GRIPPE A ….
Posté par eurekasophie le 4 décembre 2009
…..ET VACCINATION
LA MÉFIANCE NE FAIBLIT PAS
Au moment où ces lignes sont écrites, et sans préjuger de la suite que prendra la pandémie, il apparaît déjà
que la grippe A aura au moins eu le mérite d’attirer l’attention du grand public sur un sujet
largement occulté jusqu’à présent : la composition des vaccins …..
Le bon peuple pouvait difficilement concevoir qu’un produit censé faire du » bien » à la santé puisse abriter en son sein des
» poisons « susceptibles de provoquer des effets indésirables possiblement grave.
Parmi ces ingrédients sulfureux figurent des additifs, en particulier les conservateurs ( formaldéhyde, mercure.…), et les adjuvants ( hydroxyde d’aluminium, squalène, polysorbate 80……)
Je vous invite à cliquer sur les noms écrits en bleus dans cet article. Merci.
Les adjuvants offrent l’avantage de stimuler la réaction immunitaire, tout en permettant l’emploi de doses d’antigène plus faibles. Dans une situation d’urgence sanitaire, les fabricants n’hésitent donc pas à recourir abondamment aux adjuvants pour produire davantage de vaccins.
Mais dès fin août, le Pr Floret, Président du Comité technique de vaccination, admettait tout de même du bout des lèvres que
» les adjuvants posent un problème théorique. Leur injection à des millions de personnes présente le risque théorique de provoquer des maladies
auto-immunes chez des personnes dont l’immunité est immature comme les nourrissons, modifiée comme des femmes enceintes ou encore chez les
immunodéprimés. »
N’allons pas plus vite que la musique !
La méfiance n’a fait qu’augmenter face à l’empressement des autorités sanitaires à mettre sur le marché des vaccins anti-H1N1 insuffisamment testés.
Dès la mi-septembre, la FDA approuvait quatre vaccins aux effets secondaires….inconnus !!!! Plus exactement, les notices de ces vaccins ne mentionnaient que des effets indésirables basés sur des études conduites antérieurement sur les vaccins contre la grippe saisonnière !
En France, la campagne de vaccination a commencé à la mi-octobre avec le vaccin GSK, avec adjuvant AS03 , soit un mélange de squalène et de
polysorbate. Le squalène est suspecté de déclencher ou d’aggraver des maladies auto-immunes. Certains le mettent directement en cause dans le fameux syndrome de la guerre du Golfe, qui a concerné pas moins de 25 % des militaires américains engagés dans le conflit ( le squalène figurait dans la composition du vaccin contre l’anthrax ).
Les femmes ( enceintes ) et les enfants d’abord !
Il apparaît pour le moins légitime de s’interroger sur les risques d’effets secondaires des nouveaux vaccins anti-H1N1appelés à être utilisés à grande échelle. L’inquiétude est même de mise pour des populations fragiles telles que les femmes enceintes ou les bébés.
L’OMS a ainsi recommandé de fournir un vaccin sans adjuvant aux femmes enceintes. Certains labos se sont donc attelés à la production de ce type de vaccin. Parmi les 94 millions de doses commandées par la France, moins de 15 millions seront sans adjuvants.
Il est également conseillé aux femmes enceintes de réclamer un vaccin unidose, qui, à l’inverse des préparations multidoses, ne contient pas de thiomersal, un dérivé de mercure.
Une fois définitivement approuvé, le vaccin européen sans adjuvant du labo Baxter sera injecté en deux à trois semaines d’intervalle chez la femme enceinte et l’enfant de plus de six mois.
Tromperie sur la marchandise !
Dans l’imaginaire populaire, que les fabricants de vaccin ont pris le temps de façonner patiemment, la vaccination, c’est l’assurance d’une protection efficace et totale vis-à-vis d’une maladie.
Concernant le vaccin contre la grippe, la réalité est beaucoup plus nuancée. Il y a quelques années, une synthèse de 64 études internationales représentant 96 saisons de grippes et un panel de 2,5 millions de sujets, a revélé que, toutes études confondues, l’efficacité globale des vaccins sur les maladies grippales n’était que de 23 % , à condition que le vaccin corresponde bien au virus en circulation !
De plus, la vaccination des personnes âgées ne diminuait en rien le nombre d’hospitalisations, ni la mortalité. Dans ces conditions, il devient pertinent de s’interroger sur la balance bénéfice-risque, de chercher à en savoir plus, voire de montrer aux politiques et aux autorités sanitaires qu’il n’est pas question de demeurer passif face à cette entreprise de vaccination hâtive et massive .
Des voix discordantes !
En France, des collectifs de citoyens opposés à la stratégie vaccinaliste du gouvernement se mettent en place et trouvent un écho de plus en plus large grâce à l’outil Internet. En Belgique, 5 membres du Collectif Initiative citoyenne ont porté plainte contre l’Etat belge, soulignant la difficulté de juger des avantages et des inconvénients de la vaccination par manque d’informations suffisantes.
En Allemagne, une polémique est née du fait que l’un des vaccins anti-H1N1 aux effets secondaires a priori moindres serait réservé aux militaires, hauts fonctionnaires et responsables de la santé. Pour calmer le jeu, la chancelière Angela Merkel a déclaré qu’elle s’engageait à recourir au vaccin destiné au commun des mortels plutôt qu’à celui réservé aux » personnels essentiels » !
Aux USA , une action en justice a été intentée auprès d’une cour fédéral de Washington par des professionels de santé qui refusent la vaccination obligatoire, en particulier au motif que l’innocuité des vaccins » expérimentaux » déjà autorisés n’a pas été clairement démontrée. A ce propos, toujours aux USA, fabriquants de vaccins et institutions d’Etat se sont déjà protégés de tout risque de poursuite grâce à un amendement de juin 2009 qui supprime carrément le droit à tout recours pour les citoyens victimes d’effets secondaires graves liés à la vaccination, cette mesure s’étendant aux adjuvants associés aux vaccins. L’amendement demeurera valable jusqu’au 31 mars 2013 !
Des cobayes devenus récalcitrants…..
Pôves ch’tites bêêtes va !
A la mi-septembre, 55 % des Français interrogés par l’Ifop se déclaraient prêts à se faire vacciner contre la grippe A ; fin octobre, toujours selon
le même institut de sondage, la tendance était fortement à la baisse puisque seuls 17 % de nos concitoyens envisageaient de se faire vacciner.
Il est clair que les incertitudes pesant sur la fiabilité de ces vaccins anti-H1N1 mis à la va-vite sur le marché expliquent pour partie la désaffection du public, de moins en moins enchanté à l’idée de devoir aller se faire vacciner dans des centres de vaccination aménagés dans des gymnases ou des salles polyvalentes où la principale préoccupation sera de respecter les impératifs de vaccination à la chaîne, soit 30 injections par heure et par agent vaccinateur !
C’est d’ailleurs pourquoi, dès début septembre, le syndicat des infirmières SNPI SFE-CGC indiquait que » compte-tenu du bénéfice-risque de cette vaccination particulière, nous exigeons que les personnes qui souhaitent se faire vacciner aient un entretien avec un professionnel de santé, et signent un document de » consentement éclair « , comme pour les médicaments expérimentaux » .
Pourquoi a-t-on refusé aux médecins traitants le droit de vacciner contre la grippe A ? C’est une bonne question.
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