C’EST MERCREDI SOIR
Posté par eurekasophie le 25 février 2009
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Posté par eurekasophie le 25 février 2009
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Posté par eurekasophie le 25 février 2009
Des plantes sur un balcon prolongent la décoration de la pièce attenante, font écran aux regards indiscrets et
éventuellement isolent des voisins.
Voilà bien des agréments. Comme pour les fenêtres, l’orientation est très importante. Mais, dans les balcons en avancée, un problème supplémentaire se pose: celui du vent, qui assèche, maltraite, et transporte des parasites.
Avant toute installation demander l’autorisation au gérant d’immeuble ou aux copropriétaires, et informer l’assureur en cas de dégât quelconque. Si le balcon est mitoyen prévenir le voisin; s’il accepte, veiller à ce que les plantes n’empiètent jamais chez lui, en éloignant les pots et en taillant si nécessaire. Prévoir un store en cas d’ensoleillement excessif et des bacs en plastique avec un rebord pour recueillir l’excédent d’eau.
Plantes et récipients: choisir des arbustes assez bas: ils donneront moins de prise au vent, et n’exigeront pas de récipient trop lourd pour les stabiliser. Laisser un espace suffisant pour que le balcon reste praticable.
Les fleurs en jardinières seront les mêmes que pour les fenêtres. Sur un balcon long, installer plusieurs jardinières côte à côte. Choisir des récipients de couleur neutre, avec des trous de drainage. Les poser sur un bac recueillant l’excédent d’eau, à vider régulièrement. Placer les petits arbres et arbustes dans des récipients de 30 cm de côté, sur pieds, munis de poignées pour faciliter le déplacement.
Les récipients en bois. Une année sur deux, passer à l’extérieur des bacs en bois une couche de vernis bateau.
Quelques suggestions: faux-cyprès, cyprès nain, buis, houx, génévrier, bambou doré.
Les conifères et autre petits arbres sont vendus en pot de plastique; c’est un avantage, car l’évaporation est plus lente et la terre retient mieux l’humidité. Si le sujet est déjà trop à l’étroit dans son pot, il faut dépoter er rempoter dans un récipient, en bois par exemple, un peu plus grand, avec un orifice pour le drainage.
Procéder à deux: l’un tient l’arbre par le tronc, l’autre s’occupe du dépotage. Si cela pose des difficultés, sacrifier le pot en plastique en le cisaillant avec un sécateur ou des ciseaux spéciaux. Quand la motte est libre, placer l’arbre au centre du nouveau récipient, garni de gravier pour le drainage et du tiers de la terre. Combler l’espace resté libre avec de la terre, et couvrir la motte de 1 ou 2 cm de terre. Niveler la surface et tasser avec les doigts. Placer le bac sur le récipient et arroser.
Placer les plantes grimpantes, lierres, seuls ou à deux dans un bac posé à même le sol. Les tiges grimpent au fur et à mesure de leur croissance sur un lattis fixé contre la paroi. Acrocher les tiges sur des petits clous, enfoncés dans le lattis. La plante couvrira peu à peu le lattis.
Les plantes retombantes, Impatiens, peuvent être placées dans des paniers métalliques en demi-cercle fixés au mur. La fixation doit être solide. Utiliser des chevilles et des crochets résistants.
Rassembler tout le feuillage, retombant en demi-cercle, pour éviter le contact avec le mur et, en même temps, être le plus décoratif possible.
Un balcon bien meublé. Du côté du vent, les arbustes font la haie qui protège les autres plantes.
Dans l’angle intérieur, un conifère. Son récipient est plus lourd, et il supporte d’être dans la mi-ombre.
Posés à même le sol, le long de la grille du balcon, les jardinières: plantes à bulbe, fleurs annuelles ou bisannuelles, renouvelées au printemps et à l’automne. Plantées dans plusieurs récipients on les renouvelle ou on les déplace plus facilement.
Sur le mur opposé, plus ombragé, un lierre grimpant sur un lattis.
L’entretien d’un balcon.
Tous les jours. Vérifier l’humidité du compost. Oter feuilles et fleurs fanées. Arroser le matin tôt ou le soir.
Au printemps, renouveler 2 cm de terre de surface des plantes de grand format.
Au printemps et à l’automne, donner de l’engrais aux plantes empotées depuis plus de 6 mois et auxarbustes restant en permanence dehors. Vaporiser de l’insecticide préventif, à 25 cm des feuilles, le soir après avoir fermé la fenêtre. Choisir un jour sans vent pour faire cette opération. Retirer du balcon les plantes finissant leur floraison. Jeter celles qui sont mortes.Nettoyer les bulbes pour la prochaine utilisation. Faire de nouvelles plantations.
En été. Vaporiser si le temps est très sec. Baisser le store pour protéger les plantes qui risquent d’être brûlées. Rentrer les plantes pendant vos vacances ( à moins d’avoir un voisin qui vienne en prendre soin)
En hiver, rentrer toutes les plantes sauf les conifères; protéger leur terre par de la paille. Nettoyer soigneusement les récipients vides pour le printemps suivant.
Il est bien évident que, l’aménagement d’une terrasse est beaucoup plus facile car , vous possédez de plus de place bien évidemment….Le principe reste toutefois le même.
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Posté par eurekasophie le 25 février 2009
Confrontez vos réponses à celles des experts, et sans doute en apprendrez-vous un peu plus sur les
liens entre le sommeil et la santé et comment favoriser de douces nuits…
1) Quand peut-on parler d’insomnie ?
A-si on passe plus de 30 mn à trouver le sommeil !
B- quand on se réveille au moins deux fois par nuit, avec des difficultés pour se rendormir.
C-lorsque l’on se réveille aussi fatigué(e) que la veille.
Réponses :A, B et C ! en effet ces trois symptômes sont regroupés sous le vocable insomnie ! « On peut y ajouter aussi le réveil trop précoce avant l’heure choisie, sans possibilité de revenir au sommeil », explique Xavier Drouot, chef de clinique au centre de sommeil de l’hôpital Henri Mondor à Créteil.
2) Quels sont les effets de l’insomnie sur la santé ?
A- l’insomnie provoque le cancer
B-l’insomnie n’a aucun effet sur la santé
C-l’insomnie retentit sur la mémoire et sur l’humeur
Réponse C : « Si l’insomnie ne donne pas le cancer, elle perturbe la mémoire et provoque des comporteents inadaptés: baisse de vigilence, stress, irritabilité…. A long terme, les privations de sommeil pourraient favoriser l’obésité, le diabète et l’hypertension artérielle en perturbant les régulations métaboliques de l’organisme » previent Xavier Drouot.
3) Quand doit-on consulter un généraliste pour des troubles du sommeil ?
A- dès la première nuit ratée
B- après un an d’insomnie
C- après quelques semaines….
Réponse C: « Inutile de s’inquiéter dès l apremière nuit. Perturbée! En effet, après une journée stressante ou à la veille d’un examen, le sommeil est naturellement plus difficile. En revanche, si l’insomnie dure plus de 3 ou 4 semaines et entraîne une somnolence, une baisse des performances durant la journée, des troubles de la concentration ou de la nervosité, une consultation chez un généraliste s’impose « . précise Xavier drouot.
4) Quelles sont les principales causes d’insomnie ?
A- les films d’horreur le soir tard !
B- les traumatismes psychiques..
C- les examens scolaires !
Réponse B et C : « L’insomnie peut faire suite à un traumatisme psychique dû à un deuil, un divorce, un licenciement….Mais, des périodes de stress comme les examens perturbent aussi le sommeil. De nombreuses autres causes d’insomnies existent: une mauvaise hygiène de vie, l’abus de café, certains médicaments (corticoïdes, béta-bloquants….), une maladie neurologique, respiratoire ou cardiaque, le syndrome des jambes sans repos, les apnées du sommeil… » énonce Xavier Drouot.
5) Quels sont les traitements médicamenteux de l’insomnie ?
A- les hypnotiques et les psychotropes
B- l’aspirine
C- les tisanes à la passiflore
Réponses A et C : « les hypnotiques sont indiqués pour ceux dont l’insominie est liée à une période de stress. Quant aux psychotropes, ils sont efficaces lorsque le trouble du sommeil fait suite à l’anxiété ou à la dépression nerveuse. De même, certaines plantes, comme la valériane ou la passiflore agissent positivement sur le sommeil, en tisanes ou en comprimés », explique Damien Léger, directeur du centre de l’Hôtel-Dieu à Paris.
6) Quels sont les traitements non médicamenteux ?
A- un coup de masse sur la tête !
B- les techniques de relaxation
C-compter les moutons…
Réponse B bien sûr: « La relaxation repose sur des exercices de respiration, de détente progressive de tous les muscles et de visualisation positive. Bien pratiquées, ces techniques valent bien des somnifères ! L’acupuncture semble aussi efficace. Enfin, l’exposition matinale à une lumière de haute densité (1 000 à 1 500 lux) est aussi très utile pour les insomniaques dont l’horloge biologique est décalée ou pour ceux qui travaillent de nuit », précise Damien Léger.
7) Quelle activité physique permet de mieux dormir ?
A-un sport intense pratiqué en soirée
B-un sport modéré en fin d’après-midi
C-le sport, ça énerve, mieux vaut l’oublier !
Réponse B : » Une activité physique modérée et régulière pratiquée en fin d’après-midi facile le sommeil. Outre la pratique d’un sport, il peut s’agir simplement d’une demi-heure de marche soutenue, une balade en vélo ou du jardinage. Evitez par contre les entraînements intensifs en soirée, qui retarderont l’endormissement », commente Xavier Drouot.
8) Quel type de dîner favorise le sommeil ?
A-une choucroute suivie d’un bon cassoulet
B-un plat de pâtes
C-une grande portion de viande
Plutôt la réponse B: « les protéines augmentent la température corporelle. Elles ont ainsi un effet stimulant. Mieux vaut donc éviter de consommer un gros steak le soir. A l’inverse, les glucides (féculents et sucres) sont préférables au dîner, car ils mènent à un assoupissement rapide. Attention, les dîners ne doivent pas être trop lourds ni trop arrosés. En effet, l’alcool perturbe le sommeil. Enfin, idéalement, le repas doit se terminer deux à trois heures avant le coucher », conseille Damien Léger.
9) Dans quel environnement s’endormir ?
A- une chambre fraîche
B-une chambre bien chauffée
C-avec la télévision allumée
Répose A: « La chambre doit être plutôt fraîche pour faciliter la venue du sommeil. Le lit est avant tout un lieu de repos. Il convient de limiter son usage au sommeil et donc d’éviter la télévision ou de lire. Côté literie, si vous dormez à deux, mieux vaut utiliser deux matelas indépendant. En effet, un dormeur change 40 fois de positions par nuit, de quoi réveiller l’autre et perturber son sommeil », suggère Damien Léger.
10) La sieste en journée est-elle conseillée ?
A- oui, mais seulement 20 minutes
B-non, elle empiète sur le sommeil nocturne
C- oui, mais pas plus de deux heures.
Réponse A: « La sieste, souvent après le déjeuner, permet de rattraper les déficits de sommeil. Mais, elle ne doit pas excéder 20 minutes. En effet, une trop longue sieste décale l’heure de survenue du sommeil le soir. C’est gênant le lendemain matin, quand l’heure du réveil ne peut être décalée d’autant…. », précise Damien Léger.
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