POUR VOUS …………Joyeuse Saint Valentin !
Posté par eurekasophie le 14 février 2009
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Posté par eurekasophie le 14 février 2009
Dessert |
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Préparation |
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Cocktail flamenco |
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Posté par eurekasophie le 14 février 2009
Histoire et Tradition de la Saint-Valentin
Pourquoi ce martyr chrétien du IIIe siècle s’est-il vu transformé en patron des amoureux? Peut-être parce-qu’ une croyance médiavale européenne dit qu’au 14 février les oiseaux commencent à s’accoupler. La coutume de s’écrire à cette occasion est très ancienne. Depuis quelques décennies, on s’envoie des cartes. Elles sont illustrées de coeurs rouges symboliques, d’amoureux, de Cupidon avec son arc et ses flèches. Certaines sont très sophistiquées, décorées avec des rubans de papier, de plumes, de dentelles, de galons et des noeuds, elles peuvent être parfumées. Les messages écrits se surpassent en lyrisme plus ou moins poétique et en voeux d’amour éternel.
Aux États-Unis, la Saint-Valentin est autant la fête de l’amitié que celle des amoureux (et ça, ça me plaît) . À l’école, les enfants se donnent les uns les autres des cartes sur lesquelles ils écrivent quelques mots gentils. Par courrier, ils s’envoient très souvent des graines à planter. Voilà qui constitue une tradition fort sympatique. En France, l’amour prévaut. Les couples futurs ou confirmés, s’ils sont séparés, marquent ce jour en expédiant une traditionnelle carte, mais ils peuvent aussi se faire un petit cadeau pour la circonstance, les fleurs constituent le geste le plus classique et toujours apprécié.
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Posté par eurekasophie le 14 février 2009
DIRE JE T’AIME LES LANGUES
DANS TOUTES
Africain : Ek is lief vir jou
Portugal : Gosto de ti, porra!
Allemand : Ich liebe dich
Alsacien : Ich hoan dich gear
Anglais : I love you
Apache : Sheth she~n zho~n
Arabe : Ana behibak (une femme à un homme)/Ana behibek (un homme à une femme)
Basque : Maite zaitut
Bengali : Aami tomaake bhaalo baashi
Bosniaque : Volim te
Bulgare : Obicham te
Cambodgien : Kh_nhaum soro_lahn nhee_ah
Cheyenne : Nemehotatse
Chickasaw (Etats-Unis) : Chiholloli
Chinois : Wo ai ni
Corse : Ti tengu cara (un homme à une femme)/Ti tengu caru (une femme à un homme)
Créole : Mi aime jou
Croate : Ja te volim
Danois : Jeg elsker dig
Espagnol : Te quiero
Estonien : Mina armastan sind
Ethiopien : Afgreki’
Français : Je t’aime
Grec : S’a?apo (prononcé « s’agapo »)
Groenlandais : Asavakit
Haoussa (Nigeria) : Ina sonki
Hawaïen : Aloha wau ia ‘oe
Hébreu : Anee ohev otakh (un homme à une femme)/Anee ohevet otkha (une femme à un homme)
Hongrois : Szeretlek
Indonésien : Saya cinta padamu
Irlandais : Taim i’ ngra leat
Islandais : Eg elska thig
Italien : Ti amo
Japonais : Kimi o ai shiteru
Kenya : Aheri
Kurde : Ez te hezdikhem
Latin : Te amo
Libanais : Bahibak
Lisbonne : Gramo-te bué, chavalinha
Luxembourgeois : Ech hun dech gär
Macédonien : Te samka
Madrid : Me molas, tronca!
Marocain :Ana nbrick
Néerlandais : Ik hou van je
Népalais : Ma timi sita prem garchhu
Norvégien : Jeg elsker deg
Pakistanais : Mujhe tumse muhabbat hai
Polonais : Kocham cię
Portugais/Brésilien : Eu te amo
Roumain : Te iubesc
Russe : Ya tyebya lyublyu
Sri lankais : Mama oyata arderyi
Suédois : Jag älskar dig.
Tahitian : Ua Here Vau Ia Oe / Ua here vau ia œ
Turc :Sizi seviyorum
Vietnamien : Anh yeu em (un homme à une femme)/Em yeu anh (une femme à un homme)
Zoulou : Ngiyakuthanda
D’après mes sources fiables, je tiens à dire qu’en langue arabe
« je t’aime » se dit
OHIPOKA à un homme.
OHIPOKI à une femme.
Et le mot Amour c’est AL HOPE
Merci Abdou pour ces précisions !
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Posté par eurekasophie le 14 février 2009
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Fruits | |||
Classification classique | |||
Règne | Plantae | ||
Division | Magnoliophyta | ||
Classe | Magnoliopsida | ||
Ordre | Solanales | ||
Famille | Solanaceae | ||
Genre | Mandragora | ||
Nom binominal | |||
Mandragora officinarum L., 1753 |
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Classification phylogénétique | |||
Ordre | Solanales | ||
Famille | Solanaceae | ||
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Nom : Mandragore
Nom scientifique : Mandragora officinarum
Autres noms : Mandrake
Résumé : La plante magique des sorcières.
Description : Plante vivace à racine fourchue, à grandes feuilles sans tiges et à fleurs blanches et violacées et à fruits jaunes.
Habitat et culture : Originaire de la région méditerranéenne en Europe, elle pousse principalement dans le lit des rivières à sec.
Parties utilisées : Racine.
Constituants : Alcaloïdes (hyosciamine, hyoscine, pseudo-hyosciamine, mandragorine, scopolamine…).
Historique : La mandragore, comme la belladone ou la jusquiame est une plante de « sorcière ». D’après le codex juliana, le botaniste grec Discoride reçut la mandragore comme remède magique des mains d’Heuresis, déesse de la découverte. Les puissants effets narcotiques de la mandragore et sa racine ayant parfois la forme d’un être humain, lui confère ses propriétés magiques. Selon une légende la racine était tellement dangereux de déterrer la mandragore elle poussait un cri si puissant qu’elle pouvait tuer quiconque tentait de la déterrer. C’était alors un chien attaché à la plante qui se chargeait de la déterrer. D’ailleurs selon les croyances, il en mourrait la plupart du temps. On l’utilisait principalement en sorcellerie pour des prédictions, des guérisons… On l’utilisait d’aileurs pour guérir de la folie. De nombreuses croyances et superstitions à ce sujet ont été remises en causes depuis, mais le folklore européen n’a cessé de déformer et d’entretenir ses superstitions. D’autres part ses fruits parfumés de couleurs jaunes, appelés « pommes d’amour », étaient les pommes dorées d’Aphrodite.
Usages : On utilise la mandragore contre les spasmes (entérocolites, hémorroïdes), l’asthme et le rhume des foins. On la prescrit sous forme de cataplasme pour soigner les rhumatismes et les douleurs athritiques. Elle est aussi efficace contre les ulcères gastriques. Elle serait aussi somnifère et aphrodisiaque.
Effets : Narcotique, antispasmodique, modérateur réflexe.
Mises en garde : La mandragore est une plante toxique! Son usage n’est en aucun cas recommandé.
Vous voulez en savoir plus? Nous vous suggérons cet ouvrage : Les Pouvoirs magiques de la mandragore
Mandragores mâle et femelle. Manuscrit Dioscurides neapolitanus, Biblioteca Nazionale di Napoli, début du VIIe siècle.
Cette racine humanisée, « la main de gloire », de nos jours peu courante (un mythe pour beaucoup), source d’envie mais aussi de crainte révérencieuse, fait l’objet, essentiellement au Moyen Âge (de l’Antiquité jusqu’à la Renaissance), d’un culte macabre, d’ailleurs interdit par l’Église.
Les Grecs la nommèrent « plante de Circé la magicienne ». Symbole de fécondité, elle pouvait aussi révéler l’avenir ou rendre riche son propriétaire et lui porter chance. Dans la traduction du Bestiaire d’Oxford (manuscrit du Moyen Âge), la mandragore serait « l’arbre de la connaissance » dont Adam et Ève mangèrent le fruit. Dans le trentième chapitre de la Genèse, il est fait mention de mandragores (ou pommes d’amour selon les traductions). Léa, la première épouse de Jacob, avait cessé d’enfanter. Ruben, leur fils aîné, rapporte à sa mère des mandragores. Rachel, sœur de Léa, seconde épouse et la préférée de Jacob, demande à sa sœur de les lui donner. Celle-ci n’accepte qu’en échange de passer la nuit avec Jacob, ce à quoi Rachel consent. Léa concevra cette nuit-là et donnera plus tard naissance à Issacar en disant: « Dieu m’a donné mon salaire » (Genèse 30:14-18).
Les précautions lors de la cueillette sont classiquement énoncées dans les écrits de Paracelse (1493-1541) dont il existe diverses variantes décrites, mais figurent dans des manuscrits plus anciens, tels que ceux de Josèphe (37 à 90) ou Théophraste. Pour se procurer la racine de mandragore si dangereuse, il fallait des rituels magiques. Celui qui arrache la mandragore sans précaution, s’il ne devient pas fou en entendant les hurlements de la plante, sera poursuivi par sa malédiction…
Arrachage d’une mandragore. Manuscrit Tacuinum Sanitatis, Bibliothèque nationale de Vienne, v. 1390.
Selon les divers écrits décrivant les rituels, on sait qu’ils se déroulaient les nuits de pleine lune. Les mandragores qui poussaient au pied des gibets étaient très prisées car on les disait fécondées par le sperme des pendus, leur apportant vitalité, mais celles des places de supplice ou de crémation faisaient aussi parfaitement l’affaire. Des « prêtres » traçaient avec un poignard rituel trois cercles autour de la mandragore et creusaient ensuite pour dégager la racine, le cérémonial étant accompagné de prières et litanies. Une jeune fille était placée à côté de la plante pour lui tenir compagnie. On passait également une corde autour de la racine et on attachait l’autre extrémité au cou d’un chien noir affamé que l’on excitait au son du cor. Les prêtres appelaient alors au loin le chien pour qu’en tirant sur la corde il arrache la plante. La plante émettait lors de l’arrachage un cri d’agonie insoutenable, tuant l’animal et l’homme non éloigné aux oreilles non bouchées de cire. La racine devenait magique après lavage, macération et maturation en linceul ; elle représentait l’ébauche de l’homme, « petit homme planté » ou homonculus. Ainsi choyée, elle restait éternellement fidèle à son maître et procurait à son possesseur, prospérité prodigieuse, abondance de biens, et fécondité. Elle était vendue très cher en raison du risque à la cueillette, et ce d’autant plus que la forme était humaine, de préférence sexuée par la présence de touffes judicieusement disposées.
La Mandragore est aussi utilisée dans certaines formes de Vaudou.
Document Wikipédia
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Posté par eurekasophie le 14 février 2009
http://www.livres-chapitre.com/-U0A672/-RATSCH-CHRISTIAN/-LES-PLANTES-DE-L’AMOUR.html
Les Plantes de l’Amour
Le célèbre ethnologue allemand Christian Rätsch nous livre ici une splendide étude des aphrodisiaques à travers l’histoire et la mythologie, sous toutes les latitudes et parmi toutes les croyances. Le lecteur trouvera en outre une description détaillée de cent treize plantes aphrodisiaques et de leurs différents usages. Chimie, botanique, religion, sexualité, Rätsch touche à tout pour constater combien nous nous sommes éloignés de nos corps. C’est donc tout à fait logiquement qu’il nous offre pour finir un succulent cahier de recettes aphrodisiaques et de conseils d’usage.Depuis des temps immémoriaux et chez tous les peuples du monde, des plantes sont utilisées comme aphrodisiaques pour augmenter le plaisir et les joies de l’amour physique. Les Plantes de l’amour raconte l’histoire et les modalités de cet usage. Cent treize plantes aphrodisiaques, les plus connues et les plus actives, sont ici répertoriées : agave et absinthe, ylang-ylang et yohimbehe, éternelle cannelle,
subtile mandragore ou champignons magiques, tous les usages et les effets spécifiques y sont.Un cahier de plus de cinquante recettes d’infusions, de vins, d’eaux de vie, de teintures, de bains, d’huiles et de pommades, d’encens et de pilules aphrodisiaques orientales vient compléter ce magnifique ouvrage copieusement illustré, qui établit le lien entre les dernières connaissances scientifiques, le savoir traditionnel – avec notamment de nombreuses références à la mythologie – et l’environnement culturel, afin de permettre à chacun le plaisir de découvrir de nouvelles sensations.
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Posté par eurekasophie le 14 février 2009
Des promesses de santé et de longévité .
Depuis quelques années, le soja envahit les rayons de nos supermarchés et magasins diététiques au point de devenir le principal concurrent des produits laitiers. Alors interrogeons-nous : les vertus de cet aliment, venu d’Asie , sur la santé sont-elles bien réelles ?
PLante grimpante de la famille des légumineuses comme les pois ou les haricots secs, le soja est largement cultivé pour ses graines oléagineuses, qui fournissent la principale huile alimentaire consommée dans le monde. Le terme désigne aussi ses graines, qui constituent l’un des aliments naturels les plus riches en protéines- environ 40 % -, et dont la composition se rapproche des protéines de la viande et des produits laitiers. Il renferme également une grande quantité de glucides, de lipides, de vitamines A et B, de potassium, de calcium et de magnésium. En revanche, le soja n’est pas une source de zinc, fer, carnitine et vitamine B12. Le soja est originaire des régions chaudes du sud-est de l’Asie, mais 45 % des surfaces cultivées se trouvent aux Etats-Unis et 55 % de la production mondiale provient de ce pays.
Le soja: pourquoi on aime ça ?
Le soja bon pour le coeur et anti cholestérol ?
Selon une allégation santé reconnue en 1999 par la Food and Drug Administration aux Etats-Unis et confirmée en 2002 par le Joint Health Claim Institut britannique, la consommation de 25 grammes par jour de protéines de soja, associée à une réduction des graisses saturées, pourrait réduire les risques de maladies cardio-vasculaires. Une consommation régulière de soja, qui contient des acides gras insaturés et des protéines végétales, diminuerait aussi le taux de cholestérol dans le sang. Il contient également une quantité non négligeable d’Oméga 3 et de la lécithine, qui favorisent l’élimination du cholestérol par la vésicule biliaire.
Mais, pour bénéficier de cette vertu, il ne suffit pas d’en manger de temps en temps: l’AFSSA (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments ) reconnaît un effet à partir de 30 grammes par jour. De plus, les moments de la prise sont également importants. Une analyse portant sur 57 essais cliniques contrôlés publiés depuis 1995 confirme l’effet hypocholestérolémiant des protéines de soja et montre que celui-ci est d’autant plus marqué que l’ingestion est répartie au cours de la journée.
Le soja, allié de la minceur ?
La composition même des protéines de soja concourt à un meilleur équilibre pondéral. Lors d’une étude destinée à traiter l’obésité, il a été prouvé que remplacer les protéines animales par des protéines de soja provoque une perte de poids et une diminution du diabète. En effet, les personnes qui suivaient un régime hypocalorique à base de soja ont perdu 4 kilos de plus que ceux suivant une diète classique.
Cependant s’il est indéniable que le soja est une source nutritionnelle, qui permet de varier et compléter son alimentation pour une meilleure qualité de vie, il ne faut pas lui attribuer un rôle de médicament, d’autant qu’on le prend sous forme transformée.
Le soja, ami des femmes ?
Le soja contient également des molécules spécifiques appelées isoflavones ou phytoestrogènes qui ont une structure semblable aux oestrogènes humains et possèdent une légère activité hormonale. Grâce à cette spécificité, elles sont particulièrement utiles pour les femmes ménopausées. Elles présentent moins d’effets secondaires que les hormones naturelles ou de synthèse et limitent la déminéralisation osseuse. De plus, les isoflavones joueraient un rôle important dans la lutte contre le processus cancéreux, en limitant la division cellulaire. Ainsi, selon certaines études en cours, le risque de cancer du sein serait 5 à 8 fois moindre chez les femmes japonaises, grandes consommatrices de soja, que dans les populations d’Europe occidentale.
Le soja, complice de nos neurones ?
Vous l’aurez compris, les graisses de soja, contrairement aux graisses des viandes et des produits laitiers, sont des graisses protectrices. Elles contribueraient également à la production dans le cerveau d’acétylcholine, un des neurotransmetteurs essentiels de la mémoire. Autre intérêt, l’acétylcholine est aussi le neurotransmetteur du système neurovégétatif qui conduit à la détente. Mais là aussi, il faut apporter un bémol puisque le mécanisme d’action soja sur les neurones reste difficile à démontrer.
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Posté par eurekasophie le 14 février 2009
Méga salade composée au soja vert |
Préparation : 30 mn
Cuisson : 1 heure Ingrédients (pour 6 personnes) :
- 75 g de riz (blanc, sauvage ou complet)
- 1 concombre
- 3 tomates
- 75-100 g de soja vert (en graines, à acheter en magasin diététique, cuit, cela ressemble à des petits pois)
- 1 petite boîte de thon
- câpres
- cornichons
- 1 petite boîte de maïs
- 1 petite boîte de macédoine de légume
- 1 carotte râpée
- 1 oignon, 1 ou 2 échalotes
- sel, poivre
- huile d’olive
- vinaigre de cidre
Facultatif:
- graines de lin et/ou de sésame (pour leur apport an acides gras oméga 3 )
Les boîtes seront du format le plus petit possible.
Préparation :
Faites cuire le riz et les graines de soja (40 mn en général après trempage, comme les lentilles).
Dans un grand saladier, mélangez les boîtes de maïs, de macédoine, le concombre et les tomates coupées en dés pas trop gros, les câpres, les cornichons coupés en rondelles, la carotte râpée, le thon émietté, les oignons/échalotes en petits morceaux. Ajoutez le riz et le soja refroidi. Faites une vinaigrette classique. Saupoudrez de graines.
NB: compte tenu du nombre d’ingrédients (à moduler selon vos goûts), si vous souhaiter manger plusieurs jours cette salade, n’assaisonnez qu’au fur et à mesure de votre consommation pour une meilleure conservation.
Soupe chinoise au poulet |
Préparation : 45 min
Cuisson : 20-25 min Ingrédients (pour 2-3 personnes) :
- 2 blancs de poulet coupés en lamelles
- 1 cuillère à soupe d’huile
- 1 gousse d’ail
- 1 oignon émincé
- 1 carotte coupée en bâtonnets
- 100 g de pousses de soja
- 60 cl de bouillon de volaille
- 1 cuillère à soupe de farine ou maîzena
- 1/2 cuillère à soupe de piment (ou des gouttes de Tabasco)
- 1/2 cuillère à café de gingembre en poudre
- 1 cuillère à soupe de sauce soja
- 1/2 cuillère à soupe de vinaigre
- 125 g de nouilles chinoises
- 3 ou 4 champignons noirs
- sel et poivre
Préparation :
Faites chauffer l’huile dans une cocotte ou un wok et faites-y revenir le poulet avec l’ail, l’oignon, et les légumes, et faites revenir quelques minutes. Ajoutez le bouillon et laissez cuire de 12 à 15 mn.
Délayez la maîzena avec du bouillon et versez-la dans le plat. Ajoutez les nouilles et les champignons préalablement réhydratés. Assaisonner à votre goût et laissez cuire quelques minutes. C’est prêt !
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Posté par eurekasophie le 14 février 2009
La primevère (primula veris), aussi appelée coucou, est l’une des premières fleurs du printemps. En ce moment, on trouve les primevères en abondance dans la nature verdoyante d’Auvergne, où mêlées aux fleurs de pissenlit, elles nous gratifient de superbes prairies vertes et jaune… Ce que l’on sait moins, c’est que, tout comme la fleur de pissenlit, la fleur de la primevère est comestible.
Historiquement, dès le XIIème siècle, Sainte Hildegarde la préconisait comme remède à la mélancolie. Plus près de nous, on sait que les fleurs de primevères ont des vertus adoucissantes et calmantes. Ainsi, elles sont utilisées dans des mélanges pectoraux.
Une bonne occasion de redécouvrir la primevère est de goûter au confit de fleurs de primevère des confitures Floranne : c’est original, et bon pour le moral et la gorge !A commander sur Testadaz
Confit de fleurs de primevères
Confit de fleurs de pissenlit
Gâteau aux primevères
1 belle poignée de fleurs de coucou
250 g de biscuits à la cuillère
1 pot de crème fraîche
6 oeufs
1 cuillère à soupe d’eau de rose
5 cuillères à soupe de sucre
Pasez les fleurs de coucou (primevère haute, jaune, mais d’autres pourront convenir) à la moulinette électrique. Ajoutez à cette pâte les biscuits à la cuillère émiettés.
Mélangez le tout très soigneusement (au mixeur au besoin). Versez dans un saladier, incorporez la crème fraîche, l’eau de rose et les jaunes d’oeufs.
Battez les blancs en neige en y ajoutant graduellement les cuillerées de sucre jusqu’à obtenir une meringue ferme.
Vous la mélangerez délicatement, à la fourchette, à la pâte de fleurs.
Versez le tout dans un plat préalablement beurré. Faites cuire au bain-marie, à four moyen 1/2 h.
Avant de servir, saupoudrez de sucre glace et décorez avec quelques fleurs fraîches .
Une recette de Clotide BOISVERT
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