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QUAND LA MAIN FAIT DU BIEN là où ça fait mal……

Posté par eurekasophie le 2 février 2009

Avec environ 15 millions de consultations et 300 000 nouveaux patients chaque année, cette médecine manuelle et naturelle connaît un succès croissant. Son efficacité est réelle, à condition qu’elle soit pratiquée par des praticiens confirmés.

L’essentiel sur l’ostéopathie

Née aux Etats-Unis, l’ostéopathie existe depuis plus d’un siècle dans ce pays. En France, sa pratique s’est surtout étendue depuis une vingtaine d’années profitant de l’engouement pour les médecines douces. Zoom sur une profession bénéficiant d’un nouveau cadre légal.

QUAND LA MAIN FAIT DU BIEN là où ça fait mal...... dans MEDECINES DOUCES

Le mot d’ostéopathie dérive d’ostéon (os en grec) et de pathos (affection). Rien d’étonnant donc à ce que ce terme désigne une médecine manuelle, où le squelette joue un grand rôle.

Définition et principes de l’ostéopathie

osteopathie.jpgPour les ostéopathes, les différentes structures du corps ont la capacité de se mouvoir en toute liberté. Lorsqu’une perte de mobilité apparaît au niveau des muscles, des viscères, du crâne ou des enveloppes (fascia), des symptômes surviennent. L’ostéopathie est, selon ses adeptes, à la fois une science et un art. Elle part ainsi de la structure corporelle dont la mécanique est altérée pour corriger le désordre en cause et mener l’organisme à l’auto guérison. A la fois préventive et curative, cette médecine manuelle vise à rééquilibrer les structures ostéo-articulaires et viscérales qui ont perdu leur mobilité. Elle considère en effet que toutes les parties du corps sont reliées entre elles.

A noter aussi l’existence d’une ostéopathie crânienne, dont on doit la naissance à William Garner Sutherland. Cette forme particulière d’ostéopathie, dont la pratique repose sur la palpation des os du crâne, est parfois décriée par les autres ostéopathes.

Un peu d’histoire

L’ostéopathie a été fondée en 1874 par un médecin américain, le Dr Andrew Taylor Still, à partir de concepts tirés de la médecine antique grecque et égyptienne ainsi que de la médecine de la Renaissance. Le Dr Still formule le postulat selon lequel « la structure gouverne la fonction », l’idée étant que la conservation de la santé met en jeu un équilibre de la charpente osseuse, cette dernière assurant à son tour le bon fonctionnement des systèmes nerveux, musculaire et circulatoire.

L’école britannique d’ostéopathie sera ensuite créée en 1918 à Londres par un élève de Still, John Martin Littlejohn. En France, cette pratique restera confidentielle jusqu’aux années 1950 et 1960, années durant lesquelles le Syndicat national des ostéopathes sera fondé. L’engouement pour cette médecine manuelle débutera véritablement  dans les années 1970.

Comment se pratique l’ostéopathie ?

Pour établir son diagnostic, le praticien ostéopathe doit déceler où se situe la « lésion ostéopathique » en analysant la mobilité des différentes structures corporelles. Le traitement repose sur des techniques de pression et d’élongation, ainsi que sur des manipulations vertébrales et parfois crâniennes.

Les pathologies concernées sont variées et ne se limitent pas aux affections de la colonne vertébrale comme la sciatique, le lumbago, le torticolis, les douleurs d’épaules, de côtes, les maladies de l’appareil locomoteur comme l’arthrose, les conséquences des traumatismes… Les ostéopathes prennent, en effet, aussi en charge des problèmes aussi divers que les maux de tête ou les vertiges, l’anxiété, les troubles du sommeil, l’asthme, les colites, les “petits maux” liés à la grossesse…

De fait, comme les ostéopathes admettent eux-mêmes, cette médecine manuelle n’est pas adaptée aux maladies graves, purement organiques ou s’accompagnant d’états infectieux ou inflammatoires importants. Elle s’adresse plutôt à des pathologies fonctionnelles, où corps et psyché sont intriqués.

L’ostéopathie est aussi parfois employée chez des nourrissons pour régler des problèmes d’agitation ou du sommeil ou supprimer une déformation du crâne secondaire, par exemple, à la pose de ventouses ou à l’utilisation d’un forceps durant l’accouchement

Comment trouver un ostéopathe ?

Fiez-vous au ouche à l’oreille, c’est ainsi que se fait la réputation d’un bon (comme d’un mauvais) ostéopathe ! Il y aurait plus de 20 000 praticiens en France. Pour trouver un praticien confirmé, tournez-vous vers les instances professionnelles:

www.osteofrance.com

Site de l’Union fédérale des ostéopathes de France ( UFOP) ;

www.medecins-osteo.org

Portail du Syndicat de médecine manuelle-ostéopathie de France;

www.osteopathie.org

Registre des ostéopathes de FRance .

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BIEN A VOUS……………

Posté par eurekasophie le 2 février 2009

 

 

 

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 A mes ami(e)s …Monique, Val, Abdoul, Tritriva, Francis, Phantom, Kathy…et les autres.

A toutes celles et à tous ceux qui me rendent visite …

Avec toute mon amitié et mes remerciements

Sophie

 

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LA BETTE ….mais non pas la Bête ….

Posté par eurekasophie le 2 février 2009

bette.jpg

PHYTOTHÉRAPIE

SPHÈRE DIGESTIVE

Nom courant : BETTE, BLETTE Nom latin : Beta vulgaris ciclaAutres Noms : Poirée blanche, bette à Famille : Chénopodiacées
côtes, bette à carde
Autres domaines : Spécifique : Foie/
Étymologie : Le mot poirée est une altération de porrum ou poireau

Parties utilisées : Les côtes et les feuilles

Propriétés : Emolliente (voie urinaire)
Rafraîchissante
Laxative

Indications : Interne
Inflammation des voies urinaires
Constipation
Congestion de la rate après tout problème infectieux (ganglions)
Personnes bilieuses (hépatiques)
Externe
Croûtes de lait du bébé
Mycoses interdigitales
Posologie : Interne
- Legumes :

Externe
- Cataplasme : feuilles fraîches écrasées

Et puisque vous êtes sympas, que c ‘est la chandeleur et surtout …..surtout parce que je suis au régime mouaiiiiiiiii ! que je ne peux pas manger de crêpes je vous donne quelques recettes………… si si j’insiste, à base de bette ou blette comme vous préférez!

Que savons-nous de la bette ?

betteLa bette ou blette (Beta vulgaris var. cicla), famille des chénopodiacées est  originaire du bassin méditerranéen.
Autres appellations : côtes de bette, blette, poirée, joutte, bette-épinard.

feuille de bettePlante potagère de la même espèce que la betterave.
Les feuilles, plus ou moins vertes selon les variétés, sont larges et longues, plus ou moins ondulées. Les côtes des feuilles sont épaisses, blanches ou rouges.

Remerciements à jocelyne pour ces belles photos
Bettes et cardons:

On consomme soit les côtes, soit les feuilles, soit les deux en même temps.
Cuisson: à l’eau bouillante salée.
Les côtes s’accommodent ensuite avec un peu de crème fraîche ou au gratin.
Les feuilles se traitent comme des épinards.Les bettes sont riches en carotènes Vitamine C (Oxydation) et aussi en acide oxalique: 600 mg
C’est un légume à fuir si l’on souffre de lithiase oxalique ou de cystite.

1) Les triangles blettes-rocamadour
 

Ingrédients :

- 1 botte de blettes
- 3 rocamadour (ou tout autre fromage que vous aimez)
- 3 cs de fromage frais
- sel, poivre
- une poignée de pignons
- feuilles filo

Préparation:

Pour commencer on rince bien les blettes, ensuite on enlève les côtes ou cardes à l’aide d’un couteau. On hache les feuilles au couteau.
Puis on fait chauffer un peu d’huile d’olive dans le wok et on fait suer les feuilles de blettes à la manière des épinards frais.
Quand elles ont bien rendu toute leur eau, on les met dans un bol. On ajoute dans ce bol 3 petits rocamadour, un peu de fromage frais, des pignons, du sel, du poivre, on mélange bien.
Ensuite on étale la pâte à filo, on coupe chaque feuille en deux, on huile au pinceau, on met le côté huilé dessous, on replie en deux. On met une cuillère de farce dans le coin et on replie en triangle jusqu’en haut. On peut aussi utiliser des feuilles de bricks, même procédé, pn huile au pinceau, on coupe en deux et on rabat le côté arrondi sur le côté droit, on forme le premier triangle et on replie jusqu’en haut.
Et cela jusqu’à épuisement des ingrédients (à peu près une douzaine de triangles).
Ensuite au four jusqu’à qu’ils soient bien dorés.
On peut les préparer à l’avance et les réchauffer.

2) Jarret de veau braisé, jus au foin, blettes au vieux vinaigre

Les jarrets des animaux sont des morceaux riches en collagène et nécessitent une cuisson longue pour rendre moelleuse la viande. La cuisson braisée est trés adaptée pour ce type de morceau.

Ingrédients:

Pour 4 personne(s)

  • Jarret :

- 1 jarret de veau

- 5 cl d’huile d’arachide

- 100 g d’oignons

- 50 g de carottes

- 50 g de céleri boule

- 5 cl de vin blanc

- 20 cl de fond brun de veau clair

- 30 g de foin

  • Blettes

- 1 botte de blettes

- Beurre

- 3 cl de vinaigre de vin vieux

Préparation:

  • Préparation du jarret :

Habiller le jarret de veau et le saler. Colorer le jarret avec l’huile dans une cocotte.

Ajouter l’oignon, les carottes, le céleri boule taillés en grosse mirepoix et faire suer.

Déglacer avec le vin blanc et réduire. Ajouter le fond brun de veau clair. Porter à frémissement et rectifier l’assaisonnement.

Cuire au four à 130°C pendant 2 heures en arrosant de temps en temps. Ajouter dans le jus de cuisson, le foin et laisser cuire 1 heure au four.

  • Préparation des blettes :

Préparer les blettes et cuire les côtes et le vert séparément à l’anglaise. Rafraîchir et égoutter.

Sauter au beurre les blettes et déglacer avec le vinaigre de vin vieux. Réduire et rectifier l’assaisonnement.

  • Dressage de l’assiette :

Décanter le jarret et passer le jus de cuisson au chinois. Réduire le jus et glacer le jarret.

Dresser dans une cocotte en fonte, les blettes mijotées avec le jarret au centre. La sauce est à part dans une saucière.

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L’ELEUTHEROCOQUE ….mais oui !

Posté par eurekasophie le 2 février 2009

 

leuth.jpg 

 

ÉLEUTHÉROCOQUE

 

Eleutherococcus senticoccus (Araliacées

NOMS COMMUNS :
Ginseng de Sibérie.
CONSTITUANTS CHIMIQUES PRINCIPAUX :
Éleuthérosides.

PARTIES UTILISEES :
La racine.

UN PEU D’HISTOIRE :Il constitue, comme le Ginseng de Corée, cette magie qui donne de l’énergie aux organismes les plus fatiguées.

DESCRIPTION : Ressemblant à un buisson, l’Éleuthérocoque est originaire de Sibérie, où il en existe d’immenses réserves.CULTURE ET RÉCOLTE :

On récolte la racine d’Eleuthérocoque à l’automne. Lavée, coupée, elle est mise à sécher dans des endroits secs et aérées.

eleuthrocoque.jpg

USAGES :
L’éleutherocoque, abondant en Sibérie, est rencontré aussi dans certaines provinces de Chine et de Corée. Appelé « plante secrète des Russes », il est très prisé en U.R.S.S. Sa racine renferme des éleutherosides, auxquels elle doit ses propriétés. Elle est « adaptogène », c’est-à-dire qu’elle va agir sur l’organisme en favorisant son adaptation harmonieuse à diverses situations. L’éleuthérocoque est, par exemple, utilisé par les cosmonautes russes auxquels il apporte une meilleure adaptation à l’espace.
La racine d’éleutherocoque facilite aussi l’effort physique, augmente la capacité de résistance et améliore la récupération après l’effort. Elle est utilisée depuis longtemps par les athlètes russes dont on connaît les performances a tous les Jeux Olympiques. Cette racine est vitalisante : c’est un bon tonique masculin. Son effet stimulant et vitalisant serait expliqué par un contrôle hormonal sur les organes concernés, par l’intermédiaire de l’hypophyse et de l’hypothalamus. L’éleuthérocoque facilite aussi la concentration intellectuelle. Le renforcement de la résistance de l’organisme va être constant et soutenu dans le temps, même après l’arrêt du traitement. L’éleutherocoque est un allié de choix des traitements homéopathiques. puisqu’il stimule les réactions de défense sans se substituer a elles.

INDICATIONS :

- FATIGUE PHYSIQUE OU INTELLECTUELLE (SURMENAGE),
- PREPARATION AUX COMPETITIONS SPORTIVES,
- TONIQUE MASCULIN,
- RENFORCEMENT OU TERRAIN,
- PRERARATION AUX EXAMENS SCOLAIRES,
- CONVALESCENCE.

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L’ARMOISE …..non pas ARMOIRE , j’ai bien dit ARMOISE .

Posté par eurekasophie le 2 février 2009

armoise.jpg 

NOMS COMMUNS :
Couronne de Saint-Jean, Ceinture de Saint-Jean, Herbe à cent goûts, Remise, Artémise, Herbe de Saint-Jean, Herbes de feu, Tabac de saint Pierre.

CONSTITUANTS CHIMIQUES PRINCIPAUX :
flavonoïdes, huile essentielle.

PARTIES UTILISEES :
sommité fleurie.

UN PEU D’HISTOIRE :

C’est à Artémis, déesse lunaire des Grecs qui se confond avec la Diane des Romains, que l’armoise doit son nom savant et son nom courant qui n’est d’ailleurs qu’une déformation du précédent.

Elle fut baptisée ainsi moins parce que la légende veut qu’elle ait été créée par cette divinité que parce qu’elle exerce une action identique à celle d’Artémis dont la mission principale, en dehors de la chasse, était de porter secours aux femmes dans leurs maladies, tant en régularisant leur cycle qu’en les assistant lors des accouchements. En somme, son nom – qui évoque la lune et la déesse protectrice du sexe dit faible – indique clairement ses utilisations essentielles et explique pourquoi, depuis Hippocrate, Pline et Dioscoride, elle est considérée comme la « plante féminine » par excellence.

On lui attribua même longtemps des vertus magiques qui s’ajoutaient à ses indiscutables propriétés thérapeutiques. Par exemple, elle passait pour être un talisman contre la fatigue. Pline est le premier à le signaler dans son Histoire Naturelle en conseillant au voyageur d’en porter toujours un rameau sur lui et de nombreux siècles plus tard, on retrouve une suggestion parallèle dans un dicton français « Qui portera armoise par le chemin ne se sentira jamais las ».

On croyait aussi qu’elle avait le pouvoir d’écarter la plupart des dangers qui menacent les pauvres humains. Celui qui a soin d’avoir toujours sur lui cette herbe, lit-on dans un des plus célèbres grimoires de sorcellerie « Les Secrets du Grand Albert », ne craint point le mauvais esprit, ni le poison, ni l’eau, ni le feu et rien ne peut lui nuire. De plus, si on en tient dans sa maison, le tonnerre ne tombera point dessus, ni aucun air venimeux ne l’infectera pourvu qu’on la mette à l’entrée. Au Moyen Age, elle entrait dans la composition des philtres propres à « dénouer l’aiguillette » et la tradition voulait qu’on en portât soit une couronne sur la tête, soit une guirlande autour de la taille pour danser devant le feu de la Saint-Jean, puis qu’on la jetât ensuite dans les flammes afin d’être immunisé contre la maladie pendant l’année à venir, d’où ses surnoms. Aujourd’hui encore, dans nos campagnes, court toujours ce vieux proverbe « Si tu connaissais les vertus de l’artémise, tu la porterais dedans ta chemise».

DESCRIPTION :

L’Armoise est une plante vivace à racine ligneuse, rampante et fibreuse. La tige, qui peut atteindre 1,5 mètre, est herbacée, cylindrique, striée, rougeâtre, un peu velue, dressée et rameuse. Les feuilles sont alternes, profondément lancéolées, découpées en segments, vert foncé dessus, blanches et cotonneuses dessous. Les fleurs jaunes sont groupées en petits capitules et disposées en petits épis axillaires dont la réunion constitue une longue panicule. Le fruit est ovale et lisse.

CULTURE ET RÉCOLTE :

L’Armoise se trouve abondamment à l’état sauvage, préférant malgré tout les terres légères et les expositions découvertes. Pour sa culture, il suffit d’en semer les graines au printemps et de repiquer les plants dès qu’ils sont assez forts à 60 centimètres les uns des autres environ. Une autre méthode consiste simplement à diviser les touffes au printemps. Les sommités fleuries se récoltent dès l’apparition des fleurs en juin, juillet. On coupe la plante de 30 à 40 centimètres à partir de la hauteur disposée en bouquets suspendus, on la fait sécher dans des endroits aérés.

armoise3.jpg

USAGES :

L’huile essentielle contenue dans la feuille d’armoise a des propriétés régulatrices du cycle menstruel et des règles. La plante sera conseillée chez les femmes présentant un cycle irrégulier et également en cas de règles absentes ou peu abondantes. Prise régulièrement durant la deuxième moitié du cycle, l’armoise permet de supprimer ce que l’on appelle le syndrome prémenstruel, qui regroupe tout un ensemble de troubles dont souffrent les femmes durant les jours qui précèdent leurs

règles (rétention d’eau, prise de poids, gonflement des seins, irritabilité…). Autre propriété intéressante, l’armoise est antispasmodique et calme efficacement les douleurs abdominales existant durant les règles. Ces douleurs désagréables et invalidantes pour la vie quotidienne proviennent de spasmes des muscles de l’utérus. Elle se prépare en décoction pendant 3 minutes en mettant une bonne cuillerée à soupe de plantes coupées par tasse. Prenez-en deux ou trois tasses par jour.


   INDICATIONS :

- SYNDROME PRÉMENSTRUEL,
- RÈGLES DOULOUREUSES,
- REGLES IRRÉGULIERES ET/OU PEU ABONDANTES.

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DEPOTER……et ……REMPOTER

Posté par eurekasophie le 2 février 2009

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                           Hélixine                                                                                         Callesia                                                                                         Kamioculcas

DEPOTER

Procéder au dépotage quand la plante est visiblement à l’étroit dans son pot, qu’une ou plusieurs racines pointent par le trou de drainage, ou que l’eau traverse le compst comme une passoire.

Effectuer cette opération de préférence au printemps. Le dépotage est facile si le compost est humide; s’il ne l’est pas, arroser.

Etaler tout le matériel ( vieux journaux, gants de caoutchouc, couteau bien aiguisé, pot de 2 cm de diamètre plus grand que le précédent, coupelle, compost standard, 1 morceau de pot de terre cuite) sur la table de travail recouverte de vieux journaux.

Saisir la plante par le pot, la placer horizontalement. D’une main soutenir la base de la plante entre les doigts, la paume maintient la motte.

Heurter doucement le bord du pot contre le bord de la table. Tourner légèrement le pot et recommencer à heurter. Tourner jusqu’au moment où la motte sort du pot.

Recevoir la motte dans la main

Tapoter doucement la motte pour faire tomber la terre du pourtour. La motte est prête à être rempotée.

Si la motte est pratiquement un amas de racines ayant pris la forme du pot, alléger l’amas de racines.

Mettre la motte debout sur la table et découper verticalement au couteau les parties arrondies de façon à obtenir une motte carrée.

REMPOTER

Quand on vient de dépoter une plante, il faut la rempoter immédiatement.

Commencer par faire tremper le pot en terre cuite non vernie dans l’eau, cette opération est inutile pour un pot verni ou un bac plastique.

Placer le morceau de terre cuite au fond du pot, sur le trou de drainage, face convexe vers le haut.

Verser quelques centimètres de compost au fond du pot.

Prendre doucement la plante par la motte, et la placer au milieu du pot, sur le compost. Si elle est trop enfoncée dans le pot, retirer la motte et ajouter du compost, puis remettre la motte dans le pot.

Combler l’espace entre la motte et les bords du pot avec du compost. Tasser la surface du compost avec les doigts. La plante doit tenir toute seule. La terre ne doit pas être trop tassée.

Placer le pot sur sa coupelle et arroser comme d’habitude. Au bout de 15 mn, retirer l’eau qui a coulé dans la coupelle

Mettre la plante à sa place dans un endroit protégé des courants d’air, sans ensoleillement direct. Surveiller attentivement le comportement de la plante les jours suivants….Si elle boit beaucoup, l’arroser à nouveau.

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C’EST LA CHANDELEUR ….

Posté par eurekasophie le 2 février 2009

N’OUBLIEZ PAS ….. 

 

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 Sinon vos enfants vous en voudraient …et n’oubliez pas ….

 À qui le tour de faire sauter la crêpe d’un poignet agile, de tourner la poêle de la main droite en tenant une pièce en or de la main gauche. Elle ne doit pas tomber, coller au plafond ou retomber chiffonnée. Réussir une telle acrobatie porte bonheur, dit le dicton. Personne n’y croît mais chacun essaie car si on réussit, jamais on ne manquera d’argent toute l’année durant.

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L’ANEMIE

Posté par eurekasophie le 2 février 2009

MIEUX COMPRENDRE SON BILAN D’ANEMIE

Pâleur, essouflement, fatigue…..

trois signes qui caractérisent l’anémie

Si le diagnostic de l’anémie ne pose aucun problème avec une simple prise de sang, déterminer sa cause est plus délicat. Il est essentiel en effet d’en connaître l’origine afin de mettre en route le traitement adapté. C’est tout l’intérêt de l’analyse des différents paramètres sanguins.

QU’EST-CE QUE L’ANEMIE ?

L’anémie, c’est un manque de fer. Bon, d’accord. Mais concrètement, il se passe quoi dans l’organisme ? Et puis le fer, ça sert à quoi finalement ?

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Le fer assimilé entre dans la composition des hématies. C’est lui qui leur donne leur couleur rouge.

Petit retour sur vos cours de biologie du collège. Le sang sert, entre autres, à transporter l’oxygène dans tout le corps : cerveau, muscles, etc.  Dans le sang, ce qui permet de transporter l’oxygène, ce sont les hématies, plus connues sous le nom de globules rouges. Et dans les globules rouges, l’hémoglobine joue un rôle particulièrement important dans le transport de l’oxygène. C’est également elle qui donne sa couleur rouge au sang. Elle est notamment composée de fer.

Durée de vie  : 120 jours

Par conséquent, lorsque le fer vient à manquer, l’hémoglobine aussi. L’oxygénation de l’organisme est donc moins bien assurée, ce qui provoque les symptômes déjà cités : fatigue, pâleur, essoufflement… La production des globules rouges est normalement bien rodée : ils se construisent en 5 jours au cœur de la mœlle osseuse. Leur durée de vie est de 120 jours. Tous les jours, des globules rouges meurent tandis que d’autres naissent. Lorsque la machine est bien réglée, les morts et les naissances s’équilibrent, pour que le nombre de globules rouges reste le même en permanence. Mais s’il y a perte de sang, à cause d’une hémorragie ou d’une maladie qui détruit les hématies, et que cette perte n’est pas compensée, la quantité d’hémoglobine diminue : si ce phénomène n’est pas enrayé, c’est l’anémie. 

ASTERISQUES

Pas assez de globules rouges

Il est important de mentionner que le nombre de globules rouges et le taux d’hémoglobine sont plus bas chez la femme et l’enfant que chez l’homme (à cause de son imprégnation androgénique).

1) Le nombre d’hématies est normalement de :

  • 5 (4,5 à 5,5) millions / mm³ chez l’homme adulte ;
  • 4,5 (3,9 à 5,0) millions / mm³ chez la femme adulte et l’enfant.

2) Le taux d’hémoglobine (Hb) du sang est normalement de :

  • 15 (13,5 à 16) g/100 mL chez l’homme adulte ;
  • 13,5 (11,5 à 15) g/100 mL chez la femme adulte et l’enfant.

On parle d’anémie si le taux d’hémoglobine est inférieure à 13 g/dL chez l’homme adulte et inférieur à 12 g/dL chez la femme.

Chez la femme enceinte, il y a une hémodilution physiologique, on place alors le taux minimal à 11 g/dL.

bouton0051.gifLES CAUSES

  • Hémorragies, internes (saignement digestif….) ou externes (saignement de nez, plaie du cuir chevelu….).
  • Destruction des globules rouges, ou hémolyse, par des anomalies des membranes globulaires, en cas d’anomalie de la stucture de l’hémoglobine , d’un déficit en une enzyme, après un traitement médicamenteux, après une infection, à la suite d’une agression par anticorps (transfusions sanguines, allergies, maladie immunitaire….), par des agressions mécaniques (course à pied, lorsque les globules rouges sont détruits au niveau du talon, port d’une prothèse cardiaque….).

 ILS NE SONT PAS ASSEZ GROS …..

bouton0051.gifParamètres à consulter: VGM, ou Volume Globulaire Moyen. Le VGM est inférieur à µm3 (ou 85 « femtolitres »). On parle alors d’anémie « microcytaire ».

bouton0051.gifLES CAUSES

  • Carence en fer
  • Grossesse
  • Allaitement
  • Maladies de l’hémoglobine (thalassémies, drépanocytose).
  • Intoxication par le plomb (saturnisme).

…..OU TROP VOLUMINEUX !

bouton0051.gifParamètre à consulter: VGM, ou Volume Globulaire Moyen. Dans cette anémie dite  » macrocytaire », le phénomène initial est une perturbation lors de la production des globules rouges qui ne se divisent pas assez. Il y a donc moins de globules rouges mais chacun contient suffisamment d’hémoglobine. Le taux de réticulocytes permet d’afficher le diagnostic.

bouton0051.gifLES CAUSES

  • Carence en vitamine B12 ou en acide folique.
  • Hémorragie aiguë.
  • Hémolyse.
  • Anomalie de la moelle osseuse.

PAS ASSEZ RICHES EN HEMOGLOBINE

bouton0051.gifParamètre à consulter: La CCMH , ou Concentration Corpusculaire Moyenne en Hémoglobine. Chaque globule rouge comporte entre 32 à 36% d’hémoglobine (ou 32 à 36 g/dl). On parle d’anémie « hypochrome » lorsque la CCMH  est inférieure à la normale et d’anémie normochrome, lorsque la CCMH est normale.

bouton0051.gifLES CAUSES

  • Carence en fer.
  • Maladies de l’hémoglobine (thalassémies, drépanocytose).

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Après dimanche……………

Posté par eurekasophie le 2 février 2009

bonlundi2.jpg

Faut s’y faire…..surtout que c’est le 2 et c’est quoi le 2 ?

C’est la chandeleur !!!!

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