Vole……Vole….petite aile….Pour toi Gérard …
Posté par eurekasophie le 29 janvier 2009
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Posté par eurekasophie le 29 janvier 2009
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Posté par eurekasophie le 29 janvier 2009
Tradescantia Philodendron Kalanchoe rouge et blanc
Le tuteurage
Les tuteurs servent à soutenir les plantes au fur et à mesure de leur croissance, surtout celles qui, par nature, n’ont qu’une seule tige qui « tient » toute seule. Le tuteurage est donc systématique pour les plantes grimpantes. Il l’est aussi pour les plantes à racines aériennes comme les philodendron.
Piquer avec précaution le tuteur dans la terre pour ne pas abîmer les racines. Le placer à 1 cm environ d’une tige fine, à 2 cm d’une tige épaisse.
Certaines plantes, comme le philodendron possèdent des racines aériennes. Les plus basses ou les plus longues doivent avoir leur extrémité plongée dans le compost. Mais en aucun cas, il ne faut ployer la plante pour planter dans le compost les racines aériennes courtes ou en hauteur.
Certaines plantes, comme le philodendron, sont vendues avec un tuteur moussu, qui soutient et retient en même temps l’humidité.
Le vaporiser de temps en temps. Entourer le tuteur moussu avec la plante, au fur et à mesure de sa croissance. Quand le tuteur est entièrement recouvert, songer au moment du rempotage, à acheter un tuteur moussu plus haut pour le remplacer.
Relier la tige et le tuteur avec 1 ou 2 attaches (par exemple, à mi-hauteur et à 10 cm de haut). Ne jamais serrer étroitement l’attache, laisser la tige légèrement libre dans le cercle formé par le lien.
Le lierre peut entourer progressivement une fenêtre: maintenir la tige en la faisant passer sur de petits clous peu visibles, plantés autour du chambranle. Ne jamais clouer la tige elle-même.
Hoya carnosa apprécie d’être palissée sur un tuteur en arc de cercle. Le tuteur: un fil de fer arrondi, est piqué dans le compost de part et d’autre de la tige, le plus près possible des parois du pot.
L’enfoncer suffisamment (4 à 6 cm) pour qu’il tienne bien en place. Le tuteur forme alors comme une anse de panier. Enrouler la tige autour du cerceau au fur et à mesure de la croissance.
Pincement et taille
Il y a deux manières d’intervenir dans la croissance de certaines plantes, afin de les étoffer et de leur donner une vigueur nouvelle: le pincement et la taille.
Le pincement consiste à supprimer une pousse terminale, afin de susciter l’éveil de minuscules bougeons latéraux. Effectuer cette opération en période de végétation active: au printemps surtout. Cette méthode concvient à des espèces telles que Tradescantia, les kalanchoe, l’avocat, qui, sans l’intervention du pincement, pousseraient tout droit au lieu de se ramifier. Ne jamais pincer une plante dont on vient de prélever des boutures.
Pincement
Pincer la pousse terminale entre l’ongle du pouce et celui de l’index, au ras des deux feuilles les plus hautes. Sectionner. Prendre garde à ne pas endommager les les minuscules bourgeons naissants à la jointure des feuilles.
Au bout de quelques jours, de nouveaux bourgeons vont percer, ils produiront de nouveaux rameaux. Quand ces rameaux auront 15 à 20 cm , il sera possible de refaire l’opération , ce qui donnera une nouvelle ramification.
La taille consiste à supprimer certaines parties de la plante, jamais plus de 2 ou 3 branches ou tiges à la fois et jamais bien sûr sur la tige principale. Elle provoque l’éveil des bourgeons dormant sous l’écorce, tout en supprimant les parties croissant de façon inesthétique. Elle convient au kalanchoe, aux Begonia et aux arbustes. En aucun cas il ne faut tailler les Asparagus, les Aspidistra et Sanseviera trifasciata.
La taille peut s’avérer obligatoire, par exemple quand un caoutchouc, ou un faux philodendron grandit excessivement et touche le plafond: il faut alors l’étêter pour stopper sa croissance. La plante ne souffre pas trop de cette opération, mais il ne faut la pratiquer que si elle est nécessaire. Pratiquer la taille une fois par an, au printemps, avant la floraison ou la période de croissance.
Sur les espèces qui tolèrent aussi bien la taille que le pincement, on ne pratique qu’une seule de ces méthodes, au choix.
Taille
Repérer l’endroit où s’effectuera la taille, au-dessus d’un oeil ou bourgeon, légèrement de biais, la partie la plus haute du biais du côté du bourgeon. Tailler aux ciseaux (ou au sécateur) en une seule fois, très nettement.
Chez les plantes panachées dont les feuilles sont bicolores, tailler toutes les parties qui ne donnent plus que des feuilles unies. Tailler en priorité la ou les branches abîmées. Chez les plantes à fleurs, la taille stimule la floaraison, et de nouvelles pousses apparaissent là où il n’y en avait qu’une auparavant.
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Posté par eurekasophie le 29 janvier 2009
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Posté par eurekasophie le 29 janvier 2009
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Posté par eurekasophie le 29 janvier 2009
Je ne vous parlerai pas de ce roman « la vigne rouge », Fleurdelyss le ferait mieux que moi …..
La Vigne rouge ni de ce tableau »la vigne rouge » de Van Gogh ….
Vincent Van Gogh (1888)
mais de cette vigne rouge là ……..
Propriétés
Activité vitaminique P
Diminue la perméabilité des capillaires
Augmente la résistance des capillaires
Évite la stase veineuse (ralentissement ou arrêt de la circulation sanguine dans les veines)
Protège les vaisseaux
Vasoconstrictrice (diminue le calibre des vaisseaux)
Favorise le retour veineux
Action contre les radicaux libres (participant au vieillissement de l’organisme)
Stabilisation du collagèneIndications
Insuffisance veineuse
Hémorroïdes
Varices
Jambes lourdes
Suite de phlébites
Ulcères variqueux
Bouffées de chaleur de la ménopause
Remarque
Habituellement, la vigne rouge associée au fumeterre, à la marjolaine, à l’hamamélis, au marron d’Inde ou au mélilot.Toxicité et effets secondaires
Aucun.
En infusion : une cuillerée à soupe par tasse d’eau bouillante laisser infuser 10 minutes ; 4 tasses par jour.En décoction : deux poignées dans un litre d’eau, laisser bouillir 1/4 d’heure et ajouter à l’eau d’un bain de pieds.
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Posté par eurekasophie le 29 janvier 2009
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Posté par eurekasophie le 29 janvier 2009
PRINCIPES ACTIFS MAJEURS —
La feuille de boldo contient principalement : une huile essentielle riche en eucalyptol et en alcaloïdes
dont le principal est la boldine, ainsi que de nombreux flavonoïdes. Aucun des constituants connus du boldo
ne justifie encore pleinement son action ; seule une synergie d’action entre eux (comme pour de nombreux
autres végétaux d’ailleurs) peut expliquer actuellement ses remarquables propriétés qui, elles, sont
indiscutables.
PROPRIÉTÉS GÉNÉRALES ESSENTIELLES —
La feuille de boldo possède des propriétés :
• cholérétique (qui augmente la sécrétion et l’élimination de la bile par le foie) ;
• cholagogue (qui facilite l’évacuation de la bile située dans les voies biliaires extra-hépatiques et surtout
dans la vésicule, vers l’intestin) ;
• hépato-protectrice ;
• augmentation de la sécrétion salivaire.
INDICATIONS PRINCIPALES —
Actuellement, le boldo est utilisé :
1) En général :
• Chaque fois qu’il est nécessaire de favoriser la digestion.
2) En particulier :
• Sphère digestive : Dyspepsie – Affections hépato-biliaires dans leur ensemble : Insuffisance
hépatique – Paresse vésiculaire – Lithiase biliaire.
• Autres sphères : Sécheresse de la bouche.
FORMES D’UTILISATION —
— Les formes habituelles d’administration du boldo en phytothérapie contemporaine sont la poudre totale
sèche (micronisée, et de préférence cryobroyée) en gélules qui représente le totum végétal de la feuille
dans toute son intégrité et toute son intégralité, et l’extrait sec (souvent sous forme de nébulisat)
également en gélules.
— Il peut aussi être pris sous forme d’infusion (faire infuser 5 g de feuilles séchées dans une tasse à thé
d’eau bouillante pendant 10 minutes, et filtrer ; ou, pour plus de facilité, en utilisant les sachets-doses prêts
à l’emploi de certaines spécialités pharmaceutiques mentionnées ci-dessous); et parfois sous forme de
macéré (faire macérer 30 g de feuilles séchées dans un litre de bon vin rouge pendant une semaine, avant
de filtrer et de conserver dans un flacon bien bouché).
— Il est également utilisé dans de nombreuses préparations magistrales associant diverses autres plantes
complémentaires (sous forme d’infusions composées, mais surtout aujourd’hui sous forme de mélanges de
poudres totales ou d’extraits secs en gélules) choisies et prescrites en fonction de chaque malade par les
médecins phytothérapeutes.
— Le boldo existe enfin sous forme de très nombreuses spécialités pharmaceutiques phytothérapiques
répondant à ses indications (seul ou en association avec d’autres plantes aux vertus complémentaires) :
Afra Tisane* – Azéma Tisane* – Bolcitol* – Boribel tisane N°7 Biliaire* – Drainactil* – Élixir Spark*-
Élusanes Boldo* – Extrane Boldo* – Florisane Boldo* – Gastralsan* – Gifrer Boldo* – Grains de Vals* -
Hépaclem* – Hépatoflorine* – Hépax* – Jécopeptol* – LBP Boldo* – Lithol* – Médiflor
hépatique N°5* – Mucinum à l’extrait de Cascara* – Opobyl* – Phytescens F100 « D.Pur »* -
Phytofluide Boldo* – Santane C6* – Santane F10* – Solution Stago* – Tisane hépatique de Hœrdt* -
Végélax*- Vitaflor Boldo* - etc.
POSOLOGIE MOYENNE —
Les doses moyennes journalières à prendre pour les différentes formes habituelles d’utilisation sont les
suivantes :
• Poudre totale sèche micronisée en gélules : 1 g à prendre avec un verre d’eau en trois prises : matin,
midi et soir avant les repas.
• Extrait sec (nébulisat) en gélules : 200 mg à prendre avec un verre d’eau en trois prises : matin, midi
et soir avant les repas.
• Infusion : Boire une tasse matin, midi et soir après les repas.
• Macéré : Prendre un verre à Bordeaux avant le principal repas, en cure de 10 jours.
La durée du traitement sous ces formes et à ces doses est éminemment variable en fonction des
troubles à traiter et de leur importance. En règle générale, il doit être poursuivi jusqu’à disparition – ou
nette amélioration – de ceux-ci.
• Préparations magistrales médicales : Suivre strictement les indications mentionnées sur l’ordonnance
par le médecin traitant.
• Spécialités pharmaceutiques : Suivre les recommandations d’utilisation du laboratoire quant à la dose, la
durée du traitement et – pour les enfants - l’âge à partir duquel la spécialité peut être prise.
REMARQUE IMPORTANTE —
— Il est recommandé de ne pas utiliser le boldo à doses trop fortes ou de façon trop prolongée (en
règle, ne pas dépasser un mois) car il peut devenir irritant.
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