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SURELLE

Posté par eurekasophie le 16 mai 2009

Quel est le nom de cette fleur d’appartement ?

     
SURELLE dans oxalis_5512 dans Mon repertoire des plantes les moins usitees oxalis_surelle_fleur_belgique_6028
 Surelle 

Nom latin: oxalis

Couleur de la fleur: blanche

Floraison : avril

 

Surelle 

Nom latin: oxalis

Couleur de la fleur: blanche

Floraison : avril

Fleur de l’Oxalis 
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  Surelle 

Nom latin: oxalis regnell ‘birgit’

Couleur de la fleur: blanc rose

Floraison : juin

 
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  Surelle 

Nom latin: oxalis

Couleur de la fleur: blanche rose

Floraison : avril

 

 
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Elle sera utilisée fraîche.

 

Elle soigne les aigreurs d’estomac, les troubles hépatiques et digestifs légers.

En cas d’hépatite, néphrite, exanthèmes et vers, cancer de l’estomac, tumeurs, ulcères cancéreux et maladie de parkinson.

 

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LE VIORNE

Posté par eurekasophie le 16 mai 2009

 

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Le viorne : sédatif utérin et plante efficace contre l’asthme

Les deux viornes sont des arbustes qui poussent jusqu’en moyenne montagne et peuvent atteindre quatre mètres de haut. Au printemps et jusqu’en début d’été, leurs fleurs blanches se disposent en ombelles. La viorne aubier a des feuilles lobées et dentelées (un peu comme des feuilles de vigne) et ses fleurs, grandes ou petites, se regroupent en boule d’où son surnom de « boule de neige ». La viorne mancienne a des feuilles ovales, épaisses, sans lobes, et ses fleurs sont égales , ce qui donne à leurs ombelles une ressemblance avec celles du sureau .


Les fruits sont rouges puis noircissent par la suite et ont à tort la réputation d’être toxiques : les seuls troubles recensés sont des désordres gastriques. Par prudence, il est donc préférable de ne consommer que des baies très mûres, quand elles sont devenues noires et qu’un début de fermentation leur donne une saveur légèrement sucrée. Au printemps, on récolte l’écorce du tronc plutôt que celles des branches : elle est découpée en bandes avant d’être séchée. On peut également prélever les racines qui semblent d’ailleurs plus concentrées en principe actifs. Et, pour ne pas affaiblir l’arbuste, on va chercher les racines de taille moyenne à environ un mètre ou deux de son pied. La viorne obier est composée d’arbutine, de coumarine, de tanins, de résine et d’autres constituants qui n’ont pas encore été isolés. La plante possède de puissantes propriétés antispasmodiques, diurétiques et astringentes. Bien qu’il existe peu d’études scientifiques, la viorne est utilisée traditionnellement dans de nombreux pays.


On utilise la viorne obier principalement dans les cas suivants : les règles douloureuses, insuffisantes ou trop abondantes, les grossesses difficiles et risques d’avortement ou d’accouchement prématuré, de spasmes utérins suite à un accouchement, des crampes ou des contractions musculaires, de constipation coliques ou irritation du côlon, de l’arthrite ou pour les problèmes ORL dont l’asthme. Dans ce cas, préférez la viorne mancienne. Il semble assez difficile de se procurer de la tisane de viorne obier.


 

viorne

En revanche, la teinture-mère se trouve facilement en pharmacie. Le viburnum opulus est aussi prescrit en homéopathie pour des indications comparables : problèmes gynécologiques ou obstétriques. Si les constituants et les propriétés des deux viornes sont comparables, la viorne mancienne est surtout indiquée dans les problèmes ORL et bucco-dentaires. Là encore, la tisane est difficile à trouver et vous devrez sans doute faire votre récolte vous-même. Bien plus faciles et sans doute beaucoup plus efficaces, les macérats de bourgeons sont LE remède contre l’asthme. Les macérats de bourgeons appartiennent à la gemmothérapie, branche intermédiaire entre l’homéopathie et la phytothérapie. Il existe deux types de macérats de bourgeons : les macérats glycérinés 1D et les macérats concentrés ou macérats-mères.

 

 

 



 

Ils ont chacun leurs défenseurs mais donnent tous les deux d’excellents résultats. Par ailleurs, sachez qu’il existe deux cent variétés de viornes dans le monde. Elles sont souvent présentes dans les jardins et les haies pour l’aspect décoratif des fleurs et des fruits.

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VERVEINE

Posté par eurekasophie le 16 mai 2009

VERVEINE ODORANTE
VERVEINE CITRONNEE
verveine, cedron, aloysa triphylla                  

ALOYSIA TRIPHYLLA =
LIPPIA CITRIODORA

VERBENACEAE

La verveine odorante est une plante arbustive originaire des zones tempérées ou subtropicales de l’Amérique du sud (Pérou, Chili, Argentine, Paraguay).
Elle est assez commune dans les régions pré-andines où elle possède plusieurs appellations locales : cedrón, hierba luisa ou verbena de Indias.

Elle fut introduite dans le sud de l’Espagne au 17 ème siècle, et répandue ensuite dans l’Europe du sud, l’Afrique du Nord et les USA.

La verveine citronnée ou odorante est caduque dans les régions à saison froide ou sèche ; elle peut atteindre 2 à 4 m de haut ; les feuilles, lancéolées avec un apex marqué et une marge lisse ou légèrement dentelées, sont verticillées par groupe de 2 à 4, le plus souvent 3 (d’où le nom triphylla).
L’inflorescence terminale en cime assez lâche est faite de fleurs bilabiées rose ou lilas de petite taille.
Le fruit qui n’atteint pas toujours la maturité est une drupe qui contient deux graines.
Quand il fait chaud la verveine odorante dégage une forte odeur citronnée; les feuilles froissées ont également cette odeur caractéristique de citron.

COMPOSITION CHIMIQUE ET PROPRIETES

Les feuilles contiennent : cedron, verveine, aloysa triphylla

  • des flavonoïdes
  • des acides-phénol
  • environ 0,25% d’huile essentielle, de couleur jaune et à odeur de citron, dont la composition est dominée par le citral (35%), accompagné de limonène, linalol, terpinéol, cinéole et de caryophyllène. Il existe, comme dans toute huile essentielle, beaucoup d’autres terpénoïdes mais en faible quantité.

La composition chimique de l’huile essentielle est variable en fonction des conditions de culture mais toujours dominée par le citral.

Les flavonoïdes et les acides phénols sont des antioxydants, piégeurs de radicaux libres. Une étude expérimentale montre que l’infusion de verveine odorante piège surtout les radicaux super-oxydes et un peu moins les radicaux hydroxyles

Les terpénoïdes de l’huile essentielle sont :

  • bactériostatiques et bactéricides, antiviraux et antifongiques (actifs sur le candida albicans)
  • stomachiques, eupeptiques
  • calmants du système nerveux central (sédatif)

Une étude japonaise révèle que les huiles essentielles de Cymbopogon citratus (lemongrass) et d’Aloysia triphylla ( verveine odorante) sont bactéricides pour Helicobacter pylori à une concentration de 0.01% et à un pH entre 4,0 et 5,0.
Ces deux huiles essentielles, voisines chimiquement, contiennent toutes deux beaucoup de citral. De plus Helicobacter pylori responsable de beaucoup d’ulcères gastriques n’acquière pas de résistance à ces huiles essentielles, alors qu’il a tendance à devenir résistant à de nombreux antibiotiques.

L’infusion de lippia citriodora (qui contient à la fois les composés phénoliques et un peu de terpénoïdes) :

  • facilite la digestion
  • est légèrement sédative
  • possède des propriétés anti-inflammatoires

UTILISATIONS

Infusion de feuilles :

Très utilisée dans certains pays d’Amérique du Sud où l’on peut facilement trouver des Infusettes de « cedron ».
On peut aussi employer des feuilles vertes ou séchées :
une à deux cuillerées à café de feuilles sèches par tasse d’eau chaude, infuser une minute.
Pour 1 litre d’infusion compter 20g de feuilles sèches soit 80 g de feuilles fraîches.

Cette infusion est utile :

  • pour faciliter la digestion surtout en cas de dyspepsie chronique
  • pour faciliter l’apparition du sommeil : dans ce cas on peut doubler ou tripler la dose de feuilles (3 à 5 cuillerées à café pour une tasse d’eau chaude) et aromatiser avec du miel
  • pour calmer des troubles digestifs avec crampes en complément d’un traitement plus spécifique
  • pour calmer la soif en général et comme sudorifique en cas de fièvre
  • comme boisson de « confort » en sachant qu’elle possède en plus un pouvoir anti-radicaux libres

Huile essentielle :


L’huile essentielle de Verveine odorante n’est pas toujours facile à trouver et peut être falsifiée par du citral synthétique.

on la considère :

par voie buccale (2 à 6 gouttes par jour) comme :

  • calmante et antidépressive
  • stomachique et facilitant la digestion
  • utile en cas d’infection gastro-intestinale en complément d’un traitement antibiotique ou d’autres huiles essentielles ; il n’y a pas encore d’étude clinique, à ma connaissance, sur l’utilisation de cette huile essentielle de verveine odorante pour soigner l’ulcère gastro-duodénal

par voie externe :

en onction cutanée (quelques gouttes) ou mélangée à une huile de massage, pour son effet calmant, décontractant.

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