UN PEU DE BOTANIQUE

Posté par eurekasophie le 13 août 2009

Arum, Anthurium, Spathiphyllum… Qui est qui ? 

Malgré leur évidente ressemblance morphologique, ces trois espèces de plantes ne présentent pas la même toxicité. Il est donc primordial de savoir les différentier les unes des autres afin d’évaluer la gravité potentielle d’une intoxication.  

Un peu de botanique…

L’arum, l’anthurium, et le spathiphyllum appartiennent à la famille botanique des aracées, comme bon nombre de plantes d’intérieur (monstera, philodendron…). 
Tandis que le spathiphyllum et l’anthurium sont des plantes ornementales d’intérieur, l’arum quant à lui pousse très fréquemment dans nos forêts et nos jardins. Les fleurs de ces plantes ne sont pas, comme on le pense généralement, le grand cornet solitaire émergeant des feuilles. Ce sont de toutes petites fleurs sans pétales, logées au fond de cette grande pièce protectrice appelée spathe, sur le pourtour d’un organe en forme de massue appelé spadice. Les fleurs ainsi cachées sont pollinisées (c’est à dire fécondées) par des moucherons qui s’agitent une fois pris au piège par la spathe.

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Caractères distinctifs

Maintenant que nous avons vu les caractères communs à ces trois plantes, nous allons voir que malgré leur forte ressemblance il est facile de les distinguer au moyen de caractères qui leurs sont propres :

Il existe en fait deux variétés ou espèces d’arum fréquentes dans nos forêts et jardins : L’arum tacheté (Arum maculatum.L) de la photo précédente qui possède des tâches brunes au centre de ses feuilles, et l’arum d’Italie (Arum italicum.L) ci contre, qui possède des nervures blanches sur toutes ses feuilles arum2.jpg

arum3.jpg   L’anthurium (Anthurium andreanum.L) quant à lui se distingue très facilement par une spathe charnue rouge luisant (attention. Il existe des variétés horticoles rose orangé).


Le spathiphyllum (Spathiphyllum wallisii.L) possède des spathes d’un blanc plus éclatant, et souvent de multiples spathes par pied. De plus ses spathes sont beaucoup plus petites, elles font en moyenne 8 centimètres contre environ 15 centimètres pour les arums.  
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Une toxicité non négligeable…

Maintenant que nous pouvons faire la différence entre ces espèces, voyons ce qu’il en est de leur toxicité respective. 
Le spathiphyllum et l’anthurium n’ont jamais été semble-t-il impliqués dans des accidents chez l’homme, ils peuvent cependant si on les mâche provoquer des brûlures buccales notamment chez les animaux de compagnie. 
Le plus toxique de tous est donc sans conteste l’arum qu’il soit tacheté ou d’Italie. Les feuilles et les fruits sont toxiques (même pour une ingestion de 2 à 3 baies !). Les unes comme les autres provoquent une tuméfaction de la langue, une irritation durable de la gorge , des vomissements, une dilatation de la pupille, des troubles des battements du cœur, éventuellement des convulsions et dans les cas les plus graves, la mort. 

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Il faut donc être très vigilant surtout par rapport aux fruits, petites baies de 3 à 4 millimètres de diamètre, qui abondent dans nos forêts et jardins d’août à septembre.  

Quelques chiffres

Parmi les nombreux appels concernant les plantes toxiques reçus par le centre antipoison de Lille, de 1995 à 2002, 36 concernaient l’anthurium, 123 le spathiphyllum, et 274 l’arum, les plaçant ainsi respectivement 31ème, 8ème, et 5ème, au palmarès des intoxications par les plantes ! La majorité de ces

intoxications se situent entre le mois d’août et le mois de septembre, période de fructification de ces plantes.

Avec ses fruits rouges en grappe seulement à 20 cm du sol, on comprendra que l’arum est en tête du palmarès.

En conclusion…

On rappellera qu’il est très important de connaître le nom des plantes que l’on possède chez soi, que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur, surtout si des enfants sont susceptibles d’être en contact avec elles. De même il est préférable de laisser les plantes quelles qu’elles soient hors de porter des enfants.

Même si l’arum est manifestement plus toxique que ses cousins anthurium et spathiphyllum, il ne faut jamais sous-estimer la gravité d’une intoxication, Il faut laisser l’intoxiqué à jeun, et appeler le centre antipoison dès que possible !

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HELIANTHEME COMMUN

Posté par eurekasophie le 13 août 2009

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Hélianthème commun


( Helianthemum nummularium )

( Cistacées )

Hélianthème commun
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Classification classique
Règne Plantae
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Ordre Malvales
Famille Cistaceae
Genre Helianthemum
Nom binominal
Helianthemum nummularium

L’hélianthème commun (Helianthemum nummularium) est une plante de la famille des Cistacées.

 

Autres noms : Hélianthème à feuilles arrondies, Hélianthème commun, Hélianthème jaune, Hélianthème nummulaire, Hélianthème tomenteux

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  • Hauteur : 10–20 cm
  • Fleur : Régulière (actinomorphe), 15–30 mm de diamètre. Cinq pétales libres, jaune vif. Cinq sépales libres. Nombreuses étamines. Pistil composé de trois carpelles soudés. Inflorescence : Cyme comportant jusqu’à dix fleurs, ou fleurs solitaires.
  • Feuilles : Opposées. Court pétiole. Limbe 1–3 cm de long, ovoïde à oblong, face supérieure verte et munie de poils épars, face inférieure densément poilue et de couleur grise, bords entiers. Stipules plus longues que le pétiole de la feuille.
  • Fruit : Capsule uniloculaire.
  • Habitat : Prairies et coteaux secs, gravières.
  • Période de floraison : Juin–juillet.
  • L’hélianthème commun est une vivace munie d’une base ligneuse. La plante est résistante à la sécheresse en raison de sa racine pivot qui peut descendre jusqu’à une profondeur de 50 cm et de ses racines superficielles qui l’aident à trouver de l’eau.

    En Finlande, les spécimens de cette espèce présents sur le continent sont des archéophytes. En effet, elle n’est native que dans les Îles Åland. L’hélianthème commun apprécie le calcaire. L’espèce est menacée et protégée à l’échelle régionale.

    hlianthme2.jpg

    Utilisations officinales : toute la plante contient des substances vulnéraires et astringentes.

     

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    UN PAS EN ARRIERE

    Posté par eurekasophie le 12 août 2009

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    C’était ma jeunesse !!!

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    GOUET D’ITALIE

    Posté par eurekasophie le 12 août 2009

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    Gouet d’Italie

    ( Arum italicum )

    ( Aracées )

    Synonyme(s) : Oreille d’âne, Gouet italique

    L’arum d’Italie, arum italicum ou gouet d’Italie est une plante vivace qui pousse naturellement dans les haies, les bois clairs ou les sols labourés dans les régions méridionales de la France. Il appartient à la famille des aracées.

    La partie souterraine est un tubercule charnu et horizontal.
    En hiver, le feuillage de cette plante présente un intérêt décoratif par ses grandes feuilles en forme de fer de lance.
    Leur base présente deux sortes d’oreillettes divergentes et leur surface brillante est marbrée de blanc.
    A leur sortie, ces feuilles sont roulées en cornet ; en été ce feuillage disparait.

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    La floraison a lieu en mai-juin mais les fleurs ne sont pas très spectaculaires car de couleur jaune-verdâtre.
    Par contre, le moyen utilisé pour la reproduction est particulier.
    La fleur se présente sous forme d’un long cornet à extrémité élargie et pointue, cette partie est appelée une spathe.
    Au centre de cette spathe se dresse un organe jaune et allongé en massue, c’est l’extrémité du spadice dont le reste est enveloppé dans la base renflée de la spathe.
    A maturité, les insectes qui sont attirés par l’odeur fétide du spadice descendent dans la base renflée de la spathe où se trouvent le nectar mais aussi des fleurs mâles et des fleurs femelles.
    Un réseau de poils les empêchant de remonter, ils se recouvrent du pollen des fleurs mâles et le dispersent en s’agitant.
    Peu de temps après, la prison de poils s’ouvre et ces insectes iront déposer le pollen accroché à leur corps sur les fleurs femelles d’autres spathes dont ils seront à nouveau prisonniers.

    Les fruits très voyants sont des baies rouge vif, disposées en épi.

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    Attention, ces baies sont très toxiques voire mortelles!

    Utilisations officinales : la plante contient des substances antirhumatismales, expectorantes du catarrhe des bronches et adjuvantes dans les affections des premières voies respiratoires. ( consulter avant utilisation)

    Utilisations autres : plante très décorative que l’on appelle familièrement la « calla des bois ».

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    LES CHIENS ET L’ORAGE

    Posté par eurekasophie le 12 août 2009

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    La peur des orages chez les chiens est très difficile à vaincre

    La peur des orages est très répandue chez les chiens. Chez certains chiens, elle peut être si intense qu’ils peuvent prévoir quand un orage surviendra et se mettre à trembler bien avant qu’il ne commence.

    Dans la plupart des cas, c’est le bruit que le chien redoute, même si chez certains d’entre eux, les éclairs et le bruit semblent associés. Pour éliminer cette phobie, il faut beaucoup de temps et l’application de certaines techniques de dressage bien connues. Pour habituer un chien au tonnerre, on peut utiliser une technique appelée « désensibilisation systématique ». Elle consiste à exposer le chien à des bruits d’orage assez faibles pour ne provoquer aucune réaction chez lui (vous pouvez utiliser des enregistrements commerciaux de tonnerre ou faire vos propres enregistrements). Avant de commencer, faites jouer l’enregistrement assez fort, pour voir si votre chien y réagira.
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    Vous augmentez le volume graduellement jusqu’à ce que le chien ait une réaction de peur. Ne le réconfortez pas, car vous renforceriez alors le comportement de peur. Réduisez plutôt le volume et continuez d’appliquer cette technique, mais encore plus graduellement. Après quelque temps (généralement des semaines), vous pourrez monter le son assez fort sans que votre chien ait peur. Si votre animal craint aussi les éclairs, utilisez un stroboscope pour les simuler.

    Une autre technique, appelée « contre-conditionnement », peut être combinée au dressage. Elle consiste à distraire votre chien pendant un orage simulé en lui faisant faire des exercices faciles de dressage (par ex., « assis », « couche », « reste » ou « au pied ») et à le récompenser quand il obéit. Vous remplacez ainsi la peur par la satisfaction et le plaisir.

    Si ces techniques échouent, consultez votre vétérinaire. Il peut vous recommander d’autres techniques de dressage et, au besoin, il pourra prescrire des médicaments qui modifient le comportement ou des tranquillisants

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    GAZON D’OLYMPE

    Posté par eurekasophie le 12 août 2009

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    Armérie maritime

    ( Armeria maritima )

    ( Plombaginacées )

    Synonyme(s) : Jonc marin, Oeillet marin, Gazon d’Olympe, Arméria marine

    L’armérie maritime (Armeria maritima), œillet marin, gazon d’Olympe ou gazon d’Espagne, est une espèce de plantes herbacées vivaces de la famille des Plumbaginaceae. Sa répartition est au niveau du littoral de l’hémisphère nord.

    En France, elle est rencontrée sur les côtes de la Manche et de l’Atlantique (Vendée, Bretagne), sur les rochers et pelouses de bords de mer, battu par les embruns.

    Vivace en touffe ressemblant à de l’herbe d’un bleu-vert sombre. En été, pour une longue période, têtes sphériques de fleurs roses à l’extrémité de tiges rigides.

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    Plante herbacée vivace, hermaphrodite, en touffe (5-30 cm).

    Feuilles toutes radicales, à limbe linéaire-obtus, large de 1 à 3 mm, à une seule nervure, glabre ou pubescent.

    Hampe florale dressée, plus ou moins pubescente ; gaine haute de 8 à 15 mm, plus courte ou égalant le capitule. 

    Inflorescence : cyme capituliforme globuleuse, large de 2 cm ; fleurs longuement pédicellées, chacune munie d’une bractée ; involucre à bractées scarieuses, sur 3 ou 4 rangs, les externes ovales, acuminées ou mucronées ; lobes du calice ovales, surmontés d’une arête beaucoup plus courte qu’eux ; corolle rose, rarement blanche.

    Fruit : capsule.

    Exposition au soleil. Sol léger, pauvre, pas trop sec à frais. Rustique, au moins jusqu’à -20°C.
    Feuillage persistant. Port etalé. Intérêt estival. Couvre-sol.

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    Armérie maritime
     Armeria maritima
    Armeria maritima
    Classification classique
    Règne Plantae
    Sous-règne Tracheobionta
    Division Magnoliophyta
    Classe Magnoliopsida
    Sous-classe Caryophyllidae
    Ordre Plumbaginales
    Famille Plumbaginaceae
    Genre Armeria
    Nom binominal
    Armeria maritima

    Utilisations officinales : plante irritante qui possède des substances antibiotiques.

    Utilisations autres : plante utilisée en décoration.

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    Petit Nacré (Issoria lathonia) butinant sur des inflorescences de Gazon d’Olympe (Armeria maritima)

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    LA NEVROSE OBSESSIONNELLE

    Posté par eurekasophie le 12 août 2009

     

    Les comportements répétitifs peuvent être un symptôme de névrose obsessionnelle

    La névrose obsessionnelle, aussi appelée stéréotypie, se caractérise par des gestes répétitifs, constants et sans but apparent.

    La stéréotypie peut se manifester de bien des façons. La forme la plus courante chez les chiens de petite race est le mâchonnement des pattes antérieures et des griffes. Mordre dans le vide et courir après sa queue sont d’autres exemples de stéréotypie chez les chiens. Dans le cas des chiens de grande race, les granulomes (tumeurs de nature inflammatoire) consécutifs au léchage excessif sont la manifestation la plus courante.

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    La stéréotypie peut être d’origine physiologique et être notamment causée par des troubles génétiques ou une infection locale de la peau (pyodermite). Elle peut aussi être attribuable à des expériences négatives ou à un comportement conditionné, comme un conflit ou la peur. Elle peut encore être due au stress, à l’ennui ou à l’anxiété. Des données scientifiques semblent indiquer que certaines espèces, races et lignées sont plus prédisposées que d’autres à certaines formes de stéréotypie.

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    Le traitement de la stéréotypie, quelle qu’en soit la forme, exige patience et compréhension. L’application d’onguent au goût repoussant sur une région que l’animal lèche compulsivement ne règle pas le problème et s’avère généralement inefficace.

    Il faut d’abord s’assurer que le problème n’est pas d’origine médicale, en demandant à un vétérinaire de procéder à un examen physique complet de l’animal et de faire les tests nécessaires. Si aucun trouble médical n’est décelé, il faut ensuite cerner la cause du comportement aberrant et l’éliminer (par ex., dans le cas de l’anxiété, en supprimer la cause). Il faut éviter les punitions car, dans certains cas, elles sont déjà un facteur contributif.

    Si la stéréotypie persiste malgré ces mesures, il est recommandé de consulter un vétérinaire possédant de l’expertise dans le domaine du comportement. En général, il proposera un traitement médicamenteux doublé d’un bon programme de prévention physique (si c’est possible). Dans certains cas, la modification du comportement à l’aide de techniques de désensibilisation et de contre-conditionnement peut s’avérer utile.

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    HI HI ……POULE GRASSE

    Posté par eurekasophie le 11 août 2009

     

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    Ha ! Ce bon roi Henri IV et ses poules ……au pot !

     

    Petite  coure  d’histoire …..

    Né Henri de Bonnebourre, il était le fils de Jeanne III (c’est-à-dire Jeanne Moreau, fille de Jeanne Calmant, fille de Jeanne d’Arc) reine de Navarre, et de Toinou de Bonnebourre (frère de Carlos), chef de la maison des Bonnebourre descendant l’escalier quatre à quatre. En raison de la loi « sadique » il devint à la fois bourreau et cuisinier de profession, ce qui lui permit d’inventer le « poulpe au pot ». À l’occasion, il partait à la guerre afin de trouver de la nourriture, de la bonne bière et d’indispensables condiments.

    « Ralliez-vous à mon panaché blanc »

    ~ Henri IV à propos de la bataille d’Ivresse

    Ce roi n’aimait pas les galettes, c’est pour cela qu’il ne porta jamais de couronne, même dans les magazines people de l’époque. De plus, s’il avait été un vrai roi compétant et responsable la France s’appellerait la Navarre, mais là c’est foutu. Ne sachant pas s’imposer il s’énerva. Après un petit embargo, par vengeance il se rendit responsable du sac de Couchage, l’ancienne capitale de la France que tout le monde a oubliée. Elle fut détruite lors d’une guerre de fermeture éclair.

    Contemporain de lui-même, à chacune de ses rencontres il s’admirait, ce qui ne l’empêchât pas, le 14 mai 1610 de mourir assassiné par un petit couteau qui après s’est suicidé. Henri IV survécut au saint massacre de la Saint-Barthélémy mais pas à la guerre des christiens

    Politique

    Ajout du 5eme AS : Henri 4 est né, comme son nom l’indique un 4. L’histoire ne dit pas si c’est un 4 avril ou un 4 septembre, ni si c’est un jeudi ou un lundi. Ce dont on est certain, c’est que c’était en 1553. Quand il accède au pouvoir, la France est déchirée par les guerres de religion. Protestant, il se converti en 1593 au catholicisme et restaure la paix grace à l’Edit de Nantes (à ne pas confondre avec l’ Edith Piaf) en 1598.

    Les femmes

    Surnommé par ses maitresses « le vert galant », ou « la môme Henri », Henri 4 est toujours vétu d’une petite robe noire. Les cheveux frisés et la voix puissante, sa renommée dépasse vite les frontières grâce à des succès comme « Mon Dieu », « non, rien de rien », « L’homme à la moto » et « Mon legionnaire ». Séducteur invétéré, il tombe amoureux de Marcel Cerdan (voir le très beau film de Claude Lelouch « Henri et Marcel »), un célebre boxeur de l’époque.

    Le gastronome

    Après une carrière fulgurante aux Amériques, il revient en France par le train de 12h57, et invente un plat (la poule-au-pot). Ce qui m’amène à vous écrire un article sur la poule grasse of course ! Après vous avoir donné la recette de la poule-au-pot.

    Recette de la poule-au-pot

    1. Prendre une poule
    2. Prendre un pot
    3. Mettre la poule dans le pot et laisser cuire
    4. Voila
    5. Vous pouvez rajouter des saucisses

    Recette pour 80 personnes, si 76 n’ont pas faim.

    Critiques des journaux : « Succulent », « Miam », « Delicious », « Exquis », « Motherhooker in the steve »

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    Poule grasse

    ( Lapsana communis , Lampsana communis )

    ( Composées ou Astéracées )

    Synonyme(s) : Lampsane commune, Lapsane, Grageline, Saune blanche, Herbe aux mamelles

    Le lampsane est une plante annuelle à racines fibreuses, fasciculées, blanchâtres. La tige, de 20 à 60 cm, est rameuse et dressée. Les feuilles sont alternes. Celles du bas sont longuement pétiolées, profondément divisées, avec des lobes latéraux inégaux de dimension variable, le terminal grand et denté sur la partie moyenne. Dans le haut, elles sont ovales, oblongues, pointues, dentelées. La tige florifère en portes de petites, aiguës, étroites, sans pétioles. Les fleurs, jaunes, solitaires, en capitules terminaux, sont visibles de mai à septembre. Elles se ferment l’après-midi. Le fruit est comprimé et strié.

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    CULTURE ET RÉCOLTE :Commun dans toute l’Europe, sur les lieux incultes, le lampsane ne dépasse pas 1 800 mètres d’altitude. Il se multiplie par semis des graines dès leur maturité. Récoltez les feuilles au tout début de la floraison, faites-les sécher à plat dans des endroits secs et aérés.

    Lampsane commune
     Lapsana communis
    Lapsana communis
    Classification classique
    Règne Plantae
    Division Magnoliophyta
    Classe Magnoliopsida
    Ordre Asterales
    Famille Asteraceae
    Genre Lapsana
    Nom binominal
    Lapsana communis

    Utilisations officinales : elle était utilisée pour cicatriser les gerçures du sein : d’où son surnom d’Herbes aux mamelles. Elle possède des propriétés diurétiques, émollientes et résolutive.

    Utilisations culinaires : elle est consommée en salade en accompagnement de la poule au pot par exemple ..lol !

    Les feuilles jeunes, lorsque la plante est encore en rosette, peuvent se consommer en salade. D’après Michel Bontemps (« Votre santé par les plantes »), la lampsane est une plante très utile pour lutter contre le diabète.

    J’espère que vous ne m’en voudrez pas d’avoir commencé cet article par un petit clin d’oeil

    à notre bon roi Henri IV, je n’ai pu résister au petit grain de folie qui

    m’habite de temps en temps .

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    DIGITALE POURPRE

    Posté par eurekasophie le 11 août 2009

     

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    Digitale pourpre

    ( Digitalis purpurea )

    ( Scrofulariacées )

    Synonyme(s) : Gant de Notre-Dame, Digitale, Doigt de la Vierge, Claquet, Queue de loup, Gantelet

    La digitale pourpre (Digitalis purpurea) est une espèce de plante de la famille des Scrophulariaceae selon la classification classique, ou des Plantaginaceae selon la classification phylogénétique. C’est une grande digitale bisanuelle ou vivace, cultivée comme plante ornementale.
    Elle est très toxique car elle contient notamment des sucres complexes (
    hétérosides) dont la digitoxine, la digoxygénine, la gitixoside, la digitaloside, la sapogénine, la digitonine, la digitoflavine. Ces substances ralentissent et renforcent les battements des muscles cardiaques.

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    Un remède homéopathique est fabriqué à partir de la digitale pourpre.
    La digitale pourpre est une plante vivace de la famille des Scrophulariaceae haute de 30 cm à 2 mètres. Elle fleurit de juin à septembre. Elle est cultivée comme plante ornementale.
    Elle est très toxique car elle contient notamment des sucres complexes (hétérosides) dont la digitoxine, la gitixoside, la digitaloside, la sapogénine, la digitonine, la digitoflavine.  Ces substances ralentissent et renforcent les battements des muscles cardiaques.

    En homéopathie, Digitalis purpurea est naturellement lié au coeur et à ses palpitations. On utilise Digitalis purpurea lorsque le pouls est lent et s’accélère brutalement au moindre mouvement. On a la sensation au repos que le coeur va s’arrêter de battre

     

    digitalispurpurea.jpg                          homopathietrousse.jpg

     ATTENTION !!!!

    Belles plantes décoratives : grande taille, axe fleurissant droit. Utilisées pour des espaces à longue perspective : lisières de bosquets, allées de parcs. Plante médicinale. Plante toxique en cas d’ingestion. Irritation de peau au contact des feuilles.
    Parents: Ne laissez surtout pas vos enfants toucher ces belles fleurs. Où alors, se laver soigneusement les mains après un contact

    avec l’espèce concernée.

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    BE MY BABY

    Posté par eurekasophie le 10 août 2009

     

     

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    Ha Vanessa ! De midinette avec ce tube  » Joe le taxi  »  en 1987 qui te maintiendra en haut du Hit parade pendant plusieurs semaines et ceci même en Angleterre …..

    Tu es devenue une chanteuse accomplie et surtout, tu m’as époustouflée dans ton premier rôle au cinéma aux côtés de Bruno Crémer dans  » Noce Blanche « .

     Moi qui te jugeais un peu mièvre, j’ai pensé à l’époque que tu étais meilleure actrice que chanteuse. Et je n’ai pas été la seule à l’admettre …..La critique

    est unanime et les récompenses pleuvent : le 21 février 1990, tu reçois le ‘Prix Romy Schneider‘ et le 4 mars, tu es élue ‘Révélation féminine de l’année’

    lors de la cérémonie des Césars.

    Avec la ‘Victoire de la musique’ reçue un mois plus tôt, tu obtiens un triplé qu’aucune artiste n’a réussi à réitérer.

    Depuis tu n’as fais que gravir les sommets qui t’ont menée à la gloire avec une énergie fièrement pop. 

    Merci Vanessa  et bravo !!

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