POUR LE PLAISIR DES YEUX …EN CE DIMANCHE SOIR .
Posté par eurekasophie le 11 janvier 2009
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Posté par eurekasophie le 11 janvier 2009
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Posté par eurekasophie le 11 janvier 2009
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Posté par eurekasophie le 11 janvier 2009
Les sirops de fruits sauvages
Au lieu de boire du banal sirop de menthe ou d’orange, synthétique ou non, mettez dans votre verre les saveurs acidulées et rafraîchissantes des fleurs ou des baies sauvages (les mêmes que pour les confitures): mûres, cynorrhodons, arbouses, prunelles, merises, baies de sureau ou d’aubépine et aussi des fleurs de pissenlit, d’acacia, de violettes, etc.
S’il s’agit de fruits juteux comme les mûres ou les fraises, vous les écrasez et vous filtrez le jus (2 ou 3 trois, avec un peu d’eau pour en recueillir le maximum).
S’il s’agit de fleurs ou d fruits secs comme les baies d’aubépine ou les cynorrhodons, vous les écrasez puis vous les faites bouillir quelques minutes dans de l’eau (1 tasse d’eau pour 1 tasse de baies) et vous laissez macérer le tout pendant 24 heures.
Déposez le jus frais ou le jus de macération filtré dans une grande casserole, ajoutez un quart de son poids en eau et le double en sucre. Laissez fondre quelques minutes à feu moyen pour que le sirop soit bien homogène. Laissez refroidir et gardez en bouteille au frais.
DES PETITS VINS LEGERS ET ACIDULES
Vous pouvez facilement fabriquer des boissons légèrement fermentées avec des fruits sauvages:
écrasez d’abord les baies dans un grand pot;
ajoutez à peu près le même poids d’eau, ou un peu plus que le poids pour les baies très sèches;
laissez macérer deux jours environ;
ensuite filtrez le jus, ajoutez un peu de sucre (de 50 à 150 g par litre selon l’acidité du fruit);
enfin, laissez fermenter le tout sans couvercle pendant une semaine environ, puis mettez en bouteilles et conservez au frais.
Ces petits vins délicieux et sauvages ne se conservent pas très longtemps. Utilisez pour les confectionner: mûres, merises, baies de sureau, prunelles, baies d’aubépine, épine-vinette, arbouses, cynorrhodons.
Vous pouvez aussi transformer en vin, si vous arrivez à la fairecouler, la sève de bouleau blanc ( qui contient du sucre et de la résine, et possède des propriétés digestives).
On fait aussi des petits vins de fleurs à partir d’infusion de fleurs de coucous, d’acacia et de pissenlit.
DES LIQUEURS AGRESTES
Avec du sucre, de l’eau-de-vie et quelques épices, vous pouvez réaliser des liqueurs fantastiques et extraordinairement parfumées à partir de fruits sauvages. Voici quatre recettes, mais n’hésitez pas à donner libre cours à votre imagination. Une seule condition: ne pas lésiner sur l’alcool si les fruits sont juteux, car ils risquent de faire fermenter votre liqueur.
Ratafia de mûres
Mélangez dans un grand flacon 1 kg de mûres, 700 g de sucre, 1/2 litre d’eau-de-vie, 1/4 de litre de rhum et 1/4 de litre de vodka. Ajoutz quelques pincées de cannelle et de gingembre, du zeste de citron ou d’orange.
Surtout, n’écrasez pas les mûres, elles sont exquises entières avec le jus. Laissez macérer ainsi un mois au moins, en surveillant de temps en temps. Si la liqueur semble bouillonner, rajoutez un peu d’eau-de-vie. Servez comme apéritif cet alcool assez sucré ou utilisez-le comme décoration spectaculaire sur une glace à la vanille ou à la mûre: succès garanti !
Liqueur de prunelles
Ecrasez 500 g de prunelles et mettez le tout avec les noyaux à mariner dans 1 litre d’eau-de-vie. Au bout d’un mois, filtrez le jus, ajoutez 500 g de sucre et laissez reposer encore 1 mois ou 2. Cette liqueur est plus corsée et plus acerbe que le ratafia de mûres.
Alcool de genièvre
C’est à partir du genièvre que les Britanniques font du gin. Plus modestement, vous pouvez obtenir un alcool très savoureux en mélangeant 100 g de baies de genévrier avec 200 g de sucre et 1 litre d’eau-de-vie. Ajoutez des graines d’anis, de carvi, de coriandre, du zeste d’orange et de la cannelle. Puis laissez macérer 15 jours environ et flitrez.
Liqueur de fraises des bois
Elle est délicieusement parfumées: lavez rapidement les fraises pour ôter les impuretés, puis déposez 500 g de fruits dans un grand flacon en les écrasant légèrement. Ajoutez 300 g de sucre et 1 litre d’eau-de-vie et laissez macérer un mois. Puis filtrez et savourez.
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Posté par eurekasophie le 11 janvier 2009
Peu connue des occidentaux, la marmathérapie ou « science des marmas », est une science complexe faisant partie intégrante de la médecine ayurvédique. Originaire de l’Inde du Sud .
L’origine de la marmathérapie remonte comme pour l’ayurvéda à 5000 ans, elle est l’ancêtre de l’acupuncture et vient plutôt de l’Inde du sud.
Les points de marmas étaient très utilisés dans les sports de combat, comme le kalaripayat , pour blesser voire tuer l’adversaire mais aussi et surtout en médecine. C’est une science exacte qui vise à équilibrer les 3 doshas.
Le corps est constitué de différents centres d’énergies qui sont :
Le terme « marma » signifie secret, caché, énergie vitale. Ils sont localisés en surface mais se trouvent en fait en profondeur, dans l’organisme. Ce sont des zones de rencontre entre le corps, la matière et la conscience, et donc des points fragiles, très sensibles, à ne manipuler qu’avec prudence et justesse. Ce sont des portes que l’on doit pousser avec modestie et respect.
Representation des marmas.( image tirée du livre « Le massage indien » de Kyran Vyas, editions Adi Shakti )
L’état du thérapeute est primordial. Une préparation est nécessaire, tant physique que mentale, pour être dans un état de calme et de paix intérieure. Le sens du toucher est très important pour déceler l’emplacement des points mais cela ne suffit pas car tout le travail se fait par la concentration et la respiration. Travailler avec le prana, le souffle, est essentiel. Le thérapeute va entrer en contact avec la conscience du massé, une alchimie subtile se crée qui va débloquer les canaux d’énergie et refaire circuler le prana dans tous les nadis.
Quand tout est harmonie dans le corps,quand tout circule normalement alors le mental se calme, la paix intérieure peut s’installer et une joie profonde apparait qui signe la santé.
On peut stimuler les marmas également par certaines postures de yoga, par l’automassage, par shirodhara( filet d’huile sur le front…), par la stimulation mentale en visualisant les 3 centres principaux.
Beaucoup de maladies peuvent être soignées par la marmathérapie mais sont du ressort du médecin et non du thérapeute. Les médecins ayurvédiques utilisent des préparations spéciales à base de plantes sous forme de pâte, ou des huiles médicinales qu’ils appliquent sur les points.
Certains malaises courant peuvent être soulagés par le thérapeute qui peut également vous apprendre à le faire vous même :
En cas de problème de santé important ou persistant il faut consulter un médecin.
L’Ayurvéda, comme la médecine chinoise, reconnait une série de points importants dans le corps, un peu comme les points d’acupuncture. Ces points se nomment marmas, ils sont au nombre de 107 principaux. Ils se réfèrent aux points vitaux du corps qui peuvent être très sensibles, voire être endommagés ou entrainer la mort (certains étaient utilisés en arts martiaux). C’est pour cette raison qu’une série de ces points est réservée à l’usage exclusif des médecins ayurvédiques qui en ont une très grande connaissance.
Les marmas sont des points d’énergie, ils sont reliés aux différents organes et tissus du corps. On les trouve répartis sur tout le corps mais principalement sur la tête et les membres, puis sur le tronc.
La marmathérapie par le massage nécessite une grande concentration de la part du thérapeute car le travail se fait du bout des doigts, avec des respirations appropriées, et la recherche des points demande une grande sensibilité. Le but de la marmathérapie est de faire circuler le Prana, qui est l’énergie maîtresse du corps, dans tous les points et de débloquer ou de relancer sa circulation , on agit également sur tous les organes et les tissus.
Contre-Indications
Revitaliser et réharmoniser le corps, à faire quand il y a des changements de saison, changements de rythme…
La marmathérapie ne se fait jamais à la première séance, plusieurs abhyangas sont nécessaires pour préparer le corps, commencer à ouvrir les nadis(circuits énergétiques). Seul le thérapeute peut décider si vous êtes prêts à recevoir ce soin.
Déroulement du soin :
Il faut compter 1h30.
Le soin commence par un abhyanga un peu plus court que la normale, puis on traite les points et on refait une harmonisation ensuite.
Il faut prévoir ce soin que si un temps de repos chez soi est possible après, cela peut fatiguer et éventuellemnt faire sortir des émotions.
Tarif : 85€ la séance
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Posté par eurekasophie le 11 janvier 2009
Des bouquets d’immortelles
Vous trouverez sans peine, en musardant dans les bois et les prés, de nombreuses fleurs capables de durer tout un hiver dans de merveilleux bouquets perpétuels aux tons fauves et pastels.
LES PLANTES FACILES A SECHER
Les graminées: dans les tons verts, bruns et mauves; on les trouve surtout aux abords des champs de céréales ou dans les prairies naturelles, longues tiges couvertes de petits épisou de minuscules feuilles fines et étroites, parfois aussi d’espèces de petits plumets soyeux.
Les céréales : dans les tons dorés et chauds pendant plusieurs années. L’orge est très décorative avec ses longs cheveux d’or dressés, le seigle aussi, bien qu’un peu moins chevelu, ou encore l’avoine aux pédoncules pleureurs.
Herbe « queue de lapin » Giroflée des dunes
LES PLANTES EXIGEANT UN MINIMUM DE SOINS
Les chardons, qui ajoutent une note « piquante », bleu ardoise. Il en existe de nombreuses espèces dans les prés, les dunes, les bords de chemin, dans le Midi. Ne vous amusez pas à les différencier, tous font des bouquets incomparables. Pour les conserver avec le maximum de couleurs, faites-les sécher très rapidement la tête en bas dans un endroit chaud et sombre, sec et aéré. Ou bien faites-les tremper qaund ils sont secs dans un mélange d’eauet d’alun (5 cuillerées d’alun pour un demi-litre environ), puis faites-les sécher à nouveau pour qu’ils se conservent mieux.
Les fleurs d’artichaut : magnifiques quand elles s’ouvrent en été avec leurs tons bleu-violet (ce qu’on consomme, c’est une fleur d’artichaut pas encore éclose). On en trouve en particulier en Bretagne: en général, il s’agit de fleurs potagères, mais on en déniche parfois dans les champs. Faites-les sécher aussi la tête en bas, très rapidement, comme les chardons.
L’oseille sauvage: d’un très bon effet quand elle est un peu rousse avec ses petites feuilles un peu triangulaires et ses nombreuses et minuscules fleurs rougeâtres éparpillées sur les tiges au-dessus des feuilles. Ne la secouez pas trop.
Les feuillages d’automne: ce sont eux qui formeront le corps du bouquet et resteront décoratifs tout l’hiver à condition de ne pas les placer dans un endroit trop chaud. A cueillir: les feuilles de châtaignier, de marronnier, de hêtre pourpre, de chêne, vers octobre ou novembre quand ils se couvent de couleurs jaune, or, cuivre et fauve. Les couleurs des feuillages d’automne tiendront mieux si vous faites tremper les tiges pendant le premier mois dans un mélange de glycérine et d’eau ( en parts égales) et les feuilles deviendront légèrement satinées et brillantes.
LES PLANTES TRES DELICATES
Vous pouvez essayer de conserver certaines fleurs de saison, mais avec quelques risques:
Les fleurs d’hortensia qui acquièrent des tons un peu cuits et pastels dans les bleus ou roses.
Les lupins aux immenses grappes blanches, violettes ou rouges.
Les roses trémières.
Les digitales aux ténébreuses (et toxiques) clochettes pourpres.
Les grosses marguerites.
Les tournesols.
Pour mettre le maximum de chances de votre côté, utilisez quelques trucs:
Faites -les sécher la tête en bas dans un local sec, sombre, aéré et bien chaud;
Maintenez les tiges dans un vase avec un fil de fer, car les fleurs sont souvent lourdes;
Mettez éventuellement au fond du vase un peu d’eau additionnée d’alun;
Si vous voulez leur redonner une couleur un peu artificielle, essayez de les laisser tremper quelques temps dans un mélange d’eau et de colorant pharmaceutique.
TABLEAUX CHAMPETRES
Mis sous verre, les fleurs séchées peuvent composer de très jolis décors, seules ou en groupe.
Pour les sécher, placez-les bien à plat entre deux journaux et pressez l’ensemble avec deux gros dictionnaires. Attendez huit à quinze jours, en changeant les journeaux s’ils sont humides. Pour les coller, utilisez de la colle spéciale reliure (qui sèche rapidement et devient transparente). On procède de la façon suivante:
Composer le tableau sur un carton;
Enduire complètement de colle un autre carton de même dimension;
Puis déposez sans attendre les plantes séchées sur le carton encollé, dans l’ordre du tableau; appuyez légèrement pour que la plante adhère bien;
LAISSEZ ENSUITE SECHER. En dix minutes environ, le tout doit être sec, sans qu’on puisse discerner la colle qui forme une sorte d’enduit légèrement nacré.
Vous pouvez ensuite accrocher votre tablaeu floral tel quel au mur, ou le recouvrir d’un verre, l’encadrer, etc.
L’HERBIER DE POCHE
Si vous partez pour quelques jours et que vous voulez rapporter des plantes sans dommage, avant de les mettre sous verre, vous pouvez confectionner un herbier de poche pas trop encombrant. Il vous faudra:
Fixez les vis aux quatre coins des planches. Coupez les morceaux de carton et de buvard en biais aux coins de façon à ce qu’ils ne soient pas gênés par les vis. Il vous suffit ensuite de disposer, dans l’ordre, la planche du dessus, un morceau de carton, un buvard, une couche de plantes, un autre buvard, un carton, une couche de plantes, et ainsi de suite…. Vous terminez par la planche du dessous et vous serrez les quatre vis à fond.
ATTENTION ! Ce dispositif manque d’aération. Il faudra donc surveiller vos plantes tous les 2 ou 3 jours pour vérifier qu’elles ne pourrissent pas et, peut-être changer de buvard.
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Posté par eurekasophie le 11 janvier 2009
Plus de problème pour décoller votre bac à glace si vous prenez la précaution d’en frotter le dessous et les côtés avec une bougie.
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Posté par eurekasophie le 11 janvier 2009
* En toile: rien ne vaut de l’eau froide additionnée d’ammoniaque dans les proportions suivantes: 5 cuillerées à soupe par litre d’eau.
* En plastique: un peu de lessive dans de l’eau tiède, un rinçage soigneux et ils retrouveront leur propreté.
* En cuir (voir cuir dans « Astuces de « Z » à » A » « )
-Transport
Une astuce toute simple pour tous vos bagages comportant deux poignées: retenez-les ensemble au moyen d’une attache pour éviter d’être tenté de les tenir par une seule poignée, et pour que leur transport soit plus facile.
-Bien faits
* Jupe plissée: ne renoncez plus à l’emporter en voyge de crainte qu’elle ne ressorte froissée de votre valise car il suffit de l’enfiler dans la jambe d’un vieux bas ou collant pour la protéger de tout risque de faux plis.
* Robe: prendre l’habitude de plier une robe à la hauteur de la taille évite d’avoir à repasser celle-ci au sortir de la valise, surtout si vous glissez une feuille de papier de soie entre la partie corsage et la partie jupe. Faites-le au moins une fois, et au vu du résultat, vous ne considérerez plus cela comme un luxe superflu.
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Posté par eurekasophie le 11 janvier 2009
-De beauté
Pourquoi ne pas prendre exemple sur la recette de Néfertiti, reine d’Egypte célèbre pour sa beauté, ( Ho ! Betty Boop n’est pas mal non plus ….LOL! )lorsque vous prenez un bain ? C’est tout simple: plonger dans l’eau du bain (une fois celle-ci à bonne température) un sac de mousseline contenant 1 kilo de son. Bien presser le sac afin d’en exprimer toute la teneur en farine blanche et mélanger à l’eau du bain qui deviendra laiteuse. Votre peau en sera adoucie et satinée.
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Posté par eurekasophie le 11 janvier 2009
-De crin
Presque inévitablement, les crins d’un balai s’affaissent au bout d’un certain temps, mais le procédé pour leur redonner leur tenue est fort simple: les maintenir au-dessus d’un récipient rempli d’eau bouillante.
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Posté par eurekasophie le 11 janvier 2009
-De ping-pong
Ce truc pour récupérer les balles de ping-pong cabossées ne donnera pas entièrement satisfaction aux pongistes confirmés, mais contentera tous ceux, et surtout les enfants, qui font une grande consommation de balles: après un séjour de quelques minutes dans de l’eau qui bout, les bosses disparaissent et il suffit de laisser sécher les balles pour pouvoir s’en servir de nouveau.
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