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BONNE SOIREE, BIENTOT LE WEEK-END !

Posté par eurekasophie le 19 février 2009

 

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PETIT RECUEIL DE MOTS CURIEUX (3)

Posté par eurekasophie le 19 février 2009

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Extraits du Grand Littré

Hodographie: s.f.

Description des rues, des routes.

Hoquette: s.f.

Ciseau de sculpeur.

Hortillon: s.m.

Nom qu’on donnait autrefois aux maraîchers.

Idémiste: adj.

On appelait docteurs idémistes ceux qui, dans les assemblées, se contentaient d’opiner du bonnet et de dire idem, sans apporter de raison.

Intercourse: s.f.

L’ensemble des communications commerciales entre deux pays.

Jouette: s.f.

Terme de chasse. Trou que le lapin fait en se jouant et qui est moins profond que le terrier.

Loquèle: s.f.

Facilité à parler d’une façon commune. Il a de la loquèle.                                                                                                      

Mande: s.f.                                                                                                                   

Panier d’osier à deux petites anses, très fin, pour transporter la terre à pipe.

Marsouinage: s.m.

Oscillations longitudinales, régulières et de basse fréquence d’un aéronef en vol. Dans le cas d’un hydravion, tangage spontané provoqué par son instabilité pendant l’hydroplanage.

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Ménehould (sauce à la sainte-) s.f

Terme de cuisine. Sauce faite avec du beurre, de la farine, du lait, du persil, des ciboules, du laurier, des champignons et quelques échalotes. Pieds de mouton, pieds de cochon à la Sainte-Ménehould.

Mirette: s.f.

Outil de maçon servant à rejointoyer.                                                               

Morbidesse: s.f.

Terme de peinture et de sculpture. Mollesse et délicatesse des chairs dans une figure. Dans le langage général, souplesse dans les attitudes, la démarche, les manières, mêlées d’une sorte de mollesse aimable.

Nourrain: s.m.

Le petit poisson qu’on met dans un étang pour le peupler.

Oncirostres: s.m.pl.

Terme de zoologie. Les oiseaux à bec crochu.

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LE CIMICIFUGA

Posté par eurekasophie le 19 février 2009

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 Publié par Lydia Zuni , merci pour son témoignage

Cette fois-ci, je craquais complètement.

Ma vie rythmée depuis des mois par ces bouffées de chaleur d’un incroyable intensité, était devenue une lutte infernale pour maintenir un équilibre précaire. Mais aujourd’hui, complètement épuisée, je baissais pour la première fois les bras devant ce problème de santé devenu insoluble, cette ménopause dramatique.

J’avais essayé tout ce qui était disponible en phytothérapie, aromathérapie et homéopathie ; j’avais tenté l’acupuncture en vain et pas question de prendre des hormones synthétiques avec mon kyste au sein.

Moi qui ne croyait plus depuis longtemps à la médecine occidentale pour en avoir trop pâti, j’avais dérogé à ce désaveu ancien en allant consulter cette gynécologue, coqueluche des dames de Nice, mais là aussi, son traitement fut un échec.

Quand après deux heures d’attente cette femme médecin me reçut, il était 21 heures trente et elle me parut dans un tel état d’épuisement elle-même que j’eus envie d’inverser les rôles et de la soigner. Elle baillait à s’en décrocher la mâchoire, ses cernes sous les yeux faisaient peine à voir et tout en elle émettait les signaux d’une grande fatigue mal plaquée derrière la respectabilité de sa blouse blanche. Elle me proposa une kyrielle d’examens, me palpa distraitement et annonça tout à trac un kyste sur mon ovaire droit. J’étais choquée. Elle fit une ordonnance dont les produits pharmaceutiques n’eurent aucun effet sur mes bouffées de chaleur. Ainsi je sortis de son cabinet bien plus mal que je n’y étais entrée ; j’étais en effet venue avec une ménopause fatiguante, j’en ressortis avec un kyste aux ovaires qui n’avait rien de bien rassurant.

Le jeune interne radiologue du Centre Lacassagne, vérifiant l’existence de ce kyste dénicha, lui, un fibrome à l’utérus, mais point de kyste ! Là aussi la brutalité de ce jeune radiologue insensible à la portée de ses mots me fit fuir l’hôpital avec un autre mal que celui anticipé : à présent, c’était d’un fibrome dont on me faisait cadeau!!

Le hasard fit qu’heureusement je lus un article médical dans « science et vie » assurant que la plupart des fibromes de ce type disparaissent avec la ménopause sans nécessiter de chirurgie. Ça, c’était la bonne nouvelle que j’aurais aimé entendre de la bouche de l’indifférent radiologue qui avait su trouver ce parasite dans mon ventre.

En tout cas, après cet inutile et traumatisant détour par la médecine officielle, j’étais de retour à la case départ ; mes bouffées de chaleur continuaient à dévorer toute mon énergie vitale et malgré ma nature tonique, j’étais complètement à plat, découragée de trouver remède à ce que beaucoup de gens voyaient comme un simple passage dans le cycle hormonal de la vie d’une femme. En vérité, pour moi en tout cas, c’était l’enfer !

Comment me résigner à vivre avec une énergie au niveau zéro ? Comment trouver la force d’enseigner le Tai Chi Chuan alors que chaque fois que je levais mon bras, cela déclenchait une vague de feu qui partait du coeur et se transformait en une suée brûlante de la tête au pied ? Sans parler du malaise qui l’accompagnait, et me donnait la sensation que j’allais m’évanouir…

Surtout comment écouter un patient dérouler le triste récit de ses malheurs si moi-même j’étais affaiblie et terriblement mal en point ? Comment masser une personne et lui donner cette énergie vitale qui me manquait cruellement ?

Je pouvais accepter que ma vie sentimentale soit peu satisfaisante ; je pouvais faire avec l’insécurité matérielle de finances trop justes ; je pouvais me résigner à supporter ce plastron de gras qui s’était installé sur mon ventre… mais si je n’avais plus la force d’exercer mes activités professionnelles, il ne me restait plus rien sur quoi compter. Pas de réserve d’argent ni de famille nantie pas plus que d’amant-ami généreux et protecteur. Ma seule raison d’être, de vivre, de combattre était ma relation d’aide aux élèves et patients. Si je ne pouvais plus travailler, il ne me restait plus d’espoir !

C’est sur ce constat tragique que ce jour-là je craquais, écrasée par l’implacable logique de mon échec à trouver remède à cette désastreuse ménopause.

Quand les ressources de ce monde de matière ont échoué, reste à demander secours au monde spirituel, à ses anges, ses fées, ses guides de lumière. Ils demeuraient les seuls alliés possible, même si trop souvent je les imaginais passifs et indifférents à mon sort.

Je m’agenouillais et adressai en larmes une supplique à mes anges gardiens :

« Si vous ne m’aidez pas, je ne peux plus servir à rien ni à personne. Je ne pourrai plus remplir ma mission d’aide. Vous devez me trouver une solution parce que je n’ai plus que vous pour me sauver. Ne me laissez pas crever comme cela, par pitié »

Et puis un peu plus calme, et mouchant bruyamment mon chagrin trop lourd, je m’allongeai et m’assoupis une fois de plus pour récupérer un peu d’énergie avant le prochaine rendez- vous de massage.

Le jour dont je parle était un mercredi, et de ce jour, je me mis à guetter un signe, un message qui ferait réponse à ma prière aux anges.

Deux jours plus tard, exactement, une élève de Tai Chi Chuan ayant remarqué mes malaises, me dit qu’il y avait en pharmacie un nouveau médicament pour la ménopause. Je m’enquis du nom de ce produit et m’intéressais surtout à ses composants, notant un que je ne connaissais pas : cimicifuga.

« Tiens, jamais entendu parler de ça »

Le lundi qui suivit, une patiente me donna une documentation sur un laboratoire pharmaceutique hors du circuit commercial et me signala un composé spécial ménopause de leur cru. Et là aussi, la cimicifuga était mentionnée. Bingo, et de deux!

Une porte vers l’espoir s’entrouvrait, mais j’attendais tout de même une autre confirmation ; je vérifie que toutes choses qui viennent du ciel soient répétées trois fois.

Aussi quand Marie, le mardi suivant, m’apporta le tube vide d’un médicament spécial bouffées de chaleur, je ne fus qu’à demi-surprise de lire, parmi les ingrédients, le nom salvateur de la cimicifuga!!

Totalement rassurée par la convergence des trois confirmations, je commandais et pris cette fameuse cimicifuga et le miracle eut lieu : mes bouffées de chaleur furent considérablement adoucies en intensité et en fréquence ce qui me rendit à une vie presque normale.

Les anges parlèrent par trois bouches amies et je les remerciais comme il se doit de tant d’amour et d’attention à ma petite personne.

Comme quoi !!le ciel n’est pas sourd… le problème est que souvent nous n’écoutons pas sa voix ou, même pire, que nous cessons de lui faire demande

Merci Lydia                http://dylya.blogspot.com/2008/07/cimicifuga.html                            bisous1.gif

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LES REMEDES DES CHAMPS

Posté par eurekasophie le 19 février 2009

 

 

 

 

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Sans garanties, mais sans danger non plus ..

à condition de ne pas en abuser,

voici une liste de plantes faciles à trouver qui peuvent éventuellement soulager vos petites douleurs comme elles ont aidé pendant des siècles les habitants des campagnes à supporter les leurs. Cela peut être utile pour les randonneurs, en particulier, qui n’ont pas toujours une grosse trousse de pharmacie sous la main.

Pour les ampoules

Vous avez trop marché, et des tas de petites cloques apparaissent sur vos talons ou vos doigts de pied: arrachez n’importe quelle feuille verte, et frottez-en l’ampoule. Vous devriez être soulagé très rapidement.( A ne pas faire sur une ampoule ouverte).

Pour les bleus

Vous tombez en chemin? Si vous avez la chance de parcourir la montagne, essayez de trouver une arnica, grande fleur jaune (un peu semblable  à une grosse marguerite) qui fleurit de juin à août. Frottez l’hématome avec quelques pétales, cela atténuera la douleur et évitera que le bleu ne vire au jaune, au brun, voire au verdâtre. Fabriquez de la teinture d’arnica :

En faisant macérer 100 g de fleurs dans 1 litre d’alcool à 90 ° pendant 15 jours; filtrez ensuite ce liquide brun et conservez en flacon opaque.

N’utilisez pas cette teinture sur une plaie ouverte et employez-la de préférence diluée dans un peu d’eau pour ne pas irriter la peau.

Si vous ne fréquentez que la plaine, vous pouvez frotter vos bleus avec de l’huile de lavande ( en pharmacie) ou encore une pâte d’écorce de tilleul (séchée , réduite en poudre et malaxée avec un peu d’huile  d’olive ), qui favorise aussi la résorption du sang.

Pour les petites plaies

Vous vous écorchez le genou sur une pierre. Si le sang coule beaucoup, essayez de l’arrêter avec des feuilles hémostatiques qui contiennent un tanin antihémorragie: feuilles de noyer, de ronce, de thym, de chêne, d’origan. Elles favorisent en même temps la cicatrisation. Mais attention! en principe, il ne faut pas appliquer de feuilles non ébouillantées sur une plaie, surtout si on n’est pas vacciné contre le tétanos (ou si on n’a pas fait de rappel depuis plus de 5 ans).

Si votre nez se met brusquement à saigner, à la suite d’un choc ou d’une longue journée au soleil, compressez la paroi avec un coton sur lequel vous aurez pressé du jus d’ortie, qui a aussi des propriétés hémostatiques (mais uniquement le jus, surtout pas la feuille entière!).

Pour les éruptions

Un insecte vous a piqué, une plante vous a frôlé provoquant une éruption désagréable. Frottez-vous avec une feuille de bardane (grande plante verte à fleurs rouges un peu semblables aux fleurs de chardon et à petits fruits crochus et ronds), ou bien utilisez des feuilles de plantes calmantes comme l’origan, (petite plante à fleurs roses en épillets), le thym, la saponaire.

Pour les insomnies

N’oubliez pas de rapporter de la campagne des coquelicots pour vous aider à affronter vos soirée d’insominie. Ces fleurs rouges, de la famille des pavots (les célèbres fournisseurs d’opium), sont beaucoup moins dangereuses que leurs cousins à la sombre légende, mais il ne faut tout de même pas en abuser, car elles contiennent un narcotique léger, qui peut être toxique et provoquer des hallucinations à haute dose. Le coquelicot est souverain contre les insomnies, les migraines nerveuses et calme les nerfs « à vif ». Il est efficace contre la toux.

Utilisez à raison d’1 pincée de pétales secs (environ 2 pétales entiers) par tasse d’eau bouillante. Laissez infuser 5 minutes; vous obtenez une tisane légèrement violette, sans goût spécial. Sucrez au miel et ajoutez quelques gouttes de citron. Le coquelicot calme sans abrutir: vous vous endormirez doucement au moment venu.

Sirop de coquelicot

Vous pouvez conserver les pétales secs ou en faire un sirop que vous diluerez dans 1 verre d’eau (1 ou 2 cuillerées à café par verre).

Laissez infuser 1 poignée de pétales dans 1/2 litre d’eau bouillante pendant une demi-journée. Puis filtrez et ajoutez 1 kg de sucre. Faites fondre quelques minutes à feu doux ce sirop d’un beau violet, peuis mettez en bouteille et gardez au frais.

Vous pouvez aussi préparer des tisanes :

  • de fleurs de coucou (1 cuillerée par tasse en infusion);

  • de fleurs blanches d’aubépine, ce petit arbuste si commun dans les haies (au début du printemps), 1 cuillerée par tasse en infusion.

Pour les rhumes

Il a plu, et vous avez la goutte au nez en rentrant de votre randonnée dans les champs. Avant de reprendre la route, essayer de ramasser:

  • des bourgeons de pin (au printemps): 1 par tasse, à faire bouillir 5 minutes et à sucrer avec du miel; très bon en tisane pour la toux, ou en inhalation pour le rhume;
  • des violettes, avec lesquelles vous pouvez préparer un sirop très doux pour la toux et les problèmes respiratoires: 1 bonne poignée de fleurs pour 1/4 de litre d’eau; faites infuser à l’eau bouillante une journée, puis filtrez; ajoutez 500 g de sucre, faites fondre quelques minutes à feu doux et gardez au frais;
  • des feuilles de bourrache (grande plante verte poilue aux minuscules fleurs très bleues et à l’odeur de marée, qui pousse près des orties); les fleurs et les feuilles en infusion sont indiquées pour les rhumes et la grippe, car elles font transpirer (mettez-vous au lit après); utilisez quelques feuilles par tasse, et sucrez bien car ce n’est pas bon;
  • de l’écorce de saule, des fleurs de reine des prés, du tilleul, faites infuser 10 minutes à l’eau bouillante;
  • des cynorrhodons, qui ont la particularité d’atténuer les ronflements: faites-en une provision si la famille renifle abondamment; ce sont les baies rouges de l’églantier, à cueillir en automne et à débarrasser de leurs poils et graines avant de les faire bouillir 5 minutes;
  • des mûres qui atténuent les maux de gorge; en gargarisme (1 poignée de fleurs et de feuilles infusées durant 10 minutes dans 1 litre d’eau bouillante); vous pouvez bien sûr l’avaler.

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REALISER UN TERRARIUM

Posté par eurekasophie le 19 février 2009

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JARdin Miniature en vase clos,

vivant dans un micro-climat humide, à l’abri de la poussière, le terrarium convient aux plantes demandant de l’humidité et notamment aux plantes d’origine exotiques.

Très décoratif, il est assez facile à réaliser et nécessite peu d’entretien.

Au moment de l’acaht des plantes, il est bon d’avoir le récipient avec soi, de manière à ne pas prendre de sujets trop grands.

Demander conseil au vendeur, qui choisira de petites plantes en pot de 5 cm de diamètre ou des variétés naines.

Pour commencer, il est conseillé de se limiter à 3 sujets. Avec un peu d’expérience, on pourra se lancer dans des terrariums plus fournis.

Le matériel

3 poignées de petits cailloux, 1 sac de charbon de bois horticole.

1 sac de mélange pour terrarium

Vaporisateur, ciseaux, cuillère à soupe, stylo à bille ou feutre.

Vieux journaux, mouchoirs en papier, morceau de tissu synthétique (doublure, rideau, 25 x 25 cm de couleur neutre).

Le choix du récipient est très important, il doit être en verre blanc: pot à pharmacie, petit aquarium, bocal à bonbons, et de préférence avec un bouchon. S’il n’a pas de bouchon, acheter un bouchon en liège adapté au col, ou faire découper une plaque de verre d’un diamètre supérieur de 2 mm au diamètre du col.

Laver le récipient, intérieur et extérieur, sans utiliser de détergent. Sécher avec un chiffon propre non pelucheux.

Etaler des journaux sur la table de travail et y déposer le matériel. Prévoir 1 heure de travail.

Etaler sur la table le morceau de tissu synthétique. Poser le récipient à terrarium dessus. Avec un stylo à bille ou un feutre marquer le contour du récipient sur le tissu.

Retirer le récipient. Découper le tissu en suivant l’intérieur du tracé.

Mettre les petits cailloux dans le bocal, sur une hauteur de 2 cm environ. Egaliser la surface pour qu’elle soit à peu près horizontale.

Ajouter par-dessus quelques cuillerées de charbon de bois horticole, de manière à ne plus voir les cailloux. Egaliser la surface à nouveau.

Poser le tissu bien à plat dans le récipient. Les bords du tissu doivent à peine toucher les parois. Sinon, retirer le tissu et le découper un peu plus petit.

Mettre le mélange à terrarium dans le récipient, à l’aide d’une cuillère. Egaliser la surface avec le dos de la cuillère. La hauteur de la terre doit être environ de 3 cm. En ajouter ou en retirer si nécessaire.

Creuser un trou dans le compost avec la cuillère en allant jusqu’au tissu.

Dépoter la 1ère plante et la placer dans le trou, puis ajouter quelques cuillerées de compost pour la caler, sans cesser de maintenir la plante délicatement. Faire de même avec la 2ème et la 3 ème plante.

Remettre du compost pour niveler la surface, et tasser avec les doigts. Décorer éventuellement avec 1 ou plusieurs jolis cailloux.

Mettre dans le vaporisateur la valeur d’ 1/3 de tasse d’eau, et pulvériser sur les parois du récipient. Cela éliminera les traces de terre sur les parois, donnera de l’humidité au terrarium.

Sécher les parois du récipient avec un mouchoir en papier

Boucher le récipient. S’il s’agit d’une plaque de verre, veiller à bien la centrer pour que le terrarium soit en vase clos.

Donner au terrarium son emplacement définitif, mais jamais directement au soleil, car les rayons frappant sur les parois du récipient risqueraient de brûler les plantes.

Surveiller, les jours suivants. Une légère buée doit se déposer sur les parois, le lendemain ou surlendemain. Si ce n’est pas le cas, ouvrir le récipient, vaporiser 1/3 de tasse d’eau et refermer. Ne plus intervenir quand la buée apparaît.

Si au contraire, il y a trop de buée et que les parois sont opaques, aérer en débouchant 15 mn et refermer. Répéter l’opération jusqu’à ce que la buée s’allège, mais ne pas la faire disparaître totalement.

Une fois équilibré, le terrarium se suffit à lui-même: les plantes rejettent de l’eau qui se dépose sur les parois puis retourne au sol, ce qui élimine le problème de l’arrosage. L’air se régénère grâce à la respiration des plantes. Les seuls soins à donner de temps en temps consistent à éliminer les parties fanées.

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Terrarium exotique

Chaleur et lumière atténuée.

Un ou plusieurs Saintpaulia + palmier nain + Ardisia + Pilea cadierei.

Sanseviera hahnii + fusain + Helxine soleirolii.

Prendre des plantes de 7 cm de hauteur maximum en les combinant d’une manière esthétique: une plante aux lignes verticales, une en panache et une couvre-sol.

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Terrarium forestier.

Climat tempéré, semi-ombre.

Fougères, Asparagus.

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Terrarium désertique.

Chaleur, lumière vive.

Cactées, plantes grasses, Kalanchoe.

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LA DECORATION

Posté par eurekasophie le 19 février 2009

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Une plante est un élément important de décoration, au même titre qu’un tableau.

Il faut penser son emplacement en fonction du décor, sans oublier ses besoins en lumière et en chaleur.

Très belle, une plante peut même constituer un pôle d’attraction.

La décoration classique associe les petits feuillages (Asparagus, fougères) aux meubles rustiques et anciens, les palmiers au style rétro, les grands sujets d’origine exotique aux intérieurs modernes et dépouillés.

Cependant, avec un peu de goût, il est facile de rompre ces règles.

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Quelques conseils:

  • équilibrer la ou les plantes avec les dimension,s de la pièce (surface au sol, hauteur du plafond). Une plante minuscule est ridicule dans un immense volume, et un grand sujet peut étouffer un petit espace;

  • réunir plusieurs plantes, au lieu de les poser un peu partout dans une pièce;

  • présenter la plante de manière la plus flatteuse pour elle. Si elle porte des fleurs, il faut la placer relativement bas, pour qu’on puisse l’admirer debout ou assis.

Toutes les pièces peuvent accueillir des plantes, pourvu que la lumière soit suffisante et qu’il n’y ait pas de courants d’air.

Mettre en valeur une petite plante. Sur une table basse, un Saintpaulia jouera le rôle d’un bibelot.

S’il est trop petit par rapport à la surface de la table, l’accompagner de 1 à 3 objets. Ces objets d’accompagnement doivent être plus petits ou plats, pour ne pas noyer la plante.

Mettre en valeur une plante moyenne. S’il est bien touffu, un Chlorophytum mérite d’être posé seul sur un support étroit et haut: guéridon, haut tabouret, colonne. Le support domine les meubles environnants sans dépasser 1,20 m de haut.

Mettre en valeur une grande plante. Un beau Monstera deliciosa doit disposer d’un espace au moins égal au pourtour de son feuillage au point le plus large. En hauteur, il ne devrait pas dépasser les 2/3 de la hauteur du plafond.

Près d’une fenêtre, son feuillage se découpera à contre-jour, et l’effet sera spectaculaire. Ce type de sujet doit être posé à même le sol. Les mêmes principes peuvent s’appliquer à des plantes groupées en bac.

Mettre en valeur 2 plantes suspendues. Décalées en hauteur, elles seront d’un bel effet, surtout si celle dont le feuillage retombe le plus, est situé plus haut que l’autre.

Mettre en valeur 2 sujets. De même espèce et de même taille, ils peuvent jouer la symétrie de part et d’autre d’un canapé ou d’une cheminée: Ficus, palmiers.

Mettre en valeur plusieurs plantes. Tricher avec la hauteur en rehaussant les petits sujets, sur une brique par exemple.

Identiques ou non, elles peuvent s’aligner sur le rebord intérieur d’une fenêtre. L’alignement rend les pots très visibles; il vaut mieux les cacher dans une jardinière en longueur, en bois naturel ou peint en blanc. Elles peuvent, au contraire, s’échelonner sur un support à plusieurs niveaux dans l’angle d’une pièce.

Mêler petits sujets et sujets moyens pour cacher les pots, et mélanger les feuillages.

Les plantes peuvent habiller un espace vide, l’angle mort d’une pièce, un mur nu, une entrée morne, un couloir un peu triste, à condition que la lumière soit suffisante.

Sanseviera trifasciata s’adapte facilement à des conditions de vie différentes; mais il est vrai aussi qu’elle fait plus d’effet associée à d’autres plantes qu’isolée.

En bacs rectangulaires, de la même couleur que les murs ou de couleur neutre, les plantes peuvent créer des séparations partielles ou totales dans une très grande pièce. C’est le principe des bureaux paysagers. Plus on souhaite que la séparation soit nette, plus les plantes doivent être hautes.

Habilement utilisées, les plantes peuvent même corriger les défauts de proportion d’une pièce: un plafond trop haut semblera plus bas avec des suspensions associées à une plante haute.

Meubler une cheminée désaffectée. Avec un beau Platycerium ou plusieurs, si la cheminée est vaste. Mais songer à boucher le conduit d’aération avec des journaux roulés en boule.

Meubler un escalier intérieur. L’envers, pas toujours esthétique, peut être habillé de plantes suspendues aux marches, peut-être complétées par une plante posée au sol.

Une niche vide prendra un nouvel intérêt avec une ou plusieurs plantes en bouquet.

Modifier une pièce trop longue. Une jardinière faisant toute la longueur du mur rendra la pièce apparemment plus carrée. La jardinière devra de préférence longer un mur uni. Laisser un espace entre elle et le mur, éviter le contact du feuillage, surtout si le mur est peint: les plantes n’apprécient pas le contact avec les composants chimiques des peintures. Une telle jardinière attire le regard, elle doit être fournie et parfaitement entretenue.

Masquer la balustrade d’une loggia. Elle sera camouflée par un lierre ou un Philodendron. Placer le pot dans l’angle de la loggia, à même le sol, et le feuillage s’enroulera sur la balustrade au fur et à mesure de sa croissance.

Transformer une grande salle de séjour. Le coin salon peut être séparé du coin repas par une jardinière sur roulettes, ou deux jardinières perpendiculaires au mur et ménageant un passage central. Pour garder l’impression d’espace, les feuillages ne dépasseront pas 1, 30 m.

Isoler un coin-toilette faisant partie d’une chambre avec une plante rampante ou plusieurs, sur un support tel que paravent ajouré ou claies.

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