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PARNASSIE DES MARAIS

Posté par eurekasophie le 14 septembre 2009

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Pelouse humide

Gavarnie (Hautes-Pyrénées)

 

Parnassie des marais
 

( Parnassia palustris )

( Parnassiacées )

Parnassie des marais
 Parnassia palustris
Parnassia palustris
Classification classique
Règne Plantae
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Ordre Celastrales
Famille Parnassiaceae
Genre Parnassia
Nom binominal
Parnassia palustris

Synonyme(s) : Parnassie, Parnassière des marais, Foin du Parnasse

La parnassie des marais (Parnassia palustris L.) est le seul représentant en France du genre Parnassia, lui-même membre de la petite famille des parnassiacées (Parnassiaceae), proche des saxifragacées. La plante tirerait son nom du fait que les Anciens la trouvaient si belle qu’elle devait forcément venir du Parnasse.

C’est une plante vivace qui pousse en montagne, dans les tourbières, les lieux marécageux, au bord des ruisseaux. Elle fleurit de la fin juillet au début de l’automne. Les feuilles sont presque toutes basales, à long pétiole, à limbe cordé un peu charnu. On peut aussi trouver une feuille caulinaire embrassante. La tige, érigée et glabre, mesure entre 5 et 40 cm, et porte une seule fleur. Calice vert, beaucoup plus petit que la corolle, à cinq sépales. Corolle blanche, à cinq pétales à nervures translucides. L’une des particularités de la plante est la présence, à la base de chaque pétale, d’une écaille vert clair (on peut aussi parler de staminode) portant de nombreux cils glanduleux (à peu près une douzaine par écaille). Les cinq étamines sont recourbées sur l’ovaire en début de floraison. Ce dernier, à quatre carpelles, ne porte pas de style, mais seulement quatre stigmates sessiles. Le fruit est une capsule.

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Utilisations officinales : toute la plante contient des substances astringentes et diurétiques

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BOURRACHE EN SOUPE GENOISE

Posté par eurekasophie le 14 septembre 2009

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Soupe génoise

Recette pour 4 personnes tirée du  livre « La ricitte regionali italiane »par Anna Gosetti della Salda

Ingrédients :

- 300 g. de feuilles de bourrache

- 300 g. de feuilles de laitue

- 1 bouquet de persil plat

- Quelques feuilles de basilic

- 1 petit oignon

- 3 oeufs

- 3 cuillerées à soupe de parmesan rapé

- 1 litre de bon bouillon de viande ou de volaille

- Huile d’olive

- Sel, poivre

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Préparation :

Laver toutes les herbes.

Faire blanchir les feuilles de bourrache et de laitue à l’eau bouillante salée.

Refroidir sous l’eau froide.

Bien essorer et hacher finement Hacher finement l’oignon épluché avec les feuilles de persil et de basilic.

Faire chauffer 3 cuillerées à soupe d’huile d’olive dans une poêle, ajouter le hachis d’oignon, de persil et de basilic, laiser fondre à feu très doux pendant 5 minutes puis ajouter le hachis de laitue et de bourrache.

Saler, poivrer, cuire une demi-heure environ puis laisser refroidir.

Pendant ce temps, battre les oeufs avec le parmesan.

Quand les herbes sont refroidies, ajouter le mélange oeufs/parmesan et mélanger avec soin tous les ingrédients.

Transvaser le mélange dans un moule beurré et faire cuire au bain marie jusqu’à ce qu’il soit compact (sous l’effet de la cuisson des oeufs).

Laisser refroidir, puis détailler en petits morceaux.

Verser ceux-ci dans le bouillon brûlant et servir, accompagné de parmesan rapé.

 MIAM MIAM …

Publié dans Bourrache en soupe genoise, LISTE DES RECETTES A BASE DE PLANTES SAUVAGES | 2 Commentaires »

CANCER

Posté par eurekasophie le 14 septembre 2009

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LES ALIMENTS À DIMINUER

Si vous avez été victime d’un cancer ou si vous voulez aider votre organisme à l’éviter,

voici sept aliments ou groupes d’aliments dont il faut limiter la consommation.

PRINCIPE DE BASE :

Vous devez manger juste ce qu’il faut, pas plus

Lorsqu’on mange moins de calories, il semble que les cellules cancéreuses aient plus de difficulté à se multiplier.

La démonstration en a été faite dans un tube à essais en 2001 par des chercheurs de l’université Ben Gourion en Israël. Le Dr David Eichler a observé la croissance de cellules lorsqu’elles sont soumises à une restriction d’énergie, ce qui est le cas quand on mange juste assez de calories pour rester en bonne santé. Dans ce contexte, les cellules cancéreuses, parce qu’elles ont besoin de se reproduire rapidement, finissent par mourir.  » Elles essaient de se reproduire plus vite que ne le permettent les ressources énergétiques, et c’est cela qui les fait mourir,  » dit le chercheur. Selon lui, en mangeant juste ce qui est suffisant, pas plus, on contribue à  » affamer  » les cellules cancéreuses.

Efforcez-vous de finir vos repas avec encore un peu d’appétit.

1. MANGER MOINS DE CÉRÉALES, NOTAMMENT RAFFINÉES

Cela peut paraître étrange de conseiller moins de céréales alors que les industriels les présentent comme des aliments idéaux pour la santé et que le ministère de la santé encourage la consommation.

Le problème d’une alimentation riche en céréales est triple:

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point2.gif les céréales sont très denses énergiquement: elles apportent beaucoup de calories pour 100g;

point2.gif la plupart font monter le sucre sanguin et l’insuline; c’est vrai pour les céréales raffinées ( le pain blanc ), mais c’est aussi vrai pour le blé  » complet  » , levé avec de la levure de boulanger ( pain, biscuits, pâtes complètes ). Ce faisant, les céréales augmentent les niveaux de facteurs de croissance de l’IGF-1 , qui encouragent les cellules à se multiplier;

point2.gif les céréales sont une source importante d’acides gras oméga 6 qui encouragent l’inflammation – un facteur favorable aux tumeurs.

    2. MANGER MOINS DE SUCRE ET DE PRODUITS QUI EN CONTIENNENT

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Réduisez la consommation de sucre blanc dans le thé, le café, les céréales du petit déjeuner, les confiseries, gâteaux, biscuits. Le sucre peut contribuer à activer la voie insuline et élever le niveau de facteurs de croissance comme l’IGF-1 qui est en cause dans les cancers.

Le fructose ou le sirop de glucose-fructose ne sont pas de bonnes alternatives au sucre, car on les soupçonne eux aussi de conduire à une résistance à l’insuline qui n’est pas désirable ni en prévention du cancer ni du diabète. ( Voir mon article complet sur le diabète dans ma rubrique  » Soin au quotidien »)

3. ÉVITER LE SEL

attention2.gifselprixetiquettesalt008.jpg On y arrive en mangeant moins de plats préparés, de pain, quiches, pizzas, en salant moins les plats que l’on cuisine. On peut aussi trouver en magasin diététique et en pharmacie des sels à base de potassium, pauvres en chlorure de sodium   pizz3.jpg

 

4. MANGER MOINS DE LAITAGES

attention2.gif Les autorités sanitaires conseillent de consommer toute la vie 3 à 4 laitages par jour. Mais, d’une part, on n’a absolument pas la preuve qu’en agissant ainsi on prévient l’ostéoporose. D’autre part, plusieurs études épidémiologiques ont trouvé un lien entre une telle consommation de laitages et le risque de cancer agressif de la prostate chez l’homme, ainsi que le risque de cancer des ovaires chez la femme.

laitbouteille.jpg Les laitages augmentent le niveau d’un facteur de croissance de l’organisme, l’IGF-1 , qui peut servir de révélateur à des tumeurs. Ils apportent aussi du lactose ( sauf les fromages ), qui serait toxique pour les ovaires.

LaNutrition.fr conseille de rechercher chaque jour deux bonnes sources de calcium alimentaire ( eau, sardines, légumes crucifères, éventuellement laitages ) sans dépasser 1 à 2 laitages par jour. Il n’y a aucune obligation de consommer des laitages en grand nombre pour rester en bonne santé.

5. MANGER MOINS DE FRITURES

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Les fritures renferment des produits de la dégradation des graisses ( acides gras libres, composés polaires ) qui ajoutent à la charge toxique de l’organisme. Elles sont souvent préparées à partir d’huiles raffinées, qui sont une source d’acides gras trans.

6. MANGER MOINS DE VIANDE ROUGE

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Un excès de protéines animales stimule le niveau du facteur IGF-1. Ce n’est pas le cas avec les protéines végétales.

Un excès de viande rouge se traduit par un excès de fer dans l’organisme, en particulier chez les hommes et aussi chez la femme de plus de 50 ans, lorsqu’elle n’est plus réglée et ne perd plus de sang ( et donc de fer ) chaque mois. L’excès de fer alimentaire semble associé à un risque plus élevé de certains cancers, soit parce que le fer est à l’origine de particules très réactives appelées radicaux libres, soit parce qu’il intervient dans d’autres réactions. Par exemple, si l’on mange beaucoup de fer alimentaire et qu’on avale en même temps une grande partie de nitrates ( eaux polluées), peuvent apparaître dans l’organisme des nitrosamines cancérogènes.

cotelette.gif Les viandes sont souvent mangées après avoir été poêlées, rôties, grillées. Ce type de cuisson à température élevée donne naissance à des substances mutagènes, très nombreuses dans les parties grillées et roussies et dans le jus de viande: amines hétérocyliques, hydrocarbures aromatiques polycycliques. Les études ont trouvé que les animaux qui sont exposés à ces mutagènes développent des cancers, notamment gastro-intestinaux.

De leur côté, les études épidémiologiques ont trouvé que les personnes qui mangent le plus de viandes grillées, roussies, rôties ont plus de risques que les autres de développer un cancer du côlon, du sein, de la prostate et du pancréas.

7. MANGER MOINS DE CHARCUTERIES

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Les personnes qui consomment fréquemment des charcuteries, notamment des salaisons, courent un risque plus élevé de cancers du tube digestif par rapport aux personnes qui en consomment peu. Ceci s’explique vraisemblablement par la présence de sel nitrité dans ces aliments. Les nitrites peuvent, dans certaines circonstances, donner naissance à des cancérogènes, les nitrosamines.

decopunaise2.gifL’IGF-1 est un facteur de croissance de première importance dans le myélome multiple

Le myélome multiple est un cancer, caractérisé par l’émergence de cellules plasmocytaires tumorales, encore aujourd’hui sans traitement de réelle efficacité. Une équipe dirigée par Bernard Klein (unité Inserm 847, Montpellier) a montré que les cellules plasmocytaires tumorales, à la différence des plasmocytes normaux, expriment de façon aberrante le récepteur de l’IGF-1 (insuline growth factor type 1), cette expression étant un facteur de mauvais pronostic. De plus, l’IGF-1 est le principal facteur de croissance des cellules plasmocytaires tumorales, produit de façon autocrine par les cellules tumorales elles-mêmes. D’autres facteurs de croissance importants dans les cellules plasmocytaires tumorales, comme l’interleukine-6, l’HGF (hepatocyte growth factor) et la famille EGF (epidermal growth factor), coopèrent avec cette boucle autocrine IGF-1 pour induire survie et prolifération des cellules plasmocytaires tumorales. Le blocage de l’activation de l’IGF-1R pourrait donc être une cible thérapeutique intéressante dans le traitement du myélome multiple, en association avec les traitements conventionnels

                                                                                                                                                     

LaNutrition point2.gif fr  

Cet article est publié en partenariat avec LaNutrtion.fr , le site indépendant d’information en nutrition, longévité et santé, créé par Thierry Souccar en juin 2006. En plus d’informations et de conseils, LaNutrition.fr propose une base de données sur les qualités nutritionnelles de plus de 1000 aliments et publie chaque mois un magazine électronique de tests et d’enquêtes, ConsoSanté. Dans le comité scientifique de LaNutrition.fr siègent des personnalités de renom comme le Pr Baulieu ou le patron de l’Ecole de santé publique de Harvard.

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