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ORME

Posté par eurekasophie le 28 avril 2009

orme.jpg

Comment lire une taxobox Ulmus
Orme champêtre
Orme champêtre
Classification classique
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Sous-classe Hamamelidae
Ordre Urticales
Famille Ulmaceae
Genre
Ulmus
L., 1753
Classification phylogénétique
Ordre Rosales
Famille Ulmaceae
Espèces de rang inférieur

 

 

Étymologie : du nom latin ulmus, d’origine celte et indo-européenne ; on trouve la même racine « Al » que dans Alisier et Aulne.
Origine : Europe occidentale, dès le Tertiaire (65 M d’années).
Rusticité : l’Orme champêtre est très résistant au froid. Il supporte le froid jusqu’à -35° (
zone 4).
Tronc : droit.
Croissance : rapide.
Racines : les racines de l’orme pénètrent profondément dans la terre ; elles forment souvent une fourche au lieu d’un pivot, et quelquefois deux ou trois.

Variétés : en Europe, Orme champêtre, Orme lisse, Orme de montagne ; en Amérique du Nord, Orme blanc d’Amérique. Ils ont tous :
- une écorce lisse dans leur jeune âge qui se fissure profondément en vieillissant, brun noirâtre chez l’Orme champêtre, gris argenté chez l’Orme de montagne,
- un feuillage caduc, des feuilles en disposition
alterne et distiques. Elles sont dissymétriques à la base (comme chez le micocoulier) et doublement dentées,
- des fruits contenus dans une membrane (samare) comme une pastille vert-clair, groupés en boule, dès le mois de mars-avril, avant les feuilles, qui donnent une allure caractéristique aux ormes.
 

Le majestueux orme blanc qui occupait de vastes étendues dans tout l’est de l’Amérique du Nord a pratiquement disparu de nos paysages, à la suite de l’introduction d’une maladie fongique portant le charmant nom de Ceratocystis ulmi (que l’on a gentiment traduit par maladie hollandaise de l’orme) et qui, depuis son lieu d’origine en Asie, a d’abord essaimé en Europe vers 1914 avant de débarquer avec armes et bagages à New York, en 1930, puis au Québec en 1944, plus précisément à Saint-Ourse où elle fut repérée pour la première fois. Transportée par deux espèces d’insectes vivant dans l’écorce des ormes, elle a exterminé, en quelques décennies à peine, pratiquement toute la population de cette espèce, « sans contredit, écrit le frère Marie-Victorin, le plus bel arbre de l’Amérique septentrionale ».

À cette époque, on a vu des hommes, du type costaud et trempé dans l’acier, pleurer comme de petits enfants devant la lugubre désolation qui régnait sur leurs forêts jadis si belles. Car le bois de l’orme était grandement prisé pour ses nombreuses qualités. Dur et fort, il était employé dans la construction maritime du fait qu’il se conserve bien sur l’eau, de même qu’en ébénisterie, carrosserie, tonnellerie. De plus, on se servait de son liber pour fabriquer les fonds des chaises rustiques. Bon an mal an, les paysans en tiraient donc un revenu d’appoint non négligeable, en plus d’avoir le privilège de jouir à volonté de la splendeur de sa ramure.

On a vu d’autres hommes tenter désespérément de sauver leurs plus beaux spécimens en perçant des trous dans le bois et en y vidant qui de l’essence, qui de la térébenthine, qui de l’huile dormante dans le fol espoir que ces traitements ralentiraient l’inéluctable progression de la maladie. Certains ont réussi, la majorité ont échoués.

Heureusement pour notre propos, l’orme rouge n’a pas été autant affecté par l’affreuse Ceratocystis, peut-être à cause de son odeur forte, causée par la présence de coumarine dans l’écorce. Comme quoi, sentir fort a parfois du bon.

ET CA SE MANGE ?

En Europe, on a mangé les jeunes feuilles de deux espèces d’orme, en les faisant d’abord sécher, puis en les pulvérisant et en les ajoutant aux soupes ou aux bouillies. On s’en est également servi pour faire de la tisane et, en Angleterre, pour adultérer le thé de Chine.

On a consommé les jeunes fruits – des samares de forme arrondie – après les avoir fait bouillir.

Comme la majorité des écorces, celle de l’orme (diverses espèces) a servi d’aliment de subsistance, et nombreux sont les explorateurs qui ont affirmé lui devoir la vie. Idem pour les Amérindiens qui la consommaient en période de disette. C’est l’écorce intérieure que l’on consomme. Réduite en poudre, elle est hautement nutritive, notamment parce qu’elle est riche en amidon. Traditionnellement, on en préparait une sorte de gruau, qui offrait l’avantage d’allier ses qualités nutritives à ses vertus médicinales. On le servait comme nourriture aux bébés, aux convalescents, aux vieillards et à tous ceux qui souffraient de troubles gastriques (voir notre recette dans Documents associés). Ceux, notamment, qui avaient trop et mal mangé durant la période des Fêtes et dont l’estomac ne cessait de rechigner malgré un retour à de saines habitudes alimentaires…

ET CA SOIGNE QUOI ?

De tous les arbres, l’orme serait, selon certains, le plus utile médicinalement parlant. Selon d’autres, ce serait carrément la plus importante de toutes les plantes médicinales dont nous disposons et, à ce titre, elle devrait figurer dans toutes les pharmacies domestiques, à côté de la crème au souci et de la teinture d’ortie.

Dans certains milieux, on affirme d’ailleurs volontiers que les chèvres, les moutons et les lapins connaissent d’instinct les vertus anti-inflammatoires, toniques et astringentes de l’orme et que c’est pour cela qu’ils raffoleraient de ses rameaux.

Tout comme l’orme d’Europe, notre espèce a été appréciée pour ses qualités diurétiques, émollientes et adoucissantes, tant par les Amérindiens que par nous, « pôvres » Visages pâles, malheureusement dotés d’une complexion d’un blanc tout à fait ridicule.

- Ah ça, ça dépend des goûts. Y en a qui préfèrent.
- Tiens donc, vous étiez là, vous ! Vous faites plutôt preuve de discrétion aujourd’hui ! On ne vous entend pas fort.
- C’est que les Fêtes ont été pas mal dures sur le système…
- Du genre dures comment ?
- Du genre gastrite non infectieuse. Du genre à laisser le système digestif, y compris les deux orifices, dans un état de navrante sensibilité.
- Ben vous, on peut dire que vous avez le sens de l’à-propos. Tenez, buvez cette décoction !

On l’employait contre la diarrhée et les autres irritations du système digestif ainsi que pour les irritations cutanées. « Rien de plus émollient et de meilleur pour les plaies, internes ou externes », écrivaient en 1890 les soeurs de la Providence dans leur Matière médicale.

Paradoxalement, on s’en est aussi servi sous la forme de lavement pour soigner la constipation, en la mélangeant à du lait chaud, de l’eau et de l’huile d’olive. On l’a également employée en douche vaginale pour soigner les pertes blanches.

On en a fait des pastilles pour traiter le mal de gorge et la toux. Dans les rhumes opiniâtres et la consomption, on l’employait alternativement avec de la gelée de corne de chevreuil (remède qui se préparait en faisant mijoter longuement de la corne de chevreuil dans de l’eau et en ajoutant à la préparation fortement réduite de la gélatine ou de la mousse d’Irlande). Trois fois par jour pendant neuf jours on prenait l’équivalent d’un demi-verre à vin de gelée de corne de chevreuil mêlée à du sherry. Les neuf jours suivants, toujours trois fois par jour, on prenait 1 ou 2 verres de tisane d’orme. On continuait ce traitement en alternance jusqu’à ce que le malade soit complètement soulagé.

Pour préparer la tisane, on fait infuser 1 cuillerée à thé d’écorce réduite en poudre dans une tasse d’eau. Ou alors on laisse macérer pendant une heure 60 g de morceaux d’écorce dans un litre d’eau bouillante.

Contre les inflammations de la peau, on lave les parties affectées avec une décoction concentrée, que l’on prépare à raison de 100 g d’écorce par litre d’eau. On peut, de plus, employer la décoction concentrée comme rince-bouche ou en gargarisme contre les inflammations de la bouche ou de la gorge.

On a préparé une huile à appliquer sur l’eczéma sec, en mélangeant 30 g d’écorce concassée à 100 g d’huile d’amandes douces. Il faut faire cuire au bain-marie pendant deux heures, laisser refroidir, filtrer et appliquer.

Appliquée sur les seins, l’emplâtre a servi à soigner la mastite.

Pour soigner les hémorroïdes, on fabriquait des suppositoires avec cinq parties de poudre d’écorce d’orme rouge et une partie de poudre d’écorce de chêne blanc. Il suffisait ensuite d’humidifier le mélange pour obtenir une pâte assez épaisse que l’on divisait et roulait de façon à former des sphères oblongues d’environ 2 cm de long. On laissait sécher la préparation puis, au moment de l’utiliser, on humidifiait la surface, on revêtait d’une légère couche d’huile et voilà ! Comptaient notamment parmi les autres indications très spécifiques de ces suppositoires le rétrécissement de l’anus et les fistules au fondement.

Chez les Amérindiens, on donnait aux femmes enceintes une tisane comprenant cette écorce dans le but de faciliter leur accouchement. Idem en Europe où cela était administré aux femmes enceintes à partir du septième mois.

L’écorce d’orme rouge est l’une des quatre plantes de la controversée formule Essiac qui, dans les années 1920 et 1930, fit beaucoup parler d’elle à cause de ses propriétés anticancéreuses alléguées. L’origine de cette formule serait amérindienne, bien qu’elle ait été popularisée par une infirmière ontarienne qui l’aurait employée pour soigner des centaines de patients atteints de divers types de cancer.

Si les propriétés anticancéreuses de l’écorce d’orme rouge et des autres plantes de la formule Essiac n’ont toujours pas été démontrées scientifiquement, on sait aujourd’hui avec certitude que ces plantes ont un réel impact sur la qualité de vie des patients cancéreux. Leurs propriétés toniques en feraient un remède extrêmement utile pour les personnes fatiguées, dévitalisées, stressées, déprimées, et l’orme rouge y est certainement pour quelque chose.

À noter que l’écorce intérieure des jeunes ormes a la réputation d’être beaucoup plus active que celle des sujets âgés. Les arbres d’à peine deux ou trois ans conviendraient parfaitement. Pour peu que l’on dispose d’un petit coin de terrain, on pourra donc facilement semer une poignée de graines à distance rapprochée et, en quelques années, on obtiendra une petite récolte d’une substance médicinale de première qualité. Ne coupez pas entièrement vos petits arbres et l’année suivante ils lanceront de nouvelles tiges que vous pourrez récolter à leur tour.

Enfin, sous le nom d’« eau d’orme », on a employé le liquide qui se trouve dans les diverses espèces de galles qui se forment sur l’orme. On peut supposer que, vivant entièrement aux dépens de l’arbre, ces excroissances lui soutirent également un peu de ce mucilage qui fait sa richesse médicinale. Chose certaine, on employait cette eau pour laver les plaies de toutes sortes, et elle était assez douce pour qu’on s’en serve pour laver les yeux irrités, fatigués ou gonflés. Récolté en automne, ce même liquide portait le nom de « baume d’ormeau », à cause de la texture plus visqueuse qu’il prenait durant cette saison.

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PETIT JARDIN DU MOIS DE MAI

Posté par eurekasophie le 28 avril 2009

Petit jardin

Mai 2009
Le petit magazine du jardinage et des plantes
Créé par le site www.graines-et-plantes.com
PETIT JARDIN DU MOIS DE MAI  dans JARDINAGE AUX FIL DU TEMPS espaceur espaceur dans JARDINAGE AUX FIL DU TEMPS espaceur espaceur espaceur espaceur espaceur espaceur espaceur
Couv_01 Couv_03
Couv_05
Couv_07 Couv_09
Couv_11
Couv_16 Couv_18
S O M M A I R E :
- Au jardin en mai – P2
- Plante à découvrir – P3 -
 

- Pack jardinage – P5
- Lune et travail au jardin – P6-7
- Idée de séjour : La dordogne – P8

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PETIT JARDIN AU MOIS DE MAI

Posté par eurekasophie le 28 avril 2009

Ce qu’il faut faire en Mai
Travaux au jardin
Par Sébastien Jacquot
 

Voyez, sentez, admirez et appréciez tous les plaisirs fleuris que nous offre le mois de mai.
PETIT JARDIN AU MOIS DE MAI dans JARDINAGE AUX FIL DU TEMPS photo2
Le temps nous envoûte par la douceur qui s’installe et nous emmène à savourer cet instant jusqu’à ne plus vouloir quitter nos jardins. Adonnez-vous à votre passion de jardinier et semez en mai à volonté. Au potager comme au jardin d’ornement, renouez avec vos plaisirs en réveillant votre âme verte.
Au potager
Mai saura satisfaire votre appétit de jardinier… semis et plantations seront au rendez-vous de ce mois passionnant.
 photo3 dans JARDINAGE AUX FIL DU TEMPS

Semez les légumes qui vous donneront les plants pour le mois prochain. Disposés en lignes distantes d’une quinzaine de centimètre, ils n’ont pas besoin de beaucoup d’espace pour se développer. Semez ainsi choux-fleurs, choux rouges, choux-pommes, épinards d’été et cardons. Vous sèmerez directement en place haricots, petits pois et navets, carottes, salsifis et salades… Ne semez pas toutes les graines en même temps… en échelonnant leur semis vous étalerez ainsi la période de récolte. Maintenez le sol frais pour favoriser la levée des graines et apportez nutriments en compost et engrais pour leur donner vitalité à leur démarrage. Ne lésiner pas sur le bêchage de votre jardin… les mauvaises herbes s’y installent volontiers à cette période. Semez également en godet concombres, cornichons et courgettes qui seront mis en place quand ils auront atteint quelques centimètres. Tomates, melons et autres plantes sensibles attendront le 15 du mois pour être plantés.

Au verger
Avril a su vous séduire par la généreuse floraison que nous ont donné les fruitiers. Elle continue ce mois-ci. Mai vous ravira d’autant par la formation des fruits que vous prendrez plaisir à compter… comme un avant goût de la récolte a venir. Protéger vos arbres des maladies et parasites. En mai ; vous ne serez pas les seuls à courtiser fraisiers et autres petits fruits sucrés. Faites ruse pour éloigner les volatiles et limaces de vos mets précieux. Continuez les apports en nutriments, car en cette période, la croissance de vos arbres fruitiers demande qu’on leur apporte le nécessaire pour leur bon développement. Lorsque vous verrez apparaître les premiers fruits… vous pourrez procéder à un éclaircissage en ne laissant que deux à trois fruits par lot pour permettre à ceux qui restent de pouvoir grossir suffisamment.

photo1

Au jardin d’ornement
Dans une terre riche en nutriment, semez les fleurs qui s’épanouiront en été ; ainsi, cosmos, soucis et capucines, n’attendent que votre main, tandis que pourront être plantés directement en place géraniums, œillets et bégonias. Laissez-vous séduire par toutes ces plantes à fleurs… mai est le mois idéal pour leur plantation. Si pour certains la floraison approche, pour d’autres elle s’éloigne, entretenez-les en procédant à la taille des fleurs fanées.
 

Plantes d’intérieur et de balcon
L’intérieur sait ouvrir les portes à ses petites protégées quand le temps se montre propice à leur épanouissement… profitez de la douceur de mai pour sortir vos plantes… Elles aussi ont droit à leur petit tour de jardin. Réservez leur un endroit mi-ensoleillé… les coins ombragés leur parvient parfaitement. Profitez de l’air extérieur pour les rempoter, apportez leur un nouveau terreau et des nutriments essentiels à leur pleine vitalité. Rafraîchissez-les en supprimant feuilles fanées, feuilles malades ou en surnombre. Les plantes ayant tendance à pousser en hauteur ont du mal à se maintenir et s’affalent parfois sur les côtés. Evitez ce disgracieux en pinçant l’extrémité de leur tige, ce qui les forcera à se ramifier et donc à s’étoffer. N’oubliez pas d’arroser vos potées et de les maintenir légèrement humides.

Les arbres, arbustes et haies
Vous pouvez continuer à planter arbres et arbustes… mais comme pour avril il faut impérativement que ceux-ci soient en conteneurs, sans quoi leur reprise risque fortement d’être compromise. Ne négligez surtout pas l’arrosage… n’oubliez pas que vos arbres sont en plein développement et ont besoin de suffisamment d’eau. Lorsque les fleurs de vos arbres d’ornement seront fanées, ce sera le bon moment pour les tailler. Ainsi, cognassiers, lilas et forsythias apprécieront cette toilette de printemps. Apportez engrais et compost pour fertiliser la terre, paillez aux pieds et arrosez suffisamment vos arbres et arbustes.

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PETIT JARDIN DU MOIS DE MAI

Posté par eurekasophie le 28 avril 2009

Fougère plume d’autruche
Matteuccia struthiopteris
Par Michel Driencourt de jardindupicvert.com
 

Descriptif
Cette Fougère plume d’autruche à feuillage caduc de 1m70 de hauteur pour 1m de largeur est une plante imposante à frondes lancéolées et divisées, disposées en corbeille. Les frondes stériles, d’un vert frais, sont disposées à l’extérieur, entourant les frondes fertiles, plus denses et brun foncé. Nous vous conseillons de l’installer à mi-ombre ou à l‘ombre dans un Sol léger, humifère, sans trop de calcaire mais plutôt frais, voir humide. Cette plante rustique de bassin résiste jusqu’à au moins -20°C
.

Sa culture

Plantation
Dans un mélange composé de 3/5 de terre meuble et 2/5 de tourbe ou de terreau de feuilles. S’accommode de tous les sols légers, frais, plutôt riches et un peu ombragé.


Propriétés et emplois
Garniture des pelouses, des grottes, et aussi abords de cours d’eau ou fonds de vallons. Cette fougère est l’espèce la plus curieuse du genre et la plus remarquable par l’ampleur de ses frondes d’un beau vert jaunâtre, formant une touffe élégante, régulière, du plus bel effet. Décoration des parterres, garnitures des berges d’un cours d’eau ou d’un plan d’eau. Les jeunes frondes sont comestibles, une fois cuites à la vapeur ou stérilisées.

Pour culture extérieure
Plantation des bulbes à 15 cm de profondeur.
Il est important en hiver rigoureux, de bien protèger la plante


L’avis Graines et Plantes :
Cette Fougère à tous les avantages
pour donner bel effet dans votre jardin !
Adoptez-la pour seulement quelques euros,
disponible au « Jardin du Pic-Vert »
Cliquez ici pour en savoir plus sur la plante
petite promenade au Jardin du Pic-Vert

PETIT JARDIN DU MOIS DE MAI  dans JARDINAGE AUX FIL DU TEMPS PhotoA 

PhotoB dans JARDINAGE AUX FIL DU TEMPS

PhotoC

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PETIT JARDIN DU MOIS DE MAI

Posté par eurekasophie le 28 avril 2009

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PETIT JARDIN AU MOIS DE MAI

Posté par eurekasophie le 28 avril 2009

Jardiner avec la lune
Calendrier Lunaire de Mai 2009
Par Sébastien Jacquot
 

PETIT JARDIN AU MOIS DE MAI dans JARDINAGE AUX FIL DU TEMPS L1 Nouvelle Lune L2 dans JARDINAGE AUX FIL DU TEMPS Premier Quartier
L3 Pleine Lune L4 Dernier Quartier
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
- - - -
1 L2s
2 p
3 p
4 p
5 c3
6 c3
7 c3
8 c3
9 L3f
10 s
11 s
12 p
13 p
14
Jour d’Apogée lunaire – Ne pas jardiner
15
Jour de Noeud lunaire – Ne pas jardiner
16 c3
17 L4f
18 f
19 s
20 s
21 s
22 p
23 p
24 L1c3
25 c3
26
Jour de Périgée lunaire – Ne pas jardiner
27 f
28
Jour de Noeud lunaire – Ne pas jardiner
29 s
30 p
31 L2p
c Jours Racines
Les jours racines sont lorsque la lune passe devant les constellations du Taureau de la Vierge et du Capricorne dites constellations de la terre.
Pendant cette période, la lune influe sur le système radiculaire des végétaux, c’est donc la période idéale pour semer, planter, soigner et récolter les légumes à racines et les fleurs à bulbes.
Exemples de végétaux concernés : ail, betterave, carotte, céleri-rave, échalotes, endive, navet, oignon, pomme de terre, radis, salsifis…
  f Jours Fleurs
Les jours fleurs sont lorsque la lune passe devant les constellations du Gémeaux, de la Balance, et du Verseau dites constellation de l’air.
Pendant cette période, la lune influe sur les végétaux à fleurs et légumes-fleurs, C’est donc la période idéale pour planter, semer, rempoter, bouturer, récolter vos fleurs et légumes-fleurs.
Exemples de végétaux concernés : artichaut, brocoli, chou-fleur, fleurs, arbres/ arbustes/ buissons/ aromatiques à fleurs.
p Jours Fruits et Graines
Les jours fruits et graines sont lorsque la lune passe devant les constellations du Bélier, du Lion, et du Sagittaire dites constellations de feu.
Pendant cette période, la lune influe sur la stimulation des fruits et des graines. C’est donc la période idéale pour semer, planter, cueillir, récolter les arbres fruitiers, les petits fruits et les légumes-fruits .
Exemples de végétaux : noisette, châtaigne, tomate, pois, aubergine, concombre, courge, fève, fraise, framboise, haricot, melon, piment, pois, citrouille, blé, maïs, riz, arbres fruitiers…
  s Jours Feuilles
Les jours feuilles sont lorsque la lune passe devant les constellations du Cancer, du Scorpion et du Poissons dites constellations de l’eau.
L’influence de la lune, se porte à cette période sur les tiges et les feuilles des plantes, c’est donc une période idéale pour tailler, tondre, cueillir, semer, repiquer les végétaux à feuillage.
Exemples de végétaux : gazon, arbuste/ haies sans fleur, persil, salade, choux, artichaut, céleri-branche, chicorée, épinard, poireau, aromatiques à feuillage, lierre, conifère…
 

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PETIT JARDIN AU MOIS DE MAI

Posté par eurekasophie le 28 avril 2009

Calendrier Lunaire Mai 2009
pour jardiner avec la lune
Avec notre calendrier lunaire vous apprendrez à maîtriser
les périodes les plus propices pour que votre travail dans le jardin soit une réussite !
Jardiner avec la lune devient un jeu d’enfant !
(Légende du calendrier lunaire en bas de la page)

Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
- - - -
1 Lune
decendante -->
PETIT JARDIN AU MOIS DE MAI dans JARDINAGE AUX FIL DU TEMPS Lunedecendante2
2 Lune
decendante -->
Lunedecendante2 dans JARDINAGE AUX FIL DU TEMPS
3 Lune
decendante -->
Lunedecendante2
4 Lune
decendante -->
Lunedecendante2
5 Lune
decendante -->
Lunedecendante2
6 Lune
decendante -->
Lunedecendante2
7 Lune
decendante -->
Lunedecendante2
8 Lune
decendante -->
Lunedecendante2
9 Lune
decendante -->
Lunedecendante2
10 Lune
decendante -->
Lunedecendante2
11 Lune
montante-->
Lunemontante2
12 Lune
montante-->
Lunemontante2
13 Lune
montante-->
Lunemontante2
14
Apogée
lunaire
- Ne pas
jardiner
15
Jour de Noeud lunaire – Ne pas jardiner
16 Lune
montante-->
Lunemontante2
17 Lune
montante-->
Lunemontante2
18 Lune
montante-->
Lunemontante2
19 Lune
montante-->
Lunemontante2
20 Lune
montante-->
Lunemontante2
21 Lune
montante-->
Lunemontante2
22 Lune
montante-->
Lunemontante2
23 Lune
montante-->
Lunemontante2
24 Lune
montante-->
Lunemontante2
25 Lune
decendante -->
Lunedecendante2
26
Périgée
lunaire
- Ne pas
jardiner
27 Lune
decendante -->
Lunedecendante2
28
Jour de Noeud lunaire – Ne pas jardiner
29 Lune
decendante -->
Lunedecendante2
30 Lune
decendante -->
Lunedecendante2
31 Lune
decendante -->
Lunedecendante2
Lunemontante lune montante
Lorsque la lune monte dans le ciel
En lune montante :
- Semez
- Greffez
- Recoltez les fruits, les légumes fruits
et les légumes feuilles
Lunedecendante lune est descendante
Lorsque la lune decend dans le ciel
En lune decendante :
- Plantez
- Bouturez
- Recoltez les legumes à racines
- Travaillez la terre
- Taillez les arbres et les plante
s
 

Pour info !
lune montante et lune descendante
à ne pas confondre avec
lune croissante et décroissante.
En effet,
les termes « croissant » et « décroissant »
sont en rapport avec la forme que
nous apercevons de la lune,
(nouvelle lune, premier quartier,
pleine lune et dernier quartier.)

Pour ce qui est de la lune montante
et de la lune descendante
il s’agit en faite de sa position dans le ciel,
et non de sa forme.

Ainsi une lune peut-être montante
en même temps qu’elle peut être croissante.

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PETIT JARDIN AU MOIS DE MAI

Posté par eurekasophie le 28 avril 2009

Une idée de séjour
pour votre mois de Mai

Le charme est au rendez-vous !
 

Si vous êtes amoureux d’une nature préservée où coulent les rivières, si vous souhaitez découvrir un patrimoine riche et varié, partez à la rencontre de sites authentiques.

En Dordogne, aux Olivoux de Pomport, 3 gîtes où règnent rêves et tranquilité vous tendent les bras dans un cadre apaisant, aux portes des bastides et au coeur du vignoble bergeracois.

Tous les gîtes sont d’un grand confort : cuisine équipée, lave-vaisselle, lave-linge et tous ont un jardin avec mobilier d’extérieur et barbecue.
Et en plus, pour agrémenter votre séjour,
pour ceux qui le désirent, une piscine en commun
de 12 m x 6 m et équipée de son mobilier, vous est réservée.

Les prix vont de 365 € à 850 € la semaine selon le gîte et la saison.

Sachez que vous pouvez aussi louer pour moins d’une semaine : à l’occasion d’un anniversaire, d’un baptême… voire un séminaire.

Alors, n’hésitez plus !
Partez visiter ce terroir qui aime à retenir le visiteur… et parfois, paraît-il, pour toujours !

Pour tout renseignement
et réservation :

Visitez : sejours-dordogne.fr

Séjours Dordogne
Les Olivoux
24240 POMPORT

Téléphone : 05 53 24 01 02
Portable : 06 86 53 22 72
E-mail : sejours.dordogne@wanadoo.fr

Sejour en dordogne perigord 

Gite de dordogne

Vacances en dordogne

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PETIT JARDIN AU MOIS DE MAI

Posté par eurekasophie le 28 avril 2009

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ORIGAN

Posté par eurekasophie le 28 avril 2009

origan.jpg

 

Comment lire une taxobox Origan
Origanum vulgare
Origanum vulgare
Classification classique
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Sous-classe Asteridae
Ordre Lamiales
Famille Lamiaceae
Genre Origanum
Nom binominal
Origanum vulgare

L’origan (Origanum vulgare), famille des lamiaceae, dit aussi marjolaine sauvage.
Noms communs : marjolaine, marjolaine sauvage, à coquilles, bâtarde; origan vulgaire, origan de Crète, grand origan; dictame, thym de berger, thé rouge.

Noms scientifiques :
Origanum vulgare, Origanum vulgare subsp. hirtum, Origanum majorana (synonyme Majorana hortensis).
Famille :
labiées (synonyme : lamiacées).

PRESENTATION

Cousin sauvage de la marjolaine, l’origan est originaire du bassin méditerranéen et d’Asie Centrale. De la famille des labiacées, cette plante vivace et mellifère (butinée par les abeilles qui en produisent du miel) pousse spontanément sur les versants ensoleillés et pierreux des montagnes d’Europe. L’origanum vulgare aime aussi les sols calcaires et les bordures de routes, qu’elle embellit de ses jolies fleurs rose pâle à rouges.

En Égypte et en Inde, on la considérait comme une plante sacrée. Grecs et Romains lui attribuaient, eux, des vertus aphrodisiaques : c’était ainsi la plante du bonheur et de l’amour que l’on offrait aux jeunes mariés. C’est aussi dans l’Antiquité que ses propriétés médicinales ont été découvertes, et, au Moyen Âge, son infusion était fréquemment préconisée.

A l’extrémité de ses tiges rouges et velues, qui portent de petites feuilles ovales, les fleurs sont regroupées en inflorescence. De petites bractées ovales autour de ces bouquets les soulignent d’une jolie couleur pourpre.
L’origan est avant tout une très belle plante, ainsi que le souligne son étymologie grecque : « oros » et « ganos » que l’on peut traduire par « parure des montagnes ».
Il en existe une trentaine de variétés, qui poussent partout en Europe. Il est récolté pendant l’été, entre juillet et septembre.

UN PEU D’HISTOIRE

Depuis l’Antiquité, on emploie l’origan en infusion, en décoction voire en cataplasme pour soigner de nombreux maux de la vie quotidienne. Ainsi, on reconnaît à l’origan un pouvoir antalgique. Cette action anti-douleur s’associe à ses vertus antiseptiques et antispasmodiques. Il est donc incroyablement efficace en cataplasme pour assainir des plaies et des morsures, ou pour soulager des muscles contractés. C’est d’ailleurs ainsi que les Grecs ont commencé à l’utiliser.

En outre, il a une action stimulante sur les fonctions digestives et biliaires. Boire son infusion permet alors d’éviter les désagréments d’un repas trop copieux ou tout simplement d’une digestibilité fragile.

Enfin, l’origan, tonique à souhait, est un véritable coup de fouet contre les maux de l’hiver. Expectorant et antitussif, il est l’allié des enrhumés et des personnes sujettent à des bronchiques chroniques. On constate même une action bénéfique sur l’asthme.

L’huile essentielle dont l’origan regorge, est très utilisée, quant à elle, en aromathérapie, pour ses vertus antibactériennes et anti-parasitaires, notamment. En diffusion ou en friction (diluée à de l’huile végétale dans ce cas, car très irritantes pour la peau), elle procure un soulagement immédiat.

DEGUSTATION

Choisissez-le avec des fleurs pas complètement épanouies. Procédez à la cueillette de préférence le matin d’une journée ensoleillée, car les huiles essentielles qui lui procure tout son arôme s’évaporent au fil des heures.

Conservez-le en bouquet, les tiges protégées par du papier absorbant, à l’intérieur d’un sachet en plastique, dans le bac à légumes du réfrigérateur. Ainsi, il conserve sa saveur pendant au moins une semaine. L’origan frais se garde également très bien au congélateur. Lavé, séché et mis dans un sachet en plastique, il suffit simplement d’en casser un morceau pour l’utiliser à l’envie.
Vous pouvez enfin aussi le faire sécher dans une pièce sombre et aérée. Suspendu en bouquet, à une température moyenne de 25°C, votre origan sera prêt en une quinzaine de jours.

Consommez-le en froissant ses fleurs qui dégagent beaucoup plus d’arômes et de goût que les feuilles. Il accompagne à merveille tous les plats d’origine méditerranéenne, à base de tomates, de fromage frais comme la mozzarella, d’huile d’olive… Il est indispensable à la fameuse pizza napolitaine, tout autant qu’à la pissaladière provençale. Il relève parfaitement les olives noires des apéritifs ensoleillés et il excelle sur les grillades, notamment les côtelettes d’agneau.
On l’utilise aussi en charcuterie, pour parfumer les saucisses ou les farces.

L’origan permet également d’aromatiser l’huile d’olive. Une branche glissée dans la bouteille développera tout son parfum au fil des jours, tout en apportant une touche décorative. Pensez, pour finir, à en parfumer votre vinaigre : versez-le tiédi sur les herbes lavées et séchées dans un bocal. Exposez celui-ci, fermé, au soleil et remuez-le tous les jours pendant deux semaines. Filtrez et transvasez dans une jolie bouteille en ajoutant une branche à l’intérieur… c’est prêt !

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