AVANT DE FERMER PROVISOIREMENT MON BLOG…J’AI PENSE QUE..
Posté par eurekasophie le 23 octobre 2009
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Posté par eurekasophie le 23 octobre 2009
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Posté par eurekasophie le 23 octobre 2009
ARSÈNE, tu sauras qu’il ne faut jamais défier Sophie
V’Là du sensationnel, de l’étrange…..du pas commun. V’là enfin de quoi faire étonner
ARSÈNE
En français AND in english siou please !
Une créature bizarre est apparue en Angleterre. Non, il ne s’agit pas du nouveau guitariste d’Oasis ou du fils de David Bowie, mais plutôt d’une grenouille… à trois têtes.
Cette grenouille fut découverte par des enfants dans une garderie à Weston Super-Mare, une station balnéaire anglaise.
En plus d’avoir trois têtes, la grenouille a aussi six jambes, qui semblaient fonctionner normalement au moment de sa capture. Cependant, il n’a pas été possible d’observer si elle pouvait manger avec les trois bouches dont elle dispose.
Cet évènement devrait semer l’inquiétude auprès de la population. En effet, la grenouille s’est échappée de l’hôpital : alors qu’elle était emprisonnée dans un bocal, des employées de la garderie l’ont sortie de « sa cage » pour la montrer aux parents, et elle en a profité pour s’échapper à grands sauts de six jambes.
Les enfants et les animateurs de la crêche Green Umbrella (parapluie vert) de Weston-super-Mare, totalement médusés par l’amphibien, ont cru au départ qu’il s’agissait de trois grenouilles enchevêtrées. « Je n’ai jamais rien vu de tel auparavant et, pour moi, c’est sans précédent », a commenté Mike Dilger, biologiste reconnu.« Les grenouilles ont une embryologie très primaire. Il n’est donc pas inhabituel d’en trouver avec des doigts supplémentaires. Mais là, c’est totalement différent », a-t-il ajouté.
Les chercheurs tentent désormais de mettre la main sur l’animal pour tenter de déterminer les facteurs expliquant cette mutation.
‘Warning’ over three-headed frog |
||
Children in a nursery were shocked when they spotted a three-headed frog hopping in their garden. The creature – which has six legs – has stunned a BBC wildlife expert who said it could be an early warning of environmental problems. Laura Pepper, from the Green Umbrella nursery in Weston-super-Mare, said: « We thought it was three frogs huddled together at first. « It is very strange. The children couldn’t believe it. » Mike Dilger, from the BBC Natural History Unit, said: « I have never seen anything like this. « Frogs are primitive animals – so the occasional extra toe is not that unusual. But this is very unusual. » All the creature’s eyes and legs appear to function normally, but it is not known whether it eats using all three of its mouths. The amphibian was kept in a container for several hours but hopped away later while nursery staff were showing it to curious parents. |
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Posté par eurekasophie le 23 octobre 2009
Je profite du fait que je n’ai personne sur le dos pour me surveiller pour vous écrire comme ça me chante…
Alors on va commencer avec la grenouillette, tu veux bien ?
La grenouillette n’est pas le petit de la grenouille, ce n’est pas non plus une grenouille naine ….Hé non !!!
D’ailleurs comment appelle-t-on le petit bébé de la grenouille ? Un nénuphar bien sûr !
C’est bien connu, toutes les grenouilles couvent les nénuphars hein !!! Regarde plutôt
Tu vois, j’te l’avais dit…
Et moi, je dois couver aussi quelque chose; mais ce n’est pas un nénuphar. Chuuuuuuut j’entends un pas trainant se rapprocher
D’un pas trainant, comme affaibli, l’heure s’en va,
Ne laissant d’elle qu’un peu d’ombre sur le sable.
Il faut la suivre encor dans sa marche inlassable
Et ressonger en vain la halte qu’on rêva.
Fermons les yeux, ma calme soeur, et soyez forte;
J’emporte notre amour ….
< Ça va Soph..? Tu t’es pas trop ennuyée sans moi ? T’écris quoi là ? Tu t’lances dans la poésie ????? C’est d’qui ?? C’est quoi une grenouillette, une ch’tite grenouille ? C’est comment une grenouille naine ? Les nénuphars ça mangent quoi ? J’peux avoir un nénuphar dans un bocal ? Pourquoi tu réponds pas ? Pourquoi tu d’viens toute rouge ? Tu t’sens pas bien ? Tu veux qu’j'appelle Ralphy ? Srcogneugneu…
< Je respire calmement …j’inspire à fond, je bloque, j’expire.. Cinq fois d’suite ….Après, on verra . Si vous n’avez plus de mes nouvelles, sachez que je vous aimeuuu bien fort.
<Chers amis, bonjour. Je remplace au pied levé ma ch’tite Sophie qui est sortie en trombe du bureau avec sa mine des mauvais jours. J’ai fait taire l’ahuri du second étage et m’en vais donc vous apporter des précisions sur la grenouillette et en profiter pour rectifier le tir en ce qui concerne les bébés des grenouilles ..je vous dois bien ça. …hum hum…donc ..Pauvre , pauvre Sophie. Si jeune pourtant et en arriver là …..
Un têtard est un bébé, une larve de grenouille. Au sortir de l’oeuf, le têtard est caractérisé par une grosse tête confondue avec son abdomen (d’où son nom), et il respire grâce à des branchies internes ou externes. Il n’a pas encore de pattes, mais est munie d’une queue natatoire. En voici une photo d’ailleurs. Ha non, mince, ça c’est un spermatozoide. Mais on en n’est pas loin ..voilà plutôt .Au bout de quelles semaines, petit sperma…euh têtard devient grenouille à son tour et voilà. Bon, c’est pas tout ça, mais faut que je me dépêche. L’ahuri et moi avons rendez-vous chez le psy…à pas d’heure moins 20. Hé oui, c’est ça le prix à payer quand on travaille avec Sophie….L’est gentille mais fatigante aussi.Chuuuuuuttttttttt
Renoncule rampante
( Ranunculus repens )
( Renonculacées )
Ou, j’vous l’donne en mille,
Bassinet, Rampant, Grenouillette, Herbe à la tire-goutte, Tramasse
C’est une espèce très commune dans les lieux un peu ombragés, les prairies, les jardins ou les décombres, sur les sols humides. La tige émet de longs rejets qui s’enracinent aux noeuds. Les feuilles sont souvent marquées de taches claires. Les feuillles radicales sont divisées en lobes pétiolulés, eux-mêmes découpés. Le pédoncule floral est sillonné. Les pétales sont d’un jaune brillant. Les sépales velus sont généralement étalés sous les sépales, mais parfois certains sont rabattus. Les carpelles, à bec court et peu crochu, sont groupés en tête sphérique. Le réceptacle floral est velu. Attention à ne pas confondre cette espèce avec Ranunculus bulbosus Linné qui n’émet pas de stolons et dont la base de la tige est renflée en bulbe.
Renoncule rampante | ||
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Ranunculus repens | ||
Classification classique | ||
Règne | Plantae | |
Division | Magnoliophyta | |
Classe | Magnoliopsida | |
Ordre | Ranunculales | |
Famille | Ranunculaceae | |
Genre | Ranunculus | |
Nom binominal | ||
Ranunculus repens |
Utilisations officinales : la plante contient des substances fortement émétiques
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Posté par eurekasophie le 23 octobre 2009
Laîche des sables
( Carex arenaria )
( Cypéracées )
Synonyme(s) : Salsepareille d’Allemagne, Carosse, Carex des sables, Salsepareille des pauvres
Laîche des sables | ||
---|---|---|
Carex arenaria | ||
Classification classique | ||
Règne | Plantae | |
Sous-règne | Tracheobionta | |
Division | Magnoliophyta | |
Classe | Liliopsida | |
Sous-classe | Commelinidae | |
Ordre | Cyperales | |
Famille | Cyperaceae | |
Genre | Carex | |
Nom binominal | ||
Carex arenaria |
En anglais : Sand Sedge
La laîche des sables (Carex arenaria) est une espèce de plantes de la famille des Cyperaceae qui pousse dans les dunes et les pelouses sablonneuses du littoral européen (plante psammophyte). Elle est naturalisée en Amérique du Nord.
Taille : 10 à 40 cm.
Floraison : de mai à juin.
Cycle de vie : vivace.
Répartition : france : Manche, Atlantique, rare en Méditerranée.
Habitat : sables maritimes, dunes fixées, interdunes sèches, pelouses rases, landes, souvent sur sols nus et remaniés.
Fleurs : fleurs réunies en un épi terminal constitué d’épillets écailleux.
Feuilles : feuilles alternes, étroites (3 mm), rugueuses. La base de la feuille est insérée dans une gaine brunâtre.
Commentaires : plante traçante.
Cette plante possède sur le même épi 3 types de fleurs ; au sommet des épillets à fleurs staminées (mâles), des épillets hermaphrodites au milieu et à la base des épillets à fleurs pistilées (femelles).Inflorescence
Utilisations officinales : la souche contient des substances diurétiques et sudorifiques
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Posté par eurekasophie le 22 octobre 2009
Meuuuuuuu nan, j’vais pas vous faire un remake de » massacre à la tronçonneuse »
Goutte de sang
( Adonis annua )
( Renonculacées )
L’adonis d’automne, adonis annuelle ou Adonis goutte-de-sang (Adonis annua) est une plante de la famille des Ranunculaceae.
Adonis d’automne | ||
---|---|---|
Adonis annua | ||
Classification classique | ||
Règne | Plantae | |
Sous-règne | Tracheobionta | |
Division | Magnoliophyta | |
Classe | Magnoliopsida | |
Sous-classe | Magnoliidae | |
Ordre | Ranunculales | |
Famille | Ranunculaceae | |
Genre | Adonis | |
Nom binominal | ||
Adonis annua |
Origine du nom
Dans la fable grecque, le bel Adonis fut tué à la chasse par un sanglier. Chaque goutte de son sang versé sur la terre fut remplacée par une fleur grâce à Aphrodite.
Description
Plante dressée de 20 à 50 cm.
Fleurs isolées et longuement pétiolées de 2 à 3 cm de diamètre.
La corolle plane est rouge sang foncé. Son centre est noir.
5 sépales rabattus sur la corolle.
5 à 8 pétales étalés.
Nombreuses étamines noires isolées.
Nombreux carpelles à bec.
Cette espèce ressemble beaucoup à l’Adonis d’été et à l’Adonis flamboyante (différence de position des sépales et de couleur).
Habitat
Plante adventice des céréales de plaine, assez rare à l’heure actuelle. Rare dans l’est et le nord.
Les plantes messicoles comme les Adonis ou la Nielle des blés sont menacées d’extinction, l’utilisation d’herbicides dans les cultures céréalières, mais aussi les méthodes modernes de nettoyage des semences sont grandement responsables de leur raréfaction.
Utilisations officinales : la plante entière contient des substances régulant les battements du coeur tout comme la digitale. C’est aussi un bon diurétique.
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Posté par eurekasophie le 21 octobre 2009
LA FIÈVRE
NE LA TRAITEZ PLUS EN ENNEMIE !
Lorsque nous la sentons monter, nous combattons bien souvent la fièvre à coup d’aspirine
ou de paracétamol. Notre but: nous en débarrasser au plus vite ! Nous avons tort car la fièvre a son utilité, une
utilité qui dépasse parfois ce que nous pourrions imaginer ……
La fièvre nous rend patraque. Nous nous sentons mal et nous n’avons qu’une envie: rester au lit. C’est indubitablement ce que nous devrions faire mais,
dans une société où nous devons faire preuve de productivité en permanence, l’absentéisme est mal accepté et nous contraint souvent à nous attaquer à la fièvre comme à une ennemie.
Pourtant, la fièvre est BÉNÉFIQUE. C’est un moyen qu’utilise notre corps pour se défendre et, par conséquent, se protéger et nous protéger. Elle neutralise et désagrège les substances toxiques, virus, microbes et permet ainsi au corps de les éliminer. Elle continuera à faire son oeuvre tant que les intrus ne seront pas sous contrôle. La fièvre n’est donc pas un signe de maladie, mais un outil de guérison .
UNE ARME NATURELLE
En augmentant la température du corps à 38 °, 39 ° ou même 40 ° , la fièvre crée un terrain défavorable aux microbes, les affaiblit et les empêche de se multiplier. Elle stimule aussi le système immunitaire et aide les lymphocytes à atteindre plus vite le lieu de l’infection. De plus, les enzymes et beaucoup d’autres substances de défense produites par les cellules fonctionnent seulement dans un milieu acide et chaud. Ce processus de chaleur met donc l’organisme dans les conditions de réagir le plus efficacement possible face à l’infection.
Si vous faites facilement de la fièvre, c’est que votre système immunitaire est efficace et sain.
Un bon exemple est celui des enfants. En cas d’infection, leur système immunitaire jeune et vaillant provoquera rapidement une poussée de fièvre, témoin de leur bonne capacité à se défendre. A l’âge adulte, cette capacité tend à diminuer et nous aurons alors moins tendance à faire de la fièvre.
FAITES-LUI CONFIANCE !
En coupant la fièvre, on empêche l’élimination correcte des microbes, ce qui, à plus ou moins long terme, entraînera irrémédiablement des rechutes. Le recours systématique aux médicaments fébrifuges a certes diminuer les maladies aiguës, mais il a favorisé l’augmentation des maladies chroniques……
Mieux vaut vous absenter du boulot quelques jours et revenir ensuite en pleine forme que de vous forcer à aller travailler lorsque vous êtes malade. Votre employeur n’y gagnera rien car, en empêchant votre corps de faire correctement son travail de guérison, vous risquerez de fréquentes rechutes et, par conséquent, des périodes d’absentéisme répétées. C’est prouvé ! Les personnes qui vont travailler malades sont, en définitive, plus souvent absentes que leurs collègues qui restent à la maison lorsqu’ils ne se sentent pas bien. A méditer !
UNE PROTECTION CONTRE LES TUMEURS
Mais la fièvre a encore d’autres atouts à son actif. Lorsque le corps réagit face à une infection, il produit aussi des facteurs anti- tumoraux.
NON, vous n’avez pas MAL LU, la fièvre peut vous protéger contre les tumeurs !
Diverses études ont mis en évidence la relation fièvre-tumeur. En 1999, une étude a observé 603 patients atteints d’un mélanome et 627 en bonne santé. Les chercheurs ont alors cherché s’il existait une relation inverse entre tumeur et fièvre. Les résultats sont surprenants ! Le risque de tumeur est réduit de 40 % chez les personnes qui ont eu 3 infections ou plus accompagnées d’une fièvre dépassant les 38, 5 °. Intéressant n’est-ce-pas ?
La littérature scientifique regorge d’exemples de guérisons de tumeurs suite à un épisode fébrile.
Dans les cas de rémission spontanée des leucémies chez les enfants, la fièvre est présente dans 80 % des cas et, au cours des rémissions du mélanome, dans 31 % des cas.
D’autres études ont en outre mis en évidence le fait que l’organisme exposé pendant 6 heures à une température de 41 ° se mettait à produire des lymphocytes T très actives contre les tumeurs.
Confrontées à la chaleur, on constate que les cellules tumorales sont fragilisées alors que les cellules saines résistent bien à cette hausse de température. Une température qui passe de 37 ° à 42 ° induit littéralement la mort des cellules cancéreuses. Cette constatation a été à la base de la mise au point du traitement hyper-thermique contre les tumeurs, une thérapie qui provoque une fièvre » de manière artificielle « .
DANS QUEL CAS FAUT-IL COUPER LA FIÈVRE ?
Quand le malade est trop affaibli et que les microbes sont trop nombreuxet virulents pour que son système
immunitaire soit en mesure de se défendre. Dans ce cas, une FIÈVRE ÉLEVÉE présenterait un DANGER et le recours aux médicaments qui font baisser
la température et tuent les microbes devient alors nécessaire. Ces situations sont relativement rares. Dans la plupart des cas, nous pouvons non seulement laisser la fièvre faire son travail, mais même l’aider de notre mieux. Grâce aux thérapies naturelles, nous pouvons tenir la fièvre sous contrôle sans pour autant l’empêcher de remplir son rôle de nettoyeur de l’organisme. Au-delà d’une certaine température, il existe en effet un risque réel. Chaque personne a sa limite. Certaines personnes seront à bout de forces à 38 ° alors qu’une personne solide et en bonne santé pourra supporter une fièvre allant jusqu’à 41 °/ 42 ° . Ceci est bien entendu la limite maximum. Au-delà, la fièvre est fatale ! Respecter la fièvre ne signifie donc pas se laisser submerger par une températures flirtant avec les limites dangereuses, mais bien la soutenir et la contrôler lorsque celle-ci atteint un seuil trop élevé. La contrôler signifie limiter son intensité lorsque c’est nécessaire, mais certainement pas la ramener à 37 °, car cela interromprait son activité de défense contre les microbes. Comment savoir quand la fièvre est trop élevée ? Simplement en observant les signaux d’alerte que nous envoie notre corps. Ceux-ci sont des délires, des spasmes, des douleurs intenses ou des forts maux de tête ou tout simplement une fièvre qui dépasse 39 ° ou qui perdure trop longtemps.
UN PETIT JEÛNE ?
Pour permettre au corps de se défendre efficacement contre l’infection, il est nécessaire de le mettre au repos afin qu’il puisse concentrer toute son énergie dans la lutte contre les intrus. Rester au lit est donc fortement recommandé et ce dans une chambre calme et bien aérée.
Mais il est également conseillé de mettre le système digestif au repos par un jeûne temporaire ou une diète de bouillon chaud.
Chez les enfants ou les animaux, ce jeûne s’instaure tout naturellement. Quand ils sont malades, ils refusent de manger car ils n’ont pas faim. C’est une réaction innée qui, chez nous les adultes, est souvent contrecarrée par l’idée reçue qu’il faut manger pour prendre des forces. C’est une croyance erronée. La reprise alimentaire normale se fera progressivement lorsque la fièvre commencera à tomber mais, en phase aiguë, mettre le système digestif au repos est tout indiqué. Par contre, boire suffisamment est très important. Lorsqu’on est fiévreux, on transpire beaucoup et il est nécessaire de se réhydrater régulièrement. De plus, cet apport de liquide facilite l’évacuation des poisons. Que boire alors ? De l’eau à température ambiante et des infusions non sucrées comme la verveine, la camomille, la menthe et le tilleul.
Pour éviter que votre corps ne baigne dans les déchets évacués en permanence par la sueur, il est important de vous laver et vous changer régulièrement au cours de l’épisode infectieux, en veillant bien sûr à ne pas prendre froid.
POUR LA MAÎTRISER UN PEU …..
Pour faire baisser une température trop élevée, il existe plusieurs moyens naturels et faciles à mettre en oeuvre. Vous vous souvenez sans doute que, enfant, votre mère ou votre grand-mère vous appliquait régulièrement des compresses d’eau froide sur le front. L’eau froide permet au corps de se refroidir. Il suffit de passer, par exemple, une serviette imbibée d’eau fraîche pendant quelques minutes sur le corps d’une personne fiévreuse pour permettre une baisse de la température . En effet, pour réchauffer la peau rafraîchie par l’eau froide, le corps va naturellement céder une partie de sa chaleur. On peut aussi enrouler 2 ou 3 fois de suite une serviette préalablement trempée dans l’eau froide autour des mollets, zone qui réagit très vite car elle est fortement vascularisée. La serviette peut éventuellement être imbibée moitié d’eau, moitié de vinaigre pour un effet plus intense. Il est aussi possible d’enrouler le tronc une fois et demi dans une serviette trempée dans de l’eau fraîche et essorée puis d’entourer celle-ci d’une serviette sèche. Cet enveloppement est gardé une vingtaine de minutes, protégé sous les couvertures, jusqu’à ce que la serviette soit chaude mais cependant pas trop longtemps pour éviter qu’elle ne se refroidisse à nouveau et que vous preniez froid. Dans le même ordre d’idée, vous pouvez également immerger le bas du corps quelques minutes dans un bain tiède. Attention, pas plus longtemps car cela risquerait de vous affaiblir.
Le principe des enveloppements peut aussi faire monter la température du corps si celle-ci reste trop basse. Dans ce cas-ci, il s’agit de vous faire suer en vous enveloppant chaudement dans les draps et les couvertures additionnées de 2 bouillottes de chaque côté du tronc. Au bout de 3/4 d’heure à 2 heures, vous allez vous mettre à transpirer, ce qui va aider l’organisme à lutter plus activement contre la maladie.
LES PLANTES FÉBRIFUGES
La phyothérapie peut aussi vous aider à faire baisser une fièvre trop importante. Certaines plantes ont en effet une action fébrifuge et sudorifique.
COMME
Le saule blanc ( Salix alba)
On l’appelle aussi » aspirine végétale » , car c’est de son écorce qu’est tirée la salicyline qui a servi à mettre au point l’aspirine.
L’écorce de saule blanc est utilisée en médecine traditionnelle depuis plusieurs millénaires comme anti-douleur et pour faire baisser la fièvre. Elle se prépare en décoction à raison de 20 à 25 grammes d’écorce séchée par litre d’eau.
Buvez-en 2 ou 3 tasses par jour. Contrairement à l’aspirine, l’écorce de saule blanc agit durablement, n’irrite pas l’estomac et ne fluidifie pas le sang .
La reine-des-prés ( Spiracea ulmaria )
Voici une autre ancêtre de l’aspirine. En effet, la reine-des-prés contient également de l’acide salicylique. Elle est fébrifuge et calme la douleur. On utilise ses feuilles et ses fleurs en infusion. Utilisez une cuillerée à café pour une tasse d’eau bouillante. Vous pouvez en boire 3 à 5 tasses par jour.
D’autres plantes d’utilisation courante ont également une action sur la fièvre car elles favorisent la sudation et aident l’organisme à éliminer les toxines.
Il s’agit des fleurs de tilleul très efficaces pour faire baisser la fièvre chez les enfants, notamment en cas de grippe ou de refroidissement, des fleurs de camomille romaine déjà utilisées dans l’Egypte ancienne, des feuilles d’eucalyptus traditionnellement utilisées pour soulager la fièvre d’où son surnom d’ » arbre à fièvre » et des fleurs de sureau noir. Elles se prennent toutes en infusion à raison de 25 g environ par litre d’eau, à l’exception du sureau pour lequel vous pouvez mettre 40 g par litre d’eau.
Et pour renforcer vos défenses immunitaires, pensez aussi aux extraits de pépin de pamplemousse, à l’échinacée, au lapacho, à la vitamine C naturelle, au chlorure de magnésium et aux oligo-éléments cuivre-or-argent.
BELLE SANTÉ À TOUS !
D’après Murielle Toussaint
Journaliste naturopathe pour le magasine » Belle Santé » pour laquelle j’ai une grande admiration et un profond respect.
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Posté par eurekasophie le 20 octobre 2009
OU
Carotte sauvage
( Daucus carota )
Synonyme(s) : Nid d’oiseau
Généralités, présentation sommaire
Daucus carota est une plante bisannuelle de 30 à 80 cm de hauteur.
Description botanique
Ses feuilles sont molles, incisées et dentées. L’inflorescence est une grande ombelle d’ombellules possédant de 20 à 40 rayons. A sa base, se trouve une involucelle de folioles entières ou à 3 pointes. Les fleurs sont blanches ou rosées ; la fleur centrale est, quant à elle, presque toujours purpurine. Ce caractère permet en général de reconnaître facilement la plante.
Fruits: akênes elliptiques, épineux. Carpophore persistant sur l’ inflorescence après la chute du fruit.
Plante dont la racine par sélection culturale (carotte) est un excellent légume riche en sucres, pectines, provitamines A, diurétique infantile. Plante à propriété emménagogue
Risque de confusion avec : Aethusa cynapium
Localisation et comportement
Daucus carota est très commun au bord des chemins et dans les jachères. On le trouve jusqu’en lisière des dunes où il tolère assez bien le sel.
Utilisations officinales : la plante contient des substances diurétiques, carminatives et vulnéraires. elle est riche en vitamines et en carotène.
Utilisations culinaires : certaines variétés sont cultivées.
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Posté par eurekasophie le 18 octobre 2009
Bar de ligne, tapioca d’huître, fleur/feuille de bourrache
Jean-François Piège vous fait découvrir sa recette. | |
Auteur : Jean-François Piège |
Ingrédients :
Pour 4 personne(s)
Bar de ligne
2 Bar de ligne de Bretagne de 2,5 kg
Fleur de sel et huile d’olive
Jus de coquillage
1kg de moules Bouchot
1 bulbe de fenouil
10 échalotes olive
500g de beurre doux
¼ citron
1/4l de vin blanc
3 pistils de safran
2g de poivre noir
1 bouquet de persil plat
10 feuilles de bourrache
Tapioca d’huître
150 g de chair d’huître creuse d’Isigny N°2
300 g de jus d’huître
4 g d’agar agar
Fleur/feuille de bourrache
4 Fleurs de bourrache
4 Feuilles de bourrache
Garniture
8 Tranches de pain de seigle
1 Pièce de Chistera espagnole
Echalotes au vinaigre
2 échalotes
20 cl de vinaigre de vin rouge
Beurre de bourrache
100g de beurre ½ sel
5 feuilles de bourrache ciselées
Mignonnette fine de poivre Sarawak
Préparation:
Bar de ligne à plat
Ecailler, vider le bar et sectionner la tête ainsi que la queue. Lever les filets de l’arête centrale. Retirer les arêtes ventrales, puis lever la peau. Parer afin de laisser les filets blancs. Séparer le dos et le ventre et portionner 2 morceaux de 130g dans le dos.
Enrouler dans le papier film sans trop serrer.
Cuisson : Pocher le bar dans une huile d’olive à 80°C, jusqu’à 41°c à cœur.
Terminer la cuisson dans un sautoir en le glaçant de jus de moules terminé en veillant d’atteindre une température final a cœur de 51°c.
Parsemer sur le bar la julienne de feuille de bourrache et ajuster les fleurs de bourrache.
Jus de coquillage
Nettoyer puis ouvrir les moules au couteau. Jeter la 1ère eau. Emincer le fenouil et les échalotes puis suer à l’huile avec une légère coloration. Ajouter le beurre, faire mousser puis jeter les moules. Ajouter le persil, le safran, le citron et le poivre noir. Cuire à couvert.
Passer le jus, mettre au point puis ajouter le persil et les feuilles de bourrache en infusion.
Tapioca d’huître
Ouvrir les huîtres à l’aide d’un couteau à huîtres. Retirer la coquille supérieure et récupérer le jus dans un petit récipient en Inox en le passant dans une mousseline. Décoller délicatement les huîtres et éliminer les petits éclats de coquille si nécessaire et les centrifuger.
Faire bouillir 300g de jus avec 4g d’agar agar, retirer du feu puis ajouter 150g de pulpes d’huîtres. Passer puis émulsionner au fouet. Débarrasser dans des carrés sur 1/2cm d’épaisseur. Tailler des rectangles à froid de 8 x 0.5 x 0.5 cm.
Beurre de bourrache
Mélanger 100g de beurre ½ sel et cinq feuilles de bourrache ciselées.
Echalotes au vinaigre
Ciseler les échalotes finement, puis les mettre à mariner pendant 24 heures dans le vinaigre de vin rouge.
Rôtir dans un sautoir dans un filet d’huile d’olive les chisteras.
Toaster les tranches de pain de seigle et détailler en rectangles de 1,5 cm sur 4,5 ;
Prévoir 6 pièces par personne et déposer sur la moitié des tranches de beurre de bourrache et sur l’autre de chistera.
Finition et dressage
Disposer 8 bandes d’huîtres sur une assiette pied de poule rectangle. Faire chauffer à la salamandre.
Saucer le tapioca de jus de coquillage et disposer le bar, une ligne d’échalote, une ligne de poivre.
Envoyer les toasts sur un support de marbre.
Publié dans BAR DE LIGNE....FEUILLES DE BOURRACHE, LISTE DES RECETTES A BASE DE PLANTES SAUVAGES | 17 Commentaires »
Posté par eurekasophie le 17 octobre 2009
LA VARICELLE
680 000 CAS DE VARICELLE PAR AN EN FRANCE
3 300 HOSPITALISATIONS A LA SUITE DE COMPLICATIONS
2 460 HOSPITALISATIONS CHEZ LES ENFANTS
◊ LA VARICELLE EST-ELLE UNE MALADIE BENIGNE ?
◊ QUEL EST LE TRAITEMENT ?
◊ QUI PEUT BENEFICIER DU VACCIN ?
UNE MALADIE pas si banale ……..
La varicelle est une maladie virale très fréquente qui sévit par petites épidémies.
Près de 700 000 personnes sont touchées chaque année en France : des enfants en grande majorité.
A 12 ans, 90 % des enfants ont déjà eu la varicelle. Bien que souvent bénigne, la varicelle peut provoquer des complications graves comme des surinfections cutanées, des atteintes neurologiques ( encéphalite, méningite) ou des pneumopathies ( surtout chez l’adulte). Chaque année, près de 3 300 personnnes dont 2 500 enfants de moins de 15 ans, sont hospitalisées à la suite de complications. Ces dernières ne touchent pas que les personnes immunodéprimées ( aux défenses immunitaires affaiblies à cause d’une maladie), elles concernent principalement des enfants antérieurement sains, n’ayant aucun facteur de risque particulier. La sévérité de l’infection est plus importante chez l’adulte. Une vingtaine de personnes en meurent chaque année, nourrissons ou adultes. Même lorsque la varicelle ne se complique pas, elle perturbe de façon importante, pendant une dizaine de jours, la vie familiale, ( garde à domicile de l’enfant, arrêts de travail…), et génère des coûts médicaux importants….La varicelle est loin d’être une maladie anodine !
Des petits boutons qui démangent
Le virus varicelle-zona ou VZN se transmet par les gouttelettes de salive diffusées par les sécrétions respiratoires de la personne infectée ou par contact direct avec des lésions cutanées. Une transmission indirecte par des objets contaminés est également possible. Après quelques jours d’incubation ( quatorze jours en moyenne ), les premiers signes apparaissent. Le malade perd l’appétit, a mal à la gorge ou à la tête et, un à deux jours plus tard, il est couvert de boutons sur le torse, mais aussi sur le visage, les mains, les pieds….. Chaque poussée ( il y en a 2 ou 3 ) peut s’accompagner d’une fièvre modérée ( en dessous de 38,5 ° C ). Les boutons passent par différents stades : d’abord plats et très prurigineux, ils se bombent et forment des vésicules, sortes de petites bulles remplies d’un liquide clair.
Puis le liquide devient trouble, épais, et des croûtes se forment. Les boutons démangent énormément; et ils peuvent laisser des cicatrices.
Le malade est contagieux au moins quatre jours avant l’éruption et jusqu’à ce que les croûtes soient sèches. Le virus reste sous forme » endormie » dans l’organisme, et il pourra éventuellement se réactiver plus tard en donnant un zona.
ÉVITER LA SURINFECTION CUTANÉE
>>> LA VARICELLE NE BÉNÉFICIE D’AUCUN TRAITEMENT PARTICULIER
Seul un traitement symptomatique existe. Le principal objectif est d’éviter le grattage et la surinfection des boutons par des germes ( staphylocoque, streptocoque ).
Des applications 1 ou 2 fois par jour d’une solution antiseptique de chlorhexidine sont ainsi recommandées. Ne jamais employer de crème, talc ou autre poudre qui favorisent la macération. De même, il faut éviter les bains chauds et prolongés. Préférer les douches pour le ramollissement des croûtes, qui peuvent alors laisser des cicatrices. En cas de fièvre, le seul traitement indiqué est le paracétamol. L’aspirine et les autres AINS ( anti-inflammatoires non stéroïdiens comme l’ibuprofène ) ne doivent surtout pas être utilisés, car ils risquent de favoriser les complications cutanées.
CE QUE PENSENT LES MAMANS
>>> D’après une enquête Ipsos, la varicelle apparaît comme une maladie gênante pour les enfants ( 92 % des mères interrogées), voire très gênante(49%), qui accapare les parents ( 70 % ) et perturbe l’organisation de la vie quotidienne ( 71 %). 90 % sont » tout à fait d’accord » ou » plutôt d’accord » avec le fait que les démangeaisons constituent une véritable souffrance pour les enfants touchés. 97% savent que la maladie est » très » ou » assez » contagieuse.
AUJOURD’HUI UN VACCIN EXISTE
Alors que la rougeole, les oreillons et la rubéole ont pratiquement disparu grâce à la vaccination, la varicelle est la dernière maladie éruptive de l’enfant qui sévit encore à une large échelle. Mais cela pourrait changer, car un vaccin » varicelle » est désormais disponible en France. Ce vaccin bénéficie d’une longue expérience d’efficacité et de tolérance dans nombre de pays. Le Japon, les Etats-Unis ( depuis 10 ans ) et l’Allemagne plus récemment pratiquent la vaccination contre la varicelle en routine, pour prévenir la maladie et éviter ses formes graves. Aux Etats-Unis, où le vaccin est surtout pratiqué chez les enfants, les adultes qui ont échappé à la maladie pendant leur enfance semblent bénéficier de la protection des petits. En France, le vaccin est indiqué en prévention de la varicelle chez les sujets âgés de 12 mois et plus, et en protection postexposition chez les adultes sans antécédents de varicelle. Une vaccination dans les 3 jours suivant l’exposition peut prévenir une infection ou modifier son évolution. En prévention, les recommandations officielles ciblent le vaccin sur certaines populations: professionnels de santé ou de la petite enfance, personnes en contact avec des immunodéprimés et enfants candidats à une greffe.
QUESTIONS….RÉPONSES
♥ Comment éviter que ma fille de 19 ans, qui n’a jamais eu la varicelle l’attrape de son frère ?
Il faut bien sûr prendre les mesures d’hygiène et d’isolement nécessaires. Il existe un vaccin qui peut être administré dans les 3 jours suivant l’exposition à un malade présentant une éruption de varicelle. Ce vaccin est indiqué à partir de 18 ans chez une personne sans antécédent de varicelle. Il est contreindiqué en cas de grossesse. Il faut donc préalablement s’assurer que votre fille n’est pas enceinte ( test de grossesse, si besoin).
♥ Mon enfant a la varicelle et un peu de fièvre ( 38 °C ). Que dois-je faire ?
Pour combattre la fièvre, on utilise uniquement le paracétamol, surtout pas l’aspirine ni d’autres anti-inflammatoires tels que l’ibuprofène qui sont contre-indiqués en cas de varicelle. Supprimez les bains souvent trop longs et trop chauds, douchez rapidement votre enfant avec un savon dermatologique surgras. Bien rincer et sécher sans frotter. Désinfectez les boutons avec de la chlorhexidine et ne rien mettre d’autre ! Il faut que les croûtes se forment et que votre enfant ne les gratte pas ( lui couper les ongles si besoin est, et s’assurer de leur propreté ). On peut également donner un antihistaminique H1 à visée antiprurigineuse.
♥ Je suis enceinte, mon fils vient de déclarer une varicelle. Quel est le risque ?
Si vous avez eu la varicelle lorsque vous étiez jeune, vous êtes protégée. Dans le cas contraire, qui est reste rare, il peut y avoir un risque d’accouchement prématuré ou d’anomalies fœtales ( cutanées, oculaires, neurologiques…). La mère peut être traitée par des gammaglobulines ou par un antiviral. Le risque existe surtout en fin de grossesse.
L’AVIS DU PÉDIATRE
Pr Eric Mallet
CHU Charles-Nicolle, Rouen ( 76)
>>> Quelle est la situation épidémiologique de la varicelle en France ?
Pr E. Vallet . La varicelle, généralement considérée comme une maladie bénigne, n’a pas suscité jusqu’à récemment d’attention épidémiologique particulière. Le nombre de cas par an est estimé entre 600 000 et 700 000 en France. Cependant, le nombre de complications paraît non négligeable ( 3 à 5 % des cas). Une étude réalisée dans notre service pédiatrique sur une période de 16 ans ( 1987-2002) chez des enfants non immunodéprimés rapporte près de 350 complications de la varicelle. Depuis 1996, on a observé une nette augmentation des admissions à l’hôpital pour des complications, et notamment une augmentation significative des surinfections bactériennes, à staphylocoque ou à streptocoque.
>>> Quelles sont les autres complications ?
Pr E. Vallet . Les autres complications sont d’ordre neurologique, respiratoire et gastro-intestinal. On a observé, par examen endoscopique, que les lésions de varicelle étaient présentes non seulement dans la bouche, mais aussi dans l’estomac. Toutes ces complications apparaissent chez des enfants sains.
>>> Quelle est l’efficacité de la vaccination ?
Pr E. Vallet . Le vaccin est utilisé en routine aux Etats-Unis depuis 1995. Le suivi des vaccinés a montré une persistance des anticorps antivaricelle au moins 6 ans après vaccination. Cette vaccination généralisée a permis de faire diminuer de plus de 80 % l’incidence de la varicelle.
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Posté par eurekasophie le 16 octobre 2009
Quand tu verseras une larme
Quand tu lanceras un cri d’alarme
Quand tu seras fatiguée
Quand tu seras tannée
N’hésite pas à me solliciter
Je serais toujours là pour t’encourager
Quand tu auras besoin d’une oreille
pour t’écouter
Quand tu auras besoin d’une main
pour te relever
Quand tu auras besoin d’un câlin
pour t’apaiser
Quand tu auras besoin d’une épaule
pour te reposer
N’hésites pas à m’appeler
Je serais là pour te consoler
Quand ta vie te décevra
Quand un grand mur devant toi
se dressera
Quand tu auras peur de foncer
Je serais là pour t’aider
Quand le soleil s’éteindra dans ton âme
Quand tu croiras que la vie perd son charme
Quand les idées noires te trouvent désarmée
La main toujours je te tendrais
Quand tu seras devant trop de détours
Quand tu ne trouveras plus le chemin
du retour
Quand le nord dans le jour tu chercheras
Pour te guider, je serais là
Quand ton sourire resplendira
Quand un jour la chance te sourira
Quand le ciel se dégagera pour toi
Je serais là pour rire avec toi
Quand tes rires se changeront en fous rires
Quand une simple fleur te fera sourire
Quand le bonheur emplira ton coeur
Je serais là pour cultiver ce bonheur
Peu importe l’heure qu’il sera
Peu importe le temps qu’il fera
Si tu as besoin de moi
Je serais toujours là pour toi
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