BON WEEK-END ….
Posté par eurekasophie le 17 avril 2009
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Posté par eurekasophie le 17 avril 2009
La flaugnarde aux pommes est un dessert traditionnel de l’Auvergne et du Limousin, pourquoi ne pas y apporter une touche d’exotisme en la garnissant de kiwis ? Je salue au passage l’Auvergne, région chère à mon coeur.
Préparation : 30 minutes
Temps de cuisson : 45 minutes environ
Ingrédients
Pour 6 personnes
Peler 5 kiwis, les couper en quartiers et les disposer au fond d’un plat à four rond préalablement beurré.
Dans une terrine, casser les œufs y ajouter le sucre et fouetter jusqu’à ce que le mélange devienne mousseux.
Incorporer la farine et une pincée de sel.Verser peu à peu le lait puis le rhum. Fouetter énergiquement pour obtenir une préparation homogène.
Verser avec précaution le mélange sur les fruits.
Mettre à four chaud (th.7) pendant 45 minutes environ.
Servir la flaugnarde à peine refroidie.
Vous pourrez accompagner ce dessert d’une garniture au chocolat celui-ci se mariant très bien avec le kiwi.
Régalez-vous !
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Posté par eurekasophie le 17 avril 2009
Une rocaille réussie associe plantes et minéral avec un effet naturel et spontané. Plus facile à dire qu’à faire… Avec un peu de technique, vous pourrez pourtant donner à la descente du garage, au bord de la terrasse ou à un talus créé de toutes pièces une allure très naturelle. Suivez nos conseils !
Aubrietes parmi les pierres
Une rocaille, ce n’est pas un tas de cailloux fleuri. La réussite repose à la base sur une disposition appropriée des pierres ou rochers. A savoir : comme dans la nature, sans uniformité.
Avant d’établir vos plans d’aménagement, faites vous une idée précise de l’objectif recherché en allant voir quelques rocailles qui vous plaisent, et étudiez-les attentivement.
Contrairement à une idée reçue, pas besoin du plein soleil pour une rocaille. C’est même quasiment le contraire : la plupart des plantes de rocaille ont besoin de lumière et de soleil, mais ne supportent pas une exposition permanente.
Utilisez si possible de la pierre d’origine locale. Le mieux étant de favoriser les cailloux que vous avez retiré d’autres endroits du jardin, parce qu’ils vous gênaient au potager, par exemple…
Après un bêchage profond, ou un apport de terre si la zone est déjà très caillouteuse, disposez les plus grosses pierres dans le sens inverse de la pente. Assurez leur calage avec des cailloux de taille inférieure.
Prenez du recul pour vous assurer de l’allure de l’ensemble.
Un bon drainage est essentiel. Là où vous aurez tassé la terre en déplaçant les cailloux, ameublissez-là. Si le sol n’est pas assez poreux (sols argileux notamment), apportez un sable grossier et du terreau de feuille.
Pas besoin d’une couche de terre importante : la plupart des plantes de rocaille ont des racines profondes qui s’insinueront entre les cailloux.
Après avoir réalisé l’ossature, il faut choisir les plantes qui donneront la valeur ornementale.
Des conifères nains (genévriers, épicéas, pins…) assureront le fond du décor été comme hiver grâce à leur feuillage persistant. Pensez également pour remplir ce rôle aux cotonéasters, lavandes et autres fusains nains.
Achetez des plantes aimant les terrains secs et pauvres. Cela est souvent précisé aujourd’hui sur l’étiquette qui accompagne les végétaux. Scabieuse, sedum, corbeille d’argent, oenothère…
Ne vous limitez pas aux vivaces tapissantes. Il faut donner de la hauteur, du mouvement, avec quelques petits arbustes.
Disposez tous vos godets et containers sur la rocaille avant la plantation. Cela vous permettra de juger de l’allure générale.
En plaçant en hauteur les plantes les plus hautes et tout en bas les tapissantes, vous accentuerez le relief du tout.
Lorsque la disposition vous paraît correcte, mettez les sujets en terre après avoir fait tremper les mottes. Arrosez délicatement pour ne pas lessiver la terre.
N’abandonnez pas votre rocaille après l’installation ! La première année, arrosez régulièrement les végétaux, dont les racines sont encore fragiles et pas bien installées.
L’entretien d’une rocaille se limite à un désherbage de printemps, et une division des plantes tous les 2 à 4 ans, selon leur vigueur.
Vous essaierez avec profit le paillage de petits cailloux. Ce dernier est fort esthétique, il limite l’envahissement autour des plantes, garde le maximum d’humidité dans la chaleur de l’été, et protège aussi la base des plantes d’un excès d’humidité en hiver.
Veillez à étaler les floraisons. Au prétexte que l’on crée ou renouvelle les rocailles au printemps, combien sont magnifiques d’avril à mai, puis manquent de couleur l’été !
Variez largement les espèces, mais ne disséminez pas les plantes ici et là. Misez plutôt sur des tâches colorées, en installant les plantes par 2 à 5 pieds de la même espèce.
Ne soyez pas trop ambitieux ! Commencez petit, concevez à petite échelle. Après un premier succès, il sera toujours temps d’agrandir la zone que vous avez choisie.
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Posté par eurekasophie le 17 avril 2009
Propriétés : Anti-inflammatoire. Antibactérienne et antifongique majeure. Antivirale. Tonique, utérotonique, neurotonique, cardiotonique.
Recommandations : Sinusites, otites, bronchites; urétrites, cystites, vaginites; acné, eczéma sec et suintant, folliculites, mycoses cutanées et gynécologiques. Sclérose en plaques. Fatigue générale et cardiaque, affaiblissement du système immunitaire.
Usages : toutes les préparations conviennent au palmarosa qui dégage un arôme agréable de rose, de géranium. Appliquer en onction dans la région affectée. Bain régénérateur : 5 gouttes de palmarosa, 5 gouttes de géranium, 5 gouttes de citron zeste et 5 gouttes d’orménie dans une huile ou un sel. Appliquer pur, par petites touches, sur les mycoses de la peau ou des ongles, sur les follicules infectés, sur l’acné ou ajouter le palmarosa à de l’argile, avec un peu d’eau. Le palmarosa entre dans une foule de cosmétiques pour favoriser l’hydratation de la peau.
Synergies : avec lavande, bois de rose, Tea tree, agrumes, myrte, épinette noire ou blanche.
En pratique : bain – massage – friction – onction – enveloppement – diffusion – cosmétique
Précautions : Diluer pour les femmes enceintes et les enfants.
Bonjour à tous,
Je vous fait part d’une recette de soin pour le visage (recette réalisée par Sophie Macheteau). Au premier abord la crème sent un peu fort mais après l’odeur s’adoucit. Elle ne s’étale pas très bien et colle un peu.
Quantité : équivalent à deux petits pots de baumes à lèvres.
Ingrédients :
Huiles essentielles : bois de rose, palmarosa, ciste Ladanifère et ylang ylang.
Huiles végétales : jojoba, amande douce et rose de chili
Hydrolat : Fleur d’oranger
Cire d’abeille (7gr)
Vitamine E (forme liquide, voir sur le site Aroma-zone)
Matériel :
Mini fouet
Une balance de précision (0,1g)
Eprouvette graduée de 50 ml
Un poelon (j’ai acheté en grande surface un saucier “La chocolatière” voir le modèle
Vous pouvez achetez le matériel sur le site “aroma-zone“
Explications sur les ingrédients :
Palmarosa : Odeur : fraîche, douce, fleurie, proche de la rose. Acné, plaies, eczéma, escarres, crevasses.
Cyste Ladanifère : Odeur intense, ambrée et boisée. Acné, vieillissement cutané, astringente et tonifiante, rides, cicatrisante…
Interdite aux femmes enceintes ou allaitantes, supervision médicale impérative pour un usage chez les enfants. Pas d’huile essentielle de ciste pure sur une plaie importante. Interaction avec les traitements médicamenteux aux anticoagulants.
Bois de rose : Puissant régénérateur tissulaire, adoucissant, antiseptique, astringent, antibactérien, antifongique, soins des rides, peaux fatiguées, sensibles, irritées, amélioration des vergetures, cicatrisation, dermatoses et soins du visage, rajeunisseur tissulaire…
Ylang Ylang : Odeur puissante, florale, boisée et balsamique. Régénérateur cellulaire et antiseptique, séborégulatrice, tonique de la peau et des cheveux de tout type….
Déconseillée dans les 3 premiers mois de la grossesse.
Source : aromazone
Voici la recette (voir dans l’ordre) :
Dans un poelon à feu doux
15 gr d’huiles végétales :
1er : 5 gr jojoba
2ème : 5 gr amande douce
3ème : 5 gr rose de Chili
4ème : 7 gr de cire d’abeille
Remuer le tout pendant 10 min (jusqu’à que la cire devienne liquide)
Retirer le poelon.
Ajouter par petit filets 26 gr d’huile d’hydrolat de fleur d’oranger, tout en faisant des mouvements de 8 ou infini pendant quelques minutes.
Ajouter les 30 gouttes d’huiles essentielles :
1er : 5 gouttes de palmarosa
2ème : 5 gouttes de cyste Ladanifère
3ème : 10 gouttes de bois de rose
4ème : 10 gouttes de Ylang Ylang
Ajouter 2 gouttes de vitamine E
Voilà la crème est prête
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Posté par eurekasophie le 17 avril 2009
Les premières grappes de glycine embaument le jardin… C’est le moment d’utiliser les fleurs en beignets ou de les mélanger à des noix pour en faire un dessert original.
Préparation : 15 minutes
Cuisson : 40 minutes
Ingrédients
Pour 8 personnes
1-Mettre le lait dans une casserole, saler, sucrer, puis ajouter le beurre coupé en morceaux. Porter à ébullition.
2-Verser la farine d’un trait en remuant énergiquement jusqu’à ce que la pâte se détache des parois de la casserole. Laisser tiédir et incorporer la levure.
3-Mélanger les œufs un par un à la préparation puis incorporer les noix, les fleurs de glycine (séparées de leur tige) et le marc.
4-A l’aide d’une cuillère à café, former des petites boules de pâte (de la grosseur d’une noix) et les jeter dans l’huile bien chaude. Quand elles se retournent et qu’elles éclatent légèrement, elles sont cuites.
5-Une fois cuits, placer les pets-de-nonne sur du papier absorbant et les saupoudrer de sucre glace ou de sucre en poudre.
Si vous n’avez pas de glycine pour réaliser cette recette, vous pouvez utiliser des fleurs d’acacia…
Régalez-vous !
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Posté par eurekasophie le 17 avril 2009
L’Art des jardins japonais nous fascine, par l’équilibre et la sérénité qu’il dégage. Si le jardin zen est le plus connu en Occident, il existe 5 grands types de jardins japonais, qui mèlent des éléments caractéristiques, comme l’eau, les rochers, la lanterne… Jardin sec ou jardin d’eau : partez à la découverte !
Parler des jardins japonais, c’est retrouver ses origines dans les échanges et l’influence de la Chine avec l’adoption par les Japonais, dés le VIème siècle de la philosophie bouddhiste. On retrouve dans les peintures chinoises représentant le paradis les éléments essentiels des jardins japonais d’aujourd’hui : la montagne, le lac, les îles, des représentations de la nature où les pierres et l’eau sont toujours présentes.
Les jardins japonais ne sont pas des jardins d’agrément mais des jardins de contemplation conçus comme des tableaux.
Découvrir un jardin japonais, aussi petit soit-il, c’est ressentir ce mélange de spiritualité et de nature sauvage, un sentiment de quiétude, de sérénité à l’image des jardins zen, épurés, aménagés dans un espace limité, sans pratiquement de végétaux, juste un peu de mousse, des fougères, des pierres et des surfaces de gravier ratissées méticuleusement.
Les Japonais profitent du plus petit espace pour créer un jardin, des bonzaïs sur un rebord de fenêtre, des jardins miniatures représentant une scène de montagne, des jardins de poche de la taille de 2 tatamis, des jardins intérieurs au centre de la maison, des jardins couloirs des maisons de ville, des jardins zens…
Les lanternes « Toro », destinées à l’origine à éclairer l’entrée des temples bouddhistes, elles sont aujourd’hui un élément décoratif des jardins japonais. Placé au bord d’une allée, prés d’un bassin, elles apportent un peu de mystère…
Les pierres à eau « Mizubashi » ou « Tsukubai » sont des pierres creusées pour former un petit bassin, pour se laver les mains, pour boire.
Les pas japonais « tobi-ishi »ont un rôle esthétique et pratique, guider le promeneur dans le jardin et éviter de marcher sur les mousses et la terre.
Les clôtures « Takegaki », des palissages réalisées en bambou assemblés et noués ensemble avec du cordage noir pour protéger des regards ou délimiter des allées.
Rhododendrons, les azalées, les hostas, les iris et les floraisons des cerisiers du japon, des magnolias, des orangers et citronniers, de la glycine, du mahonia.
Mousses, fougères, bambous tapissants taillés régulièrement pour habiller les berges de l’étang, de la mare.
Roseaux, iris pour les berges, les lotus, les nénuphars…
Persistants ou caducs : houx, cotonéaster, cognassier du Japon.
Thuyas, pins…
Le bambou est idéal pour créer des écrans de verdure
Et sans oublier, les poissons, les carpes koï…
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Posté par eurekasophie le 17 avril 2009
Si créer un jardin japonais parfait n’est pas à la portée du premier venu, voici quelques conseils pour partir sur de bonnes bases. Pensez votre jardin japonais comme un paysage naturel, imitez la nature pour faire oublier les traces du jardinier, surtout ne surchargez pas, soignez les détails…
Concevoir un jardin japonais, c’est un peu comme peindre un tableau avec une perspective, un premier plan avec une pierre à eau, de la mousse, quelques fougères, un espace central avec une combinaison de pierres et un arbre, un arrière plan que ce soit un mur, une haie taillée, une clôture de bambous, sur lesquelles se détacheront les pierres et les végétaux, sans oublier l’eau.
Un jardin japonais se construit d’abord en disposant des pierres appelées « Ishi », des pierres usées par le temps, récoltées dans la nature, disposées seules ou en groupe (en nombres impairs, 3, 5), pour évoquer un éboulis de montagne, une source d’eau qui jaillit, pour habiller les berges du bassin. Les pas japonais, pierres plates disposés sur le sol permettront de découvrir les différentes vues de votre jardin en protégeant les plantes couvre sols…
L’eau est présente dans tous les jardins japonais du plus grand au jardin de poche et sous toutes ses formes, ruisseaux, cascades, étangs, bassins, sources et bien sûr, pierres à eau.
Aménager dans votre petit jardin de ville un bassin naturel de quelques m², c’est très facile et quel plaisir d’observer les oiseaux boire, d’entendre
le bruit de l’eau qui coule (pratique pour masquer les bruits de la ville !).
Ne plantez pas des arbres et végétaux qui ne deviennent trop grands, taillez les régulièrement pour les mettre en forme ou pour les vieillir à l’image d’un pin dans la montagne. Référez-vous aux livres sur les bonzaïs, la technique de la taille est proche.
Eclairez votre jardin, en plaçant des spots qui mettront en valeur à la fois, un élément décoratif (le bassin, la pierre à eau…) et éclaireront l’arrière plan (le mur, la haie de bambou) pour donner l’illusion d’un plus grand espace.
Pensez à décorer votre jardin japonais par une lanterne de pierre, un carillon, une petite table et des coussins posés sur la terrasse en bois…
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