veillée. On devait choisir une très grosse bûche de bois dur ou une vielle souche et provenant de préférence d’un arbre fruitier. La bûche devait être coupée avant le lever du soleil. La bûche était souvent décorée de rubans. On la portait ensuite dans la grande pièce familiale avec un grand cérémonial.

    En France la coutume dit qu’on doit placer dans l’âtre autant de bûches qu’il y a d’habitants dans la maison. Le chef de famille bénissait la bûche avec de l’eau et du sel et parfois avec du vin.

    Il fallait s’occuper des bûches avec les mains; aucun instrument ne pouvant s’approcher du feu. Si le feu faisait beaucoup d’étincelles, on disait que la moisson de l’été suivant serait bonne. Si la lumière faisait projeter des silhouettes sur le mur, on disait qu’un membre de la famille allait mourir au cours de l’année.

    Les cendres de la bûche étaient précieusement conservées contre les orages, pour guérir certaines maladies et pour fertiliser les terres.

    C’est pour continuer à célébrer ce rituel, que la bûche de Noël a vu le jour sous la forme d’un délicieux dessert qui aurait été inventé par un pâtissier en 1945.

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    Site sur lequel vous trouverez des tas de recettes.                     http://www.cuisineaz.com/Dossiers/Cuisine/recettes-de-buches-de-noel-1434.aspx

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    SAINTE CATHERINE ….Fête des Catherinettes !

    Posté par eurekasophie le 24 novembre 2008

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    25 novembre ….. 

    Je souhaite une très bonne fête à toutes les « Catherine »

    Un peu d’histoire ( ou de légende )

    Nous sommes à Alexandrie, en Egypte, au début du IVème siècle après J.C. Catherine, jeune fille noble, avait été élevée dans la connaissance des sciences et des arts et elle fréquentait poètes et philosophes. L’empereur romain Maxence, de passage à Alexandrie, ordonna à tous ses sujets d’offrir des sacrifices aux idoles. Catherine se rendit alors devant l’empereur et lui proposa une discussion. Celui-ci, craignant cet affrontement, convoqua cinquante philosophes mais Catherine sut parfaitement réfuter toutes leurs objections.

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      Emprisonnée puis jetée dans une machine infernale, elle fut sauvée par un ange. Mais l’empereur finit par la faire décapiter ainsi d’ailleurs que sa propre épouse qui avait osé prendre la défense de la jeune fille. Avant de mourir. Catherine demanda à Dieu d’exaucer tous ceux qui le prieraient par son intercession et de les conduire tous au paradis. Tout ceci a été écrit en grec au IXème siècle et aucun témoignage antérieur n’a été retrouvé.

        La dévotion à Sainte Catherine se répandit partout et bien des détails furent encore ajoutés à une vie déjà bien extraordinaire. Les confréries de jeunes filles la vénéraient particulièrement et elles avaient le privilège de s’occuper de sa statue. Mais celles qui se mariaient devaient quitter la confrérie et laisser aux autres le soin de  » coiffer sainte Catherine « . C’est là l’origine de l’expression bien connue qu’on applique aux filles qui atteignent vingt-cinq ans sans être mariées.

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    Une tradition qui se maintient à PARIS

              Chaque année, le 25 Novembre, dans le deuxième arrondissement, règne une atmosphère de fête. En effet, les catherinettes, venues des écoles de mode parisiennes, sont nombreuses à se rassembler.

             C’est d’abord, à l’église, une cérémonie haute en couleurs où la variété des « coiffes », originales, sages, provocatrices ou raffinées, contraste avec la douceur qui se dégage du mariage jaune/vert.

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        Après la bénédiction finale, un cortège se forme en direction de la statue de la sainte qui orne l’angle des rues des Petits-Carreaux et de Cléry. L’échelle des pompiers est dressée, attendant que quelques-unes des catherinettes montent jusqu’à la statue, non sans quelque appréhension, pour poser la couronne sur la tête de la sainte. Clameurs et applaudissements accompagnent et encouragent chacune des catherinettes.

                    Dernière étape : la mairie du deuxième arrondissement où un jury, composé de professionnels de la mode, se réunit pour remettre un prix aux  » coiffures  » qu’il juge les plus dignes d’admiration.

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    LE SAPIN ET LE PIN…… Je vous emmène en Alsace ……

    Posté par eurekasophie le 19 novembre 2008

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    Une porte décorées pour les fêtes de Noël à Haguenau.

    Les Alsaciens sont passés maîtres dans la tradition de Noël

    A Strasbourg, un mois avant Noël ouvre le fameux « Christkindelmärik », « Marché de l’Enfant Jésus » ou « Marché de Noël » et cela depuis 425 ans… On y vient pour acheter boules, guirlandes et crèches, tout cela au milieu des parfums de cannelle, de pains d’épices et de vin chaud.

    Strasbourg proclamée Ville de Noël offre de rutilantes mises en scènes, des musiciens ambulants et des concerts en public au détour de ses ruelles pavées où seul le piéton a le droit de déambuler.

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     Marché de Noël à Strasbourg atmosphère à proximité de la cathédrale. Strasbourg is within an easy reach by bus and train from Riquewihr. Strasbourg est dans un accès facile en bus et en train de Riquewihr. No need to take your car and bother for parking! Pas besoin de prendre votre voiture et de la peine pour le stationnement

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     Glühwein (sucré épicé vin chaud) et d’autres sont en attente d’épicerie fine vous partout sur les marchés de Noël en Alsace!

     

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     Chaque magasin et presque chaque maison affiche une décoration

    Une renommée foudroyante

    La coutume de couper un sapin à Noël est tellement bien prisée que le 17 décembre 1555, les édiles de Sélestat en interdisent les coupes (aboutissant à de réels pillages) sous peine de punition. Alors qu’avant le Moyen-Age, on utilisait seulement les branches de sapin pour décorer, l’arbre entier fit son apparition dans les églises, décoré d’hosties et de pommes rouges dans le choeur où il représentait l’Arbre du Paradis. Les paroissiens eurent tôt fait de reproduire cette scène dans leurs foyers.

    C’est en 1837 que la duchesse d’Orléans fit planter dans le jardin des Tuileries le premier sapin de Noël, officialisant la tradition.

     

    sapin.jpg        »Mon beau sapin, roi des forêts…… »

     

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