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OH , QU’EST -CE – QUI SE PASSE ?

Posté par eurekasophie le 5 février 2009

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Qu’est-ce qui se passe ? t’es tout pâle , tu ne te sens pas bien ?

Mon pauvre ami, t’as le coeur qui s’emballe! voilà ce que c’est que de tomber amoureux de Val….elle n’aime que les chiens !

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SURREALISME …je t’aime .

Posté par eurekasophie le 5 février 2009

 

 

 

 

 

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LA FUSION DE DEUX IMAGES POUR N’EN FAIRE QU’UNE SEULE ….

Comme la fusion de deux corps pour n’en faire plus qu’un ……..

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LA GELEE ROYALE

Posté par eurekasophie le 5 février 2009

 

 Je vais aborder un produit qui n’est pas une plante mais qui vaut la peine que l’on en touche quelques mots ….

C’est quoi, la gelée royale ?

La gelée royale est une substance laiteuse et gélatineuse sécrétée par les glandes pharyngiennes des jeunes abeilles nourricières. Elle est destinée à l’alimentation des larves au premier stade de leur développement et constitue le régime alimentaire exclusif des reines durant toute leur existence. Également nommée « lait des abeilles », elle contient environ 65 % d’eau et de nombreuses autres substances :
- des glucides, essentiellement du fructose et du glucose (15 %)
- des protides, surtout des protéines, des peptides et des facteurs de croissance (13 %)
- des acides gras (4 %)
- des minéraux.

De plus, elle est relativement riche en vitamines du groupe B, notamment la B1 et la B5. L’ensemble constitue un concentré nutritif très riche qui permet une croissance rapide des larves d’abeilles. On attribue en partie à la gelée royale le fait que la reine, qui s’en nourrit exclusivement, soit beaucoup plus grosse que les autres abeilles et qu’elle vive cinq ou six ans tandis que la vie active des ouvrières ne dépasse guère les 45 jours.

Normalement, la quantité de gelée royale produite dans une ruche suffit à peine à assurer la croissance des larves et l’alimentation de la reine. Pour obtenir les quantités souhaitées, les apiculteurs doivent éliminer la reine de la ruche et inciter les ouvrières à élever plusieurs larves destinées à produire des reines. Avant que ces techniques soient mises au point, la gelée royale demeurait un produit rare et relativement peu connu.

Récolte et conservation de la gelée royale

La production de gelée royale fait appel à des techniques particulières, car les abeilles produisent juste la quantité nécessaire à l’élevage du couvain et elle n’est pas stockée. Elle est pratiquée par des apiculteurs spécialisés. Les ruches sont conduites comme pour l’élevage de reine, la ruche est rendue orpheline en lui enlevant la reine. Des cadres sont placés dans la ruche avec des ébauches de cellules royales dans lesquelles l’apiculteur a mis des larves d’ouvrières âgées de 12 à 36 heures. Les ouvrières vont donner à ces ébauches la taille définitive des cellules à reines. Les nourrices servent de la gelée royale en abondance aux jeunes larves. Après 3 jours les cellules ont atteint leur maximum d’abondance. Les cadres sont alors retirés, la gelée royale est prélevée par aspiration cellule par cellule. Une ruche peut donner au maximum 300 grammes de gelée par an.

Dès son prélèvement, la gelée royale est mise en flacons de verre. Flacons qui sont hermétiquement fermés par un bouchon en plastique (le métal est attaqué car la gelée royale est acide et a un pH de 4), puis entreposés au froid (entre 2 et 5 °C) dans une atmosphère exempte d’humidité et à l’abri de la lumière. Dans de telles conditions, la gelée royale se conserve parfaitement pendant plusieurs mois.

Fatigue, surmenage, convalescence

  • Prendre de 100 mg à 250 mg par jour de gelée royale lyophilisée ou de 300 mg à 750 mg de gelée royale fraîche. Traditionnellement, on recommande de prendre la gelée royale avant le repas du matin, pendant quatre à six semaines. Certains auteurs suggèrent de consommer jusqu’à 1,2 g par jour de gelée fraîche (400 mg de gelée lyophilisée) en cas de grande fatigue.
Attention. À cause du potentiel allergène de la gelée royale, il est préférable de commencer par un dosage réduit et de l’augmenter progressivement.Site à voir ….    http://www.01sante.com/xoops/modules/icontent/index.php?page=527

                                                         Vous m’en direz des nouvelles …………..

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Boire un p’tit café c’est agréaaaable ………

Posté par eurekasophie le 5 février 2009

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Fruits mûrs (dits aussi « cerises » de caféier)                                   Grains de café torréfiés

 Le café s’inscrit parfaitement dans un régime alimentaire sain et responsable

Le café a fait l’objet d’études scientifiques approfondies dans le monde entier. Le café contient plus de 800 composants différents déterminant ensemble sa saveur et son arôme. Plusieurs de ces substances ont une influence directe sur le fonctionnement du corps et de l’esprit. La nature exacte de ces effets est exposée ci-après. La liste présentée mentionne les substances les plus importantes.

1) Antioxidants
Les antioxidants sont naturellement présents dans les aliments et peuvent contribuer à une bonne santé. Les denrées alimentaires contenant relativement beaucoup d’antioxydants sont les fruits, les légumes, le thé et le vin. Mais le café contient également de puissants antioxydants qui apportent une contribution positive à la consommation totale d’antioxydants dans l’alimentation.

2) caféine, consommation saine
Une tasse de café filtré (150 ml) contient en moyenne 80 mg de caféine. La consommation de 4 à 5 tasses de café par jour s’inscrit parfaitement dans un régime alimentaire sain et responsable. Toutefois, la quantité de caféine donnant une sensation de confort varie fortement d’un individu à l’autre.

3) description de la caféine
La caféine est un produit naturel. C’est le composant le plus connu du café, réputé pour son effet stimulant. La caféine commence à agir environ trente minutes après la consommation d’une tasse de café.

4) calories
Le café (sans lait ni sucre) ne contient aucune calorie et convient donc parfaitement dans un régime diététique. Donc également lorsqu’il s’agit de surveiller de plus près son poids.

5) Fer
Le café peut réduire l’absorption du fer contenu dans les denrées alimentaires végétales, par exemple lorsqu’il est consommé durant ou juste après le repas. Le café n’a aucun effet sur l’absorption du fer contenu dans la viande.

6) kahweol & cafestol
L’huile de café contient les composants kahweol et cafestol. Dans les bouilloires et les cafetières, ces substances provoquent une légère augmentation du cholestérol. Dans le café filtré, elles sont retenues par le filtre et ne pénètrent donc pas dans l’organisme.

7) Oligoéléments et vitamines
Chaque tasse de café vous apporte automatiquement quelques précieux oligoéléments et vitamines.

8) Hydratation
Il est important pour la santé de bien s’hydrater. Chaque tasse de café contribue aux besoins quotidiens en matière d’hydratation. Cette affirmation est confirmée par le centre national de l’alimentation (Het Voedingscentrum).

9) Valeur nutritive
Le café s’inscrit parfaitement dans un régime alimentaire sain et responsable.

caf4.jpg   La buveuse de café, (1888)  huile sur toile de Ivana Cobilca

                                                                                                        

caf5.jpg Et si on s’en buvait un petit ?

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LA MENOPAUSE

Posté par eurekasophie le 5 février 2009

Au moment de la ménopause, la prise de poids peut s’accélérer et s’avérer très difficile à contrôler, notamment à cause de la diminution progressive de la production d’hormones « féminines ».

    Résultats :
  • Phénomène conjoint de prise de masse grasse et perte de masse musculaire
  • Phénomène de « Masculinisation » de la silhouette. (Prise de poids localisée au niveau du ventre, cuisses qui s’affinent, fesses qui fondent…)
    Comment s’opère ce changement de la silhouette autour de la ménopause ?
    Comment prévenir et maîtriser ces variations de ligne ?

1. Les transformations liées à l’âge  

A partir d’un certain âge, les cycles deviennent irréguliers : la périménopause s’installe.
Jusqu’à la ménopause, c’est à dire l’arrêt définitif de l’ovulation et donc des menstruations, beaucoup de transformations vont s’opérer progressivement dans le corps d’une femme : dérèglements des cycles, apparition des bouffées de chaleur, prise de poids, etc…
Comment s’expliquent toutes ces transformations ?

    1.1 : Les ovaires cessent de fonctionner

    Les ovaires sont responsables de la production d’hormones essentielles chez la femme: la progestérone et les oestrogènes.Les estrogènes sont les hormones de la féminité : ils agissent partout dans le corps de la femme au niveau d’organes très variés comme par exemple les glandes mammaires, la muqueuse utérine, les os, la peau, etc…Naturellement, du fait du vieillissement, les ovaires vont progressivement cesser de fonctionner, et donc arrêter naturellement de produire des hormones. Cependant cela ne se fait pas brutalement : 3 à 5 ans avant la ménopause, l’activité des ovaires va diminuer progressivement et les 1ers symptômes de la périménopause vont apparaître.

    La périménopause est la phase de transition vers un nouvel équilibre 

    - Au début, le taux de progestérone diminue, les oestrogènes se retrouvent donc en excès dans le corps, ce qui se traduit par un phénomène accentué de rétention d’eau et d’accumulation de graisses.
    - Puis les oestrogènes diminuent eux aussi progressivement, jusqu’à disparaître complètement à la ménopause. Privé d’œstrogènes, le corps se transforme petit à petit…

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    Les symptômes liés à la ménopause

    Si la chute du taux d’oestrogènes dans le corps a de multiples répercussions, un des effets les plus sensibles pour une femme est le changement de sa silhouette, sa « masculinisation » au moment de la ménopause.

    1.2 : La silhouette se « masculinise »

    En effet, encore une fois, ce sont les hormones qui sont en cause dans ce changement de l’apparence physique.
    Lorsqu’ils sont présents, les oestrogènes ont une double action sur le poids :

  • Ils stimulent la production de graisse
  • Ils contribuent à la rétention d’eau.Par ces deux mécanismes, ils peuvent induire une prise de poids lorsqu’ils sont sécrétés en trop grande quantité par les ovaires ou lorsqu’ils ne sont pas contrebalancés par la progestérone, l’autre hormone synthétisée par les ovaires.
    Au cours de la périménopause et après la ménopause, lorsque ces hormones ovariennes diminuent jusqu’à disparaître, le corps change.La répartition des graisses dans les endroits caractéristiques « des rondeurs féminines » se modifie : les cuisses s’affinent, les fesses et les seins fondent, tandis que les petits kilos superflus viennent désormais se stocker au niveau de l’abdomen. (Apparition de « poignées d’amour »)  

    Pourtant, ce n’est pas une fatalité : plus on s’y prend tôt, plus cette prise de poids peut être maîtrisée, voire anticipée.

2. Prévenir et maîtriser la prise de poids en période de ménopause

Prendre du poids lorsque la ménopause montre ses premiers signes n’est pas une fatalité, cependant ces quelques kilos supplémentaires se préviennent mieux qu’ils ne se traitent.
En effet, aux alentours de la ménopause, la masse musculaire diminue spontanément au profit de la masse grasse, sans que l’alimentation ait changé. Dès lors, si l’on veut garder sa ligne, il devient indispensable de maintenir une bonne hygiène de vie et éventuellement de penser à une supplémentation pour aider à passer ce cap.

    2.1 : Maîtriser son apport en nutriments

    Les muscles sont les organes qui consomment le plus d’énergie dans le corps, même au repos. Lorsque la ménopause approche, nous avons vu que la masse musculaire diminuait : ainsi, en conservant la même alimentation, nous aurons donc naturellement tendance à grossir. Il devient impératif de réajuster ses besoins énergétiques car les apports journaliers recommandés ne sont pas les mêmes à 45 ans qu’à 20 ans !

    > Aux alentours de 45 ans, les apports optimaux sont estimés entre 1500 et 2000 kilocalories, qui doivent être répartis de façon équilibrée entre les différents nutriments :
    - 50 à 55% des apports doivent provenir des glucides (ou sucres) car ce sont eux qui apportent l’énergie à toutes les cellules, mais il faut dorénavant privilégier les sucres lents.
    - 30 à 35% doivent provenir des lipides (ou graisses) car ils entrent dans la composition des membranes cellulaires, mais il faut privilégier les « bons » acides gras, tels que les omégas 3.
    - 12 à 17% doivent provenir des protéines, essentielles à la protection et au bon fonctionnement des muscles, il faut faire attention à ne pas négliger ces apports.

    Cependant, limiter l’apport énergétique total ne suffit pas toujours.

    2.2 : Maîtriser sa silhouette

    Lorsque la ménopause approche, la répartition de la masse grasse change de façon naturelle. Le corps a plus de difficultés à éliminer les déchets et les toxines, et de plus, un phénomène de rétention d’eau fait son apparition, principalement dû aux variations hormonales et à une mauvaise circulation sanguine.
    Mais il existe des solutions qui peuvent nous aider à venir à bout de ces problèmes.

    En effet, dans la nature, certaines plantes ont comme propriétés naturelles de favoriser l’élimination des déchets ou de l’eau, comme la bardane, la vigne rouge, les queues de cerise ou le frêne.
    D’autres peuvent nous aider à limiter le stockage des graisses ingérées au cours des repas ou à brûler les graisses déjà stockées, comme le nopal, le fucus, le guarana, l’artichaut, les graines de lin ou de fenouil.

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ALZHEIMER

Posté par eurekasophie le 5 février 2009

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AVEC NOS PARENTS….Vivre en Alzheimer

Posté par eurekasophie le 5 février 2009

 

 

 Vivre avec la maladie d’Alzheimer

La maladie

INTRODUCTION

aidesdroits.gifLa maladie d’Alzheimer est une maladie neuro-dégénérative, c’est-à-dire que les neurones dégénèrent et meurent. Ces neurones qui servent à programmer un certain nombre d’actions, en disparaissant, entraînent la perte de ces capacités.

On associe souvent la maladie d’Alzheimer à la perte de mémoire car ce sont effectivement les neurones localisés dans la région de l’hippocampe, siège de la mémoire, qui sont les premiers atteints. Malheureusement, petit à petit d’autres zones du cerveau seront touchées et mèneront à la disparition progressive des capacités d’orientation dans le temps et dans l’espace, de reconnaissance des objets et des personnes, d’utilisation du langage, de raisonnement, de réflexion…

On entend souvent que la personne qui souffre de la maladie retombe en enfance.
C’est effectivement un retour à l’immaturité neurologique constaté dans les premières années de vie. Cependant, alors qu’un jeune enfant découvre la vie pour progressivement gagner en autonomie, une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer va petit à petit la perdre. Ne pas comprendre que l’on risque de s’égarer en sortant seul tout en ayant encore la notion d’être adulte est un paradoxe qui rend l’accompagnement difficile et subtil.

Le terme de maladie d’Alzheimer est aujourd’hui utilisé pour évoquer différentes maladies où apparaissent ces même troubles, en particulier lorsqu’ils surviennent au-delà d’un certain âge. C’est un abus de langage.

Pour mieux comprendre il faut déjà savoir distinguer ces différentes maladies

Les troubles rencontrés dans la maladie d’Alzheimer et les maladies apparentées touchent les fonctions cognitives. Ces fonctions correspondent à des actions neurologiques qui semblent uniques alors qu’elles sont elles-mêmes scindées en des actions bien particulières. Pour écrire il faut d’abord être capable de reconnaître un stylo, de le prendre correctement, d’avoir une représentation des mots pour pouvoir les reproduire, etc.Ces actions s’exécutent par l’intermédiaire de neurones situés dans différentes zones du cerveau.

Nous allons revenir sur le fonctionnement de ces capacités et préciser comment elles dysfonctionnent.

Il est important de lire ces données en gardant à l’esprit que chaque malade a un développement de lésions qui lui est propre et donc une apparition particulière des symptômes.

Il est toujours étonnant de voir que certains aspects de la maladie sont parfois très précoces chez certaines personnes,
alors que pour d’autres ces aspects peuvent rester peu exprimés, même à un stade ultime de la maladie

LA MALADIE D’ALZHEIMER ET LES MALADIES APPARENTEES

 

Le diagnostic devrait toujours être posé par une équipe pluridisciplinaire, et à plus forte raison la non-confirmation de ce type de diagnostic. En effet, ces maladies, surtout en début d’évolution, sont parfois très difficiles à repérer. C’est la combinaison des explorations qui permet de se prononcer plus surement. aidesdroits.gif

Plusieurs examens sont nécessaires, certains ont pour objectif de faire un diagnostic différentiel, c’est-à-dire de s’assurer qu’une autre pathologie n’est pas à l’origine des symptômes.

Il est donc recommandé de s’adresser à une consultation spécialisée : centre mémoire, service de neurologie, de gériatrie et certains services de psychiatrie. De plus, le diagnostic doit impérativement être suivi d’un projet d’accompagnement médical, psychologique, social… C’est le plus souvent au sein de services spécialisés que l’on développe ce type de démarche auprès du patient et de sa famille.
Pour connaître les centres de diagnostic dans votre région, contactez l’association France Alzheimer de votre département.

L’imagerie (scanner ou IRM) permet de voir l’aspect des structures cérébrales, en particulier de distinguer les atrophies sur certaines zones, mais elle permet surtout de vérifier qu’il n’y a pas de tumeurs. Les outils d’imagerie ne permettent pas encore aujourd’hui de voir les cellules pathologiques, qui ne seront visibles qu’en cas d’autopsie post mortem. Cela se fait encore dans un contexte de recherche, avec un accord écrit. Les nouveaux scanners visualisent maintenant des atrophies de l’hippocampe à des stades précoces de la maladie.

Cela va surement permettre des diagnostics plus précoces. Comme pour tous les examens en imagerie, le type de matériel utilisé, les techniques d’utilisation et les compétences du lecteur des clichés sont importants.

La consultation neurologique est faite par le médecin neurologue. En début de maladie l’examen neurologique est souvent normal car les troubles n’apparaissent pas encore et ne permettent pas de détecter la maladie. Seul, il est donc insuffisant pour définir qu’il n’y a pas de maladie neuro-dégénérative. Il consiste en un examen clinique, par lequel le médecin va rechercher un certain nombre de signes et de réactions indiquant un trouble neurologique.

Il va, entre autre, rechercher :

  • Des troubles oculomoteurs
  • Des troubles de la marche
  • Des troubles de l’équilibre
  • Un syndrome parkinsonien
  • Des signes de focalisation
  • Des anomalies neurologiques atypiques…

Un bilan biologique doit également être prescrit. Certains troubles cognitifs peuvent avoir une cause métabolique. Ils sont réversibles si l’on met rapidement en place un traitement de complément. On recherchera :

  • Des carences en vitamines
  • Des carences hormonales
  • Une déshydratation
  • Une infection
  • Une intoxication

Le bilan neuropsychologique doit être réalisé par un psychologue-neuropsychologue. Il s’agit de faire passer une série de tests sous forme de questions ou de tâches simples à accomplir pour évaluer les capacités cognitives du patient. Encore aujourd’hui, c’est l’examen neuropsychologique qui permet de détecter les symptômes le plus précocement. Les tests possibles sont nombreux, plus ou moins longs, plus ou moins sensibles au moindre trouble. Chaque neuropsychologue choisira les tests qui sont pertinents pour le patient. C’est ce qui permettra de faire apparaître ou non le caractère pathologique de la plainte, puis d’orienter vers un type de maladie. Il donne également une estimation de la sévérité de la maladie. Plus le bilan neuropsychologique est fait en début de maladie, plus il sera long, car tout doit être exploré. A un stade évolué de maladie, il est impossible de faire passer ces tests.

Il explorera en particulier :

  • La mémoire, pour la mémoire épisodique la présence d’un tiers est indispensable.
  • Les praxies
  • Le langage
  • Les gnosies
  • Les capacités attentionnelles
  • Les capacités de raisonnement
  • Les capacités de jugement
  • Les capacités à passer d’une consigne à une autre
  • L’orientation temporelle et spatiale
  • L’humeur dépressive

Les examens sont discutés en équipe afin de poser un diagnostic, quand cela est possible.

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ALZHEIMER…..LA DETRESSE……

Posté par eurekasophie le 5 février 2009

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