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RELAXATION: CHACUN SON TEMPO (1)

Posté par eurekasophie le 4 février 2009

Des techniques pour lâcher prise, il en existe des dizaines ! Le tout est de choisir celle qui convient à notre tempérament et nos attentes.

TEST

Stressés, nous le sommes tous plus ou moins. Persuadés qu’il faudrait faire quelque chose pour nous détendre, nous le sommes aussi. Mais quelle technique de relaxation pourrait nous convenir? S’il faut s’allonger et écouter de la musique douce alors qu’on ne supporte pas de rester immobile, ou tenir la position du lotus alors qu’on desteste l’exercice physique, le résultat n’est pas garanti…..Ce minitest vous aidera à connaître votre profil et la relaxation qui vous va.

Répondez à ces questions pour connaître votre profil et découvrez votre méthode.

1. Vous avez une heure de liberté devant vous. Vous en profitez pour….

point2.gif Ranger un placard de fond en comble

bouton0052.gifVous allonger et rêvasser les yeux fermés

pouce.gif Prendre un bain chaud

coeur.gif Ecouter de la musique en triant des papiers.

2. Si vous deviez choisir une activité physique, ce serait plutôt:

bouton0052.gifAucune, vous avez horreur de bouger !

point2.gif La danse ou le jogging

coeur.gif Le stretching

pouce.gif L’aquagym ou la natation

3. Quand vous êtes très énervé(e), ce qui vous calme c’est….

pouce.gif De respirer en profondeur

coeur.gif De vous poser dans un coin tranquille, de prendre du recul

bouton0052.gif Qu’on vous entoure, qu’on vous parle doucement

point2.gif De vous défouler physiquement

4. Vous n’arrivez pas à vous endormir:

coeur.gif Vous vous relevez et vous vous faites une tisane

pouce.gif Vous prenez un bain

point2.gif Vous vous relevez et vous faites du rangement

bouton0052.gif Vous restez au lit et vous pensez à des choses apaisantes

5. A quoi ressemblent vos vacances préférées ?

point2.gif Vous aimez faire de la randonnée avec de gros dénivelés

pouce.gif Vous aimez nager de longs moments dans la mer

bouton0052.gifVous bullez sur la plage en laissant courir votre imagination

coeur.gif Vous alternez le repos et l’activité.

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LA RELAXATION QUI VOUS VA ….(2)

Posté par eurekasophie le 4 février 2009

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L’APNEE

Votre profil

Quelle chance, vous avez un attrait particulier pour l’eau! Et alors ? le milieu aquatique, lorsqu’on l’aborde sans aucune appréhension est propice à la détente.

Pourquoi l’apnée ?

Vous n’y auriez pas pensé. Cette discipline vous semble plus tenir de l’exploit sportif que de la technique de relaxation? Erreur! on peut tout à fait la pratiquer sans rechercher la performance, pour le seul bien-être. Même les non-sportifs ou les personnes en surpoids peuvent y avoir accès. Qui dit apnée dit apprentissage du souffle. Avant de s’immerger , différents exercices permettent de vider ses poumons et deles remplir d’une réserve d’air frais. Cette première phase à ele seule procure un réel relâchement grâce à une bone oxygénation. Vient ensuite l’immersion totale du corps: on se retrouve sous l’eau en état d’apesanteur. Toutes les tensions musculaires sont alors levées, on découvre des sensations inconnues à la surface. On est à l’écoute des bruits internes de son corps. Si de la musique est diffusée par des haut-parleurs sous-marins, on la perçoit comme des vibrations, des caresses. Adieu les soucis !!

Pour connaître un club proposant des cours d’apnée, adressez-vous à la Fédération française des études et sports sous-marins, tel: 0 820 000 457 (numéro indigo ) ou  www.ffessm.fr

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LA SOPHROLOGIE

Votre profil

L’immobilité, la position allongée, ne vous plongent pas dans l’angoisse. Et vous en remettre à quelqu’un qui pourrait vous guider vers la détente ne vous rebute pas.

Pourquoi la sophro ?

Grâce à cette technique, vous allez être chouchouté. Allongé sur un divan, vous suivrez les suggestions de la sophrologue. Elle vous aide d’abord à mettre votre corps au repos, à le libérer de ses tensions en travaillant sur votre respiration. Puis c’est au tour de l’esprit: la professionnelle vous propose de laisser venir à vous des images agréables. Vous vous visualisez dans cet endroit où vous vous sentez bien, elle vous accompagne avec sa voix, ses mots. Vous êtes dans un état proche du sommeil. Peut-être allez-vous alors rencontrer certaines émotions profondes. Les larmes vont jaillir. Cela signifie que vous êtes parvenu au degré maximal de la relaxation !

Société française de sophrologie. Tel: 01 40 56 94 95 ou www.sophrologie-francaise.com

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LE TAI-CHI-CHUAN

Votre profil

Pour vous, hors de l’action, point de salut ! Rester sans bouger est insupportable. Mais pour se détendre, il y a sans doute mieux que se défouler, s’épuiser……. Ce qu’il vous faut, c’est de la relaxation active.

Pourquoi le tai-chi ?

Là encore, halte aux idées reçues. Le tai-chi-chuan n’est pas seulement un art martial, cela peut être aussi un moyen de parvenir à la détente. Ce n’est pas pour rien qu’on l’appelle « méditation en mouvement ». Il s’agit d’enchaîner des mouvements (pas moins de 108 à mémoriser) , lentement mais sans arrêt entre chacun, à la manière d’une danse très fluide. Le tai-chi demande une grande concentration. Pendant un mouvement, on anticipe déjà le suivant. A chaque nouvelle position, on se focalise sur la partie du corps sollicitée. Ainsi occupé, l’esprit ne laisse aucune prise aux idées parasites! Les noms des postures eux-mêmes sont une invitation à l’évasion: L’envoi de la grue blanche, Caresser l’encolure du chat.

Fédération de tai-chi-chuan. tel: 01 40 26 95 50 ou www.ffwushu.fr

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LE YOGA

Votre profil

Peut-être stressé, mais plutôt équilibré, vous appréciez tout autant le calme que l’action.

Pourquoi le yoga ?

Il existe autant de formes de yoga que d’enseignants, mais vous retrouverez presque toujours la même progression lors d’un cours. Vous partirez du mouvement et de l’action pour aller vers l’immobilité et l’intériorité. Le mouvement, c’est d’abord le souffle dont on suit mentalement le parcours dans son corps. Tout en vous concentrant sur votre respiration, vous enchaînerez quelques mouvements dans le calme, mais avec un certain dynamisme, en les synchronisant sur le rythme du souffle. Arrivera ensuite le temps des postures que l’on tient un long moment sans bouger. Petit à petit, vous apprendrez à trouver le bon équilibre entre la fermeté (pour réussir à tenir) et la détente (pour ne pas provoquer de tensions musculaires). Et soyez-en sûrs, cette immobilité du corps gagnera aussi votre esprit.!

Pour la Fédération nationale des enseignants de yoga: www.lemondeduyoga.org/htm/fney

Pour la fédération française de hatha yoga: www.federationfrancaisehathayoga.com

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NOS AMIS LES CHATS …GAG !

Posté par eurekasophie le 4 février 2009

chat.gifImage de prévisualisation YouTube

 

LE CHAT
Reposé sur mon lit,
Le chat a bien dormi.
Lappant son lait dans la gamelle,
Il a une allure belle.
Avec son poil roux et blanc,                     chat.gif   
Il fait le chenapan.
Sa couleur d’or d’ysatis,
Ses yeux fripons, son poil long,
C’est Junior, mon chat
et ses malices
Margaux, 11 ans de Caen.               

 

  

 

 

 

 

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VIDEO….GAGS

Posté par eurekasophie le 4 février 2009

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C’est mercredi……le jour des enfants…et comme j’en suis une grande ..LOL!

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Mieux qu’ici-bas….

Posté par eurekasophie le 4 février 2009

Image de prévisualisation YouTube

 

 

Isabelle Boulay

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GROUPER LES PLANTES EN BAC

Posté par eurekasophie le 4 février 2009

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Il existe sur le marché des bacs en plastique à réserve d’eau. On peut les utiliser pour une plante unique, mais plus volontiers pour un groupe de plantes. La réserve d’eau simplifie le problème d’arrosage: les plantes boivent selon leurs nécessité.

Une petite fenêtre transparente est prévue sur le bac, pour vérifier à tout moment le niveau d’eau. Quand il n’y a plus d’eau, attendre 2 ou 3 jours pour emplir à nouveau la réserve. Les plantes en bac demandent moins d’eau qu’une plante isolée parce que les plantes groupées créent une sorte de microclimat humide.

Ne mettre ensemble que des plantes qui ont à peu près les mêmes besoins en eau et en lumière, sinon leur coexistence serait problématique. Pour l’effet esthétique, on prendra plusieurs plantes de la même espèce mais de tailles différentes; l’effet décoratif viendra alors du volume.

Ou bien des plantes d’espèces différentes et alors, l’effet viendra de l’harmonie créée entre les différents feuillages. La taille des plantes doit rester différente sans être disproportionnée, afin qu’on puisse les voir toutes.

Placer le bac à son emplacement définitif: un endroit dégagé, non exposé au passage, et correspondant aux besoins en lumière des plantes concernées. Disposer autour du bac de vieux journaux.

Placer sur les journaux les plantes à dépoter et le sac de compost. Arroser les plantes à dépoter pour faciliter le dépotage.

Remplir le bac au 2/3 de compost, en déversant directement le sac dans le bac. Répartir avec la main, de façon à égaliser le niveau du compost, tout en le tassant légèrement.

Avec une pelle, creuser vers le centre du bac un trou assez grand pour recevoir les 2/3 de la motte de la plante la plus grande.

Dépoter la plante la plus grande, en tapotant le pourtour du pot contre le sol. Si le dépotage s’avère difficile, casser le pot. Conserver les morceaux de pot pour le drainage d’autres plantes.

Tapoter le contour de la motte pour faire tomber un peu de vieille terre. Vérifier si certaines racines vieilles ou trop grosses n’ont pas besoin d’être élaguées. Si c’est le cas, couper la motte avec un couteau.

Placer la plante dans le trou préparé. La motte doit y être à l’aise et dépasser le niveau du compost du tiers de sa hauteur environ. Caler la plante en rabattant du compost autour d’elle.

Creuser le trou destiné à la deuxième plante, assez près de la première. Dépoter la 2 ème plante et enterrer la motte de la même manière. Puis procéder à la transplantation de la 3ème plante, etc…. Les plantes groupées apprécient d’être relativement rapprochées.

Quand toutes les plantes sont en place, remplir de compost l’espace resté libre entre les mottes, jusqu’à ce que la surface de la terre soit plane. Tasser doucement la terre autour des tiges avec le dos de la pelle.

Remplir le réservoir jusqu’au maximum.

Vaporiser de l’eau tiède tout autour des plantes. Verser juste une tasse d’eau autour des tiges.

Surveiller de près la santé des plantes groupées, elles se transmettent facilement parasites et maladies. Il est tout à fait possible d’ôter une plante ou d’en ajouter une sans toucher aux autres. A chaque printemps, remplacer la terre de surface par du compost frais.

Le soir, un bac éclairé par un spot est du plus bel effet. Le spot doit être à 30 cm au moins du feuillage, loin du compost humide.

Exemples d’association de plantes en bac:

Lierre + Chlorophytum + Asparagus

lierre1.gifchlorophytumcomosum1.jpgasparagus1.jpg

L’harmonie vient de la variété des feuillages (forme et couleur)

Chlorophytum + Sanseviera trifasciata + Philodendron.

chlorophytumcomosum1.jpgsans1.jpgphilo1.jpg

L’harmonie vient de l’association des feuillages en bouquet des deux premières plantes et des lignes verticales de Sanseviera trifasciata.

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LE SAULE

Posté par eurekasophie le 4 février 2009

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Saule blanc : Aspirine végétale : Description de la plante

Nom scientifique : Salix alba
Nom commun : Saule blanc
Le saule blanc est de la famille des salicacées.C’est un arbre à écorce crevassée qui affectionne les lieux humides et peut atteindre jusqu’à 20 m de haut. On le trouve dans toutes les régions tempérées d’Europe, Asie et Amérique.

Les jeunes rameaux sont souples et velus, les feuilles sont soyeuses, avec des reflets argentés. Les fleurs jaunes-vertes sont regroupées en chatons dressés.

Le saule est aussi appelé arbre de la douleur, tant il est efficace pour lutter contre elle.

Saule blanc : Aspirine végétale : Histoire et origines

L’écorce de saule est utilisée en médecine traditionnelle depuis plus de 2500 ans.En Chine son utilisation remonte au V° siècle avant notre ère, en tant qu’analgésique. Les médecins grecs prescrivaient le saule pour réduire la douleur et faire tomber la fièvre.Les Amérindiens faisaient une grande utilisation du saule blanc en tant qu’anti-douleur et fébrifuge. Au Moyen age, son usage était très développé en Europe, pour réduire les vomissements et traiter les verrues.

Les premières recherches sérieuses remonte à 1828 en France. Le pharmacien Leroux à réussi à isoler la principale substance active du saule : la salicine. Celle-ci est ensuite transformée par le corps en acide salicylique.

Jusqu’à la fin du XIX° siècle, on utilisait encore l’écore de saule. Mais avec la synthétisation par les laboratoires Bayer de l’acide acétylsalicylique à partir du saule, celui-ci est rapidement tombé en désuétude. Le nom d’aspirine a d’ailleurs été donné par son origine : une plante spirée.

L’aspirine a un énorme avantage par rapport au saule : sa rapidité d’action. Mais on a depuis découvert quelques inconvénients : elle agit moins longtemps et surtout provoque des irritations de la paroi de l’estomac.

Ces inconvénients de l’aspirine ont permis le retour de l’écore de saule dans certaines pharmacopées Européennes et Américaines

Saule blanc : Aspirine végétale : Partie utilisée en phytothérapie

On utilise deux parties du saule :
- L’écorce des jeunes branches (de 2 à 3 ans) ;
- Les chatons et les feuilles.
La récolte se fait au printemps (mars et avril). Elle est ensuite séchée.

Saule blanc : Aspirine végétale : Propriétés

Ci-après les propriétés du saule blanc :
- Antalgique ;
- Anaphrodisiaque (réduit la libido) ;
- Anti-inflammatoire ;
- Fébrifuge (faire baisser la fièvre) ;
- Soulager les douleurs lombaires chroniques ;
- Soulager les douleurs arthritiques ;
- Soulager le mal de tête ;
- Tonique général.
Pour résumer, les propriétés du saule sont quasiment les mêmes que celles de l’aspirine.

Saule blanc : Aspirine végétale : Posologie, comment l’utiliser en

phytothérapie

Le dosage du saule blanc se heurte à un problème majeur : il n’y a pas de standardisation de la teneur en salicine. Il faut donc de préférence se reporter aux informations notées sur les produits.Les posologies ci-dessous sont donc données à titre indicatif :
- Écorce séchée : 2 gr à 3 gr d’écorce dans une tasse d’eau froide. Porter à ébullition et laisser infuser pendant 5 minutes. Trois à quatre tasses par jour ;
- Extrait fluide (1:1) : 1 ml à 2 ml trois fois par jour ;
- Infusion : 20 gr de feuilles ou de chatons de saule blanc dans un litre d’eau. Faire infuser. Deux tasses par jour ;
- Teinture (1:5) : 5 ml à 8 ml, trois fois par jour ;
Le plus simple reste de se baser sur le dosage en salicine :
- Adulte : 60 mg de salicine 1 à 4 fois par jour ;
- Adolescent : 60 mg à 120 mg par jour ;
- Enfants de 4 à 10 ans : 30 mg à 60 mg de salicine par jour aux enfants ;

Le dosage doit être adapté au poids du malade mais aussi à l’intensité de la douleur. En cas de douleur, commencer avec 60 mg

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PILOSELLE

Posté par eurekasophie le 4 février 2009

Piloselle
Hieracium pilosella
Hieracium pilosella
Classification classique
Règne Plantae
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Ordre Asterales
Famille Asteraceae
Genre Hieracium
Nom binominal
Hieracium pilosella
L., 1753
Classification phylogénétique
Ordre Asterales
Famille Asteraceae
Références
Tela Botanica 33796
PILOSELLE  dans
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La Piloselle ou Épervière piloselle (Hieracium pilosella) est une plante vivace du genre des Épervières et de la famille des Astéracées (ex Composées-Chicoracées), commune sur les sols arides et pauvres. Elle contient des substances antibiotiques et diurétiques.

Hieracium dérive du grec ancien Hierax, épervier, en raison d’une croyance populaire qui voulait que ces oiseaux en buvaient le suc afin de fortifier leur vue. Selon G. Bauhin, le nom de Pilosella remonte à la fin du Moyen-Âge et se rapporte aux nombreux poils dont la plante est revêtue.

Sommaire

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Noms vernaculaires

Français : Épervière piloselle, Piloselle, Oreille de rat, Oreille de souris, Piloselle de rat, Herbe à l’épervier, Veluette.

  • Allemand : Habitchskraut
  • Anglais : Mouse-ear, Hawkweed
  • Italien : Pelosella
  • Espagnol : Velosilla

Description

Petite composée vivace et acaule, (difficile à distinguer parmi la dizaine d’autres épervières médicinales au sein de la centaine d’espèces que compte le genre), généralement de 10 à 15 (rarement 30) centimètres de haut, présentant autour de son pied des rejets allongés qui portent des feuilles oblongues, entières, grisâtres dessous, hérissées de longs poils sétiformes, appliquées sur le sol, et qui finissent par s’enraciner pour donner de nouvelles rosettes de feuilles.

Comme les autres épervières, les fleurs sont jaunes, les fruits, brusquement tronqués au sommet sous l’aigrette sessile, sont d’un blanc roussâtre à grisâtre, leurs réceptacles sans paillettes ni soies, et leur involucre floral à bractées nombreuses et inégales.

  • Fleurs jaune clair, ligulées, en capitule solitaire dressé. Involucre et pédoncule floral velu, sans feuilles. Floraison de mai à septembre.
  • Fruit en akène blanc grisâtre, surmonté d’une aigrette simple, molle et soyeuse, composée de soies d’égale longueur.
  • Souche horizontale, à stolons aériens et feuillés.
  • Saveur amère et très astringente.

Habitat et répartition géographique

Très commune dans toute Europe (sauf dans la région méditerranéenne où elle est rare et dans la zone arctique) et l’Asie occidentale, jusqu’à 3000 m : sur les sols secs, dans les landes à bruyères, les remblais et les clairières, sur les rocailles, dans les tourbières.

Usage médicinal

Au moyen âge, la piloselle épervière servait à prédire la guérison ou la mort des malades. La sainte abbesse Hildegarde fut la première à la mentionner au XIIe siècle. Depuis, son usage médicinal pour fortifier la vue et guérir les blessures s’est conservé dans les campagnes.

La pharmacologie moderne lui reconnait les propriétés suivantes : anti-infectieuse, astringente, chologogue, apéritive, dépurative, vulnéraire, détersive et diurétique.

Le suc frais réduit les brucelloses humaines et animales, ainsi que la fièvre de Malte. Réduite en poudre, son astringence est utilisée comme anti-hémorragique, notamment pour arrêter les saignements de nez.

Analyse chimique et toxicité

La plante renferme, outre le mucilage, tanin, résine et manganèse :

  • -des flavonoïdes (lutéoside…) responsables de l’action diurétique,
  • -des glucosides (glucoside-ombelliférone…) qui peuvent avoir une action antibiotique( inhibent les brucellas) due à l’ombelliférone libérée.
  • -des acide phénols (acide caféique et chlorogénique) qui possèdent un pouvoir antibactérien, pouvant nuire à d’autres plantes ou au développement des truffes, par exemple.

Références

HAAG-BERRURIER, Recherches phytochimiques sur la piloselle. Thèse pour le doctorat de pharmacie, Strasbourg 1964.

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LE GUARANA

Posté par eurekasophie le 4 février 2009

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Comment lire une taxobox Guaraná
Paullinia cupana
Paullinia cupana
Classification classique
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Ordre Sapindales
Famille Sapindaceae
Genre Paullinia
Nom binominal
Paullinia cupana
Kunth
Classification phylogénétique
Ordre Sapindales
Famille Sapindaceae
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NOMS COMMUNS :
Guarana.
CONSTITUANTS CHIMIQUES PRINCIPAUX :
Théobromine, Théophylline, Caféine :environ 4%, Oligots éléments (Calcium, Magnésium, Fer, Potassium, Phosphore.), Vitamines: B1, B2, PP, Huiles essentielles.
PARTIES UTILISEES :
La graine.

UN PEU D’HISTOIRE :Paullinia parce que la plante est dédiée au célèbre médecin-prélat danois Simon Pauli.Le nom Guarana vient des Guaranis, Indiens du Brésil, qui le préparent en broyant les semences sur une pierre plate et chaude. Ils y incorporent de l’eau, du cacao, du manioc, et lui donnent diverses formes.

Une légende raconte qu ‘Onhiamuaçabe; une jolie femne des tribus Mauès, arracha un oeil à son fils défunt et le planta en invoquant l’esprit des arbres. Peu de jour après, une gracieuse plante poussa, dont les fruits étaient comme les yeux de son fils.

DESCRIPTION :Le Guarana est un arbrisseau sarmenteux, grimpant, à feuilles alternes munies de vrilles. Les fleurs, verdâtres, sont disposées en grappes à l’extrémité de pédoncules axillaires. Le fruit est une capsule membraneuse à trois loges qui contiennent chacune une graine ovale.CULTURE ET RÉCOLTE :Le Guarana est particulier aux forêts d’Amérique tropicale. En septembre, les fruits sont récoltés et séchés au soleil, puis on en retire les graines.

USAGES :Le guarana constitue la matière végétale la plus riche en caféine actuellement connue. Le Guarana est employé comme un puissant facteur énergétique. Il élimine la fatigue, donne à l’organisme vitalité et sensation de bien être, aiguise l’esprit, augmente la longévité et donne l’équilibre parfait. Le Guarana est un complément alimentaire, il stimule les fonctions cérébrales et augmente les capacités intellectuelles.

Il agit contre les éléments qui causent les déréglements physiologiques (stress, nervosité, etc…). Il stimule mais sans exciter, il n’altère pas le rythme normal du coeur. C’est aussi un thermorégulateur. Largement connu pour ses propriétés aphrodisiaques, il stimule les fonctions sexuelles. Il active la combustion des corps gras et stimule la libèration de catècholamines dont l’adrénaline qui permet à l’organisme de « brûler » plus rapidement ses graisses. Le guarana sera donc particulièrement utile dans le cadre des régimes amincissants. Le guarana sera par conséquent très efficace dans le traitement des asthénies tant physiques que psychiques accompagnant souvent un régime amincissant.INDICATIONS :- OBÉSITÉ, SURCHARGE PONDÉRALE,
- ASTHENIES PHYSIQUES ET PSYCHIQUES,
- CONVALESCENCE.

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LA CANNEBERGE

Posté par eurekasophie le 4 février 2009

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Comment lire une taxobox Canneberge
Fleur de Cannebergedans une tourbière des Vosges
Fleur de Canneberge
dans une tourbière des Vosges
Classification classique
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Sous-classe Rosidae
Ordre Ericales
Famille Ericaceae
Genre Vaccinium
Sous-genre Oxycoccus
Taxons de rang inférieur
Vaccinium oxycoccosVaccinium oxycoccos
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Canneberge ou atoca? Canneberge, pomme des prés, atoca ou atoka, airelle, pois de fagne, cranberry (en France et dans les pays anglophones)… La canneberge porte plusieurs noms qui désignent le fruit autant que la plante de la famille des Éricacées. Cette cousine du bleuet pousse à l’état naturel sur les sols acides et pauvres des tourbières et des littoraux. Elle est également cultivée industriellement dans des cannebergières. La petite plante d’une trentaine de centimètre produit une petite baie rouge au goût amer, récoltée à l’automne.Pour en savoir plus : Centre d’interprétation de la canneberge

Dans les petits pots, les meilleurs onguents! Rien de plus vrai pour la canneberge. Cette petite baie rouge, un des rares fruits indigènes de l’Amérique du Nord, est reconnue depuis longtemps pour ses bienfaits sur la santé. Les Amérindiens l’utilisaient il y a des centaines d’années pour ajouter des vitamines à leur nourriture et pour déjouer les infections urinaires. Les marins européens en mangeaient pour prévenir le scorbut. Aujourd’hui, plusieurs études scientifiques confirment ces vertus de la canneberge… et bien d’autres!Des super ingrédients Les chercheurs ont notamment identifié dans la baie plusieurs composés naturels qui ont un effet bénéfique sur la santé. Les composés de l’heure : les flavonoïdes. La canneberge regorge de ces molécules aux fortes propriétés antioxydantes. En fait, elle en contient plus que la plupart des fruits et légumes, ce qui en fait le végétal par excellence à consommer pour protéger notre organisme de certaines infections, des maladies cardiovasculaires et même du cancer.

Flavonoïdes retrouvés dans la canneberge

Anthocyanidines
 - Flavanones, dont les catéchines
  - Flavones
  -Tanins ou flavonols, notamment les proanthocyanides et les quercétines

Selon les chercheurs, toutes ces molécules contribuent à réduire le risque de maladies cardiaques et de cancer. En bonus, les proanthocyanides aident à prévenir les infections urinaires, les ulcères d’estomac et les maladies de la bouche.

    

En effet, tous les jours, les cellules de notre corps utilisent plusieurs milliards de molécules d’oxygène pour brûler la nourriture et fabriquer de l’énergie. Une petite partie de cet oxygène, cependant, échappe à la combustion et génère, par oxydation, des radicaux libres. Lorsque ces molécules réactives ne sont pas neutralisées ou éliminées par des mécanismes naturels antioxydants, elles s’accumulent dans l’organisme et dégradent la membrane des cellules, les protéines et l’ADN, un peu à la manière de la rouille sur les automobiles. Les cellules subissent alors le stress oxydatif, qui se trouve à l’origine du processus de vieillissement du corps humain, des maladies cardiovasculaires, du cancer et autres troubles de santé. D’où l’importance de faire le plein d’antioxydants pour combattre les radicaux libres!Un fruit NON défenduGrâce à son pouvoir thérapeutique, la canneberge se classe parmi les aliments dits fonctionnels. Ces derniers sont semblables en apparence aux aliments conventionnels sauf qu’ils procurent des bienfaits physiologiques démontrés ou réduisent le risque de maladie chronique. Jusqu’à maintenant, les études scientifiques avancent que la consommation régulière de produits de la canneberge peut :

  Améliorer la santé cardio-vasculaire
  Réduire l’incidence d’infections bactériennes – infections bactériennes, ulcères, caries, parodontite
  Diminuer le risque de développer un cancer

Alors, ne réservez pas la canneberge au repas de l’Action de Grâce et du réveillon! Faites-en une tradition quotidienne. La canneberge peut être de toutes les sauces. On peut l’acheter fraîche, séchée ou congelée et l’incorporer dans de nombreuses recettes de barres tendres, de biscuits, de muffins. À l’épicerie, on la retrouve également dans les jus, les confitures et bien d’autres aliments.Pour en savoir plus : The Cranberry Institute

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