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LE PIN …

Posté par eurekasophie le 3 juin 2009

 

Le Pin potpharmacie.jpg

 

Le bourgeon de pin, remède des arthrosiques !

LE PIN ... dans

Le bourgeon de pin, remède des arthrosiques !C’est P. Henry, un médecin belge, qui créa cette nouvelle méthode et publia ses travaux en 1970 sous le nom de phytoembryothérapie. Le médecin français, M. Tétau, donna à cette méthode le nom de gemmothérapie, terme qui fut adopté partout. Les tissus embryonnaires végétaux (bourgeons, jeunes pousses, …) renferment toute la puissance de la future plante. Ils contiennent plus d’acides nucléiques (information génétique) que les autres tissus mais également des hormones de croissance, des vitamines, des oligo-éléments, des minéraux et surtout de la sève apportée par l’arbre.

L’extrait gemmothérapique constitue un véritable concentré d’informations ; il renferme tout le génie de l’arbre dont est issu le bourgeon. Ainsi, le macérat glycériné de tilleul (Tilia tomentosa) possède les propriétés sédatives liées aux fleurs mais également les vertus dépuratives et diurétiques de l’aubier. La gemmothérapie utilise le totum de la plante sous forme embryonnaire.
C’est de la phytothérapie cellulaire énergétique globale.
La gemmothérapie concentrée, forme qui a été développée par Ph. Andrianne, utilise les bourgeons et les jeunes pousses d’arbres et d’arbustes préparés, à l’état frais, par macération directe dans un mélange eau-alcool-glycérine.
Le pin de montagne (Pinus montana Mill. Pinaceae), encore dénommé pin à crochet (Pinus unciata Ramond) » en raison des écailles du cône munies d’un aiguillon en forme de crochet, se rencontre, comme son nom l’indique en zone de montagne entre 1 000 et 2 500 m d’altitude.
Capable de grande longévité (le Pinus aristata atteint 4 500 ans aux USA !), cet arbre peu exigeant quant à la nature du sol, colonise les éboulis et pentes rocailleuses. Il est très adaptable au milieu, fréquent sur terrain siliceux dont il stabilise le sol, jouant par là le rôle premier dans l’élaboration de sa structure.
Il ne faut pas le confondre avec le pin mugho dont il est proche anatomiquement.
Le bois s’utilise pour la construction et bien souvent comme simple bois de chauffage. La résine du pin à crochet est parfois employée dans la médecine populaire sous le nom de baume de Karpathes.
L’huile essentielle de pin s’emploie également en fumigation dispensée par un diffuseur, bénéfique pour assainir les ambiances lourdes des bureaux et amener un meilleur confort respiratoire.
En pommade, l’huile essentielle de pin présente une activité anti-inflammatoire légère, anti-arthrosique et s’utilise dans les dermatoses diverses.
Prise par voie interne, elle constitue un remède puissant contre les pierres aux reins, les lithiases biliaires et les infections pulmonaires diverses (sinusites, bronchites, pleurésies).
Elle contient des quantités importante de monoterpènes, mais également des sesquiterpènes et des esters terpéniques.
N’oublions pas l’élixir floral Pine crée par le Dr. E. Bach donné pour les excès de culpabilité, le sentiment d’infériorité, le harcèlement moral et psychique.

Les bourgeons de pins séchés sont traditionnellement utilisé en phytothérapie sous forme d’infusé, de sirop pour les maladies des bronches. La balnéothérapie remplace les bourgeons de pin par l’huile essentielle tirée des aiguilles lors de la distillation. Ces bains exercent une action hyperémiante (échauffante), utile dans la fatigue, l’insomnie, mais surtout dans les troubles circulatoires périphériques et les douleurs rhumatismales. La gemmothérapie utilise le bourgeon de pin à crochets frais stabilisé de suite après la récolte.
Toutes les propriétés mentionnées en phytothérapie n’ont pas encore été objectivées en gemmothérapie. Ce travail de vérification clinique reste à faire, et il est probable qu’elles seront bientôt confirmées, notamment pour les vertus toniques du psychisme.
Néanmoins, le bourgeon de pin présente des propriétés qui lui sont propres notamment celles liées au système ostéo-articulaire. Excellent reminéralisant, il combat l’usure et la destruction du cartilage articulaire (utile pour renforcer une colonne vertébrale !) grâce à son action stimulante sur les chrondrocytes.
Grand remède des arthroses diverses (gonarthrose, coxarthrose, petites articulations), le bourgeon de pin à crochets soulage les rhumatismes inflammatoires et les douleurs arthrosiques chroniques.
Considéré comme associé à la loge Rein / Vessie en MTC, il constitue un fortifiant régénérant des os et des cartilages ainsi que des syndromes sénescents caractéristiques de la sycose.
Il sera utilisé dans l’ostéoporose, la prévention des fractures (notamment chez la femme dans l’ostéoporose post-ménopause).
Mentionnons également ses propriétés dans la dystonie du système nerveux.
Le bourgeon de pin possède un grand avenir en gemmothérapie, en particulier dans les états psychiques dont l’action n’est pas sans analogie avec le remède Pine décrit par le Dr. Bach sous forme d’élixir floral.

Source : http://www.lagrandeepoque.com/LGE/content/view/1612

bourgeon%20pin dans Mon repertoire des plantes les moins usitees

 

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EFFETS / INDICATIONS
Effets :

> Antiseptique, anti-microbien (dû à l’alpha-pinène), action positive sur les bronches (diminution des sécrétions), expectorant, hyperhémiant.

Indications :
En usage interne
(pilule, inhalation)
> Toux (toux grasse, avec expectoration), bronchite, trachéite, rhume, sinusite.

En usage externe
> Douleurs lors de rhumatismes.

Les vertus du bourgeon de pin

Les caractéristiques du bourgeon de pin

Les bourgeons de pin sont issus de pins sylvestres qui appartiennent à la famille des pinacées. Ils dégagent une agréable odeur particulière grâce à leur grande teneur en huile essentielle.

Le bourgeon de pin est un excellent désinfectant des bronches.

On l’utilise fréquemment contre :
la grippe
le rhume
la trachéite
l’asthme
la toux

Il facilite l’expectoration
Il est efficace également contre les affections dermatologiques, les douleurs rhumatismales mais c’est aussi antisudoral plantaire.

En cosmétique, on l’utilise pour le soin des cheveux.

Habitat naturel du bourgeon de pin

Très répandu, le pin sylvestre est l’un des plus grands de son espèce. On le retrouve dans des zones peu hospitalières. Outre ses bourgeons qui rentrent dans la pharmacopée, le pin sylvestre est aussi utilisé en menuiserie et pour fabriquer du papier.

Propriétés
Essentiellement
Augmente la diurèse
Augmente la quantité de sueur (surtout pour la résine)

Accessoirement
Utilisé pour nettoyer l’organisme (dépuratif)

Indications
Rhumatismes
Goutte
Bronchite chronique
Refroidissement
Inflammation de la gorge et du nez (en inhalation)

Remarque
En balnéothérapie, les bourgeons, qui étaient utilisés par le passé, ont laissé la place à l’essence.
Celle-ci s’utilise à raison de 2 cuillères à café, quelquefois plus, d’huile essentielle (Aetheroleum pini) par bain. Ces bains accélèrent la circulation sanguine et sont particulièrement indiqués quand il existe une perturbation de la tonicité musculaire ou psychologique. En cas de fatigue, de troubles circulatoires périphériques ou quand il existe une diminution du volume musculaire ou une faiblesse musculaire, la balnéothérapie contenant de l’essence de pin est également intéressante. Certains utilisent cette technique en présence d’ulcères de jambe ou de douleurs rhumatismales. L’essence de térébenthine était autrefois utilisée par voie interne pour faciliter l’expectoration des glaires pulmonaires. Actuellement, elle ne s’utilise plus qu’en inhalation et en tant que baume antirhumatismal.
Le goudron végétal de pin était autrefois prescrit pour modifier les sécrétions bronchiques, il ne l’est plus actuellement.

Toxicité et effets secondaire
Aucun par voie externe.

Aiguille de pin

Le Pin pousse dans tout l’hémisphère nord. Il en existe de nombreuses variétés. En médecine naturelle et herboristerie on utilise l’aiguille, le bourgeon et l’écorce. Cet arbre est extrêmement intéressant, il contient en grande quantité des résines balsamiques et de l’huile essentielle, composée principalement d’alphapinène, de même que du bêtapinène et du d-limonène.

Bienfaits

L’aiguille de pin en usage interne exerce une action légèrement antiseptique pour les voies respiratoires, de même que pour l’arthrite et le rhumatisme. Son huile essentielle est efficace contre l’asthme et la bronchite, mais également pour soigner certains troubles digestifs, comme les flatulences. Sa résine exerce une action désinfectante sur les voies respiratoires.
Dosage
En tisane, sous forme d’infection, boire une à deux tasses par jour.

Remède contre l’arthrite

Plantes bienfaisantes utilisées pour ce remède de grand-mère : eucalyptus – lavande

Remède utilisé pour le traitement de : arthrite
Nous vous proposons ici un remède pour vous aider à soulager les douleurs dues à l’arthrite.

INGREDIENTS
10 gr. feuilles de romarin
10 gr. de feuilles d’eucalyptus
10 gr. de bourgeons de pin
de l’huile d’olive
25 gr. de cire vierge
25 gr. de lanoline

PREPARATION
Dans une casserole au bain marie nous mettons le romarin, l’eucalyptus et les bourgeons de pin (une poignée de chaque ingrédient). Nous couvrons le tout avec de l’huile d’olive et nous laisssons sur le feu pendant 30 minutes sans arriver à ébullition en remuant de temps en temps. Ensuite on met le tout dans un pot et on laisse reposer pendant 5 jours. Après cette période on filtre et on verse dans un autre pot. D’autre part on met au bain marie 25 g de cire vierge et 25 g de lanoline. Une fois que le tout est fondu on ajoute 25 ml de la préparation antérieure. On mélange bien et on verse dans un pot. Il faut attendre que ce remède naturel se soit bien solidifier pour pouvoir l’appliquer.
UTILISATION
Appliquer sur la zone affectée.

Rhumes

Infusion de bourgeons de pin

pour un litre

versez un litre d’eau sur 3 cuillerées à soupe de bourgeons de pin. Laissez infuser environ 2 heures et filtrez.

Dans la journée, buvez 2 ou 3 tasses de cette tisane.

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CON…CEN…TRA…TION…..RE…FLE….XION…(CCTTRFX)

Posté par eurekasophie le 3 juin 2009

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Êtes-vous une lumière?

Combien de Watt ?

 

 

 

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Enfin voici venu le temps de tester votre degré d’intelligence . . . N’ayez pas peur, ce test est faisable mais demande un peu de concentration et de réflexion.

Faites vous-même ce test puis posez ensuite les questions à vos amis.

Plaisir assuré ! ! !


 

 


 

 dans JEUX A PIEGES

 

 

1. La famille Martin se compose de huit frères et chacun a deux soeurs. Si on inclut les deux parents, de combien de personnes est constituée la famille Martin ?


 

2. Dans une pièce obscure se trouvent trois lampes; une à charbon, l’autre à gaz et la troisième au kérosène. Vous n’avez qu’une allumette à votre disposition. Qu’allumez-vous en premier ?


 

3. Qui a tué à lui tout seul un quart de la population mondiale ?


 

4. Pourquoi la tomate n’est-elle pas un légume recommandé par les nutritionnistes ?


 

5. Certains mois comptent trente jours, d’autres trente et un. Combien de mois ont vingt-huit jours ?


 

6. Pourquoi une coiffeuse italienne préfère-t-elle décolorer les cheveux de deux Anglaises plutôt que ceux d’une Française ?


 

7. Que se produit-il une fois chaque seconde, une fois chaque semaine, une fois chaque mois et une fois chaque siècle mais jamais en une journée ou dans une année ?


 

8. Comment peut-on qualifier une personne qui a mangé son père et sa mère ?


 

9. Si le frère de votre tante n’est pas votre oncle, quel lien de parenté vous unit-il à lui ?


 

10. Qu’est-ce qui possède quatre pieds, deux bras mais pas de tronc ?


 

11. Ce n’est ni mon frère ni ma soeur, néanmoins c’est bien l’enfant de mon père et de ma mère. Qui est-ce ?


 

12. A quoi répond-on fréquemment alors qu’on ne nous a rien demandé ?


 

13. Que s’est-il passé le 31 juin 1944 ?

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Voici les réponses :

 

1. Douze personnes : le père, la mère, huit garçons et deux filles

 

2. L’allumette

 

3. Caïn, quand il a tué Abel

 

4. La tomate est un fruit

 

5. Douze mois

 

6. Parce qu’elle gagne deux fois plus d’argent

 

7. La lettre S

 

8. Orphelin

 

9. C’est votre père

 

10. Un fauteuil

 

11. Moi-même

 

12. Au téléphone

 

13. Rien, le mois de juin ne compte que 30 jours

 

 

 

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Etes-vous physionomistes ?

Posté par eurekasophie le 3 juin 2009

 

 

 

 

Reconnaissez-vous ces enfants ?

Ils sont devenus célèbres

 

 

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Tous les enfants sont beaux, en général. En vieillissant, ils changent un peu ou beaucoup.

Parfois, il est facile de les reconnaître . . . ils gardent certains traits de leur enfance, parfois ils changent du tout au tout.

Si vous réussisez 10 bonnes réponses, vous êtes physionomiste; 12, vous êtes plus fort que la moyenne; 15, vous avez probablement des dons de voyance.

Voici les noms de ces personnages : Menahem Begin, Maria Callas, Fidel Castro, Maurice Chevalier, Colette, Charles de Gaulle, Elizabeth II, Adolf Hitler, Jean-Paul II, Edith Piaf, Elvis Presley, Jean-Paul Sartre, Margareth Thatcher, John Travolta, Pierre Trudeau.

J’ai répété les noms en-dessous des photos afin de faciliter la recherche dans vos lointains souvenirs.

 

 

 

Etes-vous physionomistes ?  dans JEUX A PIEGES photos_celebrites_01

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Menahem Begin, Maria Callas, Fidel Castro, Maurice Chevalier, Colette, Charles de Gaulle, Elizabeth II, Adolf Hitler, Jean-Paul II, Edith Piaf, Elvis Presley, Jean-Paul Sartre, Margareth Thatcher, John Travolta, Pierre Trudeau.

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Menahem Begin, Maria Callas, Fidel Castro, Maurice Chevalier, Colette, Charles de Gaulle, Elizabeth II, Adolf Hitler, Jean-Paul II, Edith Piaf, Elvis Presley, Jean-Paul Sartre, Margareth Thatcher, John Travolta, Pierre Trudeau.

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Menahem Begin, Maria Callas, Fidel Castro, Maurice Chevalier, Colette, Charles de Gaulle, Elizabeth II, Adolf Hitler, Jean-Paul II, Edith Piaf, Elvis Presley, Jean-Paul Sartre, Margareth Thatcher, John Travolta, Pierre Trudeau.

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Photos publiées par Quick Fox, New-York par Tuli Kupferberg et SylviaTopp.

 

 

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Etes-vous physionomistes …..Résultats.

Posté par eurekasophie le 3 juin 2009

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Réponses de la page précédente

 

Etes-vous physionomistes .....Résultats. dans JEUX A PIEGES photos_celebrites_01

1. Pierre Elliott Trudeau

 

photos_celebrites_02 dans JEUX A PIEGES

2. Jean-Paul II

 

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3. Elvis Presley

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4. Maria Callas

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5. Fidel Castro

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6. Charles De Gaulle

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7. John Travolta

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8. Edith Piaf

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9. Menahem Begin

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10. Margareth Thatcher

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11. Maurice Chevalier

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12. Colette

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13. Jean-Paul Sartre

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14. Elizabeth II

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15. Adolf Hitler

Photos publiées par Quick Fox, New-York par Tuli Kupferberg et SylviaTopp.

 

 

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TESTEZ-VOUS, ça ne coûte rien .

Posté par eurekasophie le 3 juin 2009

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Ce test est utilisé depuis plus de cinquante ans et est réputé pour sa fiabilité. Si vous n’obtenez pas une note élevée, ne vous inquiétez pas, souvenez-vous que vous pouvez vous améliorer. Compare ton résultat à celui de tes amis et bonne chance!!

 

http://www.aesplus.net/test_intelligence.htm

1. Le jour du 14 juillet existe-t-il en Angleterre? Je ne sais pas Oui Non
2. Combien d’anniversaires a eu une personne qui a vécu 50 ans ? Je ne sais pas 49 50 51
3. Certains mois ont 31 jours, combien ont un 28ème jour ? Je ne sais pas 1 2 3 6 9 12
4. Combien de neuf (9) y a-t-il entre 0 et 100 ? Je ne sais pas 910111920
5. Est-il correct qu’un homme se marie avec la sœur de sa veuve ? Je ne sais pas Oui Non
6. Divise 30 par 1/2 et ajoute 10. Quel est le résultat ? Je ne sais pas 10 35 50 70 90
7. S’il a 3 pommes et que tu en prends 2, combien en as-tu? Je ne sais pas 1 2 3
8. Un médecin te donne trois comprimés et te dit d’en prendre un chaque demi-heure. Combien de minutes te durent les comprimés? Je ne sais pas 20 40 60 90
9. Un fermier a 17 moutons. Tous meurent, sauf 9. Combien lui en reste-t-il ? Je ne sais pas 1 3 5 8 9
10. Combien d’animaux de chaque espèce emmena Moïse dans son arche ? Je ne sais pas 3 2 10
11. Combien de timbres de 2 centimes y a-t-il dans une douzaine? Je ne sais pas 1 3 6 9 12

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LE PEUPLIER

Posté par eurekasophie le 3 juin 2009

peupliersaiso.jpg      Peuplier à travers les saisons

Peuplier
 Peupliers
Peupliers
Classification classique
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Sous-classe Dilleniidae
Ordre Salicales
Famille Salicaceae
Genre
Populus
L., 1753
Classification phylogénétique
Ordre Malpighiales
Famille Salicaceae

SON NOM
Il existe plusieurs interprétations possibles du nom « peuplier » qui vient du latin populus et signifie « peuple ». On a dit que c’était parce que, chez les Romains, on le plantait dans les lieux publics. D’autres veulent que ce soit parce qu’il était extrêmement populaire (de populeir, « qui appartient au peuple »), notamment chez les Celtes qui lui vouaient un véritable culte. Mais celle que je préfère est la suivante : le bruissement que font ses feuilles au moindre souffle de vent rappelle le bruit confus d’une foule.

De toutes les espèces, le peuplier faux-tremble (P. tremuloides) – ou son équivalent européen, le tremble (P. tremula) – est celui dont les feuilles s’agitent le plus. À cause de cette caractéristique, il s’est vu attribué toutes sortes de légendes, ainsi qu’une symbolique « religico-mystique ». Ainsi, les premiers chrétiens croyaient que les feuilles tremblaient de honte, le Christ ayant été soi-disant crucifié sur une croix faite de bois de tremble.

En France, dans certaines régions, on donnait jadis au peuplier noir (P. nigra) le nom de « liard » (de « lier »), les jeunes tiges de cet arbre ayant souvent remplacé l’osier. Au Québec, on a attribué ce nom à deux espèces, le P. balsamifera et le P. deltoides.

 

ET CA SE MANGE ?
Au printemps et au début de l’été, l’écorce interne du peuplier baumier est épaisse, sucrée et juteuse, si bien qu’elle a été beaucoup consommée par les Amérindiens. On la préférait à toute autre, au point qu’on n’hésitait pas à la manger sur place. Les plus généreux rapportaient les surplus d’écorce au campement pour en faire une sorte de dessert en la mélangeant à de la graisse de poisson-chandelle ou à une autre huile. Sucrée, elle se détériore rapidement par fermentation, ce qui est un avantage lorsqu’on veut en faire une boisson aux propriétés enivrantes. Justement, c’était parfois le cas et on l’a donc utilisée à cette fin. Les Amérindiens ont également consommé l’écorce du peuplier faux-tremble (P. tremuloides) et du peuplier à grandes dents (P. grandidentata). En Europe et en Asie, on a consommé l’écorce de divers peupliers. On la faisait sécher et on l’ajoutait au pain et aux bouillies.

Au printemps, les Kootenay de l’Ouest avaient l’habitude de récolter la sève du peuplier baumier et de la consommer comme boisson. On la récoltait aussi en juin, à l’occasion du rituel de la Danse du Soleil, afin qu’elle serve de boisson rafraîchissante aux participants qui, durant quatre jours d’affilée, devaient jeûner et danser.

On a mangé les bourgeons, l’écorce interne et les semences du P. deltoides. Les inflorescences et les jeunes pousses se mangent cuites. En période de disette, les feuilles de diverses espèces ont également été consommées, mais elles ne sont pas très savoureuses.

Chez certaines nations, les cendres ont servi de sel avant l’arrivée des Blancs. De plus, le bois a servi à fumer les aliments.

À noter qu’il pousse sous le peuplier baumier un champignon comestible qui vit en symbiose avec lui. Il s’agit du Tricholoma populinium (ou champignon du peuplier) prisé depuis toujours des Amérindiens de l’Ouest.

 

 ET CA SOIGNE QUOI ?
Le peuplier est diurétique, éliminateur de l’acide urique, antiputride urinaire, aseptisant et fluidifiant des sécrétions bronchiques, ainsi que tonique.

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Les bourgeons

Les bourgeons du P. nigra ont été recommandés par voie interne dans les maladies chroniques du poumon et des voies urinaires, ainsi que dans les rhumatismes chroniques.

On en faisait soit une infusion, soit une teinture (une partie de bourgeons frais et 6 parties d’alcool à 33 degrés), soit un extrait fluide entrant dans la composition d’un sirop contre la toux.

Tout comme le saule avec qui il partage la même famille botanique, le peuplier est riche en salycates. Lors de l’ingestion des bourgeons, les salycates se transforment en acide salicylique à l’état naissant (en Aspirine, quoi!), d’où leur action calmante.

En Amérique, ce sont surtout les bourgeons du P. balsamifera et, à un moindre degré, ceux du P. deltoides, qui ont servi en médecine, notamment pour diverses préparations dont le sirop composé de pin blanc, ainsi que pour la confection d’onguents et de pansements.

L’infusion se prépare à raison de 2 cuillerées à soupe de bourgeons dans ½ litre d’eau bouillante. Ou de 2 à 4 gros, écrivent les soeurs de la Providence, dans une chopine de vin ou d’eau. Un gros, pour ceux qui l’ignorent, c’est exactement un drachme, ou 72 grains, ou 3 scrupules, ou 4 grammes… Et une chopine, c’est un demi-litre. Voilà tous les secrets des Anciens dévoilés! Infuser 15 minutes. Prendre 3 tasses par jour.

On s’est aussi servi de la décoction en compresse contre les douleurs arthritiques ou rhumatismales.

Le vin de bourgeons de peuplier est un incontournable tonique du printemps. Il se prépare en faisant macérer 100 grammes de bourgeons concassés dans un litre de vin. En principe, on ajoute 40 grammes d’écorce d’orange amère histoire d’augmenter son effet tonique, mais on peut s’en passer. Au bout de dix jours, filtrer. À noter que les amateurs de bon vin ont tout intérêt à se préparer psychologiquement avant d’ingurgiter cette potion extrêmement résineuse à saveur de propolis et à l’arôme de térébenthine, qui éteint toute autre sensation gustative pendant les heures qui suivent. On en prend 50 ml, deux fois par jour avant les repas.

L’onguent populeum, version allégée

 

Composé de bourgeons de peuplier, ainsi que de belladone, de jusquiame, de morelle noire et de pavot, l’onguent populeum est un remède traditionnel que l’on employait jadis dans le traitement des douleurs rhumatismales aiguës, des hémorroïdes et des gerçures. Comme toutes les plantes de cet onguent sont, à part le peuplier, interdites de séjour, dangereuses ou socialement inacceptables, voici une recette peut-être moins intéressante, mais tout à fait orthodoxe :

 

Utiliser soit 500 grammes de saindoux (graisse de porc vendue en épicerie), soit 250 grammes de saindoux et 250 grammes de cire d’abeille.

 

Faire fondre dans un bain-marie, puis ajouter 200 grammes de bourgeons de peuplier baumier. Laisser frémir pendant une demi-heure.

 

Ôter du feu, laisser légèrement refroidir, puis vider la préparation dans un mortier et triturer intimement jusqu’à ce que le mélange soit onctueux et homogène.

 

Mettre dans des pots peu profonds à large ouverture et conserver au frais. (En théorie, les principes résineux des bourgeons devraient empêcher le saindoux de rancir.)

 

Les préparations à base de saindoux uniquement (sans cire d’abeille) peuvent servir à la confection de suppositoires qui pourront être administrés en cas d’hémorroïdes. Mouler les suppositoires à la main, puis les réfrigérer pour qu’ils gardent leur forme.

 

L’écorce

Plutôt amère, l’écorce du peuplier noir a servi de succédané à la quinine dont elle possède les propriétés toniques. On s’en servait jadis pour traiter les cas de débilité, d’indigestion, de perte de conscience, d’hystérie, ainsi que pour les troubles urinaires. L’écorce du P. alba européen a servi à soigner la sciatique et les brûlures. Quant à l’écorce du faux-tremble, on croit que les Amérindiens s’en servaient comme vermifuge. On a, en outre, employé cette écorce, et parfois les feuilles, pour le traitement des fièvres.

Dans la tradition herboriste américaine, l’écorce de diverses espèces de peuplier a été utilisée dans des composés destinés aux femmes souffrant de troubles menstruels.

Le bois

Utilisé en médecine comme antiseptique intestinal, le charbon végétal est généralement fait avec du bois de peuplier (ou de bourdaine). Absorbant des gaz intestinaux, des toxines microbiennes et de divers poisons, il peut diminuer sensiblement les effets dévastateurs de ces substances toxiques, d’où son emploi traditionnel dans les ballonnements, les diarrhées putrides, les colites et les intoxications, alimentaires ou autres. En principe, on devrait pouvoir fabriquer du charbon végétal avec un équipement des plus rudimentaires. Toutefois, il est important que la combustion du bois se fasse très lentement et de façon incomplète. Jadis, on empilait le bois en tas volumineux que l’on recouvrait de paille humide ou de terre avant d’y mettre le feu. Aujourd’hui, on procède souvent par distillation à l’abri de l’air.

Les feuilles

On appliquait jadis les feuilles sur les coupures et les plaies ulcérées. En Europe, on a employé un extrait liquide des feuilles du P. tremula (très proche de notre faux-tremble) pour soulager l’inflammation accompagnant l’hyperplasie de la prostate. Cette action serait attribuable aux glucosides de salicylé que renferment les feuilles.

 

 

 

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LA PULMONAIRE

Posté par eurekasophie le 3 juin 2009

 

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Pulmonaire

( Pulmonaria officinalis )


( Borraginacées )

 

Origine du nom français : le nom provient de « poumon », rappelant les vertus pectorales qu’on lui attribuait dans l’Antiquité. Cette réputation dépasse les vertus réelles de la plante et s’appuyait sur la théorie des « marques », car l’on croyait voir dans les taches de la plante la reproduction des nodules du poumon humain malade.

LA PULMONAIRE dans

Altitude : jusqu’à 1800 m.

Taille : de 15 à 40 cm.

Floraison : de mars à mai.

Cycle de vie : vivace plante à rhizome.

Répartition : france : Commune sauf dans le nord et le sud-est de la France.

Habitat : bois ombragés, haies. En terrain calcaire ou argileux et neutre.

Fleurs : fleurs de 1,5 cm, d’abord rouges en bouton, puis virant progressivement jusqu’au bleu calice en tube à dents aiguës.

Feuilles : feuilles tachetées de blanchâtre, celles de la base en coeur et pétiotées, les supérieures ovales et sessiles, ou engainantes ; les feuilles s’accroissent en été après la floraison.

Commentaires : plante à poils raides, rugueuse.

Utilisations officinales : émollientes des catarrhes, bronchiques, expectorantes, diurétiques et sudorifiques.

Émolliente, adoucissante, expectorante, on utilise la pulmonaire officinale contre les affections des bronches, pour soulager la toux. On en fait des lotions ou des compresses pour faire disparaître les engelures ou les dartres. Préparez la en décoction légère pendant 2 minutes, à raison d’une cuillerée à soupe de plantes par tasse. Prenez en deux ou trois tasses par jour. 
Photos :

photo_pulmonaria_officinalis_1 dans Mon repertoire des plantes les moins usitees

photo_pulmonaria_officinalis_2

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