LA SANTE PAR LES HUILES ESSENTIELLES

Posté par eurekasophie le 26 mars 2009

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 Les Huiles Essentielles peuvent vous aider à guérir de nombreuses affections qui ne

nécessitent pas toujours la consultation d’un médecin; pour des pathologies plus lourdes, il est

recommandé de faire appel à un spécialiste.

a Les indications données ici peuvent être légèrement modifiées. Certains remèdes associent plusieurs huiles essentielles afin d’en optimiser les effets pour une guérison plus rapide. Toutefois, sachez que ces conseils sont avant tout des suggestions; vous pouvez très bien n’utiliser qu’une seule huile essentielle. Il est important de ne pas prendre par voie orale des HE qui ne conviennent pas pour ce type de médication.

a Bien que le nombre de gouttes soit indiqué, retenez le principe simple:

Pas plus de 10 à 15 gouttes (au grand maximum) pour un bain, en général un maximum de 3 à 9 gouttes quotidiennement pour une prise orale. Si vous ne possédez pas un support de dispersion tel le Disper, diluez les HE dans un peu de savon liquide ou de mousse de bain.

a Les recommandations de quantité pour les massages sont données dans l’article précédent.

a Les huiles de massage conseillées ont été choisies en fonction de leurs actions bénéfiques sur le traitement des symptômes. Sachez qu’elles peuvent être remplacées par toute huile de support si vous ne possédez pas cette huile spécifique sous la main. A quelques exceptions près ( lavande, notamment), ne pas utiliser une huile essentielle pure sur la peau.

POUR RESUMER

a L’huile d’arnica sera utilisée pour apaiser les tensions musculaires.

a L’huile de calendula, l’huile d’onagre: pour le traitement des peaux eczémateuses.

a L’huile de calophylle: pour traiter les problèmes de tendons et d’articulations.

a L’huile de millepertuis: pour combattre les douleurs dorsales, cervicales ou musculaires.

 

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PELARGONIUM

Posté par eurekasophie le 26 mars 2009

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Fiche technique du

Comment lire une taxobox Pélargonium
Pelargonium graveolens
Pelargonium graveolens
Classification classique
Règne Plantae
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Ordre Geraniales
Famille Geraniaceae
Genre
Pelargonium
L’Hér. , 1789
Classification phylogénétique
Ordre Geraniales
Famille Geraniaceae

Géranium robert

  

Nom latin : Pélargonium

Noms usuels : Herbe à Robert, Herbe à l’esquinancie, Bec de grue, Géranion, Fourchette du diable

Famille : Géraniacées

Le géranium , une essence de toute beauté.
Il existe en effet dans la nature deux plantes très semblables, tant par les la forme de leurs feuilles que par les couleurs de leurs fleurs; l’une est appelées géranium ( Géranium macrorhizum, généralement sauvage, appartenant à la famille des géraniacées), et l’autre, pélargonium,(ou Pelargonium capitalum, géranium parfumé), est issu de la même famille.
Le terme « parfumé » fait toute la différence entre ces deux espèces : si le géranium n’exhale aucune senteur particulière, le pélargonium, en revanche, est connu pour sa douce fragrance.
Pour apprécier pleinement son parfum, il convient toutefois d’agiter légèrement ses branches.
Fait rarissime en botanique, étrangeté de la nature, le pélargonium possède des senteur différentes selon ses variétés : les feuilles du pélargonium fragrans exhalent une subtile odeurs de pins; celle du pélargonium crispum, dit également Prince of Orange, celle du pélargonium graveolens sentent la rose, ainsi que celles du pélargonium odoratissimum, mais en plus fin et plus délicat; enfin celle du pélargonium quercifolium dégagent de puissant effluves balsamiques, qui rappelant ceux de sous bois.
Les jardiniers amateurs sachant distinguer les géranium des pélargoniums sont rares.
D’ailleurs toutes les plante cultivées aujourd’hui sont issues de l’espèces pélargonium.
la plupart des pélargoniums de jardin sont de type inquinans, tandis que ceux disposés sur les balcons sont de types peltatum caractérisé par des branches tombant en cascades et des feuilles semblables à celles du lierre
Dans un souci de simplicité on utilise le terme géranium pour désigner indistinctement les deux sous-espèces
Les feuilles des géranium servent à aromatiser certaines confitures et boissons estivales, tandis que leurs fleurs fournissent une huiles essentielles excellente, employée en parfumerie pour rehausser la fragrances des essences masculines, en cosmétique pour fabriquer des crèmes permettant de lutter efficacement contre l’excès de sébum de l’épiderme et en aromathérapie pour confectionner des huiles destinées aux massages relaxant .
L’huile essentielles de géranium est utilisée en médecine pour ses vertus anti-inflammatoire et antiseptique, mais aussi pour la régulation de l’activité hormonale. les espèces les plus souvent employées sont dites graveolens et roseum
Selon le langages des fleurs utilisé au XIXe siècle, le géranium de couleur :
rouge sombre était synonyme de mélancolie
le rouge clair exprimait le réconfort,
le rose la préférence
le géranium à feuilles vert sombre était synonyme d’amitié sincères

l’huile essentielles de géranium est facile à trouver
diluer dans quelques gouttes d’huiles d’olives(3 gouttes de HE dans 10 de HV d’olives) elle soulage les démangeaisons
elle permet aussi de réaliser des massages relaxant euphorisant ou toniques, diluer 3 gouttes de HE de géranium dans une cuillère à soupe d’huile d’amande douce
2 gouttes d’HE géranium diluées dans une quantité égale d’huile d’olives sont un excellent remède pour aider à la cicatrisation rapides des plaies légères, dans l’attente de soins plus appropriés

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GARANCE

Posté par eurekasophie le 26 mars 2009

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Garance des teinturiers
Rubia tinctorum
Rubia tinctorum
Classification classique
Règne Plantae
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Ordre Rubiales
Famille Rubiaceae
Genre Rubia
Nom binominal
Rubia tinctorum
L., 1753
Classification phylogénétique
Ordre Gentianales
Famille Rubiaceae

 

 

 

Nom latin : Rubia tinctorum

Noms usuels : Rouge des teinturiers


Famille :
Rubiacées

Voilà une plante connue depuis des millénaires !

Ce sont ses propriétés tinctoriales qui ont fait sa réputation. Déjà les Gaulois s’en servaient en la mélangeant à une autre plante pour obtenir du violet. La teinture obtenue avec la Garance a longtemps servi à teindre les uniformes des soldats du XIXe siècle. Le rouge garance était alors bien connu. Hélas, comme beaucoup de teintures naturelles, elle a fini par être remplacée par des produits chimiques.

Dans la Garance, on trouve des hétérosides anthraquinoniques.

La Garance peut atteindre une hauteur de 1 m. C’est une plante vivace, grimpante, ramifiée dont les feuilles longues et vertes sont groupées par six. Ses fleurs jaunes fleurissent de Juin à Août, elles sont petites, groupées et poussent à l’aisselle des feuilles. Les baies de la Garance sont de couleur noire.

Cette plante pousse en Europe méridionale jusqu’à 1000 m d’altitude. Elle se plaît dans les sols calcaires. 

Propriétés et utilisations de la Garance

PROPRIÉTÉS DE LA GARANCE

Diurétique, cholérétique, laxative, astringente.

UTILISATIONS DE LA GARANCE

Constipation, accouchement, règles.

En décoction 10 g pour un litre d’eau ; 2 tasses par jour.

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UN PEU PLUS SUR LA GARANCE

Posté par eurekasophie le 26 mars 2009

 

 

 

LAgarance0.jpg             TEINTURIERS

GARANCE DES

La plante et son histoireLe pigment garance a longtemps été extrait d’une plante éponyme La garance (rubia tinctorium) est une herbe vivace rubiacée (environ un mètre de hauteur) dont le rhizome (80 cm de profondeur au maximum) contient une substance puissamment colorante qui donne aux moutons qui la consomment l’aspect de fauves barbouillés de sang. Curieusement, elle teinte même les os des êtres qui s’en nourrissent (y compris le bec et les pattes des oiseaux) ainsi que le lait.

Sa fleur est d’un blanc jaunâtre (floraison de mai à juillet), ses fruits sont de petits « pois » noirs. Elle pousse sur les sols très riches mais sa racine n’est extractible que lorsque le terrain présente en plus la caractéristique d’être très léger.

Le terme alizarine désigne selon les sources tantôt la racine, tantôt le colorant que celle-ci contient et qui se situe dans l’aubier.

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Peut-être née en Perse, la garance a été utilisée pour teindre des textiles dès 2000 BC dans une zone originelle élargie : en Inde, en Palestine, en Égypte et chez les Scythes au IVème siècle BC. Ne pouvant être cultivée avec les moyens de l’époque dans la plupart des autres régions du monde (sauf exceptions, par exemple en Australie où elle fut utilisée localement pour la peinture traditionnelle), elle a été l’objet d’un commerce intense (exemple : présence de garance dans une tombe norvégienne du VIIIème siècle BC ou dans le Japon médiéval, à Pompéi, etc.) car sa beauté et sa tenue étaient très recherchées tant pour la teinture que pour la peinture et l’écriture (encres).

Tardivement, la Hollande s’est spécialisée dans cette culture. Elle n’est apparue en France que dans les années 1760 (Avignonnais, Alsace).

Il n’est pas exclu que les pantalons garance des soldats de la 1ère guerre mondiale aient été teints avec une garance probablement synthétique fabriquée en région alsacienne, c’est-à-dire allemande à cette époque.

Parmi les colorants végétaux, la garance est l’un des plus permanents, surtout en tant que teinture.

Elle faisait partie des teintures dites « bon teint » et permettait également de colorer le cuir (mordant typique : alun). L’alun apparaît d’ailleurs assez souvent dans les recettes, y compris en peinture.

Extraction

Le prix relativement élevé de la garance était dû notamment à la difficulté du travail d’extraction. Le labeur était rude dans les garancières : il fallait deux hommes pour extirper la racine de la plante. Celle-ci était ensuite séchée au soleil, séparée de son écorce, battue et broyée par des moulins puis tamisée. La qualité du produit obtenu dépendait de la quantité d’écorce restante (une grande quantité donnait une qualité dite « robée », mauvaise).

Puis, une opération d’hydrolyse est réalisée afin de débarrasser les glycosides de leur sucre. D’autres traitements suivent et il existe différentes méthodes.

La garance contient en effet une importante quantité de produits colorants, de famille anthraquinonique.

Un point important doit être signalé : la quantité de composés anthraquinoniques que contiennent les racines de garances est extrêmement variable en fonction de facteurs tels que l’âge de la plante, sa variété et la nature des sols. Sans parler du traitement appliqué qui est déterminant : s’agit-il de destiner le colorant à la teinture ou à la peinture, de le conditionner avec quels mordants et quels agents réactifs, de quel « robage » initial s’agit-il. Nous avons pris l’habitude d’une garance industrielle elle-même hétérogène, mais le traitement traditionnel l’est encore davantage, partant d’un individu moins contrôlable : la plante.

Pour teindre un tissus, il fallait ajouter à « l’alizarine » obtenue du calcaire (craie) et de l’alun, jouant le rôle de mordant. Mais de nombreuses variantes sont envisageables.

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Synthèse et imitations

En 1826, la composition de l’alizarine est identifiée. En 1869, Graebe et Liebermann parviennent à créer une alizarine synthétique – non une imitation. C’est la ruine pour tous les producteurs de garance naturelle, la fortune pour les industriels.

Le produit de synthèse créé est anthraquinonique.

Aujourd’hui, un mélange de quinacridone et de dikéto-pyrrolo-pyrrole (PR206) est proposé comme substitut permanent de la version dite « cramoisie »  (alizarin crimson en anglais), très courante en peinture aquarelle notamment.

Toxicité

Concernant l’alizarine de synthèse et la garance, leur nocivité est très faible (problèmes digestifs de courte durée). Les imitations communes ne sont pas non plus signalées comme particulièrement agressive généralement, mais il peut exister des exceptions.

La garance véritable aurait même réapparu sous la forme de colorants alimentaires.

Le pigment et son emploi en peinture

La garance en tant que pigment à peindre est généralement déclinée aujourd’hui en trois principales teintes :

* la garance rose (d’aspect tantôt blanchâtre, tantôt très transparent, de composition variable)

* la garance foncée (une couleur de référence sur la palette)

* la garance cramoisie (en anglais alizarine crimson), aux riches nuances sombres, très utilisée pour l’aquarelle.
Les cramoisis du passé, réputés violacés, ne ressemblent probablement pas à ceux du présent, souvent brunâtres (ils contiennent parfois un
PBr) et d’ailleurs fort beaux. C’est Bourgeois qui a créé cette couleur dès 1816, souhaitant la substituer au carmin de cochenille.

Une quatrième variété est proposée par certains fabricants (qui ne spécifient pas sa composition) : un soi-disant « rouge de garance », en fait un curieux rouge curieusement orangé que nous ne mentionnons que pour mémoire.

Garances et laques de garance sont un même produit de base, transparent par nature, que l’on peut rendre encore plus transparent à l’aide d’une charge incolore neutre pour lui conférer l’appellation de laque. Dans tous les cas, ces produits sont largement utilisés en glacis. Ils peuvent embellir, voire magnifier des rouges, des violets, des bleus, etc.

Dans un lointain passé, on a utilisé la garance et le kermès pour compenser le vieillissement de couleurs rouges fugaces comme le cinabre. Tandis que celui-ci s’assombrissait, la garance, posée par-dessus et le protégeant, s’éclaircissait doucement.

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GAILLET

Posté par eurekasophie le 25 mars 2009

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Nom latin : Gallium verum

Noms usuels : Caille lait jaune

Famille : Rubiacées

Comment lire une taxobox Gaillet gratteron
Galium aparine
Galium aparine
Classification classique
Règne Plantae
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Ordre Rubiales
Famille Rubiaceae
Genre Galium
Nom binominal
Galium aparine
L., 1753
Classification phylogénétique
Ordre Gentianales
Famille Rubiaceae

Une bien jolie légende est attachée au Gaillet puisqu’en Grande Bretagne on lui a donné le nom de « Paille du lit de Notre Dame ». En effet un brin de Gaillet se serait trouvé mêlé à la couche d’herbes de la Vierge Marie.

Cette plante a des propriétés qui permettent de faire cailler le lait et même le sang.

Le Gaillet est connu également pour la couleur et le goût qu’il confère au fromage de Chester.

Cette plante renferme de la vitamine C, des acides et des lipides.

C’est une plante vivace qui peut mesurer jusqu’à 80 cm de hauteur. Sa tige est fine, ses feuilles linéaires, brillantes dessus et cotonneuses dessous. Ses fleurs jaunes serrées les unes contre les autres au sommet de la tige fleurissent de Juin à Septembre. Elle porte de petits fruits lisses. Son odeur n’est pas sans rappeler celle du miel.

Le Gaillet pousse en Europe et jusqu’à 2500 m d’altitude. On le rencontre sur les bords des chemins ou dans les champs. Cette plante est absente des régions méditerranéennes

PROPRIÉTÉS DU GAILLET

Diurétique, vulnéraire, cholagogue, antispasmodique.

UTILISATIONS DU GAILLET

Épilepsie, dartres, diurèse.

PHYTOTHÉRAPIE

Consultez votre pharmacien ou votre médecin pour toute médication

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BON MERCREDI

Posté par eurekasophie le 25 mars 2009

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RECETTE A BASE D’ALGUES

Posté par eurekasophie le 25 mars 2009

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Lieu jaune en croûte de sel et d’algues 

 

Préparation : 40 mn
Cuisson : 15 mn
Repos : 0 mn
Temps total : 55 mn
Pour 2 personnes :

  •   2 pièces de 120 g de lieu jaune avec la peau
  •   100 g de crevettes grises
  •   jus de 1/2 citron
  •   250 g de farine
  •   125 g de sel
  •   10 g d’algues déshydratées
  •   2 blancs et 1 jaune d’œuf
  •   20 g de beurre
  •   2 dl de crème liquide
  •   1 filet d’huile d’olive
  •   1 verre de fond blanc ou de fumet de poisson
  •   1 pointe de couteau de piment de Cayenne
  •   sel et poivre
    • Préparation

    1. 1     Pâte de sel :Mélanger 250 g de farine tamisée avec 125 g de sel, 10 g d’algues déshydratées et 2 blancs d’œuf, incorporer petit à petit 1 verre d’eau (la quantité d’eau dépend de l’absorption par la farine) sachant que la pâte doit être bien homogène et se détacher facilement des doigts.
    2. 2     Etendre soigneusement cette pâte de 3 à 4 mm d’épaisseur sur le plan de travail. Puis mettre l’abaisse sur une plaque de cuisson, la détailler en 4 morceaux.Préchauffer le four à 200°C, en position ventilée de préférence.
    3. 3     Saler et poivrer 2 morceaux de lieu jaune sur chaque face. Disposer chaque lieu jaune sur un morceau de pâte, les badigeonner d’une fine pellicule d’huile d’olive, puis les recouvrir d’un second morceau de pâte, bien souder les bords et les replier si nécessaire afin de parfaire leur présentation. Les réserver sur la plaque de cuisson.
    4. 4     Dorer les carrés de pâte de sel avec un jaune d’œuf à l’aide d’un pinceau. Glisser la plaque dans le four et compter 20 minutes de cuisson à 200°C.
    5. 5     Beurre de crevettes grises :

      Chauffer 20 g de beurre dans une casserole, ajouter 100 g de
      crevettes grises, les faire suer, puis mouiller avec 1 verre de fond blanc, donner 1 bonne ébullition, puis incorporer 2 dl de crème liquide, porter à frémissement et laisser cuire 10 minutes.Transvaser le tout (crevettes comprises) dans le bol d’un mixeur, ajouter une pointe de couteau de piment de Cayenne et le jus de 1/2 citron jaune, bien mixer, saler légèrement et poivrer, puis filtrer la sauce.  

    6. 6     Dresser :

      Oter la croûte de sel devant les convives, présenter le beurre de
      crevettes dans une saucière, servir et déguster avec une semoule de blé agrémentée de quelques légumes.
    Pour finir… Il est possible de réaliser cette préparation 1 à 2 heure à l’avance, dans ce cas mettre au réfrigérateur.

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    GENEVRIER

    Posté par eurekasophie le 25 mars 2009

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    SON NOM

    Comment lire une taxobox Juniperus communis
    Genévrier commun
    Genévrier commun
    Classification classique
    Règne Plantae
    Division Pinophyta
    Classe Pinopsida
    Ordre Pinales
    Famille Cupressaceae
    Genre Juniperus
    Nom binominal

    « Genièvre » est une francisation du poitevin « genèvre », issu du latin juniperus. Comme aucune de mes incontournables sources ne semble savoir ce que signifie juniperus, il a bien fallu que je tire mes propres conclusions… Donc, Juni- viendrait peut-être de Junon, déesse-reine et déesse de la fécondité qui préside aux mariages et aux accouchements, protectrice, dit-on, des femmes mariées et des accouchements légitimes. On ne sera pas étonné, dès lors, d’apprendre que le genévrier a été employé pour faciliter le travail de l’accouchement. Quant au suffixe -perus, il pourrait venir de pera, mot latin qui signifie « petit portefeuille », ou encore, « petite besace ». Pourquoi ce terme? Un euphémisme, peut-être, pour désigner le ventre de la femme enceinte, est-ce que je sais, moi? « Besace de Junon », c’est peut-être pas ça du tout, mais ça sonne joli, non?

     

    ET CA SE MANGE ?

    Les jeunes pousses tendres peuvent être ajoutées aux salades. Quant aux jeunes pousses séchées, elles constituent un excellent thé. Ce sont cependant les baies que l’on consomme généralement. Comme elles ont pour effet d’atténuer les saveurs fortes du gibier à poil ou à plumes, elles accompagnent depuis longtemps ces aliments. Avant de rôtir la viande, on la fait bouillir dans un bouillon auquel on a ajouté des feuilles de laurier, du citron et quatre à six baies de genièvre. Par ailleurs, pour rafraîchir l’haleine, il n’y a rien de mieux que de croquer une ou deux baies fraîchement cueillies. Leur saveur prononcée de conifère étonne tout d’abord, mais on s’y fait très rapidement.

    En Europe, on fabrique une bière que l’on prépare en faisant germer de l’orge que l’on fait ensuite sécher au four et que l’on met à fermenter pendant une semaine avec des baies de genièvre. Les Amérindiens en faisaient également une boisson alcoolisée, sans apport d’orge toutefois. En outre, elles ont servi et servent encore à aromatiser divers alcools, le gin notamment, qui tire son nom de la plante, et le schiedam, une eau-de-vie que l’on consomme aux Pays-Bas, en Belgique et dans le nord de la France.

    Traditionnellement, on prépare la choucroute avec les baies de genièvre, car elles étaient censées en faciliter la digestion. Dans Documents associés, vous trouverez une recette de choucroute maison.

    ET CA SOIGNE QUOI ?

    Les indications thérapeutiques du genévrier sont nombreuses, ce qui n’est pas étonnant, car son emploi remonte à l’Égypte antique, voire avant, et il a persisté à travers les siècles sans jamais défaillir.

    Les baies sont particulièrement utiles pour soigner l’arthrite, la goutte et toutes les maladies rhumatismales. D’ailleurs, à cet égard, la cure de genièvre est à l’automne ce que la cure de pissenlit est au printemps. Il s’agit d’un traitement fort connu en Europe. Il semblerait qu’à la longue, cette double cure ait pour effet d’augmenter la mobilité des membres ou des parties atteintes, et d’atténuer leur raideur tout en limitant le risque de formation de nouvelles lésions. Toutefois, le traitement n’est efficace que lorsqu’on lui reste fidèle et qu’on le suit année après année.

    Le genévrier est en outre un bon tonique pour les enfants fragiles, sujets au mal de gorge et au rhume, en plus d’être un expectorant doux. Avec les baies, on fait traditionnellement un sirop qu’on peut leur administrer matin et soir.

    Bon stomachique, il facilite la digestion des mets lourds, notamment les plats gras, le chou et les haricots.

    On l’a également pris pour combattre le diabète et des études plus récentes semblent confirmer cette indication puisqu’on a observé qu’il abaissait les taux du glucose sanguin. Une action antiplaquettaire et vasorelaxante a en outre été observée à la suite de l’administration d’un des composés de l’huile essentielle d’une variété de genièvre.

    Il faut toutefois éviter de prendre du genièvre durant la grossesse, car c’est un stimulant utérin. Par contre, comme on l’a dit plus haut, il facilite l’accouchement. On pourra donc le prendre sans crainte durant le travail.

    Quelle que soit l’indication, on recommande généralement de se limiter à des cures de tout au plus six semaines, la plante étant, à long terme, un irritant rénal.

    On prend les baies en infusion à raison de 20 g à 30 g par litre d’eau. Infuser dix minutes. Prendre trois tasses par jour. On peut aussi les moudre et les absorber avec de l’eau, à raison de cinq à dix baies par jour.

    Jetez une bonne poignée de baies moulues dans l’eau chaude du bain. C’est supposé être génial pour soigner les rhumatismes. Pour renouveler l’air de la maison, faites brûler quelques baies dans une assiette métallique ou directement sur le rond du poêle, en veillant, naturellement, à ne pas mettre le feu à la chaumière.

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    RECETTE: le vin de genièvre

    Posté par eurekasophie le 25 mars 2009

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    Ingrédients du vin pour 10 personnes  ( grosse quantité )

  • 50 kilos de baies de genièvre
  • 5 kilos de miel
  • 2 kilos de levain de farine
  • 100 litres d’ eau
  • Préparation de la recette du vin « Vin de genièvre »

    Préparez la recette du vin Vin de genièvre directement en bouteilles. Concassez les baies de genièvre sèches. Les mélanger avec le miel et le levain. Mouillez avec l’eau chauffée. Versez le tout dans une cuve, Mélangez bien et remuez pendant une heure. Couvrez la cuve. Laissez fermenter à une température d’au moins 25°c. Lorsque la fermentation est achevée et que le vin est devenu limpide, soutirez le en fût et laissez le reposer pendant 1 mois dans une cave fraîche. Soutirez à nouveau. Conservez dans un fût bien plein et mettez en bouteilles qu’un an plus tard.Ingrédients composant le cocktail « Vin de genièvre »: baies de genièvre. miel. levain de farine. eau. Pour plusieurs « Vin de genièvres », il suffit de multiplier les doses.

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    Vin de genièvre

    Pour 4 personnes:

    RECETTE: le vin de genièvre dans RECETTES SPECIALES pixel

    1 poignée de baies de genièvre
    1 bouteille de vin blanc

    .

    Broyer les baies à l’aide d’un pilon; dans un bocal, recouvertes de vin les laisser reposer 8 jours.Cuire ensuite la préparation à petit feu pendant 10 minutes.Remettre dans le bocal et laisser encore macérer une semaine.

    Filtrer dans des bouteilles

      

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    Bonne soirée

    Posté par eurekasophie le 24 mars 2009

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