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AVE MARIA …deux voix , un opéra, pour Isa ……

Posté par eurekasophie le 7 avril 2009

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Luciano Pavarotti

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Helène Fischer

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Schubert  » Ave Maria  » Opéra

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DOUCE NUIT ……

Posté par eurekasophie le 7 avril 2009

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LE LIN

Posté par eurekasophie le 7 avril 2009

lin.jpg Champ de lin

Comment lire une taxobox Lin cultivé
Linum usitatissimum
Linum usitatissimum
Classification classique
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Sous-classe Rosidae
Ordre Linales
Famille Linaceae
Genre Linum
Nom binominal
Linum usitatissimum
L., 1753
Classification phylogénétique
Ordre Malpighiales
Famille Linaceae

 

Parmi deux cents espèces, la plus cultivée est Linum usitatissimum L. (signifie « lin usuel » au superlatif).

Le lin est originaire du Moyen Orient (Egypte, Perse) et s’est adapté à de nombreuses régions. Les communautés néolithiques du Levant le cultivaient déjà sept mille cinq cents ans avant J-C, avec les premières céréales et légumineuses domestiques, pour des usages textiles. On en retrouve trace en France depuis plusieurs millénaires (cités sub-lacustres du Jura) sous forme de fragments de toile. Les archéologues ont également trouvé des peignes à tisser et à serrer les trames, des pelotes de fils, des aiguilles, des fuseaux de bois utilisés pour le filage du lin.

Pline l’Ancien a consacré un volume de son Histoire naturelle à cette plante qui fournit des fils d’une « blancheur et d’une finesse remarquable … ». Les voiles de la flotte d’Alexandre Le Grand sont fabriquées avec cette fibre ; « les Gaules toutes entières tissent des voiles ». Les techniques détaillées par Pline sont, dans leurs grandes lignes, toujours celles utilisées actuellement.

Le lin : un puissant protecteur du coeur

Le lin possède 50% des acides gras bénéfiques pour la prévention des maladies cardio-vasculaires. « Il s’agit de la graine contenant le plus d’acides gras 3-omega qui, consommés de façon régulière, réduisent l’agrégation plaquettaire : un phénomène pouvant induire la formation de coagulât et donc augmenter le risque d’infarctus » explique le Dr. Tavella, chercheur à la Commission de Recherche Scientifique et Technique (Conicet) et directeur du Programme de prévention de l’infarctus en Argentine (Propia). Celui-ci s’est réuni avec les représentants de l’Institut National de Technologie Agricole (INTA) de Paraná, Entre Ríos et de l’Université Adventiste de La Plata, afin de mettre en marche un projet original : remonter la chaîne agro-alimentaire du lin et introduire ces petites graines dans les aliments de consommation massive.

Observons le lin d’une façon plus générale

La culture du lin est particulièrement délicate. En effet, planté au printemps, le lin pousse en « 100 jours ». Cette courte période végétative rend difficile tout rattrapage en cas d’incident (mauvaise levée, conditions climatiques défavorables…). Le lin doit pousser suffisamment pour avoir un rendement satisfaisant, mais pas trop sinon il est trop fin. Plus il grandit, plus il devient sensible à la verse. Parfois pour limiter la croissance et favoriser la solidité des fibres, on utilise des produits chimiques appelés « régulateurs ».

Le lin, ayant une racine pivot, doit être planté dans une terre finement préparée. Cette préparation de terre puis le semis nécessite des conditions climatiques optimales, et un réel savoir-faire de la part de l’agriculteur. Surtout qu’un loupé peut compromettre la récolte.

Par ailleurs, le lin est une plante exigeante pour les terres, d’autant plus que toute la plante, racine comprise, est récoltée, exportant beaucoup de matières organiques hors des champs. Les rotations de lin doivent donc être très lentes, au minimum 5-6 ans entre deux cultures sur une même parcelle.

Itinéraire technique :

Le liniculteur choisit la variété de lin textile suivant les caractéristiques de chacune d’entre elles et les particularités de ses parcelles.

En fonction des conditions climatiques, les semis ont lieu entre le 1er mars et le 15 avril. 120 kilos de semences certifiées sont alors semées par hectare pour obtenir un peuplement d’environ 1.800 plantes au mètre carré. Cette densité assure le meilleur rapport entre le rendement, la résistance à la verse et les qualités de fibres.

Le lin est une culture qui demande peu d’engrais et peu de produits phytosanitaires. A ce titre sa culture contribue pleinement à la préservation de l’environnement.

Son cycle végétatif est rapide avec une centaine de jours seulement.

Six semaines après les semis, le lin mesure déjà une hauteur de 10 à 15 cm. Capable d’une croissance de plusieurs centimètres par jour dans des conditions optimales, la plante atteint alors 70 à 80 cm en une quinzaine de jours. Cette période correspond à l’élongation des fibres et au remplissage des cellules fibreuses.

LE LIN dans

Capsules de lin en juillet

La floraison intervient autour du 15 juin, les champs se parent alors d’une subtile couleur bleue pendant à peu près une semaine. Les fibres ont alors atteint leur longueur maximale. Les capsules contenant les graines vont se former au cours des 15 jours suivant la floraison.

La récolte commence vers le 15 Juillet, les lins, trop difficiles à couper, vont d’abord être arrachés, ce qui préserve les fibres les plus longues, et déposés au sol sous forme d’andains par les arracheuses.

Rapidement, après l’arrachage, les lins vont être écapsulés. Les ecapsuleuses-batteuses vont reprendre les andains afin de récupérer les graines de lins. Après avoir été triées et traitées, ces graines serviront de semences pour l’année suivante ou exploitées (huile, aliment…).

En fonction des conditions climatiques, des caractéristiques des lins semés et des parcelles, les lins vont rester au sol entre 2 semaines et 2 mois pour le rouissage.

Favorisée par l’alternance de la pluie et du soleil, une action enzymatique dégrade les pectines qui lient les fibres à la paille. Les liniculteurs vont alors retourner les pailles en cours de rouissage pour obtenir un résultat homogène.

A la fin du rouissage, lorsque les pailles sont suffisamment sèches, elles vont êtres enroulées puis elles seront stockés chez le liniculteur avant leur passage au teillage pour séparer mécaniquement les pailles et la fibre.

 Une fibre de Lin

Les fibres sont des cellules situées dans la tige entre l’écorce et le bois. Les fibres forment des massifs (ou faisceaux) disposés en un arrangement circulaire autour du bois. Dans la direction longitudinale, les fibres sont collées les unes aux autres, très fortement soudées par un ciment interstitiel de telle sorte que les faisceaux fibreux présentent une longueur sensiblement égale à celle de la tige. Dans la section complète de la tige, on compte 20 à 40 faisceaux composés chacun de 20 à 40 fibres. La longueur des fibres varie entre 10 et 100 mm, leur diamètre varie de 20 à 40 microns. A maturité des plantes, les fibres représentent environ 25% de la masse sèche des tiges

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Les fibres ont une structure tubulaire à faible élasticité (allongement à la rupture de 1 à 2%) et à forte ténacité (l’une des fibres naturelles les plus solides) qui assure la protection de la plante contre les intempéries, les micro-organismes mais aussi les insectes et les herbivores.

A maturité, les cellules fibreuses sont complètement remplies de différentes couches de parois. De l’extérieur vers l’intérieur on distingue la paroi primaire PI, puis les trois couches S1 à S3 de parois secondaires.

Les parois secondaires qui assurent l’essentiel des propriétés mécaniques des fibres sont composées de microfibrilles de cellulose unidirectionnelles entourées de polysaccharides matriciels appelés pectines ou hémicelluloses.

La cellulose est un homopolysaccharide composé d’unités β-D-glucose liées entre elles par une liaison . Les différentes chaînes de cellulose sont reliées par des liaisons Hydrogène reproduites de façon très régulières entre les groupements OH des différentes chaînes. Les pectines sont les polysaccharides les plus importants avec la présence de galactanes et de rhamnogalacturonanes de type I. Les hémicelluloses sont essentiellement des β-1-4 glucanes mais également des glucomannanes, galactomannanes …

Le rôle des pectines est, d’une part, d’assurer la cohésion entre les faisceaux de fibre en se complexant avec les ions calcium et, d’autre part, dans la paroi secondaire de faire une matrice enrobant les microfibrilles de cellulose. Les fibres comportent également d’autres polymères chargés négativement et des protéines (notamment riche en glycine). La composition des fibres varie selon l’origine et la variété de la plante.

Traitement des fibres

 Rouissage

À maturité le lin est arraché, et non pas fauché, et couché dans le champ en andains. Commence alors la période de rouissage.

Le rouissage est la dissociation des parties fibreuses de la plante en éliminant la pectose qui soude les fibres (filasse) à la partie ligneuse sous l’action combinée du soleil et de la pluie.
Le rouissage nécessite suffisamment d’eau pour que la sève et les résines qui collent les fibres entre elles disparaissent, mais pas trop pour que les fibres soient intactes.

Le rouissage est une opération très importante de la production de lin. C’est lui qui fait en grande partie la qualité du lin. Il existe plusieurs techniques de rouissage. Traditionnellement en Belgique et en France le rouissage s’effectuait en rivière où l’on faisait tremper les bottes, donnant à l’eau une couleur rousse et une odeur nauséabonde provoquées par la décomposition bactérienne ; cette technique est interdite par l’Union Européenne pour des raisons environnementales. Le rouissage à l’eau en cuve quant à lui a quasiment disparu depuis les années 1980. Le rouissage à l’eau donnait une toile plus blanche et un résultat moins aléatoire que le rouissage à l’air (sur champ).

Pour l’anecdote, dans l’Oise, on rouissait le lin dans des bassins creusés dans le sol, qui s’appelaient en patois « Poc à Lin » (Poche à lin). Ce nom a donné celui de Poclain, célèbre constructeur aujourd’hui disparu de pelleteuses hydrauliques au Plessis-Belleville.

On est alors revenu à la technique la plus simple, le rouissage sur champ où le lin est étendu sur le champ pendant plusieurs semaines. Mais il est tributaire du temps qu’il fait. Si le lin est trop roui, il est brûlé dans le champ (obligatoire, car les fibres pourrissant difficilement et donc lentement, favorisent des maladies pour la culture suivante). Si le lin n’est pas assez roui, il est non teillable et donc invendable.

Le vent est encore un ennemi du lin au rouissage. Quand il souffle trop, on retrouve le lin en paquet, emmêlé en bout de champ.

Toutes ces difficultés font que la production de lin est limitée à certaines régions et très hétérogène d’une parcelle à l’autre (un orage localisé suffit pour changer la qualité). Comme pour le vin, on parle souvent de cru et de terroir pour le lin.

La forte probabilité d’une mauvaise récolte (on parle d’une bonne récolte tous les 10 ans) voire la possibilité de tout perdre font du lin une culture peu intéressante d’un point de vue purement économique. Par contre, le lin est une tête de culture qui permet une terre de meilleure qualité pour avoir de meilleures récoltes sur des plantes plus faciles.

 Teillage

L’étape suivante est le teillage. Le teillage est la séparation des fibres du bois de la plante. Le mot vient de tilleul, le teil, instrument manuel à levier utilisé pour briser le bois et extraire les fibres.

Lors du teillage, les graines de lin sont récupérées, puis la tige est battue pour enlever le bois. Les morceaux de bois récupérés sont appelés les « anas ». La fibre ainsi récupérée est séparée en fibre longue et en fibre courte (les « étoupes »).

PROCÉDÉ DU TEILLAGE :

Après la récolte les pailles de lin sont travaillées tout au long de l’année dans les usines de teillage. Cette première transformation de la paille a pour but d’extraire les fibres des tiges rouies.

Arrivées à l’usine, les pailles sont déroulées et étalées sous forme d’une nappe. Le travail de l’opérateur est très important pour obtenir une nappe bien régulière, dont la densité est d’environ 2 kg par mètre linéaire.

Les tiges passent dans un égaliseur pour être parallélisées.

Lors de l’étirage, l’épaisseur de la nappe diminue progressivement en passant entre une série de disques dentés. Durant cette phase, sa vitesse linéaire est multipliée par 8 par le diviseur.

Les pailles sont ensuite broyées par des cylindres cannelés, à grosses dentures au début puis à fines dentures par la suite. Elles passent sous la cannelures des rouleaux avec un angle proche de 90° pour rendre le broyage plus efficace. Cette opération se fait alternativement coté pied, le bas de la tige, et coté tête, le haut de la tige. Les fragments de pailles, appelés anas, sont récupérés par aspiration.

Lors de l’écangage, les fibres sont nettoyées par des tambours, munis de lames de faible épaisseur. Elles frottent les tiges à une vitesse proche de 200 tours/min. Cette vitesse est adapté en fonction des caractéristiques de chaque lot de paille. L’opération est effectuée successivement côté pied et côté tête.

Les fibres courtes ou étoupes, moins résistantes, sont récupérées par aspiration sous la teilleuse. Le restant des anas est décollé en même temps.

En bout de ligne, les opérateurs font un tri afin d’homogénéiser les lots. Le lin teillé ou fibres longues est conditionné en balles ou en rouleaux d’environ 100 kg.

Ces fibres longues représentent 20 à 25 % de la plante. Un hectare de lin produit en moyenne entre 1 200 et 1 400 kg de lin teillé.

Les anas et les étoupes sont ensuite séparés par un secoueur.

 Peignage

Le peignage est la seconde transformation du lin. C’est une préparation du lin teillé pour la filature. Les faisceaux de fibres vont être divisés et parallélisés.

L’opérateur forme une nappe à partir du lin teillé. Celle-ci doit être la plus régulière possible pour que le peignage se réalise dans de bonnes conditions.

Les peignes sont garnis d’aiguille de plus en plus fines, ils sont supportés par des tabliers rotatifs.

Les fibres vont être divisées de plus en plus finement au cours de leur avancée.

Le peignage des pieds se réalise en premier puis dans un deuxième temps celui des têtes.

En sortie de peigneuse, les fibres sont présentées en poignées grâce à l’action du séparateur situé entre le travail des pieds et des têtes.

Une pince les saisit et les dépose de manière à ce qu’elles se chevauchent sur une étaleuse.

Des barres munies de pointes appelées gills permettent de maintenir les fibres parallèle et de contrôler leur masse pendant qu’elles ont étirées par un rouleau en bois.

Un ruban de lin peigné est ainsi formé.

Les pots de ruban pressés aussi appelés bumps d’une longueur de 600 m à un kilomètre, selon les spécifications des clients, sont identifiés et conditionnés pour être expédiés en filature.

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LE SYNDROME DU COLON IRRITABLE

Posté par eurekasophie le 7 avril 2009

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Que faut-il manger

pour soulager le syndrome

du côlon irritable ?

Le syndrome de l’intestin irritable ne se traite pas sans une assiette adaptée. Et les conseils classiques ne sont pas toujours les meilleurs..

Cap vers le bien-être digestif.

Vous avez mal au ventre, surtout après les repas, vous souffrez en alternance de diarrhées et de constipation, ça dure depuis que vous êtes ado ou jeune adulte , et les examens n’ont rien donné ? Les douleurs disparaissent généralement après l’évacuation des selles ou des gaz ? Votre ventre  » parle  » beaucoup (bruits divers) ? Les troubles peuvent survenir plusieurs jours de suite, puis disparaître pour quelques semaines avant de revenir vous torturer, sans raison apparente ? Et, si vous êtes une femme—ce qui est probable puisqu’elles sont deux à trois fois plus souvent victimes de ces troubles —vous avez des règles douloureuses ? Éventuellement, vous y associez une fatigue chronique ou une bibromyalgie ? Vous faites parties de l’immense famille des colopathes, autrement dit des personnes ayant maille à partir avec leur intestin. Non que ce dernier soit réellement malade, est plutôt hypersensible. La mauvaise nouvelle, c’est que les médecins ne vous considèrent pas réellement « mal portant(e) » , et que les moins psychologues d’entre eux concluent même à un trouble imaginaire:  » c’est dans la tête ». Charmant, et inexact, bien que, tout naturellement, vos maux finissent par altérer votre humeur et par vous mener parfois (mais c’est rare) à l’anxiété, voire à la dépression. Bonne nouvelle: les choses ne devraient pas s’aggraver, et vous pouvez même espérer de longues, très longues périodes de rémission (tranquillité) , si vous prenez soin de votre tube digestif.

La  » crise de larmes intestinales « 

Syndrome du côlon irritable. Ces quelques mots veulent tout dire: Syndrome = plusieurs symptômes. Côlon irritable = côlon hypersensible, mais pas réellement malade, contrairement, par exemple à la maladie de Crohn, où il existe une composante inflammatoire. Alors, comment apaiser ces « plusieurs symptômes » ? Certainement pas en alternant la prise d’antispasmodiques, d’anti-diarrhéiques, de laxatifs et d’antidépresseurs, comme on le voit encore aujourd’hui ! L’objectif est évidemment de réduire la sensibilité de ce pauvre côlon, ce qui remet bien des pendules digestives à l’heure, plutôt que d’essayer de faire taire, sans succès, un par un chacun des symptômes !Même si, parfois, l’un ou l’autre de ces médicaments s’avère utile, ils ne règlent pas le fond du problème. Seule l’assiette en est capable.

Fibres, probiotiques et  » bons  » gras

Pendant des années, les conseils nutritionnels donnés aux colopathes étaient globalement : » Ne mangez pas de fibres ». Soit très exactement, le contraire de ce qu’il faut faire. Mais en choisissant les bonnes fibres ! Retrouver le confort intestinal passe obligatoirement par un rééquilibrage de de la flore intestinale (forcément perturbée par l’hypersensibilité locale) et le ravitaillement des cellules par du carburant de choix, c’est-à-dire, en gros, des probiotiques (gentilles bactéries), des fibres (solubles, pas les insolubles, irritantes !) et des bons gras (oméga 3, naturellement anti-inflammatoire). Si vous prenez la peine de consommer ce trio à chaque repas, tout devrait aller mieux rapidement.

Comprenez bien que votre intestin est hypersensible, c’est un état: cela ne se soigne pas. C’est un peu comme d’être asthmatique ou spasmophile : une caractéristique; vous « êtes » comme ça. En revanche, vous pouvez espérer contrôler la situation, tout comme un spasmophile ou un asthmatique bien équilibré ne subit plus de crise dans l’année, ou seulement une ou deux ! Pour vous, c’est la même chose: il faut parvenir à cette paix du ventre, en adoptant les bons gestes et en s’y tenant au quotidien. De toute façon, vous vous sentirez tellement mieux que vous n’aurez pas envie de modifier vos nouvelles habitudes !

Stress et intolérances alimentaires

Les colopathes le savent: tout ce qui perturbe le tube digestif peut déclencher une « crise de larmes intestinales ». Le stress, par exemple, ou encore une intolérance alimentaire (au lait, au gluten….) augmentent les douleurs, mais ne provoquent pas de colopathie fonctionnelle. Ils ne font que l’aggraver, ce qui est déjà suffisant en soi. Alors soyez vigilant, tant sur le contenu de votre assiette que sur votre hygiène de vie en général. Ce sont deux armes très puissantes !

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À chacun ses symptômes…..

 » ça ressemble à des coliques: je me précipite aux toilettes, mais en fait ce sont souvent des fausses envies. »

 » Je sens mon intestin, il est présent, je ne peux pas dire qu’il me fasse vraiment mal, mais on dirait qu’il remue, qu’il prend trop de place. Alors que, par exemple, je ne sens pas mes poumons, sauf si j’y pense. Mon intestin a une vie propre. »

 » Il arrive que mes douleurs soient si aiguës que j’ai cru plusieurs fois que c’était l’appendicite ! »

 » Je suis tellement ballonnée, parfois, qu’on dirait une femme enceinte. »

 » Les gargouillis dans mon ventre, c’est surtout ça qui me gêne, parce que j’ai l’impression que ça résonne au bureau et que tout le monde les entend. »….

Carnet alimentaire

Inscrivez sur un cahier tout, absolument tout ce que vous mangez et ce que vous buvez, au moins pendant 15 jours, voire 1 mois. Laissez une place pour ajouter les jours et même les heures de « crise ». Vous pourrez ainsi déduire si certains aliments déclenchent systématiquement des douleurs. Si tel est le cas, il faudra bien sûr les éliminer, et les remplacer par un autre aliment de même catégorie pour ne pas déséquilibrer votre alimentation.

Par exemple, si les pâtes sont soupçonnées, passez les 15 jours suivants sans pâtes, que vous remplacerez par des lentilles ou des pois cassés, par exemple ( = digeste et sans gluten). Voyez si votre intestin les accepte.

Pour finir, 5 conseils pour réconcilier intestins irritables et végétaux:

  • Ne passez pas d’un régime « zéro fibre » à l’excès inverse.

  • Concombre et radis peuvent générer des ballonnements; vous pouvez passer le premier légèrement à la poêle.

  • Les crudités sont toujours plus digestes finement râpées, légèrement « cuites » dans leur assaisonnement. Nous savons tous que la salade croquante devient plus tendre lorsqu’elle est préparée et assaisonnée un peu à l’avance. C’est valable pour tous les végétaux.

  • Oignon, échalote, ail sont plus digestes cuits.

  • Les carottes, salades, courgettes aubergines, tomates (sans peau et sans pépins), asperges (non fibreuses) et haricots verts ne posent aucun problème digestif, mais apportent leur lot de fibres. Si votre intestin ne supporte décidément rien, il appréciera au moins ces légumes !

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NIAOULI ( LE)

Posté par eurekasophie le 7 avril 2009

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Comment lire une taxobox Niaouli

Détail du Feuillage
Détail du Feuillage
Classification classique
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Ordre Myrtales
Famille Myrtaceae
Genre Melaleuca
Nom binominal
Melaleuca quinquenervia
(Cav.) S.T.Blake , 1958
Classification phylogénétique
NIAOULI ( LE)  dans
Clade Angiospermes
Clade Dicotylédones vraies
Clade Rosidées
Ordre Myrtales
Famille Myrtaceae
Genre Melaleuca
Espèce Melaleuca quinquenervia

Procédé d’obtention : Distillation complète par entraînement à la vapeur d’eau 

Organe distillé : feuilles

Nom botanique : Melaleuca quinquenervia cineolifera

Pays d’origine : Madagascar 

Culture : sauvage (lot JE036) ou écologique (JE203)

Autres dénominations : Melaleuca viridiflora, Melaleuca leucadendron

Qualité : 100% pure et naturelle

Distillation : février 2008 (lot JE036) ou novembre 2008 (lot JE203)

A utiliser de préférence avant fin : février 2012 (lot JE036) ou novembre 2012 (lot JE203)

Remarque : sur l’étiquette, le numéro de lot est suivi d’une lettre indiquant la série de conditionnement

        

Propriétés Organoleptiques :  

· Aspect : liquide mobile limpide
· Couleur : j
aune pâle à jaune vert

· Odeur :
fraîche, légèrement et fortement amère lorsqu’elle est fraîche, avec une note « eucalyptus » 

       

Utilisations : 

Propriétés :

- Anti-bactérienne active sur les coques gr. + 
- Antivirale puissante

- Radioprotectrice cutanée

- Antifongique

- Anticatarrhale, expectorante

- Anti-inflammatoire et antiprurigineuse
- Décongestionnante veineuse et lymphatique

- Stimulante immunitaire

- Tonique cutanée

Indications : 

- Otites, sinusites, bronchites, grippes, rhinopharyngites, rhumes

- Infections gynécologiques : herpès génital, dysplasie du col utérin, lésions planes
- Grippe, hépatites virales, bronchite, refroidissements, toux,
- Mycoses, eczéma, acné, plaies,

- Herpès, zona, varicelle
- Varices, jambes lourdes, stases veineuses et lymphatiques

- Radiodermite (préventif ou curatif)

Usage externe :

- onctions locales huileuses 
- application locale pour les affections cutanées ou circulatoires
- inhalation : 3 à 5 gouttes dans un bol d’eau bouillante pendant 20 minutes,
- bain : 5 à 8 gouttes

Généralités

Le Niaouli est connu depuis des siècles pour ses vertus curatives et relaxantes. Les habitants du Pacifique Sud et les Aborigènes d’Australie l’utilisaient déjà dans leur médecine traditionnelle pour soigner les bronches, les voies urinaires et pour activer la cicatrisation de la peau.

L’Arbre

L’huile essentielle de Niaouli est extraite des feuilles d’un arbre originaire de Nouvelle Calédonie : le Melaleuca viridiflora, appelé aussi « l’arbre à peau » en raison des couches successives d’écorces de son bois.

La récolte des feuilles

Pour obtenir une essence de Niaouli pure et 100% naturelle, les feuilles de Niaouli sont cueillies à la main dans la montagne Calédonienne o&uè se trouvent les meilleurs arbres. Les feuilles sont ensuite placées dans une cuve en inox et distillées pendant 6 heures. L’essence contenue dans les feuilles est ensuite recueillie dans un vase florentin, décantée, filtrée puis conditionnée en flacons.

La production d’essence

Il faut 20 kilos de feuilles pour obtenir 30 ml d’essence. L’huile essentielle de niaouli nature-élément, 100% pure et naturelle, est obtenue par distillation à la vapeur d’eau des feuilles de niaouli. Elle ne contient aucun produit chimique, aucune molécule de synthèse, ni autres constituants, même naturel.

Corps sain et en pleine forme

L’huile essentielle de niaouli est un puissant antiseptique et antiviral. C’est un élément indispensable de l’armoire à pharmacie et un allié précieux pour lutter contre tous les maux quotidiens. Elle est utilisée depuis toujours par les Kanaks de Nouvelle Calédonie pour purifier l’eau et soulager les maux de tous les jours.

Précautions à respecter 

l’huile essentielle de niaouli nature-élément est uniquement réservé aux adultes. Usage interne chez l’adulte seulement et avec l’avis d’un aromathérapeute. Eviter le contour des yeux et les muqueuses. Déconseillé chez la femme enceinte. Ne pas laisser à la portée des enfants. Ce produit n’est pas un médicament.

L’huile essentielle de niaouli au quotidien 

Psoriasis, herpès, acné, eczéma, peaux è problèmes, boutons

Accidents cutanés : brûlure, piqûres d’insectes

  • Utiliser en soin cutané avec un coton directement sur la zone touchée.

  • En cas de brûlure, passer auparavant sous l’eau froide pendant 15 minutes.

Asthme, angine, bronchite, problèmes respiratoires

Grippe Rhume, sinusite Nez bouché

  • En massage de la poitrine, du plexus solaire et du dos.

  • Prendre une tisane sucrée avec du niaouli et du miel.

  • Si vous manquez de temps, optez pour une inhalation plutôt qu’un bain

  • En prévention, verser quelques gouttes sur un mouchoir ou le coin de l’oreiller à l’arrivée de l’hiver

  • Si vous êtes déjà pris, une tisane au niaouli aide à lutter contre l’infection ainsi qu’ un massage énergique du haut de la poitrine et du dos.

  • En bain et en tisane pour profiter des vapeurs.

Fatigue physique 

Migraines, Maux de tête

  • Dans un bain revigorant.

  • En tisane quelques minutes au dessus d’ un bol d’eau chaude.

Mauvaise Haleine

Courbatures, douleurs articulaires 

Atmosphère saturée ( bureau, chambre de malade)

Infection urinaire et cystite  

  • En diffusion dans un brûle parfum pour assainir l’air.

  • Dans une tisane pour purifier le système urinaire

  • Dans une tisane pour aider renforcer le système immunitaire.
  • massage autour de l’oreille pour soulager l’inflammation.
  • En diffusion dans la chambre de vos grands enfants, l’huile essentielle de niaouli favorise la concentration et ainsi facilite la compréhension des devoirs et la révision des examens.

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