BONSOIR TOI QUI VIENT ME VOIR .
Posté par eurekasophie le 14 janvier 2009
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Posté par eurekasophie le 14 janvier 2009
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Posté par eurekasophie le 14 janvier 2009
-Fêlée
Choisissez une casserole suffisamment grande pour la contenir, remplissez-la de lait et immergez l’assiette fêlée. Laissez bouillir pendant trois quarts d’heure et une fois ce temps écoulé, la fêlure n’apparaîtra plus.
-De collection
L’attachement porté à ce type d’assiette mérite quelques ménagements. Lavez-la dans de l’eau chaude additionnée de détergent doux , rincez puis séchez complètement. Afin d’obtenir un brillant parfait, frottez-la avec un tampon de coton imbibé d’alcool à brûler. Laissez évaporer et faites briller .
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Posté par eurekasophie le 14 janvier 2009
-Croissance
Oui, vous pouvez aider la nature, et faire grossir les têtes d’artichauts en procédant ainsi: quand la tige a atteint sa taille définitive, la fendre en croix, juste sous la tête, et y glisser deux allumettes qui se trouveront donc entrecroisées.
-Conservation
Le traiter comme une fleur n’est que justice, puisqu’il en est le bouton; vous le conserverez donc en en faisant tremper la queue dans un verre d’eau que vous changerez chaque jour comme vous le feriez pour une fleur.
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Type de plat : entrée Ingrédients : Recette : |
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Posté par eurekasophie le 14 janvier 2009
Pour que les aubergines ne rendent plus à la cuisson un jus noir peu appétissant, les faire tremper pendant 3 ou 4 heures dans de l’eau salée.
-Friture
Pour que les tranches d’aubergine n’absorbent plus l’huile dans laquelle vous les faites cuire, passez-les dans un blanc d’oeuf et elles ne joueront plus le rôle d’éponges.
Voici pour vous une recette à base d’aubergines
Le gâteau d’aubergines au coulis de tomate
Préparation : 30 minutes.
Cuisson : 45 minutes
Les ingrédients :
- 2 grosses aubergines
- 3 oignons
- 2 gousses d’ail
- 4 oeufs
- 20cl de crème fluide
- 1 boîte de tomates concassées (environ 400g)
- 50g d’olives niores dénoyaurées
- 6 cuillières à soupe d’huile d’olive
- sel, poivre moulu
Le matériel spécial :
- un moule à cake
- un mixeur
voici comment faire :
Pour le gâteau d’ubergines :
1. Laver et éponger les aubergines.
Les couper en petits dés.
2.Peler et émincer 2 oignons et 1 gousse d’ail.
3. Dans une sauteuse, faire chauffer 3 cuillière à soupe d’huile d’olive, ajouter les aubergines, les oignons et l’ail et laisser cuire pendant 10 minutes en mélangeant souvent.
4. Egoutter et laisser refroidir la préparation.
5. Huiler un moule à cake.
Préchauffer le four th. 7 ou 210°C.
6. Mixer les aubergines avec les oeufs, 10cl de crème fluide et les olives. Saler et poivrer.
Verser dans le moule et mettre au four pendant 45 minutes.
Pour le coulis de tomate :
1. Peler et hacher les oignons et l’ail restants. Les faire rissoler dans 3 cuillière à soupe d’huile d’olive.
2. Ajouter la pulpe de tomate.
3. Saler et poivrer et laisser mijoter pendant 20 minutes.
4. En fin de cuisson, mixer la sauce avec le reste de crème fluide et laisser refroidir.
Démouler le gâteau sur un plat. Il sera encore meilleur dégusté froid.
Voilà, vous savez tout, maintenant !
Bon appétit !
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Posté par eurekasophie le 14 janvier 2009
Lorsque à la tache qui vient d’être enlevée succède une auréole, le cas n’est pas désespéré si le tissu concerné est grand teint. En effet, il suffit alors de présenter la partie du vêtement détaché au-dessus d’un récipient contenant de l’eau bouillante.
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Posté par eurekasophie le 14 janvier 2009
Maiiiiis non, pas celui là !
-Maturité
Ne restez plus perplexe, lorsque vous faites votre marché, devant l’étalage des avocats parmi lesquels vous devez faire votre choix. Une simple pression du doigt à la base du pédoncule vous permettra de savoir si ce fruit exotique est immédiatement consommable. Si la chair résiste, il n’est pas encore mûr; si elle est souple, vous pourrez le servir le jour même.
Celui-ci voyons !
-Conservation
Pour conserver des avocats, enfouissez-les complètement dans une terrine remplie de farine.
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Posté par eurekasophie le 14 janvier 2009
Lupins Coeur d’anémone Iris
Hortensias Pivoines
De nombreuses plantes courantes poussent en touffes avec des racines multiples: le buis de bordure par exemple, l’hortensia, la pivoine, l’anémone, l’iris, le lupin, l’aster et de nombreuses plantes vertes.
Il est facile de sélectionner 1 ou 2 touffes ( c’est-à-dire une tige, sa racine et si possible des bourgeons). Vous les replantez ensuite dans un pot suffisamment profond pour que la racine soit à l’aise. Coupez quelques feuilles pour ne pas lui donner trop de travail et diminuer sa soif, puis arrosez régulièrement.
Procédez de préférence avant la période de végétation active des plantes, c’est-à-dire en dehors des mois d’été.
Les plantes à longues tiges multiples
Vous les repérerez aisément: le lierre, la glycine, le rhododendron, par exemple, sont envahis en été par de longues tiges ou des branches basses qui ne demandent qu’à être enterrées pour donner naissance à des racines, donc à une plante autonome.
Sélectionnez quelques tiges jeunes, tendres et vivaces. Enterrez le milieu de chacune dans de la terre sans le séparer du reste de la plante. Un bout de la tige reste relié à la plante mère, l’autre bout bourgeonnant étant hors de terre. Il est préférable de faire une petite entaille dans la partie de la tige enterrée pour faciliter l’émission des racines. Recouvrez le bout entaillé de terre bien humide et maintenez-le couché avec un petit morceau d’allumette cassé en fourche.
Si vous avez affaire à une plante géante (genre caoutchouc), il est difficile de coucher à terre une tige déjà élancée à 2 m du sol. Dans ce cas, faites une entaille au milieu de la tige choisie, mettez un petit bout de bois pour maintenir l’entaille ouverte et entourez-la de coton ou de mousse humide, en ficelant à chaque bout. Les racines seront probablement plus longues à venir qu’en terre: comptez au moins 2 mois .
Les plantes à boutures
Bégonias Géraniums
Pour la majorité des plantes (géranium, bégonia par exemple ou certaines plantes grasses), il suffit de prélever un jeune rameau et de le replanter pour obtenir une seconde plante. Ce procédé, très sommaire, peut se pratiquer n’importe où : vous emportez votre morceau de plante, et vous lui faites faire des petits chez vous.
Coupez les rameaux avec un rasoir de préférence pour éviter d’abîmer les tissus fragiles, puis replantez-les en terre sans enlever la partie feuillue. En quelques semaines et en arrosant bien, le rameau détaché aura repris de la vigueur et entamé une nouvelle vie.
Coupez toujours le rameau au niveau d’un bourgeon naissant (juste en dessous de l’ »oeil »), il reprendra plus facilement.
Certaines plantes se multiplient mieux au départ dans l’eau. Si vous détachez un rameau d’un laurier-rose, de papyrus, de philodendron, de vigne vierge ou de lierre, mettez-le à tremper dans un verre d’eau, le haut de la tige hors de l’eau.
Renouvelez fréquemment l’eau. Au bout de quelques semaines, en pleine lumière de préférence, les racines auront poussé et vous pourrez le replanter.
Pour quelques variétés, on n’a besoin que d’une simple feuille: le saint-paulia, le bégonia rex, par exemple, ou les plantes grasses. Ne prenez pas une feuille trop jeune ni trop vieille. Détachez-la doucement, et replantez-la en terre en laissant ressortir la partie supérieure qui sera posée à plat sur la terre .
Comptez environ 2 mois avant que des racines apparaissent.
CONSEIL: Vous obtiendrez de meilleurs résultats en plantant vos boutures dans du terreau ou dans une terre assez sableuse et en les maintenant dans une atmosphère bien chaude (sans sécheresse ni humidité excessive). Ajoutez un peu de charbon de bois ou de cendre dans la terre ou l’eau et mettez-les sous cloche si possible (un sac ou une bouteile en plastique percés de trous.
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Posté par eurekasophie le 14 janvier 2009
Savez- vous planter les choux…à la mode , à la mode ….savez-vous planter les choux à la mode de chez nous …..
Ce n’est pas de choux dont je vais vous parler, mais de la pomme de terre LOL!
SAVEZ-VOUS QUE ……
MAIS OUI….. vous savez que si on laisse les pommes de terre à l’air libre et sans les avoir saupoudrer de charbon de bois, elles germent.
Bien. Dans ce cas, ne les jetez plus. Posez-les sur un verre d’eau, les yeux en l’air car ce sont les bourgeons. La base de la pomme de terre doit affleurer l’eau; veillez à ce que le niveau soit toujours maintenu. Puis laissez le verre surmonté de sa pomme de terre dans un coin obscur (une cave par exemple), jusqu’à ce que les pousses grandissent et que les racines remplissent le verre.
A ce moment, replantez la pomme de terre dans de la terre en enlevant éventuellement quelques pousses pour stimuler la plante. En quelques semaines, tout un ramage vert va se développer. Il vous sera alors peut-être nécessaire de mettre un tuteur pour soutenir ces tiges de plusieurs dizaines de centimètres de haut.
Vous pouvez procéder de la même façon avec une patate douce, mais il faut la faire germer à la lumière dans un endroit chaud. Son feuillage est très décoratif.
ARACHIDE
C’est une plante exotique qui a l’avantage de pousser très vite. La cacahuète germée donne en quelques semaines une jolie plante vert tendre aux fines feuilles délicates. Quant aux graines (si vous arrivez jusque-là !), ne les cherchez pas sur la tige: c’est sous terre qu’elles se forment ! Attention au choix de la cacahuète; elle ne doit être ni salée ni grillée, mais bien intacte dans sa coquille et recouverte d’une pelure rouge. On trouve des graines de cacahuètes à germer chez certains fleuristes ou grainetiers.
Déposez 1 ou 2 cacahuètes sur un coton mouillé et patientez une semaine environ en réhumidifiant quotidiennement le coton. Vous allez bientôt voir apparaître d’un côté de petites racines blanches, de l’autre une pousse verte.
Laissez les multiples petites racines s’enrouler autour du coton pendant une semaine encore ( en le maintenant humide), jusqu’à ce que la tige ait atteint quelques centimètres. A ce moment, vous pouvez risquer la transplantation dans un pot rempli de terre sablonneuse ou du terreau.
Arrosez abondamment et maintenez à la lumière. C’est une plante fragile qui se dessèche très vite. Vous pouvez la laisser dehors à condition de la préserver du gel.
Arachide germée Semis du 17 /11 sortis le 9 /12 Semis qui a 4 semaines Plants du 17/11
Merci à Virginie pour ces photos surprenantes
PALMIER NAIN
C’est une plante assez délicate à faire pousser sous nos climats, mais il est intéressant de tenter l’expérience. Procurez-vous une noix de coco bien fraîche.
Posez-la le bout pointu en l’air sur un bocal rempli d’eau de façon à ce que la partie inférieure soit plongée dans l’eau. Veillez à ce qu’il y ait toujours de l’eau et laissez la noix dans un endroit sombre et chaud. Pour accentuer l’effet de serre, recouvrez-la d’un sac en plastique, en laissant tout de même quelques trous ou interstices pour que la plante respire.
Au bout de quelques mois, la noix se fend pour laisser sortir une racine et une petite pousse. Vous la remettez alors à la lumière et quand elle a atteint quelques centimètres, vous pouvez la replanter.
Germe de noix de coco Germination « transversale » de noix de coco Jeune pousse de cocotier
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Posté par eurekasophie le 14 janvier 2009
La fabrication du vinaigre « maison » ne demande aucun matériel indispensable et nécessite très peu de travail, le vinaigre se fait naturellement.
Produire du vinaigre « maison » est facile bien qu’assez long : de 1 à 3 mois en moyenne et nécessite de l’alcool, de l’air et une certaine température. La fermentation, grâce à la bactérie « Mycoderma Aceti » (acétobacter) présente dans la nature, transforme l’alcool du vin en acide à la température ambiante d’environ 30°C en présence continuelle d’oxygène.
L’acide acétique obtenu lors de la fermentation de l’alcool d’un vin est présent entre 3 à 5 % dans un vinaigre commun, maximum 12 % dans certains vinaigres. (La législation française prévoit une teneur acétique minimale des vinaigres de 6 g. par 100 ml). Le degré inscrit sur l’étiquette d’un vinaigre est un degré d’acide et non d’alcool. La teneur en alcool résiduel des vinaigres est limitée (en France) à 1,5 % en volume.
Pendant la fermentation les bactéries acétiques vivantes se rassemblent à la surface du vin pour former une membrane gélatineuse et flasque « la mère de vinaigre » après quelques semaines d’oxygénation à l’air libre. On trouve également l’acide tartique et l’acide citrique en faible concentration dans les vinaigres naturels.
La mère de vinaigre est au départ une pellicule fine et translucide qui se fripe au moindre contact. Petite à petit, ce film s’épaissit et ressemble à une masse visqueuse constituée par la prolifération des ferments acétiques. La mère surnage à la surface du récipient, elle s’adapte à la forme du contenant dans lequel elle vit. Au départ très fine, elle s’épaissit jusqu’à devenir une peau épaisse, gélatineuse et ferme, parfois de plusieurs centimètres. Si la mère se multiple trop, donner ou jeter les mères inférieures et garder la mère supérieure, qui est la plus active.
La production de vinaigre n’est possible que si la mère flotte à la surface. (Si elle venait à couler, il faut essayer de la repositionner au dessus du liquide).
Lorsque l’accumulation devient trop importante, ces bactéries meurent et tombent au fond du vinaigrier.
La masse rougeâtre et gélatineuse qui coule dans le fond du vinaigre meurt par manque d’oxygène, c’est une agglomération de bactéries mortes. La conserver est inutile.
La mère de vinaigre est comestible. Sa ressemblance avec la consistance d’un abat ne la rend guère appétissante.
Il faut éviter que la mère de vinaigre soit en contact avec des produits ménagers (produits lessiviels, désodorisants, insecticides).
Fabriquer un vinaigre à partir d’une piquette ne donnera pas un bon vinaigre car la qualité d’un vinaigre tient essentiellement à la qualité de la matière première. Certains vins contiennent des conservateurs ou autres additifs peu favorables à la réussite du processus. Ne pas choisir un vin bouchonné ! Plus le vin est jeune plus l’acétification est rapide. Le degré alcoolique du vin ne doit pas être trop élevé pour démarrer une production. L’idéal est en 7 et 8°C. (maximum 10). L’action des bactéries serait ralentie par un vin à fort degré alcoolique. Préférer si possible un vin sec.
Pour les perfectionnistes, le pH idéal d’un vin destiné à devenir un vinaigre est compris entre 3,5 à 5. (Le pH se mesure à l’aide d’un ph-mètre ou de languettes de papier se colorant souvent de jaune à rouge).
Un vin pauvre en arômes donnera un vinaigre au goût neutre qu’on pourra facilement aromatiser par la suite.
Un vin blanc ou rosé permet d’obtenir un vinaigre blanc. Le vin rouge teinte la mère de cette couleur.
Un vinaigrier est idéal ainsi qu’un tonnelet ou un fût en chêne monté sur pieds. Mais un récipient opaque : un pot ou une cruche en céramique, en terre cuite ou en grès, un fût en chêne, convient également. A défaut un bocal en verre (sombre si possible) pourra être utilisé mais il faudra absolument le garder à l’abri de la lumière… Ne pas choisir un contenant en métal. Le chêne peut apporter une note boisée au vinaigre. En effet, le bois ajoute ses tanins à ceux du liquide de base. Les réactions s’accomplissent mieux dans un grand fût.
Le vinaigrier ressemble à une cruche ou une amphore à large ouverture, souvent en grès ou en céramique, percé d’un trou dans sa partie inférieure où se niche un petit robinet « la cannelle » avec un joint en liège (pour l’étanchéité) qui permet de soutirer le vinaigre.
Pensez à tester l’étanchéité du vinaigrier en y laissant de l’eau une nuit entière avant d’y verser le vin. Vérifier le bon fonctionnement du robinet. Manoeuvrez le de temps en temps pour éviter un éventuel blocage.
Ce robinet en bois doit être débouché occasionnellement et remplacé si l’étanchéité n’est plus totale, car le vinaigre a tendance à l’attaquer. Le vinaigrier est fermé par un bouchon non étanche parfois en liège car il doit laisser passer l’air, l’oxygène étant nécessaire à la fabrication du vinaigre. Le bouchon de l’ouverture supérieure peut être volontairement mal ajusté afin que l’air circule mieux.
Le vinaigrier est plus pratique qu’un autre contenant parce que la cannelle permet de soutirer le vinaigre par le bas lorsqu’il est prêt. Grâce au vinaigrier la mère n’est pas dérangée lorsque l’on tire du vinaigre. Dans un autre récipient elle risque de plonger dans le liquide lorsqu’on prélève du vinaigre à l’aide d’une louche par le dessus et elle risque de s’abîmer si on prélève le vinaigre par le haut.
Il est préférable que la mère ne tombe pas au fond du récipient.
Il n’est pas indispensable de posséder une mère pour envisager de fabriquer son propre vinaigre. On peut choisir de former sa propre mère. Obtenir du vinaigre dans ces conditions nécessitera plus de temps la première fois.
Le vin se transforme en vinaigre s’il est laissé à l’air. Choisir de préférence un vin à faible teneur en alcool (8 à 10° C.). Il faut du temps, prévoir un délai d’environ 2 semaines (au soleil l’été) à 2 mois (l’hiver). Laisser la bouteille de préférence aux trois quarts vide. La boucher uniquement pour l’agiter de temps en temps pendant les huit premiers jours seulement. La bouteille est débouchée au repos le reste du temps.
Dans de bonnes conditions les prémices du voile vont apparaître au bout de deux semaines, les bactéries acétiques vont créer un film à la surface du récipient, c’est à ce moment là qu’on considère que la « mère » est née. Après la naissance de la mère, il faut rajouter délicatement du vin et laisser à nouveau reposer environ 3 semaines avant de prélever du vinaigre.
Il est plus facile de créer une mère à partir de vin rouge que de vin blanc. Cependant on peut envisager de faire du vinaigre blanc en partant d’une mère de vinaigre de vin rouge… mais cela demande beaucoup de patience, de soutirage et de dédoublement de mères.
Voir des explications sur le site chataignes.onze pour faire du vinaigre blanc quand on a une mère de vinaigre rouge.
La mère se constitue plus ou moins vite. Mais si après 3 semaines, le vin n’est pas recouvert par une mère de vinaigre, il est possible de rajouter quelques centilitres de vinaigre pour favoriser le départ de la fermentation.
On peut également créer une mère en préparant dans un vinaigrier ou un récipient opaque, un mélange composé de 1/3 de vinaigre (bio) non pasteurisé ou d’un bon vieux vinaigre et 2/3 de vin. (D’autres proportions sont possibles par ex : 80 % de vin avec 20 % de vinaigre de vin du commerce). Vin et vinaigre doivent être de même couleur. Laisser à température ambiante, si possible entre 25 et 30°C.
La naissance de la mère de vinaigre est confirmée lorsque le mélange sera recouvert d’un film fin à la surface du liquide. La mère qui commence à se former est le signe du début de la fermentation. Après la naissance de la mère, il faudra encore attendre 2 à 3 mois avant d’obtenir du vinaigre.
Les délais sont variables, ils dépendant de la qualité du vin et du vinaigre et des conditions (températures etc… ) .
Il est également possible de préparer un vinaigre à partir de blanc de Champagne, de Xérès, de cidre bouché (le seul cidre à donner du vinaigre), à raison de 2/3 pour 1/3 du vinaigre correspondant.
Pour fabriquer du vinaigre de cidre, choisir un cidre sec non pasteurisé
Vous trouverez peut être dans votre entourage une personne qui vous fera cadeau d’une mère de vinaigre ou d’un morceau de mère. La mère de vinaigre est vivante, elle se développe et se reproduit et se dédouble facilement, on peut ainsi disposer de plusieurs exemplaires et en offrir autour de soi.
La mère reçue doit rester humide pendant le transport (transportez la avec du vin).
Il arrive parfois qu’on trouve une mère de vinaigre dans une bouteille de vinaigre achetée.
La mère de vinaigre est vivante, il faut la manipuler le moins possible. Eviter les produits lessiviels sur les mains et sur les ustensiles utilisés qui pourraient tuer les bactéries présentes dans la mère.
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