AMICALEMENT VOTRE …………..
Posté par eurekasophie le 19 juin 2009
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Posté par eurekasophie le 19 juin 2009
Noisetier | ||
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Corylus avellana | ||
Classification classique | ||
Règne | Plantae | |
Division | Magnoliophyta | |
Classe | Magnoliopsida | |
Ordre | Fagales | |
Famille | Betulaceae | |
Genre | ||
Corylus L., 1753 |
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Nom binominal | ||
Corylus avellana |
Le noisetier commun (Corylus avellana), aussi appelé coudrier, est un arbrisseau de 2 à 4 mètres de hauteur et appartenant à la famille des Bétulacées.
C’est une plante des bois, des haies et des jardins qui donne un fruit comestible apprécié, la noisette. Il a un bois souple.
Le Noisetier est connu depuis la Préhistoire et ses fruits étaient déjà consommés à cette époque. Durant l’Antiquité et le Moyen-Âge, toutes sortes de vertus et de défauts lui furent donnés. Cependant, à l’heure actuelle, le Noisetier est apprécie pour les qualités nutritives et stimulantes de ses fruits.
Son nom latin « Corylus » vient de « corys », mot d’origine grecque qui signifie « casque » parce que la noisette est enveloppée dans une bractée verte qui forme comme un casque autour d’elle.
Le Noisetier est un arbuste qui peut mesurer jusqu’à 5 m de haut. Les feuilles sont ovales avec une pointe bien marquée avec des doubles dentures sur les bords. Les chatons sont soit mâles (de couleur jaune doré, ils apparaissent au mois de Septembre), soit femelles (ils apparaissent en Janvier et jusqu’en Février).
Cet arbuste n’a pas d’odeur.
Le Noisetier est constitué de tanin et de flavonoïdes.
En phytothérapie, les parties utilisées sont les feuilles, les graines, les chatons et l’écorce des rameaux les plus jeunes.
Il est également employé en marqueterie et sert de baguette pour les sourciers.
On le trouve en Europe jusqu’à 1500 m d’altitude. Il affectionne les jardins, le bords des rivières, les taillis.
PROPRIÉTÉS DU NOISETIER
Amaigrissant, antihémorragique, antisudoral, dépuratif, astringent, dépuratif, fébrifuge, vaso-constricteur
UTILISATIONS DU NOISETIER
Fièvres, obésité, varices, phlébite, oedème, épistaxis, problèmes de peau, plaies
PHYTOTHÉRAPIE
Consultez votre pharmacien ou votre médecin pour toute médication.
HISTOIRE ET MAGIE DU NOISETIER
À cause de l’aura de mystère et de magie qui l’accompagne depuis toujours, le noisetier occupe une place à part dans l’imaginaire humain. Employé comme support d’incantation par les druides, il a aussi été utilisé par les sourciers et les chercheurs d’or. Cette tradition serait rattachée à la symbolique de fertilité qu’on lui a très tôt attribué (à cause, bien sûr, de l’abondance de noisettes qu’il produit). Par un étrange effet d’attraction des semblables, il attirerait à lui deux autres symboles de fertilité, soit l’eau de source et les métaux ayant maturé dans le ventre de la terre. En Normandie, pour qu’une vache donne du lait, on la frappait trois fois avec une baguette de coudrier. Cette pratique a d’ailleurs valu le bûcher à quelques femmes accusées de sorcellerie pour avoir ainsi frappé des vaches qui, par la suite, s’entêtaient à donner du lait toute l’année.
Une autre tradition voulait que le troisième jour de ses noces, la mariée distribue des noisettes pour signifier que le mariage était bel et bien consommé (heureuse époque, diraient certains, où l’on savait consommer lentement). Ailleurs, il revenait à la belle-mère, le jour des noces, de jeter des noisettes à la tête du marié. Avec le temps, l’expression « casser des noisettes » en est venue à désigner l’élan amoureux. C’est de cette tradition que s’est inspiré Tchaïkovski pour créer son célèbre ballet Casse-Noisette, dont on connaît la popularité chez nous puisqu’il est joué chaque année à Montréal depuis 1964.
Le bien-fondé de la méthode qui consiste à utiliser une baguette de coudrier pour repérer les cours d’eau souterrains a fait l’objet de moult discussions, certaines particulièrement houleuses au cours desquelles des hommes par ailleurs normalement constitués ont soudainement montré des comportements pour le moins bizarroïdes, lesquels ont conduit certains à se retrouver attachés sur une civière et encadrés par deux armoires à glace revêtus d’une chienne blanche. Le même phénomène s’est produit à propos de l’homéopathie. Des lieux communs ont été débités à la caisse, des mots d’une déplorable grossièreté ont été prononcés, des pitreries d’une navrante sottise ont été exécutées, des crises d’apoplexie sont survenues à la suite d’un inexplicable déchaînement de colère. Tout cela parce que l’esprit humain a un mal inouï à appréhender le fait que l’esprit infuse toute particule de matière…
- Non, mais là, attendez! Vous n’allez pas me dire que vous croyez à ces superstitions!
- Je ne suis pas là pour croire ou ne pas croire, mais pour rendre compte de, et je puis vous dire que, efficace ou pas, la pratique de sourcier persiste encore de nos jours. Même qu’il existe de nombreuses associations de sourciers à travers le monde. Même qu’elles offrent des cours pratiques. Même qu’on peut apprendre les techniques rien qu’en lisant un livre didactique. Même que des dizaines de sourciers annoncent leurs services sur Internet. Les sceptiques en font leurs choux gras et les puisatiers laissent entendre, le sourcil en l’air, que le « métier » de sourcier est sans risque dans un pays comme le Québec où l’eau souterraine abonde, et que, baguette de noisetier ou pas, de l’eau, on en trouvera toujours, ce qui n’est pas le cas, demandez à mes voisins qui, 130 mètres plus bas et 8 000 dollars plus tard, ont dû abandonner tout espoir d’en faire remonter, mais qui, une trentaine de mètres vers la gauche, en ont trouvé à n’en savoir que faire. De leur côté, les sourciers insistent pour sortir leur pratique de la sphère magico-mystico-pétée où on l’a cantonnée en affirmant que la capacité à trouver de l’eau (ou des métaux, ou une excavation souterraine) dépend tout simplement d’un bon entraînement permettant de percevoir les variations infimes du champ magnétique terrestre provoquées par l’eau, le métal ou l’excavation souterraine qu’ils cherchent. Ce don, nous le posséderions tous à la naissance, mais nous le perdrions graduellement dans les innombrables labyrinthes de l’éducation, la culture, les croyances religieuses ou scientifiques, sans compter les nombreuses autres raisons – l’opinion d’autrui, par exemple – qui, chaque jour, nous empêchent de pointer « présent »…
- Ah! Misère de misère! C’est reparti! Elle nous refait le coup des phrases à cent mots. Et on n’a même pas commencé! Je vous le dis mes chéris, « on n’est pas sorti du bois »!
ET CA SE MANGE ?
Il semble bien qu’on n’ait consommé que le fruit du noisetier. On ne trouve nulle part d’allusions à de quelconques emplois culinaires pour l’écorce ou les feuilles, qui sont probablement trop astringents. Avec la noix longue et la noix de caryer – plutôt rares au Québec – la noisette est notre seul fruit oléagineux. Or, il se trouve que c’est aussi le plus digeste, toutes catégories confondues – la noix, l’acajou, la pacane, la pistache, etc. Elle se prête à une multitude de possibilités, allant de la noisette fraîche au beurre ou à la purée, en passant par le pain et une panoplie de desserts, dont le célèbre nougat.
Les Amérindiens récoltaient les noisettes sauvages du mois d’août au mois d’octobre et les entreposaient jusqu’à ce qu’elles soient complètement mûres. Pour les débarrasser de leur enveloppe hérissée de piquants, ils les enterraient plusieurs jours dans de la terre humide. Ou alors, ils les plaçaient dans un sac qu’ils frappaient avec un bout de bois. Ils n’hésitaient pas non plus à fouiller les caches des écureuils et des autres petits mammifères pour chiper leurs noisettes. En guise de remerciement, ils laissaient parfois dans la cache un « cadeau » : faînes de hêtre, samares d’érable ou autres graines dont ils disposaient en abondance. Dans certaines communautés, les noisettes constituaient un important article d’échange. Dans l’Ouest, par exemple, on les échangeait contre des amélanches séchées, des baies de shepherdie ou de la racine de lewisie, extrêmement prisée malgré son amertume.
Mangées telles quelles, crues ou cuites, on les faisait également bouillir dans de la soupe, ou bien on les séchait et les mettait de côté pour l’hiver. Les Iroquois les faisaient cuire (ainsi que d’autres noix) avec de la semoule ou de la soupe de maïs, ou ils les réduisaient en poudre et les ajoutaient aux puddings et aux pains. On les faisait bouillir pour obtenir de l’huile qu’il suffisait ensuite de recueillir à la surface de l’eau. Cette huile était consommée avec du pain, des pommes de terre, de la citrouille, de la courge, du maïs et divers autres aliments. Les tourteaux étaient consommés avec des pommes de terre pilées et d’autres aliments. Dans l’Ouest, on les mélangeait à de la graisse ou de la viande d’ours, parfois avec des baies ou des racines cuites, puis on en formait des galettes que l’on faisait sécher ou bien que l’on conservait dans les intestins nettoyés d’un animal abattu. C’était considéré comme un plat de choix.
Tout comme pour nous à une certaine époque, la période de Noël était celle où les Amérindiens consommaient le plus de noisettes.
ET CA SOIGNE QUOI ?
Selon les régions, les Amérindiens employaient le coudrier pour soigner certaines maladies cardiaques (ce qui peut s’expliquer par ses propriétés vasoconstrictrices) ou, avec d’autres espèces, pour soigner les maux d’yeux. Par voie externe, ils plaçaient autour du cou des tout-petits des colliers constitués de fragments de tiges, remède qui était censé calmer la douleur de la dentition.
Dans la tradition européenne et nord-américaine, le noisetier ne semble pas avoir occupé une place importante si on en juge par le peu de cas qu’on en a fait dans les traités médicaux, d’où il est très souvent carrément absent. Peut-être l’hamamélis (qui, en passant, porte en anglais le nom de witch-hazel, littéralement « noisetier des sorcières ») l’a-t-il éclipsé. On sait en effet que cette plante d’origine américaine a été rapidement adoptée en Europe pour ses remarquables propriétés vasoconstrictrices.
Malgré tout, diverses parties du noisetier ont été employées en médecine :
Les feuilles : les feuilles constituent un bon tonique veineux et, comme on l’a dit, un bon vasoconstricteur, ce qui les rend utiles dans le traitement des varices, des troubles circulatoires et de l’oedème des jambes. En usage externe, elles sont cicatrisantes, particulièrement en cas de dermatoses.
L’écorce : par voie interne, l’écorce est fébrifuge et on s’en est servi pour soigner les états fiévreux. Par voie externe, elle est cicatrisante, particulièrement s’il s’agit d’ulcères et de plaies atones.
Les chatons : les chatons sont diaphorétiques (c’est-à-dire qu’ils font transpirer) et amaigrissants.
Les poils recouvrant l’involucre : tout comme les poils des pois à gratter (il s’agit d’une toute autre plante que l’églantier, dont le fruit possède des fins poils – désignés sous le nom de « poil à gratter » – qui provoquent une démangeaison lorsqu’on les applique sur la peau), les poils recouvrant l’involucre du fruit ont servi de vermifuge. On disait qu’ils agissaient mécaniquement, sans qu’on sache toutefois si c’était en excitant les intestins au point qu’ils rejettent tout leur contenu, vers inclus, ou si c’était en irritant et en incommodant tellement les vers que ces derniers ne souhaitaient plus qu’une chose : sortir de là dans les plus brefs délais. Personne n’a offert d’explication à cette épineuse question. En tout cas, le remède consistait à prendre une dose de poils trois matins de suite, et quelques heures après la dernière dose, à avaler un purgatif puissant.
Les feuilles se préparent en infusion à raison de 25 grammes par litre d’eau bouillante qu’on laisse macérer toute la nuit. L’écorce des jeunes rameaux et les chatons, se préparent en décoction, à raison de 25 grammes par litre d’eau pour la première et de 30 grammes par litre d’eau pour les derniers.
Enfin, sans être médicinal, le « lait » que l’on tire de la noisette agirait doucement sur les intestins en améliorant leur fonctionnement.
Publié dans "N**", Mon repertoire des plantes les moins usitees | 5 Commentaires »
Posté par eurekasophie le 19 juin 2009
Ben oui….euhh elle s’appelle Nigelle voilà !
Nigelle cultivée | ||
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Nigella sativa (à gauche) | ||
Classification classique | ||
Règne | Plantae | |
Ordre | Ranunculales | |
Famille | Ranunculaceae | |
Sous-famille | Ranunculoideae | |
Tribu | Delphinieae | |
Genre | Nigella | |
Nom binominal | ||
Nigella sativa |
La nigelle cultivée (Nigella sativa L. 1753) ou cumin noir est une plante annuelle de la famille des Renonculacées. Les graines sont comestibles en épice en petites quantités, et connues sous le nom de cumin noir.
Les graines de Nigella sativa L. (Ranunculaceae), ou nigelle cultivée, sont largement utilisées en médecine traditionnelle pour le traitement et la prévention de nombreuses maladies. Elles contiennent principalement une huile fixe et une huile essentielle, des protéines, des alcaloïdes et une saponine. Les activités biologiques des graines sont principalement dues à la thymoquinone, composé majoritaire de l’huile essentielle et présent dans l’huile fixe. Différents extraits et autres constituants actifs issus de la graine, notamment l’huile essentielle et la thymoquinone, sont responsables de diverses propriétés pharmacologiques, particulièrement des activités anti-oxydante, anti-inflammatoire, analgésique, antimutagène, antinéoplasique, antihépatotoxique, antinéphrotoxique, immunostimulante, hypoglycémiante, antiulcéreuse, antimicrobienne et antiparasitaire. Les graines se caractérisent par une faible toxicité. Bien que toutes ces potentialités ne se soient pas encore concrétisées, de nombreux travaux soutiennent l’utilisation possible de N. sativa en thérapeutique.
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Posté par eurekasophie le 19 juin 2009
le pain d’épices
INGRÉDIENTS
500 g de farine de blé (ou 300 g et 200 g de farine de seigle) |
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3 cuillères à soupe de sucre brun |
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500 g de miel liquide (ou tiédir) |
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1 sachet de levure chimique |
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2,5 dl de lait |
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1 orange |
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épices (1/2 cuillère à café) : anis, gingembre, clous de girofle, cannelle, noix de muscade, |
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une cuillère à soupe d’eau de fleur d’oranger Faire bouillir le lait avec une pincée de sel, mettre à feu doux ajouter le miel puis laisser tiédir. Dans un récipient, tamiser la farine, la levure, le sucre brun et les épices, bien mélanger. Râper le zeste de l’orange et l’eau de fleur d’oranger, ajouter le mélange lait et miel et bien mélanger, mettre dans un moule beurré et laisser reposer une heure. Faire cuire le pain d’épices au milieu du four préchauffé pendant 1h30 à 130°. Démouler, faire refroidir sur une grille |
Deuxième recette
Je vous conseille cette recette de pain d’épices qui vous permettra d’élaborer un délicieux pain d’épice.
Cuisson: 1 h
Pour 6 personnes: 250g de farine, 125g de sucre, 125g de miel, 5 cuil. à soupe d’eau, 5 cuil. à soupe de lait, 150g de raisins secs (ou noisettes et amandes hachées), 1 pincée de cannelle, 1 sachet de levure, 30g de beurre et une pincée de sel.
1 Faites chauffer ensemble l’eau et le lait et y verser ensuite le sucre et le miel et surtout faites bien dissoudre.
2 Dans une terrine en terre cuite, mettez la farine sans grumeaux avec les raisins ou les noisettes hachées grossièrement. Ajouter la pincée de sel, la cannelle et la levure.
3 Quand le liquide sucré a refroidi, versez-le en le mélangeant petit à petit avec les ingrédients. La pâte doit être homogène et assez molle.
4 Beurrez assez largement un moule à cake ou garnissez-le de papier sulfurisé beurré pour pouvoir démouler facilement le gâteau. Versez-y la préparation et faites cuire à feu moyen de 180 degrés, thermostat 5/6, pendant 1 heure.
5 Démoulez et laissez refroidir sur une grille.
Ce pain d’épices, « cousu main », peut se garder une semaine.
Troisième recette
Non Winnie ! j’ai besoin de ce miel pour ma troisième recette
Si comme moi vous êtes fanatique du pain d’épices et que vous l’essayez à toutes les sauces, c’est à dire au chocolat, à la confiture d’orange amère etc… et que vous n’avez jamais expérimenté le pain d’épices aux fruits confits, n’hésitez pas un instant et à vos fourneaux !!! Ce pain d’épices est savoureux, il bonifie avec les jours qui passent, un vrai régal des papilles…. Malheureusement ici, même si il n’y a que moi qui en mange, il n’a pas le temps de trop se bonifier !!!
Pour un pain :
- 200 gr de farine semi-complète
- 50 gr de farine de châtaigne
- 250 gr de miel de fleurs
- 100 ml de lait
- 1,5 c à c de mélange d’épices à pain d’épices
- 2 c à s de cassonade ambrée
- 120 gr de fruits confits coupés en cubes
- 1 c à c de bicarbonate
- 1,5 c à c de levure chimique
- 1 pincée de sel
Dans une casserole faire fondre le miel dans le lait sans le faire bouillir. Laisser tiédir quelques minutes.
Dans une jatte mélanger les farines, la levure, le bicarbonate, le sel, les épices et le sucre. Verser y dessus, tout en mélangeant, le lait au miel jusqu’à obtenir une pâte homogène. Y ajouter les cubes de fruits confits en en gardant un peu. Verser la pâte dans un moule à cake, parsemer de fruits confits restant et mettre au réfrigérateur pendant une heure.
Cuire à four préchauffer à 180° pendant 45 min. Démouler et laisser refroidir sur une grille.
Si vous pouvez, mais seulement si vous pouvez, ne commencez à vous régaler de votre pain d’épices que 48 h après la cuisson…. Ça c’est une autre histoire….
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