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Et l’eau ferrugineuse…..hein ??????

Posté par eurekasophie le 11 juin 2009

 

 

 

La carence en fer

Le fer est l’un des sels minéraux essentiels au bon fonctionnement de l’organisme. Il a un rôle fondamental dans la constitution de l’hémoglobine contenue dans les globules rouges du sang, dans la constitution de la myoglobine contenue dans les muscles et dans celle de nombreux enzymes indispensables au fonctionnement de l’organisme.


Et l'eau ferrugineuse.....hein ??????  dans SANTE AU QUOTIDIEN carence_ferLe fer est présent en très petite quantité dans l’organisme. Une partie de ce fer est éliminée chaque jour. Pour maintenir une quantité suffisante de fer, il faut remplacer les pertes par des apports alimentaires. Si les apports sont insuffisants par rapport aux pertes, il s’installe un déséquilibre avec une carence en fer qui a des conséquences sur la santé.

Les risques de la carence en fer

La carence en fer se traduit par une anémie, accompagnée d’une réduction de la capacité physique et intellectuelle, d’une diminution de la résistance aux infections, et pendant la grossesse d’un risque augmenté de petit poids de naissance, de morbidité et de mortalité chez le nouveau-né. Dans beaucoup de pays en développement, l’anémie par carence en fer est un grave problème de santé publique qui touche dans certains cas la moitié des femmes et des enfants.

Il y a plusieurs degrés de déficience en fer. La carence en fer la plus visible est l’anémie, qui peut donner des signes cliniques (pâleur, essoufflement, fatigue etc.). Cependant, le diagnostic de carence en fer se fait surtout par des analyses de sang. En plus de la mesure de l’hémoglobine, on peut mesurer les réserves en fer de l’organisme par le biais d’autres indicateurs et détecter des déficiences modérées en fer.

C’est important car en dehors de l’anémie, et donc sans signes apparents, la déficience en fer peut aussi avoir des conséquences négatives sur la santé, notamment une réduction de la capacité physique à l’effort, une diminution des performances intellectuelles, une moindre résistance aux infections, et causer des perturbations au cours de la grossesse.

Un équilibre à tenir

L’équilibre du statut en fer est très dépendant du niveau des besoins en fer de l’organisme, qui varient au cours de la vie (voir Apports conseillés en fer). Ces besoins sont plus élevés chez :

  • Les enfants et les adolescents du fait de la croissance rapide ;
  • Les femmes, de la puberté à la ménopause, du fait des pertes supplémentaires en fer dues aux menstruations ;
  • Les femmes enceintes à cause des besoins du fœtus et des transformations de l’organisme de la femme.

En fait, la couverture des besoins en fer est moins facile à réaliser qu’on peut le croire. En France, des études récentes ont confirmé ce problème : pour une partie importante de la population, les apports en fer sont insuffisants car la concentration en fer de la ration alimentaire est trop faible. Même dans un pays d’abondance comme la France, il y existe donc des problèmes d’anémie liés à des carences alimentaires.

 

Le fer des aliments

Les aliments contiennent des quantités variables de fer. Il existe sous deux formes différentes : le fer héminique et le fer non héminique, différemment absorbées par l’organisme.

Le fer non héminique est contenu dans les aliments d’origine végétale, les oeufs et les produits laitiers. Il est peu biodisponible, c’est à dire qu’à peine 5 % est absorbé. De plus, l’absorption du fer non héminique varie selon l’aliment dans lequel il se trouve. Ainsi le thé, le café, le vin, le jaune d’oeuf ou le son diminuent son absorption, en revanche la viande, les poissons et les fruits et légumes riches en vitamine C la favorisent.

Le fer héminique, constituant du sang et des muscles des animaux, est contenu dans la viande, les poissons et les produits d’origine animale. Environ 25 % est absorbé.

Ne vous jetez pas sur les épinards !

Les aliments les plus riches en fer sont les abats, les viandes et les légumes secs (voir l’ABC de la nutrition et de l’alimentation). Attention, les légumes verts, notamment les épinards sont plutôt pauvres en fer, contrairement à ce que Popeye croit…

Mais au-delà de la quantité de fer apportée par un aliment, la notion de « richesse en fer » doit prendre en compte la quantité de fer effectivement absorbée par l’organisme.

En pratique

Prévenez l’apparition de la carence en fer en consommant suffisamment d’aliments riches en fer bien assimilé, surtout pour les enfants, les adolescents et pendant la grossesse et l’allaitement.

Attention : en cas d’anémie, consultez votre médecin pour un bilan et un suivi médical.

 

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LA DRYADE

Posté par eurekasophie le 11 juin 2009

 

 

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Dryade à huit pétales

Dryas octopetala

  • Synonyme : Thé des Alpes
  • Famille : Famille du rosier – Rosaceae
  • Hauteur : 5–10 cm. Plus lorsque la plante est en fruit.
  • Fleur : Régulière (actinomorphe), grande. Au moins huit pétales, blanc à crème, grands, arrondis. Calice à huit lobes, velu et glanduleux-velu. Carpelles libres, nombreux, longs styles, longs poils. Nombreuses étamines. Fleurs solitaires, à l’extrémité de longs pédoncules qui terminent les pousses.
  • Feuilles : Persistantes, contenues dans une rosette à l’extrémité de la courte tige. Pédoncules assez longs, marron, à longs poils. Limbe épais, elliptique à lancéolé, bords dentelés enroulés, face supérieure vert foncé, face inférieure recouverte de petits poils denses et blancs.
  • Fruit : Réceptacle contenant plusieurs akènes doté d’un long bec velu.
  • Habitat : Landes de fjeld, bords de falaises, parfois forêts de conifères. Généralement présente sur des sols calcaires.
  • Période de floraison : Juillet–août.

Les membres du genre Dryas sont des buissons persistants des régions nordiques et de la toundra alpine de l’hémisphère nord. La dryade à huit pétales est une plante à grandes fleurs caractéristique des landes de fjeld découvertes. Elle pousse en épais tapis, très près du sol, souvent en association avec la diapensie (Diapensia lapponica) et le saule réticulé (Salix reticulata).

Sur des sites propices riches en chaux, le tapis formé par un exemplaire unique peut couvrir jusqu’à plusieurs mètres carré. Un tel exemplaire peut avoir plus de cent ans. Les pousses ne prennent pas racine, mais toute la plante s’appuie sur sa racine pivot puissante qui peut pénétrer très profondément le sol.

La dryade à huit pétales est utilisée pour étudier le développement de l’ère glaciaire, car des restes de la plante âgés de plusieurs milliers d’années ont été trouvés dans le sol. La période dite du Dryas récent tire son nom de cette espèce.

 dryade.jpg

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LA… LES DAUPHINELLES ……

Posté par eurekasophie le 11 juin 2009

 

 

 

 

 

delphiniummontanum.jpg

 

 

 

 

Dauphinelle des montagnes

 

( Delphinium montanum , Delphinium elatum )
( Renonculacées )

 

Synonyme(s) : Dauphinelle élevée, Pied d’alouette des Alpes, Dauphin héraldique

LA... LES DAUPHINELLES ...... dans DAUPHINELLE image_delphinium_montanum

Altitude : 1800 à 3000 m.

Taille : 0,60 à 1,50 m.

Floraison : de juillet à septembre.

Répartition : france : Alpes, Pyrénées.

Toxicité : toxique.

Habitat : prairies humides, berges, aulnaies.

Fleurs : fleurs regroupées en épi terminal ; elles sont bleues avec 1 sépale supérieur prolongé d’un long éperon arrière.

Feuilles : feuilles alternes et palmées ; elles sont grandes, formées de 5 à 7 lobes à bord denté.

Utilisations officinales : la racine contient des substances antiparasitaires.
Macération à usage externe.

Utilisations autres : plante ornementale.

 

 

 À NE PAS CONFONDRE AVEC…..

 

delphiniumconsolida.jpg

Delphinium Consolida

Noms

 

Dauphinelle

Pied d’alouette
Delphinium Consolida L.

 

 

Famille

Angiosperme Dicotylédone Renonculacées

 

 

Caractéristiques

Plante herbacée annuelle, de 20 à 50 cm de haut. feuilles très découpées. Fleurs irrégulières, sépale supérieure renfermant 1 à 2 pétales prolongés en éperon. Fleurs bleues parfois blanches.

 

 

Toxicité

Alcaloïdes diterpéniques (méthyl-lycaconitine).

Troubles possibles : toxicité de toute la plante mais surtout au niveau des graines. Mêmes symptômes que pour l’aconit (moins grave) mais sans dilatation pupillaire. Dépression respiratoire. Graines insecticides et parasiticides.

consolida.jpg

 

Le delphinium est une plante vivace très décorative qui fait partie de la famille des renonculacées.Il forme rapidement une touffe de dimensions importantes, (60 à 80 cm de haut), dont les tiges gagnent à être soutenues vu leur longueur, le poids qu’elles supportent et la prise au vent que la plante offre.
Les feuilles découpées de forme palmée sont portées par de longs pétioles.

Les fleurs groupées en un épi de taille imposante peuvent atteindre 1,50 m chez le delphinium pacific . Leurs coloris délicats vont du blanc au violet en passant par le bleu et le rose. La base de le fleur présente un éperon dont la forme rappelle le museau d’un dauphin ; cette particularité a valu à cette plante son nom delphinium.
Cette floraison particulièrement spectaculaire est, de plus, de longue durée : débutant en mai-juin, elle dure plus d’un mois et se renouvelle pendant l’été.

Aux fleurs succèdent des fruits qu’il vaut mieux supprimer pour ne pas  » fatiguer  » inutilement la plante.

La multiplication peut se faire par semis qui ne conserve pas forcément les particularités de la plante-mère ou bien par éclatement des touffes.

Le delphinium, idéal pour les massifs, prospère dans un sol suffisamment riche, sans humidité stagnante l’hiver et à situation ensoleillée.

 

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