CE SOIR NE PENSONS PAS A DEMAIN ……….
Posté par eurekasophie le 22 mars 2009
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Posté par eurekasophie le 22 mars 2009
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Posté par eurekasophie le 22 mars 2009
Clique sur le lien en-dessous , tu m’en diras des nouvelles
http://cpourgolri.free.fr/index_fichiers/TestTonSubconscientHomme.html
Tu dois écrire n’importe quoi dans le champ de texte ci-dessous, sans regarder ton clavier.
Au bout d’un moment, à force de tapoter sur le clavier, entre quelques « reftupoil » et « turjujuog » (comme on dit dans le jargon), des phrases s’inscriront et révèleront les pensées de ton subconscient :
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Posté par eurekasophie le 22 mars 2009
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Berberis vulgaris | |
Classification classique | |
Règne | Plantae |
Division | Magnoliophyta |
Classe | Magnoliopsida |
Ordre | Ranunculales |
Famille | Berberidaceae |
Genre | Berberis |
Nom binominal | |
Berberis vulgaris L., 1753 |
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Classification phylogénétique | |
Ordre | Ranunculales |
Famille | Berberidaceae |
Le « berberis vulgaris », ou plus joliment « épine-vinette », est un arbuste épineux qui peut atteindre deux mètres de hauteur. En automne, il se couvre de petits fruits verts puis rouges.
Il a toujours été reconnu pour ses vertus bactéricides, anti-inflammatoires, multi-digestives, et même curatives des cirrhoses d’origine hépatiques, ce dont je doute un peu, malgré le sérieux de mes sources. Les Egyptiens faisaient macérer les baies avec des graines de fenouil et utilisaient ce remède pour faire tomber la fièvre. L’écorce, vendue en herboristerie se consomme en tisanes. Plus tard, les fruits furent conservés comme des câpres ; ils entraient dans la composition de la moutarde et on en fit également une boisson fermentée qui tenait lieu de vinaigre. A ce jour, la confiture d’épine-vinette reste une spécialité française.
Les Iraniens et les Afghans qui cultivent cette plante à plus de mille mètres d’altitude en font une consommation courante comme condiment dans des omelettes aux herbes, ou simplement pour relever le riz traditionnel.
Sous le nom persan de « Zereshk » elle fait un retour en force avec la vogue de l’aigre-doux et l’attrait des cuisines étrangères et trouve sa place, tout naturellement, comme la canneberge et l’airelle.
Ses fruits se consomment séchés et leur couleur fonce avec le temps. Vous les rincerez et les ferez rapidement revenir au beurre avant de les utiliser comme des raisins secs (très) acidulés
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Posté par eurekasophie le 22 mars 2009
recettes de cuisine avec des plantes sauvages
L’épine-vinette (berberis vulgaris) est un arbuste de montagne, qui possède, comme son nom l’indique, des épines triples et redoutables. Grappes de fleurs jaunes au printemps, grappes de petits fruits rouge pruineux (blanchâtres) en automne, il faut les ramasser avec des ciseaux. C’est un petit fruit ovale très acide, bourré de vitamines et de pectine, qui peut aussi s’utiliser séché: les grains rouges utilisés dans la cuisine iranienne, c’est la même chose … sous le nom de « zereshk », souvent mal traduit par « airelles ».Vu l’acidité de ce fruit, il faut le mélanger à d’autres fruits pour en faire de la confiture: pomme, pomme sauvage, coing, sureau, poire …
Il faut faire cuire 400 gr d’épine-vinette avec un demi-litre d’eau pendant 20 minutes, puis passer le tout pour éliminer les grappes, les pépins et autres. On obtient 3 dl de coulis d’un rouge magnifique.
Puis mélanger ce coulis à 500 gr de pulpe de coings cuite (sans peau ni pépins), et fait recuire le tout avec 500 gr de sucre pendant 15 minutes environ, et verser cette gelée épaisse dans des petits pots, comme d’hab pour une confiture.
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