HALLIDAY FILS …
Posté par eurekasophie le 7 novembre 2009
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Posté par eurekasophie le 7 novembre 2009
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Posté par eurekasophie le 7 novembre 2009
Le lactose est un sucre contenu dans le lait et qui ne peut être dégradé que par la lactase, une enzyme sécrétée par l’organisme.
Non, non, ceci ne représente pas des rubans de bolduck enchevêtrés mais……
La béta-galactosidase une enzyme lactase responsable de l’hydrolyse du lactose. Vala !
Une fois le nourrisson sevré, cette enzyme n’est normalement plus fabriquée par l’organisme humain. Le lait ne peut donc plus être digéré ni assimilé. Il y a un peu plus de 7000 ans, alors que les humains sortaient à peine de la préhistoire, une mutation génétique est apparue chez certaines populations, leur permettant de continuer à produire de la lactase à l’âge adulte. 7000 ans, ça ne fait pas beaucoup de temps, comparé aux 3 millions d’années d’histoire de l’humanité. Les chercheurs de l’UCL ( University College London ) ont pu démontrer que la mutation de la lactase se serait développée d’abord entre les Balkans et l’Europe centrale avant de se répandre principalement dans le Nord de l’Europe. Dans ces pays froids, les scientifiques estiment qu’aujourd’hui 85 % des adultes parviennent à digérer le lait. Cette tolérance diminue à mesure que l’on descend vers le Sud en partant de la Scandinavie.
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Posté par eurekasophie le 7 novembre 2009
TOUT D’ABORD, QU’EST-CE-QUE LE VARROA ?
Je vous présente le Varroa
Le varroa ressemble à un petit crabe aplati, de couleur rouge, mesurant de 1 à 1,8 mm de long sur 1,5 à 2 mm de large. Les pattes sont courtes, le corps est recouvert de nombreuses soies.
Mais qu’est-ce-que c’est ????????
Le varroa (Varroa destructor) est un acarien parasite de l’abeille adulte ainsi que des larves et des nymphes. Il est originaire de l’Asie du Sud-Est, où il vit aux dépens d’une espèce d’abeilles qui résiste à ses attaques, contrairement à l’abeille domestique européenne Apis mellifera. Ce parasite provoque des pertes économiques importantes en apiculture et il est une des causes de la diminution du nombre d’abeilles.
Importé d’Asie par mégarde dans les années 50, il a envahi l’Europe entière. Cet acarien vit en équilibre avec son hôte d’origine, l’abeille Apis cerana qui se trouve surtout dans le sud-est de l’Asie. En 1952, dans l’est de la Russie, on a observé un changement d’hôte : Varroa a quitté Apis cerana pour s’installer chez l’Abeille domestique Apis mellifera. Il a été découvert en France en 1982.
Le commerce et l’échange d’abeilles aidant, les acariens se sont propagés quasiment sur l’ensemble de la planète. Seules la Nouvelle-Zélande et l’Australie, de même que certaines régions d’Afrique centrale sont encore épargnées par la varroase.
Principal responsable de la mortalité des abeilles, le Varroa est un parasite devenu résistant à bien des traitements.
Il se développe au sein des ruches et cause des troubles importants en pompant l’hémolymphe des abeilles et en transmettant des substances toxiques ou virales.
Un nouveau produit, élaboré par NOD Apiary Products, est capable d’éliminer 95 % des populations de Varroa.
Le MAQSTM est à base d’acide formique, une substance naturellement présente dans le miel. Très facile d’utilisation, ce traitement est rapide ( une semaine contre trois en moyenne pour les autres traitements anti-varroa ). Il peut être appliqué à toute période de l’année en fonction des éventuelles observations de développement des populations de Varroa par l’apiculteur et il est efficace jusqu’à 33 ° C . Après des expériences concluantes à Hawaï et au Canada, NOD Apiary Products poursuit ses essais sur le MAQSTM en Europe. Les premiers essais européens ont vu le jour en Allemagne. Des tests sont en cours à Angers, Lyon et dans l’Est de la France. Les résultats effectifs sont attendus début 2010.
C’est donc un véritable espoir pour le monde apicole qui se dessine.
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Posté par eurekasophie le 7 novembre 2009
TRAITEMENT COURT POUR LES INFECTIONS URINAIRES
Une méta-analyse ( regroupant 15 études randomisées ) publiée par la revue Prescrire démontre que le traitement aux antibiotiques doit être
court pour les infections urinaires basses et non compliquées ( sans fièvre, en l’absence de grossesse, de malformation urinaire ou d’autre
pathologie).
Pour les femmes jeunes, un traitement de 1 à 3 jours suffit pour enrayer l’infection sans risque ( 3 à 6 jours maxi pour les femmes âgées ).
Or, il apparaît que beaucoup de médecins prescrivent des antibiotiques sur des périodes de 7 à 14 jours, ce qui ne présente aucun intérêt, que ce soit
pour l’élimination de l’infection ou pour le risque de récidive.
Par ailleurs, ces prescriptions trop longues accroissent considérablement les risques d’effets secondaires ou d’accoutumance.
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