BONNE SOIREE
Posté par eurekasophie le 6 février 2009
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Posté par eurekasophie le 6 février 2009
ORTHOSIPHON
(drainage phase d’attaque )
Histoire de la plante : Orthosiphon stamineux Benth : Originaire de l’Asie du Sud-Est, cette plante est aussi nommée le « thé de java ». L’Orthosiphon appartient à la famille des Labiées comme le thym ou la menthe. La longueur de ses étamines, très saillantes au milieu des fleurs, lui a valu le surnom de « moustaches de chat ». Ses vertus curatives sont connues depuis fort longtemps en Inde et en Indonésie. C’est à la fin du siècle dernier que l’Occident s’intéressa réellement à cette plante médicinale exotique.
Propriétés: L’Ortosiphon, grâce à certains de ses constituants chimiques, est un diurétique énergique, favorisant l’élimination des chlorures, de l’urée et de l’acide urique. C’est aussi un cholagogue, il favorise l’évacuation de la bile. Il est traditionnellement utilisé pour faciliter les fonctions d’élimination de l’organisme et la perte de poids, en complément de mesures diététiques.
PROPRIÉTÉS GÉNÉRALES ESSENTIELLES —
La feuille d’orthosiphon possède surtout des propriétés :
• diurétique avec une élimination abondante corrélative de chlorures, d’urée et d’acide urique (étudié
comparativement aux diurétiques de synthèse, l’orthosiphon manifeste une action plus douce et, par là
même, plus naturelle ;
• cholérétique (stimulation des cellules hépatiques avec augmentation de la sécrétion biliaire) et
cholagogue puissant (accélération de l’excrétion biliaire par le foie et accélération de l’évacuation biliaire)
avec un renforcement de l’activité antitoxique du foie ;
• hypocholestérolémiante ;
• hypoglycémiante qui peut être utile en appoint dans le traitement du diabète non insulino-dépendant, et
sa richesse en flavonoïdes lui conférerait également le pouvoir de favoriser la mobilisation des graisses
hors des cellules graisseuses d’où son intérêt dans le traitement de certaines surcharges pondérales et de
la cellulite.
FORMES D’UTILISATION —
— Les formes habituelles d’administration de l’orthosiphon en phytothérapie contemporaine sont la poudre
totale sèche (micronisée, et de préférence cryobroyée) en gélules qui représente le totumvégétal de la
racine dans toute son intégrité et toute son intégralité, et l’extrait sec (souvent sous forme de nébulisat)
également en gélules. — Il peut aussi être pris sous forme infusion (faire infuser 10 grammes de feuilles sèches dans un demi-litre
d’eau bouillante pendant 15 à 20 mn, avant de filtrer et de boire) ; ou, pour plus de facilité, en utilisant
les sachets-doses prêts à l’emploi de certaines spécialités pharmaceutiques mentionnées ci-après (cette
préparation sous forme d’infusion qui ne permet pas de quantitifier correctement la dose absorbée est
aujourd’hui délaissée au profit des formes galéniques parfaitement dosées qui permettent de prescrire
l’orthosiphon de façon commode et beaucoup plus fiable) ; également sous forme d’extrait fluide ou
d’extrait hydro-alcoolique fluide.
POSOLOGIE MOYENNE —
Les doses moyennes journalières à prendre pour les différentes formes habituelles d’utilisation sont les
suivantes :
• Poudre totale sèche micronisée en gélules : 2 à 3 g minimum par jour à prendre avec un grand verre
d’eau avant le petit déjeuner et avant le repas de midi.
• Extrait sec (nébulisat) en gélules : 400 à 600 mg à prendre avec un verre d’eau en deux prises :
matin et midi avant les repas.
• Infusion : Boire un grand bol (250 cc) en milieu de la matinée et un autre dans le milieu de l’après-
midi en sucrant avec du miel (bruyère de préférence).
• Extrait fluide : Prendre 20 à 30 gouttes dans un verre d’eau trois fois par jour : matin, midi et soir
avant les repas.
• Extrait hydro-alcoolique fluide (spécialisé sous le nom d’Urosiphon* que l’on trouve en pharmacie) :
Prendre une ampoule diluée dans un grand verre d’eau, une fois par jour avant l’un des principaux repas
matin ou midi.
La durée du traitement – sous ces formes et à ces doses – est éminemment variable en fonction des
troubles à traiter et de leur importance. En règle générale, une cure d’orthosiphon n’est jamais inférieure
à 1 mois pour pouvoir en bénéficier pleinement, et doit être renouvelée ensuite régulièrement une
fois par trimestre pendant quelque temps pour maintenir les résultats obtenus.
• Préparations magistrales médicales : Suivre strictement les indications mentionnées sur l’ordonnance
par le médecin traitant.
• Spécialités pharmaceutiques : Suivre les recommandations d’utilisation du laboratoire quant à la dose, la
durée du traitement et – pour les enfants - l’âge à partir duquel la spécialité peut être prise.
— Il est également utilisé dans de nombreuses préparations magistrales associant diverses autres plantes
complémentaires (sous forme d’infusions composées, mais surtout aujourd’hui sous forme de mélanges de
poudres totales ou d’extraits secs en gélules, ainsi qu’en association sous de nombreuses autres formes
comme l’extrait fluide) choisies et prescrites en fonction de chaque malade par les médecins
phytothérapeutes. — Il existe de nombreuses spécialités pharmaceutiques à base d’orthosiphon (seul ou en association avec
d’autres plantes ou produits aux vertus complémentaires: Actisane minceur* – Affinex minceur* -
Amincitex* – Boribel Tisane N°11 Diurétique* – Curepar* – Dellova* – Élusanes Orthosiphon* -
Orthosiphon Boiron* – Élusanes Orthosiphon* – Milical infusion* – Orthosiphon Boiron* – Promincil
(gélules)* – Titrex Orthosiphon* – Urosiphon* - etc.
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Posté par eurekasophie le 6 février 2009
Herbacée annuelle ou bisanuelle; à tige ramifiée (long. 1 à 3 m); feuilles à trois folioles (12 à 30 mm); inflorescence en grappe semblable à un épi, fleurs très petites (4 à 6 mm) de couleur blanche ou jaune selon l’espèce, qui tendent à se tourner vers le soleil.Pousse dans les lieux ouverts sous forme de grandes haies. Très fréquent le long des autoroutes.
Indigène d’Eurasie, elle s’est répandue en Amérique du Nord à partir de cultures fourragères.L’odeur du mélilot se dégage surtout lorsqu’il sèche. Comme pour la lavande, les anciens en faisaient des sachets pour protéger les vêtements des mites.C’est une plante mellifère et son odeur attire les abeilles et les papillons.
Usage médical:
Le mélilot, et surtout le mélilot blanc, possède des propriétés antispasmodiques, diuritiques, et antiseptiques. Ces propriétés, de même que l’odeur du mélilot, proviennent de la coumarine, une substance qu’on retrouve aussi dans l’aspérule odorante.On a utilisé le mélilot pour soigner plusieurs formes de tension nerveuse comme les migraines, pour certains troubles de digestion et pour diminuer la douleur des menstruations.
Boire en infusion pour calmer la nervosité et pour dormir.
Essentiel |
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Posté par eurekasophie le 6 février 2009
Nom : Echinacée
Nom scientifique : Echinacea purpurea
Résumé : L’Echinacée est l’une des plus importante plante médicinale.
Description : Plante à fleurs pourpres.
Habitat et culture : Originaire d’Amérique du Nord, on la cultive ausi en Europe.
Parties utilisées : Fleur, racine
Constituants : Alcamides, Esters de l’acide caféique, polysaccharides, huile essentielle, échinolone, bétaïne.
Historique : Les Indiens Commanche l’utilisaient contre les maux de dents et gorge alors que les Sioux l’utilisaient contre la rage et les morsures de serpent.
Informations : En raison de sa stimulation des défenses immunitaires de l’organisme, elle est étudiée dans le cadre des recherches sur le VIH et le sida.
Usages : Utilisée en cas d’affections chroniques (suite à une infection virale par exemple), les engelures, les rhumes, la grippe, les affections respiratoires; soulage aussi les angines.
Effets : Stimulant des défenses immunitaires, anti-inflammatoire, antibiotique, désintoxicant, favorise la transpiration, cicatrisant, antiallergénique.
Mises en garde : L’échinacée peut provoquer des nausées à forte dose.
Préparation : Infusion, décoction, teinture, gargarisme à base d’infusion en cas d’angine.
L’usage de plante médicinale n’est recommandée qu’avec avis professionnel et personnalisé
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Posté par eurekasophie le 6 février 2009
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Ruscus aculeatus | |
Classification classique | |
Règne | Plantae |
Sous-règne | Tracheobionta |
Division | Magnoliophyta |
Classe | Liliopsida |
Sous-classe | Liliidae |
Ordre | Liliales |
Famille | Liliaceae |
Genre | Ruscus |
Nom binominal | |
Ruscus aculeatus L., 1753 |
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Classification phylogénétique | |
Clade | Angiospermes |
Clade | Monocotylédones |
Ordre | Asparagales |
Famille | Ruscaceae |
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DESCRIPTION
Petit arbrisseau de 20 à 50 cm toujours vert.
Tiges vertes, glabres, cylindriques, cannelées, ramifiées, garnies de rameaux élargis en forme de feuilles fermes terminées par une pointe piquante.
Ces organes sont accompagnés en dessous d’une petite feuille caduque et par-dessus d’une fleur reliée par un pédoncule axillaire soudé au rameau jusqu’au tiers de sa longueur.
Le fruit est une baie rouge de la grosseur d’une cerise.
Racine blanchâtre, longue, noueuse, garnie du côté inférieur d’un grand nombre de radicules.
Odeur de térébenthine.
HABITAT
Plante assez commune dans les bois et les haies. Rare dans le nord et l’est, ne dépasse pas 600 m.
– Remarques envoyées par des internautes –
Alexis (flowers-83@neuf.fr) : Chez moi dans la région paca (hyères) on trouve quelque plants dans les « forêts » de chez nous, appellées à tord « faux houx ». A bientôt
MEDECINE
Il a des propriétés apéritives. On l’utilise en décoction, 300g de rhizome coupé en morceaux, bouilli dans 1l d’eau. Passer. Prendre un verre avant chaque repas.
*Fait partie des 5 racines apéritives, et diurétiques. Mélangé à parts égales avec fenouil, ache, asperge, persil, il s’utilise en infusion à raison de 20 g par litre.
Le petit houx est un excellent contracturant des muscles lisses de la vessie. Il tonifie la paroi veineuse.
*En décoction, le fragon est un excellent remède contre les hémorroïdes. Faire bouillir
15 mn 20 à 40 g de racine par litre d’eau.Toxicité : les baies écarlates sont toxiques.
CULINAIRE
On peut manger ses jeunes pousses en salade, ainsi qu’en omelette à la place des fines herbes.
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