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DORS MON ANGE ….

Posté par eurekasophie le 9 février 2009

 

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VIENS …..JE T’emmène …..

Posté par eurekasophie le 9 février 2009

 

 

 

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Suis mes pas ……et tu trouveras la douceur et la volupté. 

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LA SALICAIRE

Posté par eurekasophie le 9 février 2009

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Fiche technique de la Salicaire

Nom latin : Lythrum Salicaria

Noms usuels : Salicaire à épis, Salicaire officinale, Herbe aux coliques, Lysimaque rouge, Lythre salicaire.


Famille :
Lythracées

La Salicaire est appréciée depuis l’Antiquité pour ses vertus médicinales. Cependant, elle est également employée pour colorer les bonbons en rouge et dans les préparations culinaires comme légume ou même comme substitut du thé.

C’est une plante vivace qui peut mesurer jusqu’à 1.50 m de haut. Sa tige est bien droite, de forme quadrangulaire et poilue. Les feuilles sont elles aussi poilues, en ovale allongé et pointu. Les fleurs s’épanouissent du mois de Juin à Septembre. Elles sont rosées avec des nuances de violet, hermaphrodites et disposées en épi.

Cette plante n’a pas d’odeur.

La Salicaire est constituée de provitamine A, de fer, d’oxalate de calcium, de sucres, de tanin, d’hétérosides, de choline.

En phytothérapie, les parties utilisées sont les sommités fleuries, le suc frais, les jeunes tiges. La récolte a lieu de Juin à Septembre et le séchage doit être réalisé à l’abri de la lumière.

On la trouve en Europe jusqu’à 1400 m d’altitude dans les endroits humides tels que les marécages.

Propriétés et utilisations de la Salicaire

PROPRIÉTÉS DE LA SALICAIRE

Astringent, hémostatique, tonique

UTILISATIONS DE LA SALICAIRE

Diarrhée, eczéma, leucorrhée, ulcère

PHYTOTHÉRAPIE

En infusion 20 g par litre d’eau à raison de 3 tasses par jour.

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UN REGARD INDICRET………..

Posté par eurekasophie le 9 février 2009

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Mais que font-ils donc ?

 

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Madame lit pour passer le temps .. 

 

 

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C’est la leçon de piano pour l’enfant

 

 

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Pendant que sa soeur tisse….

 

 

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Celle-ci écrit à son mari qui est au loin … 

 

 

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Celle-là se complet dans la douceur de son salon d’hiver..

 

 

 

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LE FUCUS

Posté par eurekasophie le 9 février 2009

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Fucus spiralis                                                                           Fucus vésiculosus

Nom latin : Fucus vesiculosus.

Origine : Atlantique Nord, Méditéranée Occidentale.

Partie utilisée : le thalle.

Description : Les algues, concentrés naturels des richesses de l’océan, sont de véritables cocktails d’éléments vitaux. En effet, elles mettent à notre disposition de nombreux oligo-éléments : cuivre, chrome, zinc (intervenant dans de nombreux mécanismes enzymatiques des cellules), sélénium, fer, manganèse et iode.

Le fucus est également riche en nombreuses vitamines, dont l’acide folique, la vitamine C, des vitamines du groupe B (B 1, B 2, B 6, B 12) favorisant le métabolisme des nutriments, en particulier des sucres. Le fucus intervient comme stimulant des échanges cellulaires grâce à son iode. Il favorise également l’élimination des déchets de l’organisme.

Riche en protéines végétales assimilables, il est pauvre en calories et en lipides. Il contient aussi des mucilages non assimilables, ayant la propriété de gonfler dans l’estomac au contact de l’eau, d’où un effet coupe-faim naturel, ainsi que des fibres végétales facilitant le transit intestinal. Les algues sont conseillées pour couper la faim et faciliter la perte de poids tout en apportant à l’organisme les éléments nécessaires à son tonus et à son équilibre.

LA TRADITION

Traditionnellement, on envoyait autrefois les enfants rachitiques ayant des problèmes de croissance au bord de la mer pour bénéficier des bienfaits de ces algues pourvoyeuses d’iode et de bien d’autres minéraux et vitamines.

On faisait de même avec les tuberculeux, à l’époque où cette maladie décimait la population, dans des sanatoriums tombés en désuétude, progressivement remplacés par des centres de thalassothérapie qui se multiplient depuis vingt ans, accueillant une clientèle pour bien des indications :

  • Remise en forme.
  • Amincissement.
  • Récupération après une grossesse.
  • Convalescence post-opératoire.
  • Traumatologie sportive.
  • Rééducation après un accident

On reconnaît au Fucus des vertus d’activateur de la glande thyroïde et des échanges métaboliques. Il permet également la reminéralisation et aide au transit. Le Fucus est souvent recommandé aux personnes en excès de poids, ou souffrant d’insuffisance thyroïdienne, de lymphatisme, de retard de croissance, de constipation ou de chute des cheveux.

Il est aussi recommandé par voie externe (cataplasme) pour lutter contre cellulite. On trouve le fucus sous forme de poudre, de gélule ou de solution hydro-alcoolique.

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LE SUCRE ET SON HISTOIRE

Posté par eurekasophie le 9 février 2009

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L’histoire du sucre


La betterave doit tout à Napoléon. Sans les victoires de l’Empereur, le Blocus continental n’aurait jamais été décrété, et sans le Blocus continental, nous mangerions encore aujourd’hui, selon toute probabilité, exclusivement du sucre de canne, ce qui revient à dire que la plupart des gens ne pourraient pas se permettre le luxe d’en manger.
L’antiquité ne connaissait pas le sucre. Même les enfants gâtés des riches ignoraient les sucreries. Jusqu’au XIIIème siècle, la friandise la plus délicieuse consistait en fruits confits dans du miel et des confitures faites au miel.
Telle était du moins la situation de l’Europe où on élevait d’innombrables essaims d’abeilles pour satisfaire aux besoins en produits édulcorants. En Extrème-Orient, par contre, et surtout aux Indes, le sucre était déjà bien connu. Peut-être raffinait-on ces cristaux bruns, tirés de la canne à sucre sauvage, depuis des milliers d’années.
Ce furent les croisés qui, les premiers, rencontrèrent le sucre. De nombreux transports de sucre venaient à dos de chameau sur les longues routes des caravanes, à travers 1′Arabie ou 1′Asie Mineure, jusqu’à Jérusalem où les Templiers avait érigé un royaume chrétien.
Entre 1099 et 1244, Jérusalem fut à plusieurs reprises entre les mains des chrétiens, (une fois même pendant quatre vingt-huit ans sans interruption). A cette époque, de nombreux contacts s’établissaient entre l’Orient et l’Occident, tout l’avantage de ce dernier.
Le sucre venait des Indes. Les croisés qui y goûtaient avec plaisir, l’appelaient le « sel indien ». Le mot sucre vient du sanscrit sarkara. Le Talmud le désigne par le mot sakkara. Les Hindous l’appellent sakar.
Quoi d’étonnant que les croisés aient envoyé cette exquise nouveauté à leurs amis et parents lointains ? Bientôt Alexandrie devint le port principal pour le commerce du sucre. Les caravanes de chameaux l’apportaient jusqu’à la côte égyptienne où il était pris en charge par la flotte marchande de Venise. Le commerce du sucre était un des facteurs déterminants de la richesse vénitienne au moyen âge.
A vrai dire, ce sucre nous paraîtrait aujourd’hui fort médiocre. D’une couleur brun foncé, mal raffiné, lourd et plein d’impuretés, il avait, en outre, maint petit goût particulier, fort curieux. Avant tout, il avait l’odeur et le goût de la sueur de chameau, mais comme on n’était pas trop gâté à cette époque-là, on jouissait, de cette acquisition d’Orient comme d’un don extrêmement précieux.
Bientôt, cependant, des raffineries ·étaient fondées à Venise et dans d’autres villes d’Italie. On faisait bouillir cette masse brune, ressemblant à de la mélasse, dans de grands bassins de cuivre, et après l’avoir centrifugée, on obtenait un sucre cristallisé beaucoup plus clair et plus pur ; mais on était loin d’atteindre au degré de filtrage auquel nous sommes habitués de nos jours.
On tenta enfin des cultures de canne à sucre en Sicile et en quelques autres endroits, notamment à Madère et dans les îles Canaries, d’où finalement, la canne à sucre fut exportée au Brésil.
Le sucre raffiné, centrifugé, était appelé sucre blanc et considéré comme médicament. Seules les pharmacies avaient le droit d’en vendre, et encore en quantités minimes pesées sur des balances de précision. Beaucoup de temps devait s’écouler encore avant que le sucre quittât les pharmacies pour les épiceries, et pour cela, il fallut la venue de Napoléon.

Au XVII ème siècle, le sucre était encore une telle rareté que le sucrier qu’on posait sur la table était fermé à clef. Le chef de la famille seul en possédait la clef et distribuait les minuscules morceaux, les miettes de sucre au dessert Il était convoité par tous.
Même à la cour de Louis XIV, l’usage en était resté, et l’honneur était grand pour les courtisans et les hôtes si le roi-soleil sortait la clef et faisait de ses propres mains, parcimonieusement, la distribution.
Au XVIIIème siècle, la consommation de sucre s’accrut. Après le siége de Vienne en 1683, l’habitude de boire du café vint à la mode en Occident. Les Viennois, eux, avaient appris des Turcs, et leur café devait tout naturellement être sucré. On attribue à Voltaire, alors hôte de Frédéric II, le mot :  » Le café doit être noir comme la nuit, chaud comme l’enfer et doux comme l’amour.
Du temps de Louis XV, les dames adoraient les sucreries, le café doux et leur chocolat du matin, breuvage qui était venu à la mode quelques dizaines d’années après le café et qui était absolument imbuvable sans sucre. A cette époque, on ne demandait pas aux femmes d’être maigres, et la corpulence due à la consommation considérable de sucre était très bien cachée par les paniers.

Comme de bien entendu, cette denrée fort coûteuse engloutissait le plus clair du budget ménager. Rien d’étonnant, dans ces conditions, qu’on se mît à la recherche, dès lors, d’un sucre moins cher. L’expérience avait prouvé que la canne sucre ne venait pas dans la zone tempérée et, pourtant, il devait être possible de produire du sucre en Europe.
N’existait-il vraiment aucune autre plante utilisable à cette fin ?
Un chimiste allemand du nom de Marggraf essaya pour la première fois, en 1747 de se servir de la betterave pour faire du sucre.
Sa tentative réussit, mais c’était un processus très long, très pénible et entrepris avec des moyens insuffisants. La betterave d’alors n’était guère comparable à notre betterave à sucre d’aujourd’hui, parce qui sa teneur en sucre était minime. Cependant, la découverte était d’importance.
Vers la fin du siècle, les importations d’outre-mer cessèrent peu à peu. La flotte anglaise mouillait devant les ports français et empêchait les bateaux d’y entrer. Or possédait encore des stocks, mais le sucre le café et le cacao voyaient déjà leur prix monter de mois en mois.
Des hommes ingénieux essayèrent alors de fabriquer des succédanés. On se servait tour à tour de glands, de pois et de grain de blé torréfiés. Finalement, on trouva que le grain torréfié était le meilleur succédané de café auquel on ajoutait, suivant les goûts, un peu de chicorée. Cet  » ersatz  » devenait courant, et en Allemagne, le  » café  » de grains est aujourd’hui encore très répandu.

Le problème du café était résolu, mais par quoi pouvait-on remplacer le sucre.
En Allemagne, le chimiste Achard, fils de réfugiés français, âgé alors d’une quarantaine d’années, reprit les expériences de son prédécesseur Marggraf. Plus de cinquante ans s’étaient écoulés depuis, et on marquait toujours le pas. Le procédé grâce auquel on obtenait du sucre de la betterave était beaucoup trop compliqué, plein d’embûches.
Or, les frontières étaient fermées, l’importation de sucre de canne définitivement bloquée. Il fallait entreprendre quelque chose si on ne voulait pas s’en passer complètement.
Achard possédait un grand domaine en Silésie. Profitant des expériences de Marggraf, il résolut de produire sur ses terres du sucre au départ de la betterave.
Il fit transformer une grange où il installa deux grandes meules pour broyer les betteraves. Il s’agissait de meules verticales comme on en utilise encore aujourd’hui dans la fabrication du papier pour effilocher les vieux chiffons et les vieux papiers. On installa également neuf grandes chaudières en cuivre et on commença, au printemps de 1802, la production de sucre.
Pour cette expérience, Achard avait choisi environ 8.000 quintaux de betteraves provenant de ses propres terres. En plus, il avait conclu un contrat avec son voisin, le général von Manstein, qui s’engageait, en cas de réussite, à fournir la totalité de sa récolte de betteraves à la raffinerie de sucre de François Achard.
Le succès fut surprenant. Nous autres, hommes de la très proche XX ème siècle, pour qui la technique va de pair avec l’industrie, nous ne pouvons imaginer une usine sans machines. Pourtant, Achard travaillait sans machines, réduit aux seules ressources de son ingéniosité.
C’est pourquoi nous ne pouvons qu’admirer ses résultats : des 8.000 quintaux de betteraves, Achard tira 604 quintaux de sucre et 474 quintaux de sirop. Le prix de revient du quintal s’élevait à 18 écus. La livre de sucre avait donc coûté 54 pfennigs. Pour l’époque et vu la valeur de l’argent, c’était une somme énorme si l’on considére qu’un ouvrier ne gagnait guère plus d’un mark par jour.
Pour le raffinage de ces 8.000 quintaux de betteraves, il avait fallu 192 journées de travail, car les moyens de production étaient rudimentaires. Le maximum atteint dans une journée avait été de 90 quintaux de betteraves.
Les expériences et les projets d’Achard étaient connus en Angleterre longtemps avant que le feu fût allumé sous les 9 chaudières et 1′Angleterre ne se laissait pas contrecarrer si facilement. Si ce hobereau prussien osait briser le monopole anglais du sucre en raffinant des betteraves, il fallait essayer de parer le coup. Par un intermédiaire, on lui offrit 50.000 écus.
Achard déclina poliment et continua ses travaux. Lorsque le suc concentré commença à couler dans les bacs de cristallisation, l’Angleterre fit une deuxième offre. Cette fois-ci, on voulait y mettre le prix 200.000 écus.
Achard devait seulement s’engager à deux choses :
- Primo, il devait déclarer publiquement que les essais en vue de produire du sucre comestible à partir de la betterave avaient malheureusement échoué, et que le sucre de betterave ne pouvait jamais remplacer le sucre de canne.
- Secundo, il devait arrêter immédiatement sa production et promettre solennellement de ne jamais recommencer ses expériences, ni sur son domaine, ni ailleurs, ni à travers des hommes de paille.
Achard déclina cette proposition séduisante et demanda au roi de Prusse de lui accorder une concession pour la fabrication de sucre de betterave.
Cette concession fut accordée. De plus le roi invita tous les grands propriétaires à installer également des raffineries sur le modèle de celle d’Achard. Ce dernier était prié d’aider de ses conseils tous ceux qui s’y intéresseraient.
Pour donner plus d’attrait à ses recommandations, le roi offrit des primes : tout propriétaire, produisant sur ses terre quatre cents quintaux de sucre brute au cours d’une campagne, devait toucher une prime de cinq cents écus. Ainsi fut donnée la première impulsion officielle à l’industrie européenne du sucre.
A la suite du blocus continental, Napoléon ordonna partout l’installation de raffineries suivant le modèle de l’usine d’Achard. Mais le sucre de betterave n’avait pas les faveurs du public, il était toujours considéré comme un ersatz. On le dénigrait dans des épigrammes, on prétendait même qu’il constituait un danger pour la santé. Il n’était pas possible que le sucre fait avec le suc de la betterave, bonne tout juste à nourrir le bétail, fût propre à la consommation humaine. Il devait s’agir d’une supercherie. La canne à sucre et tous ceux qui en tiraient des proflits éhontés, ne s’avouaient pas encore battus.
Des dizaines d’années devaient s’écouler avant que le sucre de betterave, grâce au progrès de l’industrialisation, due elle·même en partie à l’accroissement de la demande, pût s’imposer définitivement. La betterave, de son côté, était continuellement améliorée et sa teneur en sucre augmentait sans cesse.
Sans la betterave, il eût été impossible de satisfaire les besoins de la population toujours croissante d’Europe.
Sans la betterave, le morceau de sucre serait toujours, chez nous, une friandise coûteuse, et même précieuse, réservée aux riches.

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FENETRES OUVERTES ..

Posté par eurekasophie le 9 février 2009

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LE CURCUMA

Posté par eurekasophie le 9 février 2009

Comment lire une taxobox Curcuma
Curcuma longa
Curcuma longa
Classification classique
Règne Plantae
Division Magnoliophyta
Classe Liliopsida
Ordre Zingiberales
Famille Zingiberaceae
Genre Curcuma
Nom binominal
Curcuma longa
L., 1753
Classification phylogénétique
Ordre Zingiberales
Famille Zingiberaceae
Curcuma réunionnais en fleurCurcuma réunionnais en fleur

CURCUMA
ZEDOAIRE

CURCUMA LONGA
CURCUMA ZEDOARIA

ZINGIBERACEAE

Les plantes de la famille des zingiberaceae sont utilisées sur tous les continents, et principalement dans les régions tropico-équatoriales, pour leurs propriétés odoriférantes, culinaires (épices) et médicinales , qui sont partagées à des degrés divers par tous les genres.Les plus connus, Zingiber, Curcuma, Hydechium, proviennent de l’Eurasie mais sont cultivés ou subspontanés dans l’ensemble du monde de même pour des genres purement américains (Costus, Renealmia).
On citera aussi les genres Kaemferia, Alpinia, Ammomum, Boesenbergia.
Ce sont en général de grandes herbes sauvages, vivaces par un rhizome et préférant les lieux humides
On les cultive pour leur rhizome (curcuma, gingembre) ou comme plantes décoratives pour leurs épis floraux colorés et leurs grandes feuilles (rose de porcelaine, iris de Florence). En médecine traditionnelle on les utilise pour traiter de nombreuses affections:

  • comme « régulateurs » des troubles génitaux féminins: antiabortif, emménagogue(voir lexique), régulateur de la menstruation,
  • comme anti-inflammatoires, antipyrétiques(voir lexique), antirhumatismaux,
  • dans les affections broncho-pulmonaires: antiasthmatiques, antitussifs et expectorants (voir lexique),
  • enfin pour traiter des troubles digestifs variés: antiémétiques, antiulcéreux, antispasmodiques et antidyspeptiques(voir lexique).

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Le CURCUMA fait l’objet de culture importantes aux Indes, au Sri Lanka, en Indonésie, en Chine mais aussi en Caraïbe et dans certaines îles du Pacifique.
Vivace par son rhizome, le curcuma a de grandes feuilles engainantes et un épi de fleurs jaunâtres avec des bractées teintées de rose ou de pourpre.
On récolte le rhizome après dessèchement des parties aériennes, il est séché, débarrassé de ses racines et téguments écailleux.
La cassure montre l’intérieur jaune à rouge-orangé d’odeur aromatique

COMPOSITION CHIMIQUE ET PROPRIETES

costus.jpg Riche en amidon (45 à 55%), le curcuma renferme 2 à 6% d’huile essentielle (voir lexique) et des colorants, les curcuminoïdes (jusqu’à 8%), dont le composé majoritaire est la curcumine (50 à 60%).L’huile essentielle du jus de rhizome est antiseptique, antimicrobienne et répulsive pour les insectes.
L’activité anti-inflammatoire de la curcumine est mal expliquée: inhibition de certains enzymes, action sur la synthèse des prostaglandines ou action directe sur les granulocytes. Elle est assez nette aussi bien sur l’inflammation aiguë que chronique.
La curcumine montre un activité anti ulcérogène sur l’estomac: protection contre l’ulcère par stress ou par toxique et aussi restauration de la muqueuse gastrique sur l’ulcère provoqué.
Enfin l’extrait hydroalcoolique de rhizome est un protecteur du parenchyme hépatique (toxicité induite par le tétrachlorure de carbone).
Certains auteurs pensent que l’activité anti-inflammatoire et antihépatotoxique est due à des propriétés antyoxydantes, antiradicaux libres (voir lexique).

 Le rhizome de curcuma en poudre est le constituant principal du « curry » alimentaire.
Frais, le rhizome exsude un jus réputé antiscorbutique, colorant en jaune les tissus (tissu de Madras) ou servant de peinture corporelle (mélangé à de l’huile de coco), enfin c’est un bon répulsif pour les moustiques.
 

curcumacarrecomp.jpg La curcumine (poudre de rhizome ou extrait hydroalcoolique) est un colorant alimentaire atoxique et particulièrement stable (chaleur et Ph).En Inde et en Chine on l’utilise comme anti-inflammatoire dans le traitement des rhumatismes.On peut penser que dans le « curry », le curcuma compense en partie les effets irritants sur la muqueuse digestive des autres composants (surtout le piment).Le curcuma entre dans la composition de nombreux phytomédicaments utilisés comme cholérétiques et cholagogues(voir lexique), dans les troubles dyspeptiques d’origine hépatique. On peut raisonnablement l’employer comme antiulcérogène et protecteur de la muqueuse gastrique.

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LE THE …..plus qu’une boisson ….

Posté par eurekasophie le 9 février 2009

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~ D’OU VIENT LE MOT THÉ ? ~

 

Avant que le mot thé nous arrive dans la langue française, les feuilles de thé étaient nommées tcha, cha, tay et tee. Le mot thé vient du mot amoy (dialecte chinois) t’e. Cela date de l’époque où les navires hollandais rencontraient les jonques chinoises près du port d’Amoy, dans la province chinoise du Fuxian. Il devint thee en hollandais; comme les Hollandais furent les premiers à commercialiser le thé en Europe, l’infusion s’appela tee en allemand, te en italien, en espagnol, en danois, en norvégien, en suédois, en hongrois et en malais, tea en anglais, thé en français, teja en letton, tee en finlandais,tey en tamoul,ta en coréen, thay en cingalais, et Thea pour les scientifiques. Le mot mandarin cha s’adapte ch’a en cantonais et cha en portugais (lors du commerce avec Macao, qui parlait le cantonais), idem en persan, en japonais et en hindi; il se transforme thay en arabe, ja en tibétain, chay en turc et chai en russe.
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 Depuis sa découverte, on a prêté au thé d’innombrables vertus médicinales. Les recherches actuelles témoignent d’ailleurs de la véracité d’affirmations énoncées depuis des siècles. Son atout majeur est d’être un produit complètement naturel, ne contenant aucun colorant, conservateur ou arôme artificiels. C’est aussi une boisson sans calories si on la prend sans lait ni sucre, qui peut jouer un rôle de régulateur physiologique.

Le thé est naturellement riche en fluor, qui renforce l’émail des dents et retarde la formation de plaques dentaires en éliminant les bactéries. Il prévient aussi les maladies de la gencive et les caries.

Des recherches menées sur les animaux suggèrent que la consommation de thé vert ou noir peut réduire les risques de cancer – en particulier cancer de la peau, du poumon et du côlon. On pense que les composants du thé noir peuvent avoir un effet antioxydant et empêcher ainsi la formation de substances cancéreuses dans les cellules du corps humain.

Plusieurs programmes de recherche menés ces dernières années attestent les actions bénéfiques du thé sur les affections cardiaques, infarctus et thromboses. La théine du thé agirait sur le cœur et le système cardio vasculaire comme un léger stimulant, et contribuerait ainsi à assouplir la paroi des vaisseaux sanguins, à éviter l’artériosclérose (le durcissement des artères). On pense également que les polyphénols du thé peuvent empêcher l’absorption de cholestérol par le sang et la formation de caillots.

La théine du thé strimule l’esprit en augmentant sa capacité de concentration et sa vivacité, et en permettant une perception plus fine des sensations, celle du goût et de l’odorat en particulier. Elle a aussi une action reconnue sur les sécrétions digestives et sur le métabolisme en général, y compris les reins et le foie, en contribuant à l’élimination des toxines et d’autres substances indésirables.

Le thé vert gage de santé

Des études épidémiologiques antérieures avaient fait pressentir les vertus anticancéreuses du thé vert. Le pourquoi n’était toutefois pas élucidé. Or, les chercheurs viennent de découvrir dans le thé vert une substance indibant une enzyme essentielle pour la progression du cancer .Pour leur croissance, les tumeurs nécessitent certaines enzymes capables de dégrader les tissus. Un représentant éminent de cette classe d’enzymes est l’urokinase, qui est produite en quantités importantes par la cellule cancéreuse. En l’inhibant, on parvient – du moins dans l’expérimentation animale – à réduire les tumeurs. Malheureusement tous les inhibiteurs de l’urokinase disponibles à ce jour entraînent de graves effets indésirables et n’entrent donc pas en ligne de compte comme substances thérapeutiques. Dans une nouvelle étude, les chercheurs ont donc porté leur attention sur un constituant du thé vert, le gallate d’éplgal/ocatéchol-3 (EGCG), qui ne se trouve pas dans le thé noir. Une comparaison avec un inhibiteur d’enzyme connu a montré que l’EGCG a une efficacité cytostatique moindre que ce produit, mais qu’il peut être consommé en quantités bien plus importantes sans avoir d’effets toxiques

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