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 » Les femmes sont des fleurs……( Citation)

Posté par eurekasophie le 10 mars 2009

 

 

 

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« Les femmes sont des fleurs offertes à nos désirs, mais il faut prendre leur coeur avant de les cueillir »

JJ Goldman, cité par Esdou

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Huuuuuuuuuuu ! Hiiiiiiiiiiii !

Posté par eurekasophie le 10 mars 2009

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Mado la niçoise, j’adore !

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Encore ?

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Rêvons un peu …..même avant l’heure

Posté par eurekasophie le 10 mars 2009

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Proverbiage

Posté par eurekasophie le 10 mars 2009

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1. Règles du jeu.

Ce petit jeu de texte à contraintes consiste à inventer un proverbe surréaliste et amusant.

posté par Alipedan      Aujourd’hui à 04:50

Quand on a le cafard il vaut mieux éviter les cancres las.

posté par carmen      le 19/02/2009 à 01:14

Si on te traite toujours d’innocent, console-toi en te disant que tu n’auras jamais besoin d’avocat.

posté par toto      le 13/02/2009 à 07:41

Le travail me passionne c’est pourquoi je peux rester des heures à le regarder.

Je n’ai pas encore trouvé de proverbe, mais je vais chercher….lol!

A vous de jouer maintenant.

 

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Celui-ci n’est pas mal non plus …..lol!

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XYZ……….ON JOUE.

Posté par eurekasophie le 10 mars 2009

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 1. Règles du jeu.

Pour les fanatiques du Scrabble (il y en a !) ce petit exercice est fait pour vous. Il s’agit de créer une phrase valant le plus possible de points au scrabble.

Dans cette adaption du célèbre jeu seules les lettres Q (7 points), K (10 points), W (10 points), X (10 points) Y (10 points) et Z (10 points) sont comptabilisées. Vous pouvez bien sûr écrire votre texte et indiquer votre score dans ma boîte aux lettres :

sophie_astuces@voila.fr

posté par J-V      le 24/02/2009 à 20:06



Ce week-end, je reçois ma blonde walkyrie. Nous dégusterons du wallaby et du yack sautés au wok avec des oignons et accompagnés de riz, le tout arrosé au whisky.
Je la raccompagnerai en zigzagant si zé trop bu !

posté par Sophie (Toulon)      mail : sophie_astuces      le 22/02/2009 à 13:06

Quel zigoto que ce zézéyant chauffeur de tramway sentant l’ylang-ylang qui quelquefois fait zigzaguer les wagons jusqu’au zoo! Là où le zéphyr y est quasi imperceptible. Ces lieux quelque peu fréquentés le week end ne m’empêchent pas de quêter la zibeline sur le qui-vive, le zébu et le zébre, fameux équidé dont les rayures comme un pyjama me font rire., le kangourou qui joue du yoyo comme dans un kagura. Dans le kapokier mangeant des feuilles de karkadé plutôt d’eucalyptus, le koala lance des kiwis aux visiteurs, tandis que le wallaby et le wapiti se lancent pour un walk-over. Je ne parle pas du yack , quoique je devrais car il est quasiment rare de voir cet animal manger des yuccas. Quant au zyzomys, il court encore au zoo. Zut! je ne l’aurai pas vu ce week end



 

                                                                                            

Vous avez vu, j’y ai joué…alors à vous maintenant.

 

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LA BRUYERE

Posté par eurekasophie le 10 mars 2009

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 Sur une RACINE  de LA BRUYERE une CORNEILLE BOILEAU de LA FONTAINE MOLIERE

La Bruyère 

Son nom botanique est Calluna vulgaris. Ce petit arbrisseau très esthétique est aussi une plante médicinale.

Elle forme de belles platebandes colorées tout l’hiver.

Sous sa forme sauvage, elle croît dans les landes sèches, dans les bois et forêts.

 

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De nombreuses variétés non médicinales fleurissent en toutes saisons, les fleurs allant du blanc, rose, violet, jusqu’au rouge, se trouvent facilement en jardinerie et même dans les grandes surfaces. En choisissant soigneusement ses cultivars, on peut avoir des bruyères en fleurs toute l’année.

Du point de vue médicinal, ce sont les sommités fleuries que l’on utilise, feuilles et fleurs.

La bruyère est la plante des affections de la peau. Elle traite les dartres, les rougeurs et les taches de rousseur.

Mais ses propriétés diurétiques et antiseptiques font utiliser la bruyère pour traiter : inflammation rénale, cystites, lithiases urinaires, diarrhées et la goutte. On peut lui adjoindre en quantité égale du romarin.

En usage interne :

Une cuillère à soupe de sommités fleuries de bruyère par litre d’eau froide ou ½ cuillère à soupe de bruyère et ½  d’épines de romarin.

Amener doucement à ébullition, infuser ¼ d’heure.

Boire 3 tasses en dehors des repas.

En usage externe :

Essentiellement pour les traitements cutanés, massage à l’huile de bruyère.

Pour fabriquer votre huile de fleurs de bruyère

Couvrir 100 g de fleurs de bruyère avec 250 g d’huile d’olive vierge.

Faire macérer quinze jours. 

Filtrer, presser le jus.

Mettre en flacon.

Jadis, on a utilisé la bruyère en place du houblon dans la fabrication de bières. De nos jours, son emploi a été règlementé car les feuilles de calluna vulgaris concentrées contiennent des substances hallucinogènes toxiques.

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L’Abé Toine …meuuu non! La bétoine ….soyons sérieux voyons !

Posté par eurekasophie le 10 mars 2009

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Une plante de la famille des lamiacées comme la lavande.

On la trouve dans toute l’Europe sur les terrains calcaires et surtout sur les prairies, sous-bois, lisières acidophiles jusqu’à 1500 mètres d’altitude.
Nom botanique: Stachys officinalis ou Betonica officinalis.
La bétoine officinale se nomme aussi épiaire vulgaire.

C’est une plante ne mesurant pas plus d’une cinquantaine de centimètres, au feuillage caduc à persistant dentelé et gauffré.
Les feuilles ressemblent à celle de l’ortie (même famille des lamiacées) en plus fines.
Les tiges sont carrées et poilues.
Sa racine lui permet d’être vivace et de renaître au printemps.

Cette plante sauvage n’est cultivée que dans les jardins de curé  emoticonepour ses propriétés médicinales

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La fleur

Les fleurs disposées en épis sont de couleur blanc, rose, pourpre ou bien encore violet.La plus grande période de floraison s’étale de Juin à Octobre.
Elle est souvent remontante jusqu’aux premiers gels.

Les graines (akènes) sont disposées de façon symétrique le long de la tige.

Plantation et multiplication

Elle n’est pas très exigeante en terme de sol et d’humidité.
La bétoine supporte la mi-ombre, apprécie les terrains bien drainants.
Elle se multiplie de façon spontannée par ses nombreuses graines.

Culture et entretien

Si l’endroit lui convient, aucun entretien est nécessaire.

Ennemis et maladies

La bétoine est très rustique aux prédateurs et maladies.

En médecine

On utilise les fleurs, les feuilles et les racines.Pour les voies respiratoires, les nerfs, on prépare la bétoine en infusion.
Pour les abcès, les plaies et les ulcères, la décoction de feuilles est appliquée par compresse sur l’endroit à traiter.


 

En cuisine

Les jeunes feuilles de bétoine peuvent être consommées avec modération en salades.

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LA BENOITE

Posté par eurekasophie le 10 mars 2009

benoite.jpg                                     benoite3.bmp Benoîte en graines 

La benoîte est proche parente du fraisier et des ronces. Vous la récolterez dans les lieux ombragés sur sols riches (bois, haies), et aussi, comme l’indique son nom spécifique latin, près des maisons. Ses fleurs jaunes à 5 pétales séparés, arrondis, à étamines très nombreuses, à calice à 5 sépales doublé d’un calicule également à 5 divisions, sont isolées sur de longs pédoncules grêles (chaque pied ne porte que quelques fleurs). Les styles persistants et coudés, qui s’accroissent après la floraison, font de ces fleurs, à maturité, de petites têtes sphériques hérissées bien reconnaissables. La benoîte a des feuilles découpées en 3-7 folioles ovales plus ou moins incisées. Deux grandes stipules dentées encadrent la base des pétioles. La plante entière est poilue. Vivace, elle fleurit de mai à septembre.
On utilise surtout la racine épaisse de 1 à 2 cm, qui, fraîche et pressée dans les doigts, dégage, au bout d’un moment, un fort parfum de girofle (dû à la présence d’eugénol, principe actif antiseptique de cette épice). On l’arrachera au premier printemps (« vers la Notre-Dame de mars », dit un anonyme du XVIIIe siècle), en donnant la préférence aux plantes qui croissent sur des terrains montueux bien exposés. La dessiccation se fait à l’ombre; la racine doit conserver une partie de son parfum.

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PROPRIÉTÉS MÉDICINALES

Usage interne
Tenue longtemps pour fébrifuge malgré le scepticisme de certains expérimentateurs, la benoîte peut s’employer en décoction vineuse au début des états fébriles légers, mais elle trouve un meilleur usage comme tonique-astringent utile dans l’atonie du système digestif. Les convalescents et les vieillards se trouveront bien de son usage qui favorise l’appétit, la digestion et l’assimilation. On utilise soit la décoction à 1 % (détails à « aigremoine »), soit la macération pendant une semaine de 30 g de racine dans un litre de vin rouge (1 verre à bordeaux avant les deux principaux repas, en cure brève). La décoction à 3-5 % se recommande dans la diarrhée chronique, dont celle des tuberculeux, et la dysenterie.
On obtient une liqueur digestive de benoîte de la manière suivante: dans un litre d’eau mettez 30 g de racine sèche et faites bouillir jusqu’à réduction de moitié. Ajoutez ensuite, après filtrage, 100 g d’alcool à 800 et 200 g de sirop d’angélique.

Usage externe
L’astringence de la benoîte recommande l’usage de sa décoction, à l’extérieur, dans les maux de gorge et de bouche (faiblesse des gencives). On l’utilise alors comme l’aigremoine. Sa décoction ou sa macération vineuse s’emploient aussi, très efficacement, sur les ulcères variqueux et les plaies à cicatrisation tardive.

 

 

USAGES DIVERS
La benoîte aurait un heureux effet sur la lactation des ruminants. Les paysannes peu fortunées la récoltaient autrefois pour la brassée du bord des routes qu’elles offraient le soir à l’unique vache de l’étable.
La racine, qui donne une teinte rougeâtre à l’infusion, a été utilisée pour aromatiser les liqueurs, le vin et la bière. Elle a aussi des propriétés tinctoriales intéressantes, donnant à la laine un beau brun orangé, un brun clair avec la plante entière.
Les jeunes feuilles sont comestibles en salades si on les récolte avant l’apparition des fleurs. Elles ont une légère saveur de girofle.

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LE BASILIC

Posté par eurekasophie le 10 mars 2009

Comment lire une taxobox Basilic
Ocimum basilicum
Ocimum basilicum
Classification classique
Règne Plantae
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Ordre Lamiales
Famille Lamiaceae
Genre Ocimum
Nom binominal
Ocimum basilicum
L., 1753
Classification phylogénétique
Ordre Lamiales
Famille Lamiaceae

 Un peu d’histoire

Originaire d’Inde, le basilic était déjà considérée, il y a 4 millénaires, comme une herbe sacrée, offerte aux divinités Vishnou et Krishna. Il a ensuite conquis l’Asie et l’Égypte. Il entrait d’ailleurs dans le processus de momification, car les Égyptiens lui découvrirent très tôt des propriétés antibactériennes et de conservation.
Par la suite, il est arrivé en Grèce et à Rome. Récolté par le basileus (souverain) selon des rites mystérieux, c’était une herbe royale et un symbole de fertilité. Là, on se mit aussi à l’utiliser comme ornement, en cuisine mais surtout en pharmacopée.
Beaucoup de civilisations l’ont associé à des rites mortuaires : glissé entre les mains des défunts, il était censé les protéger dans leur passage vers l’au-delà.
Au fil des siècles, il a gagné l’Europe méridionale puis, aux 16ème et 17ème siècles, l’Angleterre et les États-Unis.
Le basilic, plante condimentaire aux feuilles vertes, rouges ou pourpres, est désormais le pilier des gastronomies méditerranéennes, notamment italienne et provençale. Il en existe plus de 150 variétés. Cultivé sous serre, cette herbe est disponible toute l’année mais, amatrice de climats tropicaux, c’est en été qu’elle pousse spontanément et qu’elle est le plus riche en arôme. N’hésitez pas, la saison venue, à en faire pousser sur votre balcon, à l’abri du vent et du froid, pour profiter de ses jolies fleurs blanches et de son odeur enivrante.basilic.jpg 

BIENFAITS

Plante condimentaire très parfumée, le basilic donne une saveur sucrée et citronnée à de nombreux mets. Et ses atouts ne s’arrêtent pas là, puisqu’il fournit une quantité non négligeable de vitamine C, tonique, ainsi que de vitamine A, antioxydante. Par ailleurs, le basilic est une source très intéressante de calcium et de phosphore, des minéraux essentiels au bon développement du tissu osseux.

Valeurs nutritionnelles
pour 100 g

Protides 2,5 g
Glucides 4,3 g
Lipides 0,6 g
Calories 27 kcal

N’ayez donc pas peur d’avoir la main lourde et d’en parsemer généreusement vos préparations : contrairement aux matières grasses et au sel, cela n’aura aucune incidence sur votre ligne.Réputée depuis des millénaires pour ses vertus thérapeutiques, notamment contre les verrues et la déprime, on lui en attribue encore aujourd’hui. Il est ainsi utilisé en infusion ou en décoction pour ses propriétés digestive, apéritive, laxative, tonique et fébrifuge. Il calme aussi efficacement les maux de gorge ainsi que la nervosité.Enfin, sa richesse en camphre lui confère des vertus anti-rhume, puisqu’il dégage les voies respiratoires, et antiseptique. En gargarisme, en effet, il soulage les infections buccales et en cataplasme, les démangeaisons. Peut-être est-ce aussi la raison pour laquelle un pot de basilic posé sur le rebord de la fenêtre tient mouches et moustiques éloignés. Bon à savoir pour passer sereinement ses soirées estivales…

  • DEGUSTATION

Choisissez-le de préférence frais, car séché il a déjà perdu beaucoup de sa saveur. Ses feuilles doivent être bien vertes, lisses et sans tâches.Conservez-le quelques jours seulement dans le bac à légumes du réfrigérateur, à l’abri dans un sac en plastique perforé. Il se garde plus longtemps immergé dans de l’huile (qu’il parfume délicatement). Une fois ciselé, on peut le congeler en le recouvrant d’eau dans un bac à glaçons : facile à doser et à décongeler.

Consommez-le en feuille entière ou ciselé. Pour profiter de tout son arôme, préférez l’écraser au pilon dans un mortier, avant de l’incorporer aux sauces, aux vinaigrettes, aux salades, aux poêlées de légumes ou de champignons.

Selon les variétés, sa saveur rappelle le citron, l’anis, le jasmin ou encore le gingembre. Il se marie alors parfaitement avec la viande blanche et le lapin. Il est aussi délicieux avec les oeufs et le fromage. Sur des pâtes, du riz et des tomates, rien ne peut l’égaler.

Sachez qu’il supporte très mal les cuissons longues ou les attentes prolongées dans la vinaigrette, incorporez le donc toujours au dernier moment à vos préparations.

La cuisine provençale et italienne
en ont fait leur condiment de référence, pas étonnant alors qu’il aime tant être mêlé à de l’ail, du citron, du thym et à de l’huile d’olive, autres piliers de ces gastronomies. Le basilic est d’ailleurs indispensable à la soupe au pistou et au pesto (basilic et ail hachés arrosés d’huile d’olive, pignons de pin et parmesan en plus pour la version italienne). Les Thaïlandais possède également leur variété, plus puissante et poivrée, qu’ils utilisent abondamment dans leur cuisine.Enfin, une branche de basilic glissée dans une bouteille de vinaigre l’aromatisera subtilement. On en fait aussi une liqueur, la Chartreuse.

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LE BAGUENAUDIER

Posté par eurekasophie le 10 mars 2009

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Baguenaudier

( Colutea arborescens )

( Papilionacées ou Fabacées )

Altitude : jusqu’à 1500 m.

Taille : atteint 1 m.

Cycle de vie : vivace.

Habitat : bois secs des régions méditerranéennes. pentes ensoleillées des collines et des côtes montagneuses.

Fleurs : fleurs jaunes.

Reproduction : gousse renflées.

Commentaires : le baguenaudier est une plante originaire dos régions de l’Europe méridionale. Toutefois, il n’est pas rare de la voir fleurir à la fin du printemps et de l’automne à des latitudes plus septentrionales et sous des climats froids-humides comme celui de la plaine du Pâ.

Utilisations officinales : la plante contient des substances laxatives, cholagogues (elle facilite l’écoulement de la bile).

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