uand la nature devient remède

ource de préoccupation majeure, la santé fait parler d’elle sur tous les fronts et de toutes les manières.
L’automédication est devenue courante, mais quel traitement employer sans se tromper ? A qui, a quoi peut-on se fier ?
Gage d’authenticité, la nature ne ment jamais.
Sur elle, nous pouvons compter.
as de temps à perdre
Le monde a pris des habitudes de vitesse auprès desquelles la réflexion et la patience ne savent résister. Le stress gagne du terrain et les laboratoires pharmaceutiques s’enrichissent. Vite fait, bien fait (disent-ils), une pilule, une infiltration, et hop, le tour est joué. Les symptômes s’apaisent, mais la cause reste entière qui, sans être soignée jusqu’à l’éradiquer, reproduit ses méfaits. Nulle question de sous-estimer les évidents progrès des techniques médicales modernes, mais plutôt de mettre en évidence les comportements erronés qui confondent rapidité avec efficacité. Vouloir une bonne santé, constante et équilibrée, alors que l’on s’emploie à la détruire, est-ce bien se comporter ?
Si la fatigue devient récurrente, se gorger de café et de produits de synthèse pour soutenir l’énergie défaillante sans prendre la peine de se poser, comment faut-il nommer cela: ignorance, inconscience ou fatalité, lorsque les nerfs et le corps craquent pour de bon ? Pas de temps à perdre, proclame la masse humaine dans un mouvement d’impatience. Les paroles de sagesse sont mises à mal par l’ensemble du monde d’aujourd’hui. Devant les revendications de bien-être s’éloignent les possibilités qui pourraient le réaliser, au bénéfice de l’illusion et de l’erreur. Plus facile d’utiliser un cachet que de chercher en soi la cause de ses problèmes, la reconnaître et l’accepter tout en lui donnant le remède approprié. Mais pour cela, il faut prendre un peu plus de temps et savoir qu’en agissant de cette manière, c’est du temps de gagné.
‘ âme de la nature
Une nouvelle ère thérapeutique est cependant apparue au centre des armes chimiques que sont les vaccins et autres traitements de guerre de la santé. Porteuse de révélations, elle enseigne le retour au vrai, au pur, c’est-à-dire à l’origine. On peut dire qu’il n’existe pas de différence entre une fleur, un oiseau ou même, dans une certaine mesure, un être humain, si ce n’est la forme et son appellation: fleur–oiseau–homme. L’énergie qui les anime vibre à la fréquence qui les compose, mais leur corps contient les cinq éléments semblables. La terre pour la matière solide, l’eau pour les liquides, sang y compris, le feu pour la croissance, l’air pour les souffles physiques et énergétiques et l’espace pour les orifices externes et internes. Alors que les produits chimiques ont un impact sur l’aspect ordinaire des phénomènes, comme, par exemple, sur l’apparition des symptômes, les produits naturels agissent sur l’aspect subtil des corps par concordance vibratoire. Les principes homéopathiques en ont déjà révélé les secrets. L’intérêt porté à la santé se limite trop souvent à l’aspect primaire qu’est la manifestation physique. Pousser un peu plus loin l’investigation permet de remonter à l’origine, au départ du problème. La maladie est la conséquence d’une rupture avec l’harmonie de l’ensemble, dont l’essence est purement vibratoire. Pour éviter de se tromper sur les qualités de l’énergie ainsi variables, il est conseillé de s’en remettre à une étude dont les effets bénéfiques et réels ont pu être constatés. Si la nature est loin d’avoir livré tous ces secrets, lorsqu’elle devient thérapeute, elle offre au corps et à l’esprit souffrant le plus poétique et le plus subtil des remèdes: l’âme de ses fleurs. Leurs essences contenant d’infimes particules de substances physiques agissent sur le corps vibratoire lié aux désordres émotionnels tout autant que sur le corps physique.
es fleurs qui guérissent
La nature se soucie de son environnement, c’est pourquoi elle est si mal à l’aise dans le béton et les fumées industrielles. Sa vocation est en quelque sorte d’entourer et de protéger l’humanité. Peut-être est-ce pour cela qu’elle choisit d’influencer l’âme d’un certain docteur Bach, chirurgien et immunologiste. Passionné par l’homéopathie dont les remèdes à cette époque (1920) étaient réalisés sous forme d’élixirs alcooliques, Edward Bach abandonne un jour la médecine classique et ses recherches homéopathiques pour se consacrer à sa découverte sur les fleurs guérisseuses du mal-être. Fort de son expérience, il choisit les plantes en correspondance avec un état émotionnel particulier, employant la méthode la plus naturelle pour ses préparations, comme le séchage et l’exposition des produits au soleil. Son ambition est de s’adresser à la cause plutôt qu’aux symptômes. Dans le cadre de la psychologie des émotions, l’idée n’est pas de faire disparaître l’agressivité ou le découragement, mais de solliciter la part de l’esprit qui, face à la tempête, possède des ressources de calme et de forces stables. De ce fait, le terrain corps-esprit redevient paisible.
l vous le dit avec des fleurs

Il est un homme qui fait son chemin en totale complicité avec la nature. Il sait les secrets du ciel et de la terre, jardine avec la lune et compose des crèmes et des remèdes avec l’accord des plantes. Dans son dernier ouvrage, Paul Ferris, toujours un peu magicien, s’emploie à parler des fleurs. Celles-ci, conquises par la plume de son stylo enchanté, racontent avec amour, avec respect, l’existence de leur maître le docteur Bach, mais surtout livrent tout d’elles-mêmes sans hésiter. Et ce » tout » est, pour nous, une source de bien-être et de santé. Nous voici donc en possession d’explications claires et faciles à comprendre et à suivre. En bon génie, Paul Ferris décrit, page après page, les potions qui feront de vous, de nous, une personne bien dans sa peau. Trente-neuf fleurs du docteur Bach déclinées en remèdes purs, en composés floraux et autres élixirs, et même en cosmétiques. Il y en a pour tous les besoins, tous les goûts, et même pour les animaux.
Quand on parle des fleurs, on évoque la grâce: ce livre en est empli. Quelle merveille de découvrir les illustrations et comme les fleurs doivent être heureuses de voir éclater leur beauté par le talent tout en finesse de l’illustratrice Amélie Vuillon. Quelle que soit la saison, ce bel ouvrage saura accompagner la douceur ou la fièvre du temps qui passe.
Pour plus de renseignements cliquez là
http://www.aufeminin.com/bienetre/fleurs-de-bach-bien-etre-n27079.html
e jardin d’Hélène
C‘est un jardin extraordinaire, c’est-à-dire qu’il sort du contexte ordinaire de notre manière habituelle de le percevoir. Là, nulle question de favoriser la beauté mais, sans pour autant la négliger, la priorité est donnée au flux des énergies et à leurs interactions. Il s’agit d’un jardin feng shui.
Petit rappel: » feng » veut dire vent et » shui », eau. Entre ces courants d’air et de terre, c’est l’univers qui communique dans le micro-espace d’un jardin. Selon la sagesse ancestrale asiatique, l’homme, c’est-à-dire nous, est situé entre le ciel et le sol, tout comme les maisons et les lieux. A notre époque, le besoin de nature est devenu primordial. Puisque la connaissance d’un savoir ancestral peut nous être révélé par l’intermédiaire d’un authentique maître feng shui, pourquoi nous en priver. Hélène Weber est ce maître. En écoutant ses conseils éclairés, nous pouvons non seulement améliorer nos conditions de vie, mais aussi retrouver notre santé: » Observez les quatre animaux célestes de votre jardin en vous plaçant sur le pas de votre porte. La tortue noire protège l’arrière de votre maison. Situés de part et d’autre, le dragon vert (à gauche) représente la prospérité et le tigre blanc ( à droite) la santé des habitants de la maison et leur bien-être. Le phénix rouge, quant à lui se place en face de vous. »
Dans un livre tout récemment paru, Hélène Weber explique les correspondances et expose comment aménager les animaux célestes dans votre maison. Par exemple, un mur bordé d’arbres situé à l’arrière de la maison forme une solide protection de la tortue.
« Tout ce qui a été construit par l’homme ne fait que transporter la qi, soit l’énergie de la terre. Par exemple, les routes, qui sont des rivières virtuelles, transportent les énergies, mais n’en émettent pas. Les cols des montagnes ont été percés pour laisser passer les trains,et les routes sont allées d’un point à un autre, le plus droit possible, véhiculant ainsi l’énergie de façon trop rapide et trop agressive. »
Mais revenons à nos jardins: » Le travail du maître feng shui consiste à repenser le travail de l’homme pour qu’il s’harmonise le mieux possible à son environnement. » Entre dispositions, constructions et aménagements, l’eau et l’air circulent plus ou moins favorablement dans une action très puissante sur tout ce qui concerne les habitants des lieux. Acquérir un savoir et recueillir des conseils des avisés, tel est le but que ce sont fixé Hélène Weber et Marie-Anne Garcia Bour pour préserver la santé, la joie de vivre et la prospérité de leurs lecteurs .
http://www.fengshui-village.com/

http://www.laprocure.com/livres/helene-weber/feng-shui-dans-votre-jardin-questions-reponses_9782844459381.html