ON SORT CE SOIR ?
Posté par eurekasophie le 7 février 2009
Publié dans MES IMAGES | 4 Commentaires »
Posté par eurekasophie le 7 février 2009
Publié dans MES IMAGES | 4 Commentaires »
Posté par eurekasophie le 7 février 2009
Sirop de Violette |
|
1 tasse de Fleurs de Violettes Eau Citron Miel
Remplissez un pot de la grandeur désiré de Fleurs de Violettes. |
Publié dans RECETTES SPECIALES | Pas de Commentaire »
Posté par eurekasophie le 7 février 2009
Miroir fragile reflétant les visages
icône champêtre:….
Un souffle et le miroir se fêle
en mille éclats de vie…..
Publié dans MES IMAGES | Pas de Commentaire »
Posté par eurekasophie le 7 février 2009
Les plantes à fleurs, telles que le Saintpaulia et le Sinningia speciosa n’ont pas de véritables tiges secondaires.
Pratiquer la bouture à partir d’une feuille après en avoir sectionné la queue: le pétiole, au ras du compost.
Il s’agit, en fait, de boutures à partir de portions de feuilles. Faciles à réaliser dans le cas de feuilles épaisses comme celles de Sansevieria trifasciata elles sont plus délicates à pratiquer sur des feuilles fines et fragiles, comme celles du Sinningia speciosa ou des Begonia.
Mais, en cas d’insuccès, après tout, on n’a gâché qu’une feuille, et l’opération peut être recommencée. Cependant la persévérance ne doit pas conduire à dénuder une plante en bonne santé.
Le matériel
1 paire de ciseaux, compost pour boutures, 1 feuille de plastique, 1 pot ou 1 bac assez large et peu profond.
Feuille de Sansevieria trifasciata
Prélever une feuille entière, la couper à la base avec une paire de ciseaux ou 1 sécateur.
Couper la feuille en tronçons de 7 cm environ. Faire des coupures nettes, en une seule fois.
Planter les tronçons verticalement, enfoncés de 3 à 4 cm dans le compost.
Traiter ensuite comme les boutures de tiges. Arroser. Recouvrir d’une poche en plastique transparent pendant 15 jours. Placer au chaud, le compost doit rester humide. Au bout de 3 semaines, enlever le plastique. Quand les nouvelles plantes ont poussé, les rempoter séparément.
Feuille de Begonia ou de Sinningia speciosa
Prélever une feuille et retirer le pétiole.
Découper avec une lame de rasoir, la feuille en plusieurs triangles, chaque triangle doit comporter une nervure aboutissant à un angle.
Planter les triangles verticalement, les enfoncer à demi dans le compost. Caler chacun des triangles en tassant légèrement le compost tout autour.
Traiter ensuite comme les boutures de tiges. Arroser. Recouvrir d’une poche en plastique transparent pendant 15 jours. Placer dans un endroit chaud, le compost doit rester humide. Au bout de 3 semaines, enlever le plastique. Quand les nouvelles plantes ont poussé, les dépoter et les rempoter chacune dans un petit pot.
Publié dans TOUT EN VERT ...... | Pas de Commentaire »
Posté par eurekasophie le 7 février 2009
Publié dans MES VIDEOS........ | 4 Commentaires »
Posté par eurekasophie le 7 février 2009
LA PENSEE SAUVAGE
La pensée sauvage nettoie le sang en profondeur
Traditionnellement la pensée sauvage était utilisée pour les maladies de peau et notamment comme dépuratif à visée dermatologique. Aujourd’hui, les phytothérapeutes la recommandent chaque fois qu’il est nécessaire de stimuler les fonctions d’élimination et faciliter ainsi le drainage des déchets et toxines de l’organisme.
Dépurative et anti-inflammatoire
La pensée sauvage possède des propriétés dépuratives, diurétiques, laxatives, calmantes et cicatrisantes par voie externe. La partie aérienne fleurie de la pensée sauvage contient essentiellement des saponosides et des flavonoïdes auxquels elle doit ses propriétés diurétiques et dépuratives, des dérivés salicylés, notamment du salicylate de méthyle, qui lui confèrent ses vertus cutanées en usage externe, des mucilages qui facilitent le transit intestinal et enfin des tanins.
Elle est en particulier prescrite pour la sphère cutanée car c’est une bonne plante de drainage de la peau. À ce titre, elle est indiquée pour les problèmes d’acné, de psoriasis, de dartre et d’eczéma. Anti-inflammatoire (elle est recommandée contre les hémorroïdes et les phlébites), elle est diaphorétique (favorise la transpiration) et anti-prurigineuse (soulage le prurit, un trouble fonctionnel des nerfs de la peau qui produit des démangeaisons). Réputée anti-allergique, la pensée sauvage est de plus en plus prescrite par les phytothérapeutes comme antihistaminique. Laxatif léger, elle serait efficace sur la sphère digestive en cas de constipation fonctionnelle légère.
Pensée sauvage, mode d’emploi
Interne
Externe
Remarque importante : à haute dose, la violette sauvage peut provoquer des éruptions cutanées. Ne pas donner aux jeunes enfants. En cours de traitement, la plante communique aux urines une odeur fétide dont il n’y a pas lieu de s’inquiéter.
Publié dans "P**", Mon repertoire des plantes les moins usitees | Pas de Commentaire »
Posté par eurekasophie le 7 février 2009
Publié dans MES IMAGES | Pas de Commentaire »
Posté par eurekasophie le 7 février 2009
Boutures de tiges secondaires
A partir d’un bout de plante ou bouture, il est possible d’en obtenir une nouvelle.
Le bouturage varie selon les espèces, mais le plus courant est celui qui s’effectue à partir des tiges secondaires, c’est-à-dire des rameaux rattachés à la tige principale, qui correspond au tronc.
Parmi les espèces recommandées pour débuter, il peut s’appliquer à : Fatsia japonica, Begonia, Hoya carnosa, Kalanchoe, Saint paulia.
Effectuer ces oprérations au printemps de préférence. Si le temps est frais, protéger les boutures sous du plastique transparent pour créer un effet de serre. Quand la bouture est à l’étroit, la dépoter pour lui donner un pot plus grand, correspondant à sa croissance.
Le matériel
Vieux journaux, pot neuf de 10 cm et coupelle, compost pour bouture, 1 petit morceau de pot cassé, poche en plastique transparent, 2 morceaux de tuteur de 10 cm environ, lame de rasoir ou sécateur pour les tiges épaisses, crayon .
Etaler les journaux sur la surface de travail. Préparer le pot destiné à recevoir la bouture: poser sur un trou de drainage un morceau de pot cassé, face convexe vers le haut et remplir le pot de compost jusqu’à 2 cm du haut. Tasser doucement la terre.
Prélever une tige secondaire de 7 à 10 cm, bien saine, comportant 2 paires de feuilles au moins. Couper la tige, à la lame de rasoir ou au sécateur si elle est trop épaisse, légèrement en biseau, sous un noeud ou point d’attache des 2 feuilles les plus basses.
Oter doucement avec les doigts les 2 feuilles les plus basses, en manipulant la bouture avec précaution. Creuser un trou dans le compost avec le crayon, jusqu’à 3 ou 4 cm de profondeur.
Placer la bouture dans le trou, verticalement, de façon à laisser dépasser 1 ou 2 cm de la tige, et une paire de feuilles. Maintenir doucement la bouture par la tige.
Rabattre du compost autour de la tige, pour la caler. Lâcher la bouture, qui doit maintenant tenir toute seule. Tasser la terre. Arroser.
Piquer 2 morceaux de tuteur et recouvrir de la poche en plastique. Mettre dans un endroit chaud et éclairé. Tous les 2 jours, soulever le plastique pour vérifier l’humidité du compost; arroser si nécessaire.
Publié dans TOUT EN VERT ...... | Pas de Commentaire »
Posté par eurekasophie le 7 février 2009
A partir d’une seule plante il est possible d’en créer de nouvelles à peu de frais.
Selon les espèces, les méthodes changent. La façon de procéder la plus simple est la multiplication par couchage
Elle convient aussi bien au Chlorophytum qu’aux lierres. Une seule variante intervient en cours de travail: en effet, le Chlorophytum présente déjà des plantules, ou stolons, au bout de ses tiges tandis que, chez le lierre, il faut intervenir pour susciter la naissance d’une 2ème plante.
Le matériel
2 ou 3 morceaux de pot cassé, 1 sac de compost, 1 pot neuf de 8 cm, 1 coupelle de 10 cm, vieux journaux, cuillère à soupe, gants.
Pour le chlorophytum
Epingle à cheveux, lame de rasoir.
Pour le lierre
Caillou ou galet, ciseaux bien aiguisés.
Etaler des journaux sur la table de travail, y poser le petit pot, les morceaux de pot cassé et le compost, ainsi que les outils nécessaires.
Poser au fond du pot les bouts de pot cassé, face convexe vers le haut. Remplir le pot de compost jusqu’à 2 cm du bord. Tasser doucement le compost.
CHLOROPHYTUM
Placer le petit pot auprès de la plante mère. Choisir le stolon le plus gros, le plus développé, pour créer une nouvelle plante.
Placer le stolon choisi sur le compost du petit pot. Si la tige est trop tendue, surélever le plus petit pot à l’aide d’une boîte, d’une brique ou tout autre objet stable. Glisser la coupelle sous le petit pot.
Fixer la tige avec une épingle à cheveux, juste devant le stolon pour le maintenir bien au contact du compost. Attention à ne pas meurtrir la tige.
Vérifier que le stolon adhère bien au compost. Arroser d’une tasse d’eau. Les arrosages suivants se feront en même temps que ceux de la plante-mère. Attendre la formation des racines.
Vérifier l’enracinement en soulevant délicatement le stolon de 1 ou 2 mm. Surtout, ne pas forcer en cas de légère résistance: cela signifie que les racines sont ancrées, et il ne faut pas les briser.
Quand les racines semblent solides, séparer la plante-mère, en coupant la tige qui les relie à 1 cm environ de la partie qui a pris racine avec une lame de rasoir. Trouver un emplacement et traiter comme la plante-mère.
LIERRE
Choisir la tige la plus longue. A l’endroit qui va adhérer au compost, creuser légèrement la tige sur un cm, en décapant l’écorce. Faire cette opération à 10 cm minimum de l’extrémité de la tige choisie.
Maintenir la partie de la tige grattée en contact avec le compost, et poser le galet par dessus pour caler. Vérifier la prise des racines comme pour le Chlorophytum (ce sera plus lent) puis séparer les deux plantes avec des ciseaux.
Publié dans TOUT EN VERT ...... | Pas de Commentaire »
Posté par eurekasophie le 7 février 2009
SIROP DE TANAISIE
La tanaisie.
C’est une plante aromatique, forte et amère. Son nom populaire est l’herbe aux vers. Cette plante médicinale a été employée pour ses propriétés toniques et … vermifuges. Elle est emménagogue (qui stimule la venue des règles), toxique à haute dose, et dangereuse en période de grossesse ou d’allaitement, elle aurait des propriétés abortives. Elle fait aussi partie des ingrédients de la Chartreuse ou de la Bénédictine, et était utilisée au moyen-âge comme condiment.
Ce n’est donc pas une plante pour débutants. Il semblerait qu’il ne faut pas utiliser ses fleurs, mais selon les sources, les conseils varient. J’ai même trouvé sur le net des recettes de décoctions de tanaisie pour lutter contre les fourmis et les pucerons.
Pour 1/2 litre de sirop:
Faire bouillir 6 dl d’eau avec 450 gr de sucre pendant 30 minutes, avec 1/3 de bâton de vanille, pour obtenir un sirop épais. Retirer du feu et y faire infuser 40 gr de feuilles entières pendant 4 heures. Filtrer, ajouter le jus d’un demi citron, faire rechauffer et mettre en bouteille à chaud.
Une cuillère à soupe de sirop suffit pour une grand verre d’eau.
Publié dans RECETTES SPECIALES | Pas de Commentaire »