FILETS DE ROUGET GRILLES ET COMPOTE DE FENOUIL

Posté par eurekasophie le 16 juin 2009

 

Un petit air de méditerrannée avec ce plat : rougets, fenouil, ail … il manque plus que la mer et les cigales ………….mer.gif

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Ingrédients :

  • 3-4 filets de rougets par personne
  • 2 bulbes de fenouil
  • 2 oignons
  • 3 gousses d’ail
  • Huile d’olive
  • Thym

Préparation de la compote de fenouil :

Coupez le fenouil et l’oignon en fines rondelles. Emincez l’ail. Faites chauffer un peu d’huile d’olive dans une cocotte. Faites revenir l’oignon et le fenouil sur feu doux une quinzaine de minutes. Ajoutez l’ail émincé et le thym. Assaisonnez. Poursuivez la cuisson jusqu’à obtenir une compotée.

Idée : un tout petit peu d’alcool anisé (pastis, ricard…) pour augmenter le goût anisé du plat.

Préparation du poisson :

Mettez de l’huile d’olive dans une poêle et faites dorer les filets de poisson 3-4 minutes par face. Salez, poivrez et mettez un filet de jus de citron. Servez chaud.

Idée : avant la cuisson, il est possible de fariner légèrement les poissons pour leur donner plus de croustillants.

 

Il suffit de demander …et hop! 

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Piqûres d’insectes (moustiques, aoûtats) et huiles essentielles

Posté par eurekasophie le 16 juin 2009

Piqûres d’insectes (moustiques, aoûtats) et huiles essentielles

L’été arrive, la chaleur aussi… Il va falloir penser à se protéger contre les piqûres de moustiques ou autres insectes piqueurs…

Prévention des piqûres d’insectes :   

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Tout le monde connait l’essence de citronnelle comme répulsif naturel anti-moustiques, je vous livre ici une petite recette à base d’huiles essentielles qui vous aidera à vous protéger contre les insectes :

 

  • 1 goutte d’huile essentielle de Citronnelle de Ceylan
  • 1 goutte d’huile essentielle de Géranium odorant
  • 2 gouttes d’huile végétale de Jojoba

Appliquer ce mélange sur les parties découvertes du corps pour chasser les moustiques.

Ce mélange n’est pas insecticide mais son odeur repousse les insectes piqueurs naturellement.

Pour les enfants entre 3 et 6 ans, on utilisera l’huile essentielle de citronnelle seule.
L’huile essentielle de Géranium contient beaucoup de cétones. Ce mélange est donc déconseillé aux femmes enceintes ou allaitant et aux enfants de moins de 6 ans.

moustique3.gifPiqûres d'insectes (moustiques, aoûtats) et huiles essentielles dans SANTE AU QUOTIDIEN HE-geranium

Soin des piqûres d’insectes :

Si, par contre, vous êtes déjà piqués, appliquez un mélange d’huiles essentielles de Lavandin abrial et de Tea tree directement sur le bouton ou avec un coton tige. Cette association d’huiles essentielles calmera douleurs et démangeaisons.

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LE FICAIRE

Posté par eurekasophie le 14 juin 2009

 

Le ficaire fausse-renoncule (Ranunculus ficaria) ou ficaire est une plante herbacée vivace de la famille des Ranunculaceae. Ficaire vient du mot latin ficus, figue, en

Ficaire fausse-renoncule
Ficaire
Ficaire
Classification classique
Règne Plantae
Classe Magnoliopsida
Ordre Ranunculales
Famille Ranunculaceae
Genre Ranunculus
Nom binominal
Ranunculus ficaria
L., 1753
 FleurFleur

raison de ses racines en forme de petites figues. C’est une espèce très commune, rencontrée dans les prairies, les forêts, talus et lisières.

C’est une plante basse, aux feuilles cordiformes, aux fleurs jaunes brillantes comportant de 8 à 12 pétales assez allongés. Elle referme ses fleurs par temps couvert. Ses tubercules crus sont toxiques. La sous-espèce bulbilifer produit de petits bulbilles à la base des pétioles des feuilles.
Les fruits sont peu utiles à la plante car elle produit rarement des graines. La ficaire se multiplie plutôt de façon végétative grâce aux bulbilles et aux tubercules.


  • Ranunculus ficaria L. subsp. ficaria des lisières et clairières vivaces médioeuropéennes, eutrophiles, mésohygrophiles
  • Ranunculus ficaria L. subsp. bulbilifer Lambinon des sous-bois herbacés médioeuropéens, basophiles, hygrophiles
  • Ranunculus ficaria L. subsp. ficariiformis Rouy & Foucaud des lisières et clairières vivaces médioeuropéennes,

 

LE FICAIRE dans

 

magnify-clip dans Mon repertoire des plantes les moins usitees

Les ficaires forment souvent des communautés importantes dans les sous bois des forêts caducifoliées d’Europe tempérée et qui sont visibles lors de leur floraison au printemps alors que les arbres n’ont pas encore leurs feuilles

 

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Fleurs jaunes de Ficaire

 

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Ficaire

 

APPLICATION

 

EXTERNE

 

Herbe aux hémorroïdes

Tout le monde connaît cette renonculacée, ou petite chélidoine, qui pousse sur les sols humides.

C’est l’une des premières fleurs, après l’hiver, à épanouir ses pétales jaune vif ressemblant à des étoiles.

Sa modeste hauteur, 10cm environ, et ses feuilles rondes et épaisses, sont reconnaissables dans les lieus où elle pousse souvent en colonies.

Attention, sa tige contient un suc irritant.

Mais ses racines cachent des bulbes blanchâtres, radicaux contre les hémorroïdes en application externe.

Broyez les racines fraîches récoltées au printemps ou à l’automne.

Mélangez avec du beurre.

Faites reposer cette pommade une semaine dans un verre. Réchauffez et passez dans un tissu fin.

Vous aurez ainsi un onguent souverain à appliquer localement.

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LE FRAMBOISIER

Posté par eurekasophie le 14 juin 2009

 

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Le framboisier (Rubus idaeus L.) ou ronce du mont Ida est un arbrisseau de la famille des Rosacées ( tribu des Rubae ), couramment cultivé pour ses fruits, les

Framboisier
 Rubus idaeus
Rubus idaeus
Classification classique
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Sous-classe Rosidae
Ordre Rosales
Famille Rosaceae
Genre Rubus
Nom binominal
Rubus idaeus
L., 1753
Classification phylogénétique
Ordre Rosales
Famille Rosaceae
 FruitsFruits

framboises.

Nom commun : framboisier, ronce du mont Ida. de : Himbeere, en : raspberry, es : frambueso, chordón.

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 MIEUX CONNAITRE

Indigène en France, la framboise pousse toujours à l’état sauvage dans les sous-bois montagneux : Pyrénées, Massif Central… Sa culture est pourtant très récente puisqu’elle ne débuta qu’au XXe siècle. Tout comme les fraises, les framboises peuvent être remontantes : fournissant une première récolte en juin, elles continuent de fleurir et de fructifier jusqu’aux premières gelées, début octobre. En France, elles sont principalement cultivées dans les régions Rhône-Alpes, Val de Loire, Limousin et Ile de France.

UN PEU D’HISTOIRE

Selon la légende, la framboise, appréciée des dieux de l’Olympe, serait née sur les pentes du Mont Ida, d’où son appellation « Rubus idaeus » : ronce de l’Ida. Il est beaucoup plus probable qu’elle est originaire des zones montagneuses d’Europe (et il en existe encore à l’état sauvage dans les Alpes du Dauphiné, dans les Vosges ou le Massif Central). Dès la Renaissance, elle sera cultivée dans les jardins familiaux. Largement améliorée par des siècles de sélection, elle réjouit les gourmets les plus exigeants. Mais sa récolte exige beaucoup de soins et de main d’œuvre, elle est fragile et délicate : c’est pourquoi la framboise reste un fruit relativement coûteux, dont il ne faut pas manquer la (courte) saison. Selon la légende, la framboise, appréciée des dieux de l’Olympe, serait née sur les pentes du Mont Ida, d’où son appellation « Rubus idaeus » : ronce de l’Ida. Il est beaucoup plus probable qu’elle est originaire des zones montagneuses d’Europe (et il en existe encore à l’état sauvage dans les Alpes du Dauphiné, dans les Vosges ou le Massif Central). Dès la Renaissance, elle sera cultivée dans les jardins familiaux. Largement améliorée par des siècles de sélection, elle réjouit les gourmets les plus exigeants. Mais sa récolte exige beaucoup de soins et de main d’oeuvre, elle est fragile et délicate : c’est pourquoi la framboise reste un fruit relativement coûteux, dont il ne faut pas manquer la (courte) saison.

Petit fruit délicat et parfumé, la framboise nous séduit par ses grandes qualités gustatives. Mais aussi par ses atouts nutritionnels réels : une grande « discrétion » énergétique (38 calories aux 100 g), qui en fait un des fruits vedettes des menus minceur des beaux jours ; une haute densité minérale
(en particulier pour le magnésium, le calcium et le fer) ; une bonne teneur en vitamine C (25 mg aux 100 g). Ses fibres sont abondantes (près de 7 g aux 100 g) et efficaces pour lutter contre une tendance à la constipation. Mais en cas de fragilité intestinale, il est préférable de consommer la framboise sous forme de coulis tamisé (ce qui permet d’éliminer les « grains » indésirables).
Les framboises que nous connaissons le mieux sont rouge vif ou rouge violacé. Mais il en existe de couleur rouge-brun, d’autres jaune clair « Sucrée de Metz ». Certaines sont dorées « Surprise d’automne », et on trouve même des variétés de framboises blanches, pratiquement dépourvues de pigments colorés « Merveille des quatre saisons blanche ».
Jadis, on attribuait à la framboise des vertus toniques et fortifiantes : au XVIème siècle, on recommandait son sirop pour ses qualités « analeptiques » (propres à rétablir les forces). Un peu plus tard, son usage sera conseillé « à ceux dont l’estomac ne peut garder les aliments, et que tourmentent des vomissements » (G. Bauhin, Historia plantarum, 1651). Le « sirop de vinaigre framboisé » était traditionnellement utilisé pour soigner les angines, en boisson ou en gargarisme. Aujourd’hui, la framboise sert à l’obtention de suc et sirop officinaux (à vocation essentiellement aromatisante).

 

Ne vous laissez pas influencer par la couleur des framboises, celles-ci se nuancent de différentes teintes de rose et de pourpre en fonction des variétés.
La fraîcheur des fruits s’affichent mais vérifiez-la en observant le dessous des barquettes transparentes. Après les avoir achetées, vous veillerez à bien placer les barquettes de fruits sur le dessus de votre panier pour leur éviter les chocs.

Comment conserver


Si vous ne consommez pas les framboises aussitôt après les avoir achetées, vous pouvez les conserver, dans leur emballage et dans le bac à légumes du réfrigérateur, mais pas plus de 2 jours, délicatesse oblige. la congélation convient par contre très bien aux framboises, leur conservant tenue et qualité gustative. 

 

RECETTES

Une salade de fruits
Associez framboises et pêches, abricots, fruits rouges, agrumes…. À essayer avec quelques rondelles de kumquats. Salade de menthe, de framboises, de pêches, nappée d’un filet d’huile d’olive, agrémentée de morceaux de réglisse !
En soupes
Banyuls doucement chauffé avec de la cannelle, un zeste de citron, et versé chaud sur des framboises. À savourer glacé avec quelques feuilles de menthe poivrée pour parfumer.
Vin rouge sucré à la cassonade, mêlé d’eau de fleur d’oranger, versé sur les fruits.
Des soufflets
Purée de framboises (350 g) un peu citronnée mêlée de maïzena (2 cuillère. à soupe.),3 jaunes d’œufs, 100 g de sucre glace, 5 blancs d’œufs en neige. Cuisez 10 min au four à 220° C (th 6/7).
Des gelées, du coulis, du sirop
Framboises (1 kg) passées à la moulinette, grille fine, mélangée à 550 g de sucre en poudre, mises à cuire à petits bouillons 6 à 7 min.
Framboises (600 g), sucre en poudre (400 g), le tout mixé avec le jus de 2 citrons et légèrement chauffés .Framboises (350 g), sucre (500 g), 25 cl d’eau cuits 10 min. On les cuit encore 10 min avant de les laisser tiédir. Passez le tout dans un tamis et cuisez le sirop 5 min.
Et encore
Pastilla : framboises confites dans un demi verre de Chinon sucré et réduit, placées en alternance avec de la crème anglaise, entre des feuilles de brick.
Compote : oignons (1 kg) mixés, revenus , poudrés de vergeoise, nappés de 4 cuillère à soupe. de vinaigre, de vin (40 cl), mêlés de framboises (200 g), cuisson : 40 minutes.
Carpaccio de saumon frais et framboises.

 

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RASSURE TOI ……..

Posté par eurekasophie le 13 juin 2009

 

 

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Un ange par-ci
Un ange par-là
Un diable aussi
Quand tu es là
Et rien ne va
Mieux qu’ici-bas

On change de vie
On change de mois
De jour aussi
Quand on se voit
Et rien ne va
Mieux qu’ici-bas

 

Comme tout est fait
Pour aller haut
Les ailes souvent ont des oiseaux
Comme tout est fait
Pour rester chaud
Les flammes, les flammes ont des bourreaux

 

Et rien ne va
Mieux qu’ici-bas
Et rien ne va
Mieux qu’ici-bas
Mieux qu’ici-bas, rassure-toi

 

Un temps de pluie
Comme tant de fois
Un ciel aussi rose
Que le bois
Et rien ne va
Mieux qu’ici-bas

 

Autant de nuits
Que d’toi et moi
Un lit aussi
Grand que tes bras
Et rien ne va
Mieux qu’ici-bas

 

Comme tout est fait
Pour prendre l’eau
Les îles, les îles ont des bateaux
Comme tout est fait
Pour faire des mots
Je t’aime tant, je t’aime trop

 

Et rien ne va
Mieux qu’ici-bas
Et rien ne va
Mieux qu’ici-bas
Mieux qu’ici-bas, rassure-toi

 

 

Pour toi Marie-Claire

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LE CADE OU……………

Posté par eurekasophie le 13 juin 2009

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Le genévrier cade (Juniperus oxycedrus), ou cade, ou encore oxycèdre, est un petit arbre ou un arbrisseau fréquent en région côtière méditerranéenne (du Maroc à l’Iran),

Genévrier cade
 Juniperus oxycedrus
Juniperus oxycedrus
Classification classique
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Pinophyta
Classe Pinopsida
Ordre Pinales
Famille Cupressaceae
Genre Juniperus
Nom binominal
Juniperus oxycedrus
L., 1753
Classification phylogénétique
Ordre Pinales
Famille Cupressaceae
 Feuilles et fruitsFeuilles et fruit

où il est l’une des plantes caractéristiques des garrigues et des maquis. Les cônes, comestibles frais, sont bruns à orange. On distingue couramment deux sous-espèces :

  • subsp. oxycedrus, à port érigé, à feuilles très étroites, à fruits petits ;
  • subsp. macrocarpa, plus buissonnant et à gros fruits.

À noter cependant que, dans une monographie récente consacrée au genre Juniperus (Junipers of the World, 2004), R.-P. Adams propose de faire de macrocarpa une espèce à part entière (J. macrocarpa) et de diviser la sous-espèce oxycedrus en deux : J. oxycedrus (ouest du bassin méditerranéen) et J. deltoides (est du bassin).

 

Le genévrier cade est le plus courant des genévriers méditerranéens, on le rencontre dans l’ensemble du bassin. Il apprécie les lieux arides, rocailleux, sur calcaire ou sur sols acides, où il est fréquemment associé au chêne vert et au chêne kermès.

  • Floraison : mai
  • Pollinisation : anémogame
  • Dissémination : endozoochore

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Arbre pouvant atteindre 14 mètres, mais dont les dimensions sont en général beaucoup plus modestes (1 à 2 mètres, parfois moins). Écorce grise ou rougeâtre, plutôt rugueuse. Feuillage persistant se présentant sous forme d’aiguilles. Ces aiguilles, à pointe fine et piquante, sont disposées en verticilles de 3 sur 6 rangs. Leur face supérieure porte deux bandes blanches, ce qui permet de faire la distinction avec le genévrier commun (aiguilles à une seule bande blanche).

Le genévrier cade est un arbrisseau dioïque (fleurs mâles et femelles ne poussant pas sur la même plante). Les fleurs mâles et femelles forment des petits cônes.

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Les cônes femelles prennent peu à peu l’apparence de baies, les écailles se soudant les unes aux autres. Ces cônes arrivent à maturité au bout de deux ans environ. Cela forme des baies brun-rouge.

Quasiment imputrescible, le bois peut être utilisé dans la statuaire, on en a fait aussi des linteaux de portes et des plaques ou objets anti-insectes et anti- mites à glisser dans les penderies.

On en extrait l’huile de cade, utilisée autrefois pour ses vertus cicatrisantes, toujours très appréciée comme antiseptique et désinfectant. Elle est fréquemment associée à divers produits tels que les shampooings. Elle constitue un traitement local d’appoint du psoriasis et des dermites séborrhéiques. Elle sert aussi à soigner les sabots des chevaux (entre dans la composition de l’onguent de maréchal). Frédéric Mistral y fait allusion dans le Trésor du Félibrige en parlant d’une huile âpre dont les bergers se servent contre la gale« . Elle est très efficace dans l’éloignement des rongeurs, ainsi que comme répulsif d’insectes. Cependant elle ne sent pas très bon et il faut éviter de l’employer « pure » sur la peau. Les facteurs de flûte à bec s’en servent afin de fabriquer le bouchon du bec de la flûte. C’est aussi un excellent anti-mites.

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Les fours à cade qu’on trouve encore dans la garrigue en Provence (notamment à Cuges-les-Pins) rappellent l’époque où cette huile était produite directement dans les champs: là où poussait le genévrier cade, on construisait de grands fours cylindriques en pierre, le bois y était lentement consumé et on récupérait l’huile dans la partie basse du four. Leur utilisation a cessé pendant la seconde guerre mondiale; les distilleries modernes ont supplanté ces méthodes artisanales.

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LE CAJEPUT

Posté par eurekasophie le 13 juin 2009

 

Le cajeput (Melaleuca cajuputi, indonésien kayu putih : « bois blanc« , chinois 白千层 (hanyu pinyin bái qiān céng) : « mille-couches blanc ») est une plante poussant à l’état sauvage en Extrême-Orient, en Indonésie et en Australie. Elle appartient au genre Melaleuca et à la famille des Myrtaceae, famille d’arbres et de plantes utiles en aromathérapie. Selon les classifications, il est considéré comme une variante (var. minor) de Melaleuca leucadendra (smach chanlos en khmer). Le cajeput est proche de l’arbre à thé et du niaouli, mais il est plus simple à utiliser, car on en obtient une huile essentielle assez douce.

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C’est une huile essentielle qui est distillée sous vapeur à partir des feuilles et des bourgeons du cajuput qui appartient à la famille des Myrtacées, et pousse à l’état sauvage en Extrême-Orient. On en trouve aussi en Indonésie et Australie. A un fort parfum camphré et on distille aussi les variétés Melaleuca cajeputi et quinquenervia.

L’essence est proche du Niaouli. Aussi, de celle de l’Eucalyptus et du Pin mais son action est plus douce. Se mélange bien avec : le genièvre, le santal.

Propriétés :

En Malaisie et à Java, l’huile de Cajeput est un remède traditionnel contre le choléra et les rhumatismes.

Antiseptique général, antinévralgique, antispasmodique, tonique, fébrifuge, expectorante, vermifuge. L’Huile Essentielle est stimulante et revigorante.

Indications :

-  Digestive : indigestion, gastro-entérite, dysenterie, spasmes coliteux, (antiseptique intestinal).
-  Excrétoire : cystite, colibacillose, urétrite. (Infections urinaires).
-  Tête : inflammation de l’oreille, laryngite, sinusite.
-  Règles : périodes douloureuses.
-  Musculaires : rhumatismes, courbatures, douleurs articulaires, sciatiques.
-  Respiratoire : asthme, bronchite chronique, pharyngite, tuberculose. (Infections respiratoires).
-  Peau : morsures d’insectes. Certaines affections de la peau.

Conseils d’utilisation :

Voie Interne : Consultez un Aromathérapeute ou un médecin spécialisé. A titre indicatif, 1 à 2 gouttes 3 à 4 fois par jour en solution alcoolique ou dans du miel.

Voie Externe : En massage ou frictions,10 à 20 gouttes pures (sauf pour les peaux sensibles, dans ce cas diluer dans de l’huile végétale) ou en mélanges synergiques (avec d’autres H.E.). Très agréable et très bénéfique en diffusion pour les grippes et bronchites.

 

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LE CEDRE

Posté par eurekasophie le 13 juin 2009

 

Le cèdre est un genre de conifère de la famille des pinacées, originaire du Moyen-Orient et de l’Himalaya, acclimaté en Europe, comprenant des espèces d’arbres majestueux,

Cèdre
 Cèdre du Liban (Cedrus libani)
Cèdre du Liban (Cedrus libani)
Classification classique
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Pinophyta
Classe Pinopsida
Ordre Pinales
Famille Pinaceae
Sous-famille Abietoideae
Genre
Cedrus
Trew, 1757
Classification phylogénétique
Ordre Pinales
Famille Pinaceae
 Aiguilles de Cèdre de l'Atlas (Cedrus atlantica)Aiguilles de Cèdre de l’Atlas (Cedrus atlantica)

à bois odorant, à cime conique ou étalée, très utilisées pour l’ornementation des parcs. Les branches de cette essence sont étalées horizontalement et en plans superposés.

Le mot « cèdre » vient du latin cedrus, issu lui-même du grec kedros, qui désignait aussi bien le genévrier cade.

Le cèdre est l’arbre symbole du Liban et sa silhouette figure sur le drapeau du Liban.

En Guyane française, le terme « cèdre » recouvre un sens botanique très différent, tandis qu’au Canada, cèdre désigne souvent les  thuyas.

Les cèdres sont de grands arbres, de 25 à 50 m de haut, dont les feuilles, des aiguilles persistantes, courtes (2 à 4 cm), un peu piquantes, mais plus longues (3 à 6 cm) et plus souples chez le cèdre déodar, sont réunies en rosettes sur des rameaux courts. Leur cime aiguë dans le jeune âge, prend une forme tabulaire caractéristique à partir de 30 ans. Les branches sont très étalées à l’horizontale.

Les cônes femelles, ovoïdes oblongs, de 6 à 11 cm de long sur 4 à 6 cm de diamètre, sont dressés et les écailles minces se détachent avant la chute du cône; les graines triangulaires sont ailées.

Les cèdres peuvent vivre plus de 2 000 ans, cependant les plus anciens actuellement ont un âge estimé à environ 1 000 ans.

Ils sont reconnus pour leurs croissance rapide.

Il existe quatre espèces de cèdres :

Attention, certains auteurs considèrent le Cèdre de l’Atlas et le Cèdre de Chypre comme des variétés du Cèdre du liban.
Ceci donne donc:

 

Les cèdres ont été introduits en Europe où ils sont largement utilisés comme arbres d’ornement dans les parcs publics et les jardins. Il en existe de nombreuses variétés horticoles.

Une des variétés les plus connues est le « cèdre bleu », Cedrus atlantica ‘Glauca’, qui existe aussi en forme d’arbre pleureur, Cedrus atlantica ‘Glauca pendula’.

Le cèdre de l’Atlas a été très employé au XIXe siècle, vers 1860, pour reboiser les pentes dénudées du mont Ventoux, du petit Luberon dans le sud du Vaucluse, constituant la plus grande forêt de cèdres d’Europe occidentale suite à un pari entre deux ingénieurs forestiers en 1863 ; la cédraie s’y développe sur 500 hectares à 700 m d’altitude, du mont Aigoual, et des Pyrénées. Il constitue désormais, entre 800 et 1 000 m d’altitude, des peuplements remarquables qui se régénèrent abondamment.
Dans les années 1990, environ 20 000 hectares ont été reboisés de cèdres dans le sud de la France.

À ce sujet il faut citer l’utilisation du bois de cèdre du Liban pour la construction du premier Temple de Jérusalem vers 976 avant Jésus-Christ. Ce bois a le mérite, outre son odeur particulière, d’éloigner les insectes et les vers. Le cèdre, erez en hébreu, est l’arbre le plus souvent cité dans la Bible.

C’est cependant un bois assez cassant, ce qui limite son emploi pour les charpentes. Ses propriétés d’imputrescibilité le faisaient employer aussi pour la construction navale et la fabrication de sarcophages.

Le bois précieux du cèdre du Liban sert aux artisans pour la confection de boîtes à bijoux, de coffrets, etc.

Il est de nos jour utilisé en construction, essentiellement en recouvrement pour les murs extérieur (Bevel-siding) ou les toitures sous forme de tuiles (shingles).

L’huile essentielle aromatique du cèdre de l’Atlas a des propriétés antifongique, antiseptique, cicatrisante, astringente et décongestionnante pour les voies respiratoires.
Elle contient[1] des sesquiterpènes : béta-himachalène (48.03%), alpha-himachalène (16.80%), gamma-himachalène (10.24%), ar-himachalène (0.50%), delta-cadinène (1.67%), alpha-cédrène (0.90%), alpha-calacorène (0.68%), (E)-alpha-bisabolène (0.59%) et des Cétones sesquiterpéniques : (E)-alpha-atlantone (2.97%), (Z)-gamma-atlantone (0.83%), (E)-gamma-atlantone (2.43%), (Z)-alpha-atlantone (0.68%). Elle ne doit pas être appliquée pure (risque d’irritation de la peau) ni chez chez la femme enceinte ni chez le jeune enfant, ni chez l’épileptique, ni à fortes doses (Cf. action abortive et neurotoxique sur le long terme).
On la dit aussi relaxante, drainante, lymphotonique et diurétique, lipolytique (élimination des graisses). Elle contribuerait à la qualité du réseau artériel et du cuir cheveluantipelliculaire, comme l’huile de cade). Elle éloigne les moustiques et mites.


(Ne pas confondre cette huile avec l’« huile de cèdre » utilisée pour l’observation microscopique, qui est tirée du genévrier de Virginie, parfois appelé « cèdre de Virginie ».)
Chez les Égyptiens anciens, l’essence de cèdre et sa résine entraient dans les préparations servant à embaumer les momies.

Encore aujourd’hui cette propriété naturelle est mise à profit pour réaliser en bois de cèdre des ceintres et des boules à suspendre dans les armoires. Les substances aromatiques qui se dégagent sont un excellent répulsif contre les mites.
Jacques Cartier a guéri ses hommes du scorbut avec des préparations de feuilles de cèdre blanc.

 

Allergie au pollen de cèdre

Ce type d’allergie est en forte augmentation au japon ou elle touche maintenant plusieurs millions de personnes, d’autant plus qu’elles habitent ou vivent près de cèdres urbains. Ces allergies n’augmentent pas en montagne ou dans les zones boisées, sauf là où la circulation automobile a fortement augmenté. On pense que le pollen de cèdres exposés à la pollution (automobile notamment) devient plus allergène, et il est possible que les muqueuses pulmonaires également exposées à certains polluant y soient plus sensibles .
 

 

 

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LE CUMIN

Posté par eurekasophie le 13 juin 2009

 

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Le cumin (Cuminum cyminum) est une plante herbacée annuelle de la famille des Apiacées (Ombellifères).

Cumin
 Cuminum cyminum
Cuminum cyminum
Classification classique
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Sous-classe Rosidae
Ordre Apiales
Famille Apiaceae
Genre
Cuminum
L., 1753
Nom binominal
Cuminum cyminum

Le cumin (ou Cuminum en latin) prend son origine dans l’Orient. Il y apparaît comme épice à fumer ou pour apprêter des mets puisque son goût est terreux lorsque non apprêté. Il appartient à la même famille que le persil. Les synonymes de cette épice sont nombreux et incluent le « cumin blanc », « cumin de Maroc » ou « faux anis ».

Ne confondre ni avec le cumin des prés, ni avec le cumin noir qui provient des plantes Nigella sativa ou Bunium persicum ou peut-être Cuminum nigrum, qui est une graine plus longue que le cumin blanc.

HISTOIRE

Le cumin est originaire du Levant et on admet depuis longtemps que le mot est d’origine sémitique. Il est attesté en akkadien [kamunu], en ougaritique [kmn] et en phénicien [kmn]; on a en arabe [kamun] et en hébreu [kah-MOHN]. Dans les langues indo-européennes, on atteste en mycénien kumino et en grec to kuminon ; le latin cuminum est emprunté au grec. En français, on trouve les formes « cumin, coumin, comin, commin,… ». Le mot figure dans des fabliaux du Moyen Âge et un ménagier donne la recette de la « cominee de poulaille », un ragoût de poule au cumin.

Le cumin est probablement originaire du bassin méditerranéen dans la vallée du Nil ou dans l’Asie Mineure puisqu’on peut retracer en Égypte son utilisation il y a au moins cinq mille ans. Chez les Égyptiens, le cumin avait des vertus médicinales. De plus, les tombeaux pharaoniques étaient parsemés de graines de cumin par les membres des familles pharaoniques. Les hébreux ont même utilisés cette graine comme moyen de dîme dans les églises. D’après d’anciens écrits tels la Bible, le cumin servait de monnaie d’échange pour payer des dettes, ils décrivent aussi le battage du cumin au fléau. Au Moyen Âge, les serfs l’utilisaient comme monnaie d’échange pour s’affranchir. En ce temps-là, le mets au cumin principal était le poisson. Selon Pline, il permet d’ouvrir l’appétit.

Dans la Rome antique, cette plante était très précieuse et mise sous garde. Elle faisait partie des épices recherchées par les explorateurs lors de leurs explorations vers l’Inde et l’Amérique du Nord pour en semer dans les jardins royaux. L’Inde était le théâtre des harems où les femmes se droguaient en fumant de la cardamome, des clous de girofle et des grains verts de cumin. Par la suite, le cumin, encore pris comme une drogue était placée dans une feuille d’or ou d’argent repliée et placée sous la joue afin de mélanger cette épice à la salive. Toujours en Inde, les marchands offraient des grains de cumin à grignoter pendant que les clients regardaient la marchandise offerte. Même en Allemagne, le cumin servait de gage de fidélité et de symbole pour prouver sa loyauté à son fiancé.

CROYANCES

  • Au Moyen Âge, un petit sachet de graines sur soi protégeait du mauvais sort et des sorcières.
  • Dans l’Antiquité, le cumin servait aux médecins et aux sorciers des villages égyptiens et grecs, car il entrait dans la composition de drogues à ingérer.
  • Dans le Piémont, à l’abstention du fiancé, pour assurer sa fidélité, il devait boire un vin au cumin pulvérisé et manger du pain au cumin.
  • Le cumin était en usage en médecine ; sa graine était réputée faciliter la digestion (Cf. Boccace, Décaméron, huitième journée, nouvelle IX: le médecin joué). Cette épice prise en apéritif avait un effet apaisant contre les troubles digestifs, les coliques et les ballonnements.
  • Le cumin a toujours été associé à l’avarice parce que c’était l’épice des riches. Le nom de Marc Aurélius a même été quelques fois remplacé par Cuminus.

PROVENANCE ET UTILITE

Plante ombellifère d’Europe de l’Est. Maintenant, elle est plus régulièrement importée du Maroc, de l’Iran, du Nord de l’Afrique, de la Chine et des Amériques et le marché important se situe en Europe centrale. La portion consommable de la plante est la graine qui est préalablement séchée et/ou pulvérisée pour en faire une épice. Il est également possible d’en obtenir des huiles essentielles par distillation (procédé chimique consistant à extraire des composés liquides d’une plante).

Le cumin entre dans la composition d’aromates très différents comme le cari, le chili et le garam masala (mélange d’épices traditionnelles du Nord de l’Inde) mais il est à ajouter modérément aux plats préparés car il est fort en grande dose. Il peut aisément remplacer le carvi dans certains mets et il reste l’élément essentiel de la confection de la poudre de massalé. D’autres usages intéressants sont la présence du cumin dans le gouda et l’edam. À travers les âges, les potages, le pain, la volaille et le poisson ont été cominés, principe qui consistait à incorporer ou badigeonner ces plats de cumin. D’autres idées de plats dans lesquels le cumin peut être ajouté sont les tajines du Maroc, les merguez et le ras-el-hanout. En Amérique centrale, le gaspacho et les empanadas.

Même l’île de la Réunion est réputée pour l’ajouter à ses mets, sans toutefois le faire pousser directement sur l’île.

Les parfums, puisqu’il entre dans leur composition sous forme d’huile, font eux aussi partie du marché du cumin.

On trouver excessivement de cumin au Maroc mais, aussi dans d’autre pays. On dit souvent que le cumin du Maroc est le plus parfumée de tous.

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LA CORIANDRE

Posté par eurekasophie le 13 juin 2009

coriandre.jpg   Racines de coriandre

Que savons-nous de la coriandre ?

coriandre

Coriandre, (Coriandrum sativum), famille des Apiaceae, originaire d’Europe méridionale et du Moyen-Orient. Son nom est issu des mots grecs Koris et Andros, qui signifient « mari de la punaise » par allusion à l’odeur désagréable de la plante fraîche après floraison. La coriandre est appellée persil arabe, persil chinois ou encore cilantro.
Apportée par les Romains, cette herbe aromatique est utilisée depuis l’Antiquité tant en cuisine qu’en médecine.
La coriandre est une ombellifère qui peut atteindre de 30 à 60 centimètres de hauteur, pourvue de minuscules fleurs blanches, rosées ou lavande, avec un feuillage clairsemé vert clair qui ressemble à celui du persil plat.
Les fleurs de coriandre répandent une odeur tellement désagréable qu’elles servaient au Moyen Age à… combattre les poux.
Ses graines sont petites, rondes, marron clair de 3 mm de diamètre.
On les récolte à maturité en secouant la plante tête en bas.

Utilisation de la coriandre

Les feuilles et les graines sont utilisées depuis des millénaires au Moyen Orient et dans l’Asie du Sud-Est.
Tout comme pour le persil, on peut récolter les brins au fur et à mesure de leur maturation sur le plant, et ce jusqu’à l’apparition des fleurs.
La plante fraîche a un goût fort et piquant, très caractéristique, qui n’est pas toujours apprécié.

 

 

Coriandre en grains

graines de coriandreLes graines à saveur légèrement sucrée et citronnée, sont utilisées entières comme épices dans les conserves de légumes, de citron et d’olives; elles aromatisent les cornichons et autres condiments au vinaigre.
Moulues, on les ajoute aux couscous, au riz, dans la soupe harira (soupe marocaine aux lentilles, oignons et safran), les tajines, les sauces, les viandes et les poissons, le pain d’épices et certaines confitures.
Pour obtenir une poudre, passer les graines quelques minutes au four ou dans une poêle antiadhésive et les piler dans un mortier ou les moudre au mixer. Elles rendront ainsi toute leur saveur.
Les graines moulues entrent dans la composition du curry et les feuilles pilées sont ajoutées à la pâte du curry vert.

 

La coriandre fraîche est une épice couramment employée en Afrique du Nord, au Moyen Orient, dans les pays méditerranéens, en Asie du Sud; elle aromatise le riz, les falafels, les tajines, la viande, les omelettes, les sauces, les marinades, les salades.
La coriandre fraîche s’utilise comme le persil : elle ne doit pas être cuite; elle est toujours utilisée en fin de cuisson, hors du feu.
Les jeunes tiges, hachées menu, s’utilisent comme la ciboulette.
Les fleurs vertes sont utilisées comme aromate dans les cuisines indienne, pakistanaise, chinoise, orientale et latino-américaine.

La coriandre entre aussi dans la composition de bières et de liqueurs (eau de mélisse, base de la Chartreuse, de l’Izarra, de la liqueur d’Hendaye, gin).

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Santé, régime…

Propriétés de la coriandre

En infusion, les graines ont des vertus stimulantes, elles aident à combattre l’aérophagie, les digestions difficiles, la constipation.
Mettre une cuillère à café de graines pilées au fond d’une théière et laissez infuser 5 minutes.
A boire avant les repas pour une digestion plus facile.
Cette infusion donne aussi du « tonus » et favorise l’appétit.

Les feuilles de coriandre, dégagent une odeur assez entêtante (ce qui en limite l’emploi);respirée de trop près, elle peut provoquer des étourdissements.

 

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